Une scène pour les demoiselles
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Une scène pour les demoiselles
Sur scène les deux demoiselles simplement divines et très ressemblantes sont à ex-aequo niveau style
Sur scène les deux demoiselles simplement divines et très ressemblantes sont à ex-aequo niveau style.
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Les Demoiselles, Théâtre La Boussole
Théâtres
Spectacle musical
Spectacles musicaux
11-36,5 €
-51%
RÉSERVATION
Pour le confort et la santé de tous, merci de respecter les consignes sanitaires mises en œuvre par les lieux culturels : présentation d'un "pass sanitaire", port du masque, usage de gel hydroalcoolique et distanciation physique.
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2e catégorie 15,5 €
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2e catégorie : Tarif -26 ans (sur justificatif) 11 €
1re catégorie : Tarif -26 ans (sur justificatif) 11 €
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Théâtre La Boussole
Adresse : 29 rue de Dunkerque 75010 Paris 10e Métro : Gare du Nord (4/5)
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Chaque mercredi en kiosque. 1,80 €.
D' Hélène Buannic , Louise Salle , mise en scène Julien Husser , composé par Grégory Garell . Avec Hélène Buannic , Madison Golaz , Eva Gentili , Candice Chevillard , Marion Cador , Stan Cramer .
Genres :
Spectacle musical, Société
Lieu : Théâtre La Boussole , Paris 10e
Date de début : 5 juillet 2022 Date de fin : 11 septembre 2022
Paris 1952. Dans une ville qui renaît de ses cendres, les destins et les secrets de cinq femmes vont se croiser au bureau de poste de la rue Drouot. Trois jeunes demoiselles drôles et ambitieuses s’entraident face à leur chef de service pète-sec et à la cruelle femme du patron. Ensemble, elles vont connaître les premiers frémissements de l’émancipation féminine. Cet été, répondez à l’appel des demoiselles !
Danseuse de formation, Hélène Buannic fait ses premiers pas dans une comédie musicale en 2002, Les Dix Commandements (de Kamel Ouali et Elie Chouraqui) avant de se produire dans Fame, Dracula, Salut les copains, Le Bal des vampires ... Elle écrit en 2015 sa première pièce, Le premier de nous deux qui rira , suivie des Demoiselles quatre ans plus tard et endosse l'un des rôles principaux.
L'événement Les Demoiselles est référencé dans notre rubrique Spectacles musicaux .
Avis publié par Nanou
le 14 août 2022
De belles voix sur une histoire originale. Ce spectacle est une réussite.
Avis publié par Lauriane
le 2 août 2022
Un chouette moment en compagnie des Demoiselles ! Une pièce moderne, rigolote, avec des personnages attachants, on ne s’ennuie pas ☺️ Foncez !
Avis publié par Claudia
le 1er août 2022
Superbe spectacle, engagé, rafraichissant et plein d’humour. Comédiennes sympathiques, attachantes et performantes. A voir.
Avis publié par Michel
le 28 juillet 2022
Dieu qu'elles sont drôles, vives et pétillantes ces "demoiselles" du téléphone" à l'abattage évident, parfaites chanteuses aussi ! Mais à mesure qu'avance l'"action", on en découvre de "bien belles" et d'autres moins encore. On s'étonne alors d'être ému puis touché par ce quarteron - elles sont cinq ... - de filles épatantes qui font face montrant que, pour les femmes des années cinquante aussi, rien n'est écrit nulle part ! Une saine énergie féministe sans prêchi-prêcha ni simplisme qui "dit bien des choses" et n'ennuie pas un instant... le tout en chantant !
Avis publié par Luc
le 25 juillet 2022
Julien Husser : au théâtre, Julien Husser est à l'affiche de Grease (Théâtre du Casino) en 2023, Sur les genoux de papa (Théâtre de Ménilmontant) en 2017 ou encore Tous les m'aîmes ! (Théâtre du Marais) en 2016.
Eva Gentili : au théâtre, Eva Gentili est à l'affiche de Souris dit le chat (Théâtre L'Essaïon) en 2021, Demain commence ici (Théâtre Déjazet) en 2020 ou encore La Boule rouge (Théâtre des Variétés) en 2019.
Grégory Garell : au théâtre, Grégory Garell est à l'affiche de Bienvenue à Harmonie (Apollo Théâtre) en 2019, Sauna, le musical (Théâtre Clavel) en 2011 ou encore Sauna, le musical chaud ! (Théâtre Clavel) en 2011.
Marion Cador : au théâtre, Marion Cador est à l'affiche de Rimbaud Verlaine (Théâtre du Gymnase) en 2019 ou encore Jack, l'éventreur de Whitechapel (Théâtre Trévise) en 2018.
Stan Cramer : au théâtre, Stan Cramer est à l'affiche de Prisca Demarez : Coquelicot (Théâtre de la Contrescarpe) en 2022.
Avis publié par Nanou
le 14 août 2022
De belles voix sur une histoire originale. Ce spectacle est une réussite.
Avis publié par Lauriane
le 2 août 2022
Un chouette moment en compagnie des Demoiselles ! Une pièce moderne, rigolote, avec des personnages attachants, on ne s’ennuie pas ☺️ Foncez !
Avis publié par Claudia
le 1er août 2022
Superbe spectacle, engagé, rafraichissant et plein d’humour. Comédiennes sympathiques, attachantes et performantes. A voir.
Avis publié par Michel
le 28 juillet 2022
Dieu qu'elles sont drôles, vives et pétillantes ces "demoiselles" du téléphone" à l'abattage évident, parfaites chanteuses aussi ! Mais à mesure qu'avance l'"action", on en découvre de "bien belles" et d'autres moins encore. On s'étonne alors d'être ému puis touché par ce quarteron - elles sont cinq ... - de filles épatantes qui font face montrant que, pour les femmes des années cinquante aussi, rien n'est écrit nulle part ! Une saine énergie féministe sans prêchi-prêcha ni simplisme qui "dit bien des choses" et n'ennuie pas un instant... le tout en chantant !
