Une soumise qui accepte tout pour le plaisir

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Une soumise qui accepte tout pour le plaisir

Le plaisir dans la soumission : une femme soumise témoigne

Aux yeux de tous, AurĂ©lie est une quarantenaire Ă©panouie. Dans son intimitĂ©, cette mĂšre de famille nourrit une sexualitĂ© riche de nature BDSM. Elle frĂ©quente un homme dominant depuis plus de deux ans. Ils se voient rĂ©guliĂšrement pour vivre des parenthĂšses hors du temps oĂč la jeune femme devient sa soumise Aussi connue sous le nom de Lili soumise , AurĂ©lie a acceptĂ© de nous raconter comment la soumission s’est immiscĂ©e dans sa vie. DĂ©couvrez le tĂ©moignage authentique d’une femme soumise.
Avec le recul, je me rends compte que, dans ma sexualitĂ©, mĂȘme vanille, la soumission a toujours Ă©tĂ© plus ou moins prĂ©sente dans la mesure oĂč j’ai des difficultĂ©s Ă  prendre certaines initiative. Je prĂ©fĂšre ĂȘtre guidĂ©e par mes partenaires.
La vraie soumission (au sens BDSM du terme, avec une dynamique sexuelle D/s sous la coupe d’un MaĂźtre ), je l’ai dĂ©couverte en 2017. J’ai rencontrĂ© un dominant.
Tout s’est dĂ©roulĂ© de la mĂȘme maniĂšre que dans une rencontre plus classique : je ne savais pas qu’il Ă©tait dominant jusqu’à ce qu’il me dise qu’il apprĂ©ciait le sexe de cette maniĂšre. Cela a rĂ©sonnĂ© en moi, je me suis laissĂ©e tenter.
J’ai essayĂ©, adorĂ© et, depuis, je continue de pratiquer une sexualitĂ© BDSM dans la position de soumise .
J’en ai pas honte. Pour moi, ma soumission a quelque chose de trĂšs naturel et d’évident . J’aime le sexe, j’aime le plaisir et j’ai le sentiment que pratiquer le sexe en Ă©tant soumise Ă  un MaĂźtre dĂ©cuple mes sensations et mon plaisir. C’est diffĂ©rent et plus intense qu’auparavant.
Étant maman solo avec une prĂ©-ado, j’ai peu de disponibilitĂ©s. Si je veux sortir, il faut que je m’organise. Du coup, dĂšs que j’ai une disponibilitĂ© et que je souhaite la consacrer Ă  mon dominant, Monsieur Yannick, je l’en informe. J’essaye de rĂ©server Ă©galement du temps pour moi, pour vivre mes autres passions et centres d’intĂ©rĂȘts, car il n’y a Ă©videmment pas que le sexe dans la vie. C’est aussi nĂ©cessaire Ă  mon Ă©quilibre de femme.
Mon Maütre essaie de s’arranger en fonction de sa propre vie. Malheureusement, il n’est pas toujours possible de nous voir quand nous en avons envie.
Nous sommes en relation rĂ©guliĂšre par texto ou par Twitter, que ce soit en public ou en privĂ©, afin de meubler les moments d’absence. Nous conservons ainsi un lien plus ou moins Ă©troits entre nos rencontres.
Mon dominant a un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant dans toute la sphĂšre sexuelle, mĂȘme en dehors du lit. Ainsi, lorsque des hommes m’embĂȘtent sur les rĂ©seaux sociaux, je demande Ă  Monsieur Yannick d’intervenir et de dĂ©cider de ce que je dois faire.
Sinon, notre relation est basée sur un feeling partagé. Elle comprend de la confiance, de la communication et beaucoup de respect. Je perçois mon Maßtre BDSM comme un confident et un soutien dans ma vie, raison pour laquelle sa tendresse, son empathie et sa compassion sont aussi importantes pour moi que son autorité et ses ordres le sont lors de nos séances.
C’est une question que je me pose souvent, ainsi que celle du type de relation que je souhaite. En effet, je rĂ©flĂ©chis de plus en plus Ă  une relation du type union libre pour conserver une forme de libertĂ© sexuelle .
Je pense que toutes ces questions trouveront leur rĂ©ponse lorsque je tomberais sur cet Ă©lu. MalgrĂ© mes efforts et les derniĂšres rencontres que j’ai pu faire, aucun n’a atteint mon cƓur jusqu’à prĂ©sent.
