Une seule queue pour deux bouches affamées

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La Haye. - "À Tokyo, la France s'exprimait d'une seule voix par deux bouches; à La Haye, elle s'exprimera toujours d'une seule voix, mais par trois bouches." On pouvait, à la veille du conseil européen, entendre la boutade aussi bien à l'Élysée qu'à Matignon ou qu'au quai d'Orsay. Preuve s'il en est que MM. Mitterrand et Chirac n'ont aucune envie de rompre des lances dans la capitale néerlandaise, d'autant plus qu'aucune question cruciale, susceptible de révéler des divergences entre les deux hommes, n'est à l'ordre du jour de la réunion.
Ce bel unanimisme de circonstance n'empêche pas, bien sûr, les arrière-pensées. Il n'a pas empêché, non plus, les frictions plus ou moins protocolaires tout au long de la préparation du conseil européen. Comment sera dosée la représentation française ? Qui parlera en son nom ? Par qui sera donnée la traditionnelle conférence de presse qui clôturera les travaux, vendredi ?
Personne n'ayant, pour l'heure, intérêt à envenimer d'aussi dérisoires querelles, elles se sont apaisées quelques jours avant le départ pour La Haye. L'Élysée a finalement concédé quatre sièges à Matignon: M. Chirac, bien sûr, mais aussi son conseiller diplomatique, M. Bujon de l'Estang, l'adjoint de ce dernier, chargé des affaires européennes, M. Yves de Silguy, et M. Denis Baudouin, le porte-parole du premier ministre, qui n'avait pas fait le voyage de Tokyo.
Les tractations concernant la présence de M. Baudouin ont duré une semaine, puis l'Élysée a cédé, à condition que Matignon reconnaisse Mme Gendreau-Massaloux porte-parole de la présidence, comme porte-parole de la délégation. Ce qui fut fait. De même reconnaît-on aujourd'hui sans aucune difficulté, dans l'entourage du premier ministre, que le chef de la délégation française n'est autre que M. Mitterrand. Manière comme une autre de faire oublier les propos un peu abrupts tenus la semaine dernière, lors d'une réunion de presse par M. Bujon de l'Estang selon lequel, parce qu'elles ont d'indiscutables conséquences intérieures, les décisions européennes relèveraient avant tout du premier ministre...
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Bonjour ! Ce blog est consacré aux aventures de mon cheval mérens Quexy du Château, né en 2004, et dressé à l'équitation classique à ses 3 ans. J'en suis devenue propriétaire en Mars 2009, et mon souhait serait d'établir une véritable relation de compagnonnage avec lui, de l'éduquer à l'équitation éthologique en suivant la méthode du Haras de la Cense. Je vous invite à suivre notre évolution au fil des articles, tout conseil ou critique constructive seront les bienvenus... Soyez indulgents, car comme lui, j'ai tout à apprendre ! Bonne visite, à bientôt !



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# Posté le jeudi 02 juillet 2009 01:08

Archivé de: H pour H – Numéro 27
Date de parution originale: inconnue

Date de publication/archivage: 2015-02-14

Auteur: Marc
Titre: Deux queues dégorgent dans ma bouche
Rubrique: Fantasmes et touche pipi
Note: Le magazine Hommes pour Hommes ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 6534 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


J e lis régulièrement vos récits torrides — fantasmes ou réalités, rêvés ou vécus, cela importe peu, l’essentiel étant qu’ils soient sincères ! Pour ma part, pour diverses raisons, j’ai particulièrement été très intéressé par la lettre de Tony, soixante-quatre ans, parue dans le dernier numéro. Tout d’abord, il est rassurant de savoir que l’âge n’est pas un obstacle à des activités et plaisirs plus aisément accessibles aux jeunes hommes qui, d’ordinaire, relatent leurs aventures dans votre revue. Ensuite, bien qu’étant un peu plus jeune que votre correspondant, je suis moi-même d’âge mûr (quarante-trois ans), et j'envie cet homme de pouvoir ainsi satisfaire aussi facilement, et surtout aussi fréquemment, sa passion pour la pratique de la fellation ! N’étant pas homosexuel “régulier” et reconnu, mon activité professionnelle très prenante et mon entourage familial, amical et professionnel ne me permettent pas d’assouvir aussi souvent que je le voudrais mes désirs lascifs. S’il est vrai que j’aimerais connaître davantage de rapports avec les hommes, je ne me plains pas trop, malgré tout ! J’ai quand même réussi à satisfaire pas mal de mes fantasmes. Et pourtant, je ne me suis décidé à franchir le pas, du rêve homo à la réalité des actes, il y a sept ans à peine.

