Une scène particulière pour tout le monde

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Une scène particulière pour tout le monde
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
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Ambiance joyeuse et belle tchatche, vendredi 24 juin, pour la finale de la 12e édition du Trophée d’impro Culture & Diversité.
« Pour venir là, il a fallu partir de loin » : les paroles introductives entonnées, vendredi 24 juin, par le groupe de musique Oliv’et ses Noyaux, sur la scène de la Comédie-Française, résument bien la soirée si particulière qui a électrisé la maison de Molière. Pour la première fois, l’improvisation théâtrale a eu les honneurs de la salle Richelieu. « On vit un moment historique », a résumé Mélanie Lemoine, maîtresse de cérémonie de la finale nationale du Trophée d’impro Culture & Diversité . Pour sa douzième édition, ce rendez-vous s’est tenu sous les ors et les pampilles de cette institution théâtrale. « Il aura fallu beaucoup de temps et d’énergie pour faire se rencontrer ces deux mondes » , a reconnu la comédienne.
Sur scène, le cérémonial des matchs d’impro est respecté à la lettre : une patinoire en guise d’aire de jeu ; douze collégiens improvisateurs en herbe vêtus de maillots de hockey et accompagnés de leur coach ; un arbitre (Nour el Yakinn Louiz) en tenue noir et blanc, qui édicte les thèmes de chaque impro, siffle les fautes éventuelles et comptabilise, avec ses deux assistants, les votes du public ; des musiciens qui chauffent la salle et comblent les temps de concertation. Nanka, Slimane, Assetou, Emma, Léo, Yousstoine, Daniel, etc., enchaînent six improvisations de durées imposées, en forme mixte (les équipes peuvent jouer ensemble) ou comparée (les équipes se succèdent) et sur des sujets variés : « Pois chiches, harissa et olives noires », « Un blaireau sur la départementale », « Cachez ce vin que je ne saurais voir » à la manière de Molière, etc. La Comédie-Française n’a jamais vu ni entendu ça.
La salle est joyeuse. Deux mondes et plusieurs générations s’y côtoient. D’un côté, des dizaines de collégiens issus des onze équipes régionales d’impro venues de toute la France avec leurs coachs et professeurs. Pendant la journée, ils ont participé au tournoi pour déterminer les deux équipes finalistes. Habitués des matchs, ils mettent l’ambiance. De l’autre, des invités plus âgés, novices de ce type de spectacle, certains un peu désorientés, mais se prêtant au jeu de brandir le petit carton remis en début de séance pour élire les meilleures prestations. Des officiels sont aux premières loges, parmi lesquels deux ministres de la culture – Jack Lang et Rima Abdul Malak, la toute nouvelle locataire de la Rue de Valois –, la première dame Brigitte Macron et l’entrepreneur milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière, créateur de la Fondation Culture & Diversité pour favoriser l’accès à la culture des jeunes issus de milieux modestes. C’est grâce à sa rencontre, en 2010, avec Jamel Debbouze – qui doit tout à l’impro – que le Trophée est né et s’est développé sous la direction artistique d’Alain Degois , surnommé « Papy » et découvreur de l’humoriste.
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Par Coline Chambolle et Louise Wessbecher
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Devant la caméra de James Mangold, Christian Bale et Matt Damon rejouent une scène qui a marqué l'histoire du circuit des 24h du Mans. Ils en parlent au HuffPost.
CINÉMA - Ces images ont tout d’une scène inventée pour le cinéma. Et pourtant. Pendant près de 40 ans, le départ du circuit des 24h de Mans se faisait d’une manière bien particulière puisque les pilotes traversaient la piste en courant avant de sauter dans leurs voitures . Un départ qui vit aujourd’hui son heure de gloire au cinéma dans le film “Le Mans 66”, comme le raconte notre vidéo en tête de cet article.
Le réalisateur James Mangold, à qui l’on doit “Logan” ou “Wolverine: le combat de l’immortel”, a troqué les super-héros pour de vrais héros. Dans “Le Mans 66”, au cinéma ce mercredi 13 novembre, il raconte le pari dingue que se sont lancés l’ingénieur américain Carroll Shelby (Matt Damon) et le pilote anglais Ken Miles (Christian Bale) en 1966: construire une voiture Ford suffisamment rapide pour battre l’écurie Ferrari, victorieuse aux 24h du Mans depuis six ans.
Évidemment, le long-métrage de 2h45 sent l’essence et le bitume, mais ce n’est pas tout. “Le Mans 66” est un drame d’amitié plutôt captivant pour lequel le réalisateur et ses acteurs se sont plongés dans les archives de cette course mythique du Mans. Avec une scène tout en tension qui nous a particulièrement marquée: celle du départ de la 34e édition de la course, le 18 juin 1966.
“En tant que réalisateur, créer cette scène avec les pilotes qui courent à travers la piste c’est spectaculaire”, raconte James Mangold au HuffPost . Aussi cinématographique soit elle, cette scène n’est pourtant pas sortie de l’imaginaire du réalisateur. Entre 1925 et 1969, le “départ en épi”, aussi surnommé “départ Le Mans”, voyait les pilotes automobiles traverser la piste en courant avant de sauter dans leur voiture et mettre le contact à toute blinde.
“J’avais vu les images de ces gens qui couraient vers les voitures, et je me demandais: mais pourquoi ils font ça?”, se souvient l’acteur Christian Bale, qui a dû se glisser dans la peau de l’un de ces compétiteurs de 1966.
“Souvent, il se passait plusieurs tours avant qu’ils aient seulement mis leur ceinture de sécurité. Ils étaient tellement concentrés sur l’idée de prendre la meilleure position que le seul moment où vous prenez le temps d’attacher votre ceinture, c’est dans la ligne droite des Hunaudières à 370 km/h!”, ajoute Matt Damon hilare.
Un départ impressionnant pour les spectateurs qui avait à l’époque un vrai rôle dans la course. “Le circuit du Mans, c’était une sorte de test sur 24h. L’enjeu ce n’était pas de savoir qui allait gagner mais qui allait réussir à construire une voiture qui pourrait rouler sous la pluie, la nuit, le jour. Une partie du test c’était de savoir si les voitures allaient démarrer”, rappelle James Mangold.
Si la scène est courte dans le film, elle a pourtant demandé beaucoup de travail aux équipes. “C’était un jour de tournage très difficile”, racontent James Mangold et Christian Bale qui ont eu du mal à parvenir à faire démarrer toutes les voitures au millimètre près.
Car au-delà d’être spectaculaire, ce départ en épi était aussi l’un des moments les plus dangereux de la compétition. De graves accidents ont eu lieu, notamment celui du pilote Willy Mairesse en 1968 dû à une portière mal fermée de sa Ford GT 40. Jamais vraiment remis de son accident, le Belge s’est suicidé en septembre 1969.
Après cette année-là, le coup d’envoi de la course a été modifié pour plus de sécurité. Mais le départ dit “Le Mans” a indéniablement marqué l’histoire de la course automobile.
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