Maintenant, de ce que j’ai pu lire sur ces questions, il semblerait que l’on ne peut pas s’en passer. C’est vrai que par le passĂ©, j’ai pu Ă©prouver un manque. Je ne peux donc pas rĂ©pondre de maniĂšre totalement certaine Ă  cette question. On peut dire que j’attends de voir ce que la vie me rĂ©serve.
Le plaisir et le lĂącher prise essentiellement.
Le plaisir car, comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, ma soumission renforce mon plaisir. J’éprouve plus de sensations et de plaisir qu’en mode vanille. À peine j’ai achevĂ© ma jouissance que j’en redemande. C’est comme une drogue pour moi, j’en veux toujours plus !
Ensuite, je recherche le lĂącher prise dans ces pratiques sexuelles parce que je mĂšne une vie compliquĂ©e oĂč j’ai bon nombre de dĂ©cisions Ă  prendre Ă  cĂŽtĂ©. C’est vrai que de ne pas devoir en prendre dans un domaine, c’est reposant , relaxant et agrĂ©able. Ma vie sexuelle permet d’équilibrer , de trouver un espace de libertĂ© et d’apaisement, au milieu de ma vie personnelle et professionnelle.
Ces pratiques m’amĂšnent Ă  me poser des questions , notamment sur mon image et sur notre sociĂ©tĂ© actuelle.
En effet, j’ai Ă©tĂ© Ă©levĂ© dans un cadre oĂč l’image de soi est trĂšs importante . J’avais l’impression qu’il fallait ĂȘtre Mme Vanderkamp (un personnage de la sĂ©rie Desperate Housewives ). La parfaite mĂ©nagĂšre des annĂ©es 50, tout en gĂ©rant un travail et des enfants. En Ă©voluant, j’ai appris que coller Ă  une certaine l’image de soi n’est pas si importante. Être soi-mĂȘme est meilleur.
Toutefois, lorsque je me vois dans certaines situations, lorsque je vis ma soumission, j’ai dĂ» mal Ă  rĂ©aliser et Ă  accepter cette partie de moi, car je suis quand mĂȘme avilie et humiliĂ©e. MĂȘme si je sais qu’au fond de moi, je le demande et que Monsieur Yannick ne fait que rĂ©pondre Ă  mes attentes, je ne peux m’empĂȘcher de ressentir une pointe de honte.
De mĂȘme, la sociĂ©tĂ© a tendance Ă  nous dicter ce qui est bien ou mal, l’image qu’il faut et qu’il ne faut pas renvoyer. Mais pourquoi s’empĂȘcher de faire quelque chose si on en a envie, qu’elle nous procure du plaisir et qu’elle ne fait de mal Ă  personne ?
Je comprends la rĂ©ticence de certaines personnes pour le BDSM, qui pensent que ces pratiques sexuelles ont un cĂŽtĂ© « malsain ». Pour l’avoir vĂ©cu de l’intĂ©rieur, je pense qu’en rĂ©alitĂ©, c’est comme tout : puisque les gens ne savent pas ce que c’est rĂ©ellement, ils critiquent , ils jugent. Au final, ce qui est inconnu est mauvais.
Je trouve la soumission bien plus saine et bien plus respectueuse que certaines situations de la vie quotidienne. Je pense par exemple à certaines relations au travail qui peuvent, dans certains cas, se dégrader et mener à un manque de respect.
Il n’existe pas, Ă  mon sens, de sĂ©ance BDSM classique, car il existe bon nombre de situations et de pratiques diffĂ©rentes. Avec Monsieur Yannick, nous avons nos rituels . Ce ne seront pas les mĂȘmes que pour d’autres pratiquants ou couples.
Mais je vais essayer de synthétiser avec trois situations précises qui devraient montrer comment se passent nos séances.
Quelles que soient les trois situations, j’ai des ordres avant la sĂ©ance . Mon MaĂźtre dĂ©cide de la tenue, des accessoires (collier, entraves, etc.) et d’éventuels jouets Ă  porter ou Ă  amener. Pour les jouets, ça peut aller d’un Ɠuf vibrant tĂ©lĂ©commandĂ© en extĂ©rieur au gode prĂ©parĂ© Ă  utiliser Ă  l’intĂ©rieur.