Mon meilleur souvenir fut ce jour d’été, il y a quelques années, qui me permit de réaliser un vieux fantasme, à savoir sucer deux hommes en même temps. Je l’ai réitéré depuis, allant même jusqu’au nombre de quatre, mais cette première expérience reste encore particulièrement gravée dans ma mémoire... Il fait très chaud cet après-midi en forêt de Fontainebleau. Je gare ma voiture à côté d’une petite Fiat blanche, devant une barrière en bois interdisant aux véhicules à moteur d’emprunter le chemin de terre qui pénètre dans les bois. Je viens souvent dans ce coin situé de part et d’autre de la route nationale, plus particulièrement fréquenté par des homos, de jour comme de nuit. Légèrement vêtu d’un petit short et d’une chemisette, j’arpente le sentier avec espoir de faire une intéressante rencontre. Derrière un fourré, j’aperçois deux hommes jeunes, de la trentaine, tous deux pareillement habillés, en short et polo. Ils sont grands, bronzés, sûrement sportifs et bien bâtis. Étant fort éloigné de leur style, je ne pense pas les intéresser et m’apprête à les laisser tranquilles. Je m’éloigne donc au moment où l’un d’eux s'agenouille aux pieds de son ami et prend dans sa bouche sa belle bite bandée. Bien que voyeur d’habitude, je regagne ma voiture, décidé à tenter ma chance ailleurs. Il faut dire que je préfère les hommes de mon âge, ou bien plus mûrs et de mon style. Mais je n’ai pas eu le temps de mettre le contact que les deux hommes arrivent près de la barrière et contournent lentement ma voiture. Je sens avec un certain plaisir leurs regards qui s’attardent sur moi.

Puis ils se dirigent vers les broussailles, à quelques mètres de la route. Je suis certain que les automobilistes peuvent clairement les voir ! De nouveau, le même homme s’agenouille et recommence à pomper son copain. De ma voiture, je les regarde, et ils me regardent aussi tous les deux. L’invitation à me joindre à eux est évidente et je ne peux plus y résister ! Je sors et me dirige vers eux. Celui qui se fait sucer me demande : “Tu veux participer ?” Je leur fais alors remarquer qu'on peut nous voir de la route et leur suggère de s’enfoncer un peu plus dans les fourrés. Là, je leur dis que je préfère sucer que de l’être. Aucun problème pour eux, ils ôtent leurs shorts. C’est terrible, ils ont tous les deux des sexes de très belle taille ! Je m’agenouille tandis qu'un des types me dit : “T'as de la chance : deux belles queues pour toi tout seul !” Il ne croit pas si bien dire. Je frémis de plaisir en prenant le gland de celui de droite entre mes lèvres. Il est rose, ferme et brûlant, j'en suce doucement le bout et je le sens durcir et grossir. Je me décide alors à le prendre complètement dans ma bouche. Ce faisant, ma main droite caresse les gros testicules velus pendant que l’autre branle sa propre tige, maintenant au mieux de sa forme. Il est temps de changer, et j’avale goulûment le second dard. Il est plus épais et aussi dur que du bois.

Le premier frotte sa queue sur ma joue tout en s’astiquant à son tour. Je passe vraiment un moment super ! Tandis que, le nez enfoui au milieu de leurs poils, je lèche les unes après les autres leurs quatre couilles, ils se branlent mutuellement en frottant leur bite dans ma chevelure. C’est en changeant de position que je découvre que, finalement, nous ne sommes pas si loin de la route, ni très à couvert. Je vois très nettement les voitures et je ne doute pas que leurs passagers puissent nous voir ! Mais ça me plaît plutôt !

Mes deux partenaires se rapprochent l'un contre l’autre, presque face à face, et rejoignent leurs gros glands. J’ouvre le plus grand possible ma bouche pour les prendre et les sucer ensemble. C’est génial, je suis en train de réaliser un rêve ! Une main dans chaque entre-cuisses, je caresse doucement les lourds testicules et titille les anus en glissant même un doigt dans chacun. Ces orifices semblent larges tous les deux, et c’est sans grande difficulté que j’ajoute un second doigt ! J’absorbe au maximum, vers le fond de ma gorge, les deux verges réunies. Les types m’aident en attirant avec force ma tête vers eux. Mes mâchoires s’écartent et mes lèvres se tendent comme jamais je n’aurais cru possible de le supporter.

Puis je reprends mon va-et-vient régulier entre les deux phallus. Le mec de droite est sur le point de jouir. Je garde son gland dans la bouche, il émet des gémissements et des râles de plaisir, sa bite se raidit davantage entre mes doigts et soudain je sens son sperme extraordinairement abondant, chaud et gluant, m’emplir d’un seul coup et presque complètement, la cavité buccale. Le foutre est dense, avec un goût fort, légèrement salé. Je le laisse décharger jusqu’au bout, sans avaler. C’est délicieux de le sentir s’accumuler, baigner ma langue et mes dents. Enfin, je déglutis et je sens avec délectation le liquide qui descend en moi. Je ne veux pas en perdre une goutte et, lorsque l’homme retire sa queue, je lui lèche le bout du gland, afin d’y recueillir trois dernières petites perles qui en sortent lorsque je presse la colonne. J’adore jouer la salope vide-couilles !

