Une soeur le faisant pour elle-même
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Une soeur le faisant pour elle-même
J'ai une soeur manipulatrice avec laquelle je me suis enfin fâchée ( car ça n'était plus vivable) depuis 7 mois environ ; comme elle est très douée j'ai toute ma famille à dos et les relations avec ma mère se dégradent de plus en plus à cause d'elle. Dernièrement, ma mère m'a appelé tard le soir pour m'annoncer que cette même soeur va être opérée de la thyroide ( car nodule peut être cancéreux), je sais bien que ma mère attend que je renoue avec elle, que je lui passe un coup de fil mais au fond de moi je n'en ai pas du tout envie, et je trouve ça indécent de rappeler quelqu'un quand il est malade. Je me sens seule dans cette famille où tout le monde est sous la coupe de cette soeur, qui, en plus avec ce nouveau rôle de malade officielle va finir de me faire passer pour une personne odieuse, sans coeur etc.... Suis-je si monstrueuse ? Moi je ne le crois pas, mais j'aimerai avoir des avis extèrieurs et partager sur ce problème qu'est celui de cotoyer une personne manipulatrice et constamment victime pour tout.
Merci Je veux m'acheter ce livre depuis quelques temps, c'est, je pense un bon achat car ça fait plusieurs fois qu'on me le conseille. J'ai déjà dit à ma mère que ma soeur était insidieuse, pas franche et qu'elle se posait toujours en victime mais ça n'a pas eu l'air de lui éveiller quoique ce soit . Ma mère était mieux quand elle était amoureuse et donc moins dans les pattes de ma soeur, depuis qu'elle n'a plus personne comme "amoureux" elle est sous son influence, un soir elle est sympa au téléphone et un autre elle est froide, c'est je pense de la manipulation pour ma mère aussi.... merci en tout cas de vos réponses, j'ai des amis qui me comprennent aussi mais j'ai besoin d'un regard complètement extèrieur à tout ça.
la lanterne je ne sais pas... Mais c'est probablement pénible pour une mère de voir que ses enfants ne s'entendent pas au point de ne plus se parler, même en cas d'"urgence". Avec ta soeur qui passe pour une mourante, ta mère ne comprend pas que votre -enfin, TA- rancoeur ne s'efface pas face à cette menace... On en a déjà parlé sur un autre poste, la maladie devrait, pour certains, tout effacer, et il faudrait courir au chevet de quiconque se retrouve à l'hopital, quelques que soient les relations... As-tu demandé à ta mère si cette demande vient d'elle, ou si c'est un voeu que ta soeur a exprimé? Dans un cas comme dans l'autre, je pense que tu peux lui rappeler que cette histoire est entre ta soeur et toi, et que ta mère n'a pas à s'en mêler. Si c'est ta soeur qui veut que reprendre le contact, elle a sûrement ton numéro...
la lanterne je ne sais pas... Mais c'est probablement pénible pour une mère de voir que ses enfants ne s'entendent pas au point de ne plus se parler, même en cas d'"urgence". Avec ta soeur qui passe pour une mourante, ta mère ne comprend pas que votre -enfin, TA- rancoeur ne s'efface pas face à cette menace... On en a déjà parlé sur un autre poste, la maladie devrait, pour certains, tout effacer, et il faudrait courir au chevet de quiconque se retrouve à l'hopital, quelques que soient les relations... As-tu demandé à ta mère si cette demande vient d'elle, ou si c'est un voeu que ta soeur a exprimé? Dans un cas comme dans l'autre, je pense que tu peux lui rappeler que cette histoire est entre ta soeur et toi, et que ta mère n'a pas à s'en mêler. Si c'est ta soeur qui veut que reprendre le contact, elle a sûrement ton numéro... Merci pour la lanterne... ....oui, en effet ça doit être difficile mais elle pourrait comprendre car elle a fait pareil à la sienne... Moi je reconnais mes torts auprès de cette soeur, je ne suis pas parfaite et il y a eu un moment où j'ai dit "ras-le-bol"; ma soeur fait celle qui ne comprends pas, blanche comme neige , elle ne veut pas reconnaître qu'elle a participé à la pourriture de la situation. Il faut dire que cet été elle a refusé que je vienne chez elle ( je me déplaçais exprès quand même) pour voir sa fille chose qu'elle même n'avait pas fait pour la mienne ; dans ces cas là, je capitule, j'arrête tout car on a atteint un point de non retour. Hier soir j'ai rappelé cet épisode à ma mère, (qui me disait "mais qu'est ce qu'elle a bien pu te faire ????") et puis j'ai rajouté que j'en avais marre de me justifier car personne ne lui a demandé maintes fois pourquoi elle avait fait ce refus auprès de moi. Il faut dire que ma mère me donne des nouvelles de cette soeur que je ne demande pas ( elles me sont "infligées") et je pense justement que si elle voulait me tenir au courant de son état elle n'a qu'à prendre son téléphone .... ma soeur doit dire que ça la chagrine auprès de ma mère juste histoire de noircir un peu plus le tableau! Merci aussi pour ta réponse, c'est du tricot les familles, tout plein de noeuds, c'est compliqué!