La premiĂšre situation est Ă  l’intĂ©rieur (dans mon ou son domicile ou chambre d’hĂŽtel) : je suis Ă  sa disposition et j’obĂ©is Ă  ses ordres . En gĂ©nĂ©ral, j’ai droit Ă  des cunnilingus, des morsures, des jeux avec mes seins, des jouets, des fessĂ©es, des tapes.
Ce qui peut varier, c’est le fait que je sois immobile ou non, les yeux bandĂ©s ou non, avec une laisse ou non. Tout comme les situations avant de passer au lit. Cela peut ĂȘtre un temps pour de la tendresse comme le fait que je le serve
 Tout dĂ©pend vraiment des envies et du scĂ©nario dĂ©cidĂ© par Monsieur Yannick, en sachant qu’il en a toujours plusieurs en tĂȘte.
Cela dit, nos moments conservent une part d’alĂ©a , rien n’est rĂ©ellement programmĂ© Ă  l’avance.
En total extĂ©rieur, en gĂ©nĂ©ral, nos jeux tournent autour de l’exhibition . Il m’emmĂšne dans un lieu qu’il connaĂźt et donc garde le contrĂŽle pour Ă©viter tout danger. Je peux ĂȘtre tenue en laisse ou non.
Ma nuditĂ© peut ĂȘtre absente, partielle ou totale. Mon MaĂźtre finit par me branler dans un coin. Bien sĂ»r, il peut y avoir aussi des moments de tendresse, il peut amener des jouets, il peut y avoir des voyeurs.
Ce que j’appelle en semi-extĂ©rieur, c’est lorsque nous allons au restaurant par exemple. Nous finissons ensuite dans un autre lieu, que ce soit chambre d’hĂŽtel, Ă  mon domicile ou en extĂ©rieur.
Au restaurant, il ne se passe pas grand-chose. Je dois dĂ©voiler mon dĂ©colletĂ© (que j’ai du mal Ă  assumer par ailleurs). Parfois, je dois Ă©galement porter des jouets tĂ©lĂ©commandĂ©s.
La diffĂ©rence avec les situations prĂ©cĂ©dentes, c’est que Monsieur aime me mettre Ă  quatre pattes sur la plage arriĂšre et jouer avec moi.
Ensuite, il existe des situations fantasmĂ©es mais non rĂ©alisĂ©es Ă  ce jour. Je rĂȘve par exemple qu’il me « prĂȘte » Ă  un ou plusieurs hommes. Je joue Ă  faire la servante et Ă  le servir, lui ainsi que d’autres personnes, ou je suis animalisĂ©e devant un public averti.
J’ai rĂ©sumĂ© les situations que nous avons le plus vĂ©cu, mais, en rĂ©alitĂ©, je tiens Ă  le rĂ©pĂ©ter : aucune sĂ©ance ne se ressemble.
La premiĂšre (et c’est en dehors de la soumission), a Ă©tĂ© de vouloir vivre une premiĂšre fois avec une femme . Les circonstances ont voulu que, d’un commun accord, cela se dĂ©roule dans un club libertin .
Ce moment a Ă©tĂ© l’occasion de rĂ©aliser plusieurs premiĂšres fois : non seulement j’ai mis pour la premiĂšre fois les pieds dans un club libertin, j’ai couchĂ© pour la premiĂšre fois avec une femme et par la suite, j’ai pour la premiĂšre fois couchĂ© avec plusieurs partenaires (masculins ou fĂ©minins). Je n’ai pas recommencĂ©, mais il m’arrive d’y repenser et de me dire parfois que j’aimerais rĂ©essayer la pluralitĂ©.
Mon second moment le plus osĂ© s’est produit dans le cadre de la soumission. Monsieur Yannick m’a ordonnĂ© de me promener seins Ă  l’air dans une forĂȘt. Nous nous sommes Ă©loignĂ©s du chemin principal. Il m’a fait m’appuyer contre un arbre et m’a branlĂ© devant un voyeur .
J’ai pris du plaisir tout en Ă©prouvant une grande gĂȘne ainsi qu’un peu de honte.
Je rĂ©alise que beaucoup se mĂ©prennent sur les rĂ©seaux sociaux sur la raison qui explique l’existence de mon blog . J’ai mĂȘme fait un post sur le sujet il y a peu. Il me semble donc important de clarifier ce point, c’est une excellente question.