Les lèvres et le palais encore humides de ce foutre, je reprends immédiatement ma pipe sur l’autre sexe. Le premier homme continue à frotter son gland encore mouillé sur ma joue et mon front. Le second ne tarde pas à jouir à son tour, mais préfère décharger sa crème sur mon visage plutôt que dans ma bouche. L’autre lui dit alors : “Décharge-lui donc tout dans la gueule. Il avale bien, ce mec ! Tu gâches la marchandise !” Je me souviendrai longtemps de cette phrase ! Trois jets successifs et puissants s’écrasent sur mon nez, mon front et mes joues. La queue, maintenant débandée, du premier homme récolte le foutre épais et le pousse vers mes lèvres. Je tiens la bite de l’autre, qui n’a pas fini de dégorger, comme si c’était un tuyau d’arrosage et la positionne au-dessus de ma bouche. Je recueille ainsi sur ma langue tendue le liquide blanchâtre qui soit à présent par gros paquets. Je l’avale avec celui que l’autre homme fait glisser à l’intérieur de ma bouche, un vrai délice ! Enfin, je finis par nettoyer complètement les deux verges ramollies, satisfait de n’avoir pas perdu une seule larme du précieux nectar.

Les types remettent leurs shorts et nous rejoignons nos véhicules. Je ne m’essuie pas le visage afin de laisser sécher le sperme sur ma peau. Ils me proposent de venir boire un verre avec eux, mais nous sommes trop loin de Fontainebleau. Je préfère rentrer et, surtout, garder encore le goût de leur semence dans ma bouche. Je regarde l’heure et m’aperçois que je suis resté plus d'une heure à les pomper. Je n'ai pas vu passer le temps !

Voilà, j’espère que ma petite aventure plaira et, qui sait, me permettra d’en avoir beaucoup d’autres de ce genre ou — qui sait ? — mieux encore !...


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Si certaines femmes ont toujours du mal à atteindre l’orgasme pendant l’acte, d’autres arrivent à en avoir plusieurs durant le même rapport sexuel. C’est ce qu’on appelle la multiorgasmie.
En effet, certaines femmes peuvent avoir trois, quatre, voire cinq orgasmes rapprochés par rapport. Et à notre grande surprise, ce phénomène est beaucoup plus courant qu’on ne l’imagine. 62 % des françaises affirment l’avoir déjà expérimenté.
Contrairement aux hommes qui ont besoin de quelques minutes à quelques heures pour avoir une nouvelle érection, les femmes n’ont pas de période réfractaire . Chez elle, le plaisir ne se dissipe pas immédiatement, ce qui rend la survenue d’un nouvel orgasme facile.
Mais le fait qu’elles soient biologiquement capables d’atteindre plusieurs orgasmes suivis, ne veut pas forcément dire qu’elles peuvent y arriver facilement.
La première chose que les hommes doivent faire c’est de s’assurer que c’est ce que leur partenaire veut vraiment. Car si certaines femmes cherchent à enchainer les secousses de plaisir, d’autres préfèrent se blottir contre leur chéri après l’orgasme.
Il est aussi important de garder en tête que chaque femme est différente de l’autre et qu’il n’y a pas de méthode spéciale ou de règles générales pour atteindre plusieurs orgasmes. Toutefois, certains conseils peuvent toujours aider.
Faire augmenter le désir est essentiel avant tout rapport sexuel. Mais faire monter la tension sexuelle au maximum est la clé pour la mener à un deuxième orgasme. Cela aura le même effet que quand on a extrêmement faim. On s’attaque donc au premier repas et passons au deuxième, puis au troisième.
Ainsi, pour la faire jouir plusieurs fois, il faut s’y prendre à l’avance. Envoyez-lui un message coquin le matin, caressez sa jambe pendant le diner, tenez sa main au moment de sortir et embrassez-la devant tout le monde. De cette façon, quand vous vous mettrez au lit, elle sera affamée et sera certainement capable d’avoir de multiples orgasmes.
D’après Annie Harwick, l’auteur du livre The New Sex Bible For Women, vous devez vous assurer qu’elle garde cette sensation d’excitation après que son corps commence à se relaxer suite au premier orgasme.
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Le but est de la maintenir dans un état de semi-excitation, pour que vous ne soyez pas obligé de reprendre dès le début afin qu’elle puisse atteindre un autre orgasme .
Selon Ian Kerner, un psychothérapeute et conseiller en santé sexuelle, les organes génitaux de la femme se gorgent de sang après un orgasme. Chose qui facilite la survenue d’un deuxième.
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