petit bug... ....je continue même si je n'ai pas de réponse ; j'ai encore eu ma mère au téléphone qui m'a enfin demandé si je comptais appeler ma soeur; j'ai dit "non, je n'ai pas envie" ; elle m'a alors dit qu'elle allait avoir un examen avec des marqueurs pour voir si c'était cancéreux et elle en a rajouté une couche en me redemandant j'ai redis non . Après elle a dit qu'elle ne pensait pas que c'était à ce point là notre mésentente, qu'elle ne comprenais pas pourquoi ( il faut dire que ma soeur a refusé que je vienne la voir cet été et n'a donc pas voulu que je rencontre son nouveau bébé) ; j'ai donc rappelé à ma mère l'épisode et puis je lui ai dit que je n'avais pas à me justifier. Je pense que dans ma famille le poids de la culpabilité a joué pour de nombreuses choses ; j'en suis à un point où je refuse toute culpabilité, je lutte, c'est dûr mais je pense que là ma mère agit comme la sienne en essayant de me faire céder en me culpabilisant. Si vous avez une lanterne pour m'éclairer ?.... Malade ou pas Cela ne change rien. Tu écris que ta soeur est une manipulatrice. Si c'est le cas, le fait qu'elle soit malade ne va rien changer sinon encore plus te mettre sous sa coupe si tu renoues. La culpabilité, je sais c'est très très dur de lutter contre mais il faut tenir bon car c'est ton équilibre, ton bien être, ta santé qui sont en jeu. La première chose est de te protéger et d'expliquer à ta mère que ta soeur est une manipulatrice et que c'est la raison pour laquelle tu as coupé les ponts. Procure toi le livre "les manipulateurs sont parmi nous", lis le avant de le prêter à ta mère... Je pense qu'elle comprendra. Je te souhaite bon courage et pense à toi. SUEVALINE
oh oui, merci vraiment des petits échanges comme ça c'est très réconfortant ! Ca doit être dûr pour toi d'autant que tu es seule pour ta mère, la pression doit être encore plus grande. Je crois que ma mère se rend compte de certaine chose quand elle prend un peu du recul, mais comme ma soeur revient à la charge trèèès souvent... Bonne soirée !
petit bug... ....je continue même si je n'ai pas de réponse ; j'ai encore eu ma mère au téléphone qui m'a enfin demandé si je comptais appeler ma soeur; j'ai dit "non, je n'ai pas envie" ; elle m'a alors dit qu'elle allait avoir un examen avec des marqueurs pour voir si c'était cancéreux et elle en a rajouté une couche en me redemandant j'ai redis non . Après elle a dit qu'elle ne pensait pas que c'était à ce point là notre mésentente, qu'elle ne comprenais pas pourquoi ( il faut dire que ma soeur a refusé que je vienne la voir cet été et n'a donc pas voulu que je rencontre son nouveau bébé) ; j'ai donc rappelé à ma mère l'épisode et puis je lui ai dit que je n'avais pas à me justifier. Je pense que dans ma famille le poids de la culpabilité a joué pour de nombreuses choses ; j'en suis à un point où je refuse toute culpabilité, je lutte, c'est dûr mais je pense que là ma mère agit comme la sienne en essayant de me faire céder en me culpabilisant. Si vous avez une lanterne pour m'éclairer ?....
Non... ... je ne pense pas ; elle est brute de décoffrage quand on s'accroche, elle ne fuit pas , elle est culpabilisante comme sa mère l'a été pour elle, mais elle n'est pas mesquine. Ma soeur par contre dit un jour blanc, un jour noir ; elle fait toujours de très beaux cadeaux, elle a des exigences vis à vis des gens qui font qu'ils n'osent pas dire non ; elle s'arange pour fuir les conflits ou elle détourne à merveille ses fautes. Mon père disait gentillement qu'elle était diplomate. J'ai été aussi, je pense, une très bonne manipulée et comme notre relation ne peut que être de cet ordre : manipulée-manipulatrice, j'ai pris mes jambes à mon cou ; Mais j'ai mis 30 ans pour m'en apercevoir....