Depuis toujours, j’ai besoin de m’exprimer lorsque je traverse quelque chose d’exceptionnel. Pour moi, la soumission n’est pas quelque chose d’anodin et j’ai donc immĂ©diatement ressenti le besoin de le raconter. Mon entourage n’est pas au courant de cette partie de moi. J’avoue que j’ignore comment ils rĂ©agiraient s’ils savaient. Enfin, pour certains, je sais qu’ils ne comprendraient pas voire qu’ils me jugeraient. Alors, j’ai dĂ©cidĂ© de le raconter Ă  des initiĂ©s.
En premier lieu, c’est avant tout pour moi et moi seule, pour extĂ©rioriser ce que je vis. Et le fait d’écrire sur mon blog me confirme que ce que j’ai vĂ©cu Ă©tait bien rĂ©el et non pas un rĂȘve. J’utilise les rĂ©seaux sociaux pour le faire connaĂźtre et le diffuser.
En second lieu, je me demande comment les autres membres de la communautĂ© BDSM vivent leurs relations et leurs sĂ©ances. Mon blog me sert Ă  partager et Ă  Ă©changer, mĂȘme si j’avoue ne pas avoir trouvĂ© de groupes, de communautĂ© ou de personnes avec qui pouvoir vraiment le faire.
Je dois avouer qu’il existe une troisiĂšme raison et que je dĂ©couvre seulement maintenant. Visiblement, j’aide certaines femmes Ă  accepter leur corps ou Ă  assumer leur soumission .
MĂȘme si cela ne fait pas partie de mes premiers objectifs, je suis ravie de cette consĂ©quence positive , et j’espĂšre que partager mon tĂ©moignage aidera d’autres femmes soumises. Pour ĂȘtre honnĂȘte, j’ignore comment je fais
 Mais l’important, c’est que je les aide Ă  ma maniĂšre.
Pour un autre tĂ©moignage de personne soumise, n’hĂ©sitez pas Ă  consulter le rĂ©cit de cet homme soumis heureux en mĂ©nage.
DerriÚre ce nom se cache une femme profondément et amoureusement fétichiste qui explore les rivages des sexualités défendues depuis maintenant une dizaine d'années.
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Publié le 26 mars 2012.
12 commentaires


Au moins avec ce genre de meuf, on ne perd pas de temps Ă  nĂ©gocier quoi que ce soit puisque cette grosse salope accepte tout! Dans la bouche, dans le cul, les mains attachĂ©es comme une salope sans oublier par avaler le sperme, elle fait tout cette chienne! AttachĂ©e sur un banc de musculation, la femme se laisse tripoter par son pervers de mari, en mĂȘme temps elle ne peut que subir puisqu’elle a les deux mains attachĂ©es, impossible de faire quoi que ce soit pour madame. Le type en profite pour bien la doigter et lui caler des doigts dans sa chatte, lui dĂ©grafe son soutien-gorge pour nous dĂ©voiler une magnifique et grosse paire de nichons, j’adore! Le mec bande dur forcĂ©ment et s’approche de la bouche de sa femme pour une fellation, le mec fait des va-et-vient de plus en rapide, il baise carrĂ©ment la bouche de cette salope. AprĂšs cette terrible fellation, il se met sur elle pour lui Ă©carter son string noir et la pĂ©nĂ©trer mais avec un homme aussi pervers, il ne pouvait pas se contenter d’une simple baise et pĂ©nĂ©tration vaginale, il passe Ă  l’étage supĂ©rieur et la sodomise sans aucune prĂ©paration, pas de gel, queudal, prend ça! La meuf fait la grimace mais rien Ă  battre, ici c’est monsieur qui prend son pied et pas madame alors t’encaisse et tu ouvres grand ta bouche pour avaler mon sperme chaud maintenant.
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Article mis Ă  jour le 01/08/18 10:46


Caroline Michel

Mis à jour le 01/08/18 10:46



A 23 ans, Fanny est étudiante et décide de se faire un peu d'argent comme serveuse pour des évÚnements sadomasochistes. Un jour, elle est invitée à pénétrer l'envers du décor, comme simple observatrice. Elle rencontre alors "son maßtre" qui lui propose un contrat de soumise. Fanny nous raconte aujourd'hui son expérience, dont elle ne regrette rien. Un récit prenant.
