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Vie locale , Ariège




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Des formes rondes et noires dans des carrés de bois brut. Ainsi se présente immédiatement au regard l'exposition de photographies de Marc Mesplié à voir à l'inspection d'académie à Foix actuellement et jusqu'au 4 mai.
Une expo-photos venue d'ailleurs par son étrangeté et qui pourtant puise ses sources dans les racines mêmes du terroir: racines ariégeoises du photographe de Bélesta, racines des arbres travaillés par des tourneurs sur bois, racines de l'objet ancestral retrouvé, retravaillé, imaginé à la lumière de nos désirs contemporains.
Car pour mettre en image le travail des artisans du bois du monde entier qu'il a rencontrés, le photographe a choisi de s'éclipser devant l'objet. Et, lumineusement c'est cet objet qui surgit du cadre, chaud, rond, ocre, d'une tessiture sensuelle qui donne irrésistiblement au spectateur l'envie de le toucher, de le caresser, comme on pourrait le faire d'un corps désiré.
Marc Mesplié jalonne son parcours artistique de choix de sujets intimes (le bois, les orchidées visibles actuellement à Aygues-Vives, les nus qui s'affichent à la galerie du philosophe du Carla-Bayle) pour en faire surgir l'essence de l'âme de l'objet regardé (convoité?).
Dans son parcours atypique (sur lequel nous reviendrons dans une prochaine édition), cette exposition sur le bois fait passer le souffle ténu qui oscille entre l'ombre et la lumière, la couleur chaleureuse des sculptures et le sépia grisé des visages des tourneurs sur bois, saisis dans leurs ateliers, comme figés derrière leurs productions, devenant eux-mêmes de nouvelles sculptures capturées par un objectif avide de saisir ce qu'il y a derrière l'immédiatement visible.
Aux couleurs de matière, la lumière du studio, en définitive, ajoute la distance de l'émotion.
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Julien Guirado des « Anges 6 » a récemment dévoilé son corps de rêve sur Instagram, annonçant qui plus est un « gros week-end en perspective » avec Vanessa Lawrens
Julien Guirado et Vanessa Lawrens n’ont cessé de se montrer inséparables depuis leur magnifique rencontre dans Les Anges 6 . Plus amoureux que jamais l’un de l’autre, les deux tourtereaux ont su jouir d’une relation amoureuse plus que parfaite, malgré leur notoriété explosive. D’ailleurs, Julien et Vanessa ont dernièrement concrétisé leur idylle en emménageant ensemble dans une sublime maison dans le Sud de la France. Fidèles à leur immense communauté de fans, les deux jeunes mannequins ont su partager leur quotidien avec leurs admirateurs sur les réseaux sociaux. Ainsi, Julien a récemment posté le résultat d’un shooting photo, dévoilant son corps de rêve et annonçant un gros week-end en perspective avec sa dulcinée.
En effet, partageant tous les deux de nombreux shooting photo mais aussi des booking en boîte de nuit, Vanessa et Julien paraîtraient littéralement overbookés. Qui plus est, depuis leur apparition plus que remarquée dans Les Anges 6 , les deux tourtereaux ont pu profiter d’une notoriété des plus croissantes grâce au programme phare de la chaîne NRJ12 .
Julien Guirado et Vanessa Lawrens ont su conquérir le cœur de nombreux téléspectateurs et internautes. Largement soutenus par leur grande communauté de fans , les deux tourtereaux n’ont d’ailleurs jamais cessé de se montrer plus que fidèles. Ainsi, Julien a récemment posté sur Instagram le résultat d’un shooting photo très glamour en dévoilant son corps de rêve.
Le jeune mannequin en a d’ailleurs profité pour annoncer un gros week-end en perspective avec sa chérie Vanessa sur Instagram. En effet, les deux tourtereaux devront assurer, entre autres, un booking en boîte de nuit, accompagnés de Samir Benzema, l’ex petit-ami de la jeune femme mais aussi de Nelly, ancien souffre douleur des Anges 6 .

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Par recueilli par camille boulongne Publié le 30/09/2010 à 0h00 Mis à jour le 30/09/2010 à 12h22
Rencontre avec la comédienne colombienne Martina García membre du jury long-métrage.
Incendies en Gironde : la stratégie de pare-feu le long de l'autoroute A63
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Entre la Gironde et les Landes création d'un pare-feu de 300 m de large et de 5 km de long