Merci Je veux m'acheter ce livre depuis quelques temps, c'est, je pense un bon achat car ça fait plusieurs fois qu'on me le conseille. J'ai déjà dit à ma mère que ma soeur était insidieuse, pas franche et qu'elle se posait toujours en victime mais ça n'a pas eu l'air de lui éveiller quoique ce soit . Ma mère était mieux quand elle était amoureuse et donc moins dans les pattes de ma soeur, depuis qu'elle n'a plus personne comme "amoureux" elle est sous son influence, un soir elle est sympa au téléphone et un autre elle est froide, c'est je pense de la manipulation pour ma mère aussi.... merci en tout cas de vos réponses, j'ai des amis qui me comprennent aussi mais j'ai besoin d'un regard complètement extèrieur à tout ça. Une petite question Ta mère n'est pas une manipulatrice au moins ? Tu peux dialoguer sainement avec elle ? SUEVALINE
Et bien Entre une mère culpabilisante qui reproduit et une soeur manipulatrice,tu as eu une sacrée idée géniale en prenant tes distances, tes jambes à ton cou comme tu le dis pour te protéger ma belle ! Protège toi à fond et pense à ta petite famille, à ton enfant. En fait, c'est ça le plus important. Elever ton enfant comme toi tu n'a pas été élevée. Ne surtout pas reproduire, casser cette chaîne de reproduction mère-enfant. Pour ma mère (manipulatrice) que je ne vois plus maintenant, j'avais pendant un temps installé un répondeur et je filtrais tous les messages. Pour elle, ce n'était pas marrant car elle ne pouvait pas se lamenter ou (et) me culpabiliser sur le répondeur car toute la famille aurait pu entendre. Alors elle raccrochait. Je filtre toujours et j'lai conscience (presque) tranquille car en cas d'urgence elle peut laisser un message (je suis fille unique). C'est bizarre quand même, elle ne laisse jamais de message... Peut être peux tu faire de même ? Et puis aussi pour ta mère, tu peux toujours lui écrire une lettre très calme et posée lui expliquant les agissements de ta soeur à ton égard et les raisons pour lesquelles tu ne la vois plus. Tu peux aussi au passage l'inviter à arrêter de reproduire avec toi ce que sa mère lui a fait subir. Ce n'est pas une obligation. Voilà, si j'ai pu t'être un tout petit peu utile, j'en serais contente. SUEVALINE
Célébration culturelle autochtone 06/09/2017
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Transformons nos jugements en curiosité
La personne que j’admire le plus au monde et la personne de qui je cherche le plus de conseils est ma mère, mais pour ce blogue, j’ai cherché une autre personne que j’ai toujours admirée. Ma grande sœur Morgan.
Laissez-moi vous raconter notre histoire. Quand j’étais petite, j’avais une gardienne nommée Karen, et elle amenait toujours sa petite fille Morgan pour jouer avec nous. Je ne crois pas être capable de décrire Karen d’une façon qui lui rendra justice. Elle était notre gardienne pour presque 12 ans, et elle restera membre de ma famille pour toujours. Comme enfant, j’étais 99,9% sûr qu’elle avait des pouvoirs magiques, et honnêtement je ne suis toujours pas convaincue qu’elle ne les a pas. Elle a rempli nos journées d’aventures, d’histoires et de sourires. J’ai toujours eu de la difficulté à expliquer aux autres notre relation et comment Karen et Morgan font partie de ma famille. Même si Karen ne nous garde plus, Karen et Morgan font encore partie de la famille.
J’ai choisi Morgan comme mentor parce qu’elle est ma grande sœur, dans tous les sens du mot. Ensemble, nous avons surmonté les obstacles de grandir. Morgan est toujours la première personne que j’appelle quand je pars à l’aventure. Nous avons voyagé partout, du Floride avec notre famille, jusqu’au Sri Lanka toutes seules. Nous avons grandi ensemble et nous avons vécu notre besoin d’aventure ensemble. Des aventures comme Paris, le Mexique et Prague n’auraient pas été les mêmes sans Morgan. Elle a toujours été là pour moi et m’a toujours fait sentir importante dans sa vie. Je pense que l’amitié est la partie la plus importante d’être un mentor. Maintenant elle a 22 ans et elle vit à Toronto, on se parle encore beaucoup et je lui rends souvent visite. Voici quelques questions que je lui ai posées. La première question était
Quel est le meilleur conseil que vous avez reçu – qui vous l’a donné et comment cela vous a-t-il aidé?
Elle a dit que le meilleur conseil qu’elle a reçu est de cesser de douter d’elle-même et de se lancer à 100% dans tout ce qu’elle fait. Le conseil est venu de Rosanna Saracino, sa première professeure de théâtre. Elle dit que grâce à cette mentalité, elle a reçu une promotion à tous les emplois qu’elle a travaillés depuis! Personnellement, j’ai beaucoup aimé ce conseil et j’aimerais aussi l’incorporer dans ma vie.