" J'en suis venue Ă  tester le SM par simple hasard . Etant Ă©tudiante, je rĂ©ponds Ă  l’annonce de l’ami d'un ami qui cherche des serveuses pour des Ă©vĂ©nements sadomasochistes : des soirĂ©es sur des pĂ©niches et chaque annĂ©e, une grande soirĂ©e dans un lieu tenu secret avec d’énormes dancefloors, des dĂ©monstrations
 Je regarde quelques photos et j’accepte : l’esthĂ©tique du milieu me plaĂźt beaucoup. Je me retrouve Ă  servir des vodkas pommes Ă  de la population "encuirĂ©e". Ambiance rĂ©ellement festive et sans grosses tensions sexuelles. ForcĂ©ment, on me propose parfois, contre monnaie, de faire telle ou telle chose.
Je bosse ainsi pendant trois ans. Un soir, lors d’une pause, je suis approchĂ©e par un homme qui m’entraĂźne vers les "coulisses" ; il m’aborde trĂšs simplement, comme l’aurait fait un jeune homme lambda. Pas de costume Ă  la Christian Grey, mais toujours habillĂ© de noir. La conversation tourne essentiellement autour du SM, de ses pratiques, des miennes (totale novice).
Le lendemain, nous dĂ©jeunons ensemble et il me propose, aprĂšs de longues explications rassurantes et un interrogatoire psychologique trĂšs Ă©trange, si je souhaite dĂ©buter un contrat. Il me demande, par exemple, si je suis stable psychologiquement, si je discerne le bien du mal, que ce soit d’un point de vue physique mais aussi moral. Je suis intriguĂ©e, curieuse, son regard me sĂ©duit. Je me dis que si tant de gens viennent Ă  ces Ă©vĂ©nements, c’est qu’il existe forcĂ©ment une source de plaisir dans les pratiques SM. Je lui plais, il me plait
 J’accepte.  
J’ai rendez-vous chez lui la semaine suivante. On Ă©tablit les rĂšgles de contrat (mot de sĂ©curitĂ©, pratiques acceptĂ©es
). Une fois signĂ©, il m’annonce qu’il est mariĂ© et papa, me donne son lieu d’habitation, (diffĂ©rent de lĂ  oĂč nous nous trouvons), me parle trĂšs naturellement de son "autre vie" (sa femme, sa maison sur les quais de Seine...). J’apprends qu’il a 38 ans. Il ne boit jamais d’alcool de peur de se faire dĂ©masquer. Personne n’est au courant dans son entourage. Il se fait appeler P. Je ne peux le contacter qu'Ă  certaines heures prĂ©cises de la journĂ©e (Ă  13H00 ou entre 23h00 et 2h00).
Les sĂ©ances se passent de la façon suivante : c’est moi qui lui donne le signal de dĂ©part . Il faut savoir que la soumise est en fait maĂźtre du jeu. Le maĂźtre Ă©volue dans l’espace qu’elle lui laisse. Les soumises dĂ©cident des pratiques, posent leurs limites... le contrat sert Ă  ça. Il sert Ă  nous protĂ©ger et le maĂźtre se protĂšge ainsi pour Ă©viter les accusations.
Cependant, je remarque rapidement que le souci de ces relations soumise-maĂźtre, c’est que le syndrome de Stockholm se dĂ©veloppe
 P. arrive Ă  crĂ©er le manque, je deviens dĂ©pendante. Puis jalouse des autres "soumises", de sa femme... Il gĂšre quatre soumises en mĂȘme temps et se plait d’ailleurs Ă  nous mettre en concurrence (et ça marche). TrĂšs vite, je me sens en compĂ©tition avec les autres, sans mĂȘme les connaĂźtre.
Lors des sĂ©ances, parfois nous faisons l’amour, parfois non. Quand c’est le cas, il utilise toujours un prĂ©servatif. Moi, en parallĂšle, je suis obligĂ©e de prendre une contraception.
La douleur me procure du plaisir, au bout de quelques sĂ©ances . La premiĂšre fois, j'ai le rĂ©flexe de lui dire, Ă©nervĂ©e : "Tu fais quoi là ?". Mais au bout de quelques heures, ça va, on s’habitue, on se prend au jeu, on finit par aimer ça. Il essaie de me pousser un peu plus vers mes limites niveau physique. Quand le plaisir disparait et que je suis obsĂ©dĂ©e par la douleur, je l'ordonne d'arrĂȘter. Mon mot de sĂ©curitĂ© est "flĂ»te". Le but est de trouver un mot banal, qui sonne Ă©tranger aux conversations que je peux avoir avec lui, pour le reconnaitre vite et agir vite si on doit tout stopper, dĂ©tacher, reposer... Je n’ai jamais peur c
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