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Al'affiche hier du Festival Biarritz-Amérique latine avec « Rabia » de Sebastian Cordero dans le cadre de l'hommage au Festival international de cinéma de Cartagena, la comédienne colombienne Martina García, 27 ans, est l'un des cinq membres du jury long-métrage présidé par Patrick Chesnais. Un nouveau rôle qu'elle endosse avec grand plaisir.
Je connaissais le festival où plusieurs de mes films sont déjà passés mais c'est la première fois que je viens à Biarritz. J'adore, c'est une ville magnifique.
Et c'est la première fois que vous êtes jurée…
Oui et c'est super ! Quand on vient à un festival en tant qu'actrice, c'est toujours pour assurer la promotion d'un film alors on n'a jamais le temps d'en voir d'autres. Là j'ai déjà vu deux films, j'en vois encore deux aujourd'hui et j'ai rencontré des personnes super-intéressantes comme Egdar Ramirez. C'est vraiment un privilège de venir à Biarritz en tant que juré. Patrick Chesnais est un formidable président de jury. Il est passionné mais prend les choses toujours calmement. C'est très amical, il n'y a pas trop de pression. Cela me ravit car je n'aime pas juger dans la vie.
Votre filmographie est très éclectique…
Je préfère les rôles dramatiques mais la comédie me plaît aussi. Après un rôle très intense comme dans « Rabia », c'était très bien d'enchaîner avec une comédie. J'aime faire des choses différentes. J'adorerais tourner avec Almodóvar, Christophe Honoré, Olivier Assayas ou Lars Von Trier, avec un rôle comme Charlotte Gainsbourg dans « Antichrist ». J'aime les rôles très intenses, qui ne laissent pas indifférents les spectateurs.
Quel rôle vous fait le plus rêver ?
J'adorerais tourner dans un remarke de « Ms.45 » d'Abel Ferrara. C'est un film très très violent sur la vengeance d'une jeune femme muette qui s'est fait violer deux fois dans la même journée. C'est un rôle qui m'a toujours inspirée.
Pas assez souvent ! Une à deux fois par an. J'y retourne dans 15 jours pour assurer la promotion de « Rabia » que j'ai tourné en 2008 au Pays basque espagnol. Il n'était pas encore sorti de l'autre côte de l'Atlantique. Il sera également à l'affiche en Équateur et au Mexique où un autre de mes films, la comédie d'Alejandro Springall « No eres tu, soy yo » connaît un énorme succès en ce moment. Près de 3 millions de spectateurs l'ont déjà vu. Il est entré dans le top 10 du box-office de l'histoire du pays.
Et dans votre pays, le cinéma est-il très développé ?
Cela commence à bouger un petit peu. Il y a de plus en plus de jeunes réalisateurs qui se lancent. On les voit dans tous les festivals, à Cannes, Toronto… Tous les genres sont représentés mais les films colombiens ont presque toujours un intérêt social. Les salles se concentrent surtout dans la capitale. Il n'y a pas encore beaucoup de cinéma en dehors. C'est dommage mais cela va venir. Il y a beaucoup de films américains projetés mais le cinéma français a aussi beaucoup de spectateurs en Colombie.
Vous semblez très bien connaître notre pays et son cinéma...
Je viens souvent en France, surtout à Paris. Isabelle Adjani est l'une de mes actrices préférées, je l'adore dans « L'Histoire d'Adèle H » ou dans « Le Locataire » de Roman Polanski, l'un de mes réalisateurs français préférés avec François Ozon, Christophe Honoré, Godart ou Xavier Beauvois que j'ai rencontré à Cannes. Elle est née le 27 juin comme moi ! J'ai discuté avec elle à Berlin en début d'année. Elle m'a dit qu'elle irait voir « Rabia ». J'aime aussi beaucoup Catherine Deneuve, notamment dans « Répulsion » ou « Belle de jour ». Je l'ai croisée récemment lors du défilé Jean-Paul Gaultier lors de la Fashion week à Paris. Côté acteur, j'aime beaucoup Vincent Cassel surtout dans « La Haine » ou « Irréversible ».
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Événement Les Lumières de Sens ne laissent pas indifférent



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Résolument enthousiastes ou franchement dubitatifs, les spectateurs de la toute nouvelle mouture du son et lumière de l’été, lancé ce week-end, ont livré des avis très tranchés.


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La porte des halles, des sirènes, le mariage de Saint-Louis, quelques diablotins, les grandes orgues de la cathédrale, la tapisserie du trésor, un griffon, les cerfs de la mosaïque gallo-romaine des musées, la maison d'Abraham, et même un tramway des années 1900. La scénographie des Lumières de Sens est émaillée de détails évoquant la ville, son patrimoine, son histoire, livrés sans explications. Au spectateur de chercher les références au fil des tableaux.
« C'est un spectacle très élaboré, sourit, satisfait, Bernard Brousse, président de l'office de tourisme. Un dessin animé. Il ne laisse pas indifférent, on aime ou on n'aime pas. »
Les impressions des tout premiers spectateurs, vendredi, allaient en ce sens. À la faveur de la douceur du soir et d'un ciel clair, beaucoup se sont attardés. Cindy-Lou, 5 ans, sautille au milieu de la place. La fillette en est persuadée, la cathédrale s'est transformée sous ses yeux « en château de la reine des neiges ». Ses parents se sont laissés porter par « la féerie des couleurs » et pensent revenir avec les grands-parents de l'enfant. « Je trouve le spectacle beaucoup plus moderne qu'avant, expose Myriam El Badr, la petite soixantaine. Il n'y a pas de temps mort, pas de paroles inutiles. J'ai beaucoup aimé. » Tiphaine, 32 ans, n'est pas moins enthousiaste. « C'était magnifique ! L'année dernière, il y avait beaucoup plus de narration, cette année, ils ont tout misé sur les effets de lumières et de couleurs, j'ai adoré. »
L'avis de la Lorraine Tatiana est plus mitigé. La jeune femme découvre les Lumières sans avoir vu celles des années précédentes. « C'est joli à voir, mais je ne sais pas vraiment de quoi ça parle. Et je n'ai pas compris les sirènes, on est un peu loin de l'océan. J'avoue être un peu déçue. » Martin et Lily sont restés sur leur faim et gardent leur préférence à la mouture de l'an passé. « C'était très bien, souligne le jeune frère de Lily, mais il n'y a pas d'histoire. » Claude, leur père, déplore « le manque de pédagogie » de l'ensemble. « Je n'ai pas tout saisi au niveau du bestiaire. J'ai le sentiment que la cathédrale est utilisée comme un écran plutôt qu'un support historique. » Sens lumières premier soir 2017
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Édouard, déçu, ne reviendra pas. « On a perdu la poésie, regrette le quadragénaire. Je n'ai pas ressenti d'émotion. C'est juste une grosse explosion de couleurs et de musique. » La remarque agace Diane Henri, 49 ans. « C'est juste
Elle attend son père pour écarter ses jambes et se laisser pénetrer
Nièce cochonne et son oncle
La nounou s’occupe aussi de papa