Qui est quelqu’un que vous admirez – que ce soit dans votre vie personnelle ou professionnelle?
Elle a dit qu’elle admire son amie Amy. Elle a dit qu’Amy est la personne la plus dévouée qu’elle a jamais rencontrée. Amy sait exactement ce qu’elle veut et elle fait tout pour l’acquérir. Elle boit du jus vert tous les matins, s’étire toute la journée, s’échauffe vocalement, elle est drôle et charmante. Elle ne supporte pas les niaiseries de qui que ce soit. Je trouve que c’est intéressant que Morgan est inspirée par et admire les gens de son âge. Je pense que cela en dit long à propos des gens avec qui elle s’entoure. J’espère m’entourer de personnes aussi inspirantes!
Quel est le plus gros risque que vous avez pris et comment cela s’est-il passé?
Elle a dit que déménager à Toronto à l’âge de 18 ans pour aller à l’école de théâtre est, en même temps, le plus grand risque qu’elle a jamais pris et la meilleure décision qu’elle a jamais prise! Elle a dit: «Je suis devenue adulte dans un endroit surabondant de gens les plus divers et créatifs que j’ai jamais rencontrés! Cela m’a aidé à devenir ma propre personne et a formé beaucoup de mes opinions et perspectives sur le monde. » Nous avons parlé souvent du risque qu’elle a pris en déménageant, elle m’a toujours dit que c’était une expérience formidable et elle m’encourage à me lancer dans mes propres aventures après le secondaire.
J’ai toujours admiré la résilience, les perspectives positives et la poursuite de l’aventure de Morgan. Ce n’est pas toujours été facile, mais elle a toujours travaillé fort pour suivre ses rêves. Pour toutes ces raisons, je l’ai choisie pour être mon mentor.
Pour finir, je lui ai demandé quel conseil elle me donnerait. Elle a dit « Ne laissez jamais quelqu’un te donner moins que ce que tu mérites! Tu es exceptionnelle, intelligente, drôle, belle et magnifique! Tu mérites le monde entier! Et le monde mérite quelqu’un comme toi pour faire des choses miraculeuses! »
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Elle a l’air si plaisante cette Morgan, et quel conseil à la fin, 100% en accord!
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Une sœur de cœur, c’est un mélange entre une sœur et une meilleure amie. C’est en fait une personne unique que l’on considère comme sa sœur sans avoir de lien biologique avec elle. On le sait, les liens du sang ne font pas tout et parfois on se sent plus proche de quelqu’un qui n’est pas de notre famille que de notre propre sœur. D’ailleurs, ne dit-on pas qu’on ne choisit pas sa famille mais qu’on choisit ses amis ? Alors qu’en est-il ? A quoi reconnait-on une sœur de cœur ? Pour savoir si votre amie et vous êtes des sœurs de cœur, voici pour vous tous les signes qui ne trompent pas ! Combien en cochez-vous ?
De nombreux points communs peuvent être trouvés entre l’amitié et la fraternité ou la sororité . Quand on partage un véritable lien avec sa sœur, c’est une forme d’amitié qui se crée, au même titre qu’une amie peut remplir le rôle d’une sœur. Alors quels sont les piliers de ce lien qui peut être à la fois fraternel ou sororal et amical ?
Qui dit avoir une sœur, dit disputes plus ou moins souvent… Avec une amie proche, il y aura également des désaccords , des problèmes et donc des moments de tensions. Un lien aussi fort n’est pas à l’abri des déceptions ou de blessures . Mais l’important, c’est la remise en question qui suit avec les excuses et le pardon . Car, lorsque l’amitié est si forte, une chose est importante : l’ humilité . Quand nous aimons une amie comme une sœur, nous sommes prêts à écouter et accepter ses excuses , comme reconnaître nos propres fautes.
Au fil des années, la création de sentiments forts vient avec celle de souvenirs qui créent une histoire commune. Ce que nous vivons avec nos amis crée des liens et forge un passé partagé . Ces tranches de vie en commun rassemblent, comme deux sœurs qui sont là l’une pour l’autre. Au final, nous partageons les mêmes références et les mêmes repères , comme les membres d’une même famille.
Une meilleure amie est une personne avec laquelle on partage des principes et des valeurs . Ceux-ci se rapprochent fortement du lien entre deux sœurs au fil du temps qui passe. Ce partage de valeurs morales, ce principe de solidarité , cette complicité forte sont à l’origine d’un lien du cœur qui ressemble de plus en plus aux liens du sang .
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