Avis publié par Luc
le 25 juillet 2022
Avis publié par Bruno
le 16 juillet 2022
Spectacle agréable et dynamique.
A voir en famille.
Quelques longueurs pour certaines scènes, mais rien d'ennuyeux.
Avis publié par Lauriane
le 10 juillet 2022
Super spectacle, les actrices sont excellentes. Je recommande vivement !
Avis publié par Enzo
le 6 juillet 2022
Très bonne pièce musicale française, j'ai passé un excellent moment.
Les comédiennes vous embarquent aussi bien par leur jeu que leur chant, la qualité des musiques et paroles aidant.
A voir absolument.
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Cécile Martet ,
9 juillet 2017
5 min read
92224
Picasso, Les Demoiselles d'Avignon, 1907 (exposé au MoMA de New York)
Hildegarde Handsaeme, Women with yellow nail
Cécile Martet ,
11 mai 2017
3 min read
Raphaëlle Casanova ,
5 avril 2022
7 min read
Cécile Martet ,
24 avril 2019
6 min read
Clémentine Picoulet ,
30 décembre 2021
4 min read
Clémentine Picoulet ,
17 août 2017
4 min read
Cécile Martet ,
23 janvier 2021
3 min read
17 mai 2022
11348
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Précurseur du cubisme, Picasso, alors jeune peintre espagnol installé à Montmartre, dévoile en 1907 l’une des œuvres les plus réputées de l’art moderne, aussi bien dans son esthétique bouleversante pour l’époque que le sujet en lui-même : Les Demoiselles d’Avignon . Cinq femmes nues se présentent à nous dans une ambiance follement déstructurée. KAZoART vous décrypte cette toile provocatrice et révolutionnaire !
En 1906, Picasso a l’impression d’avoir fait le tour et d’être allé au bout de ses inspirations. Avec l’envie profonde de se renouveler, il regarde autour de lui et voit bouillir dans son esprit la possibilité de rompre avec tout ce qui s’est fait dans la peinture auparavant.
Inspiré par les arts primitifs d’Espagne et d’Afrique, il va puiser dans ces nouvelles ressources pour mener à bien son travail de recherche picturale. « Le Bain turc » d’Ingres (1862) ou « Le Bonheur de Vivre » de Matisse (1905-06) ou encore la grande rétrospective de Gauguin participent aussi à ce renouvellement artistique.
Neuf mois sont nécessaires pour que naissent ces Demoiselles d’Avignon qui ne reçoivent pas l’accueil espéré par Picasso. Son entourage, stupéfait et même choqué par une telle mise en scène, ne comprend pas l’artiste. Il a quand même osé représenter des femmes nues dont les corps et le décor ne respectent absolument pas les codes académiques en peinture !
Et puis ces visages… Georges Braque lui aurait dit « C’est comme si tu voulais nous donner à boire du pétrole pour cracher du feu » et André Derain d’ajouter « Un jour, nous apprendrons que Picasso s’est pendu derrière sa grande toile » . Même les peintres d’avant-garde fustigent l’artiste ! Jusqu’en 1916, l’œuvre reste dans les ateliers. Les amateurs d’art ne la découvrent que 30 ans après sa réalisation lors d’une exposition au MoMA de New York où elle est conservée depuis.
Absence d’ombres, de perspectives, platitude du decorum, tout est fait pour heurter les spectateurs ! En plus de cela, le tableau est immense. 243,9×233,7cm ! Mais s’il n’y avait que ça… Les formes anguleuses rompent avec les représentations académiques du corps. Sur fond de draperies, ces corps féminins nous font face à l’exception d’un.
Assise en bas à droite du tableau, une femme à la posture impossible nous regarde. Les jambes écartées, elle nous tourne le dos. Son visage, caractérisé par des traits grossiers, nous fixe et paraît presque nous dévisager. De tous les visages, celui-ci est le moins flatteur et finalement celui qui met au premier plan toute la complexité des formes et la désaxation des courbes qui sera le fil rouge de la mouvance cubiste.
Le manque de réalisme se poursuit avec l’ asymétrie des autres visages . Si ceux de droite sont pourtant plus proches de la réalité que les autres, ils attestent également d’une reconfiguration des traits. Les yeux cernés ne sont pas alignés, les visages sont de face et pourtant les nez de profil.
Picasso, qui dessine pourtant extrêmement bien, ne statue pas ici un manque de compétences mais illustre une parfaite maîtrise de son sujet. A travers celui-ci, il fait ressortir l’aspect primitif des corps en omettant volontairement les atours féminins, la courbure des formes et le lissage des traits, qui restent très agressifs.
Dans ce décor sorti de nulle part, un détail nous questionne. Enveloppées dans des étoffes blanches, ces femmes, certainement des prostituées dans une maison close, ne portent aucune attention à cette corbeille de fruits au premier plan.
Posée sur une table verticale, ce qui donne déjà le ton à l’ invraisemblance de la scène , la corbeille ne nous donne pas plus d’indications sur ce qu’il s’est passé ou ce qu’il va se passer. Ce quartier de pastèque, cette grappe de raisins, cette pomme et cette poire n’intéressent donc personne ?
Mais pourquoi Picasso a-t-il peint cette nature morte ? D’après les études préparatoires de l’artiste que l’on peut chiffrer à plus de 800 , tout laisse à penser que ces femmes auraient dû être représentées en train de manger, qui plus est, accompagnées de deux figures masculines, un marin et un étudiant en médecine avec un crâne dans les mains. La version définiti
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