Une scène lesbienne inter-génération

Une scène lesbienne inter-génération




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Une scène lesbienne inter-génération

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Film de Woody Allen, Vicky Cristina Barcelona a fait rougir les spectateurs. Et l’ambiance du baiser entre Scarlett Johansson et Penelope Cruz y est pour quelque chose.
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Deux performances incroyables réalisées par Cate Blanchett et Rooney Mara dans le New-York des années 50. Et une longue scène de baiser puis de sexe très torride dans Carol.
Avant d’embrasser Daniel Craig, Léa Seydoux a tenu un rôle salué dans La vie d’Adèle. Un tournage affreux pour elle et sa partenaire mais un rendu impeccable à l’écran.
Et un baiser bien salivant dans ce Sexe Intentions entre l’héroïne de Buffy et Selma Blair. Une scène qui a éclipsé le pauvre Ryan Philippe.
Un baiser furtif mais tellement symbolique entre Thelma et Louise. Une relation ambiguë tout au long du film et ce geste avant le suicide pour une fin mémorable.
Le reste des plus beaux baisers dans la suite.


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(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Malheureusement, je n’ai pas pu joindre l’auteur pour avoir son autorisation de traduction....
Mary enleva les agrafes et le soutien gorge, dévoilant sa poitrine, ses jolis seins fermes et opulents.

Mrs Clark était assise à son bureau et corrigeait les devoirs de ses élèves de terminale, elle n’était pas pressée de rentrer chez elle, son mari était en déplacement et sa fille était en camps de vacance pour le weekend.

Mary était mariée avec Bill depuis 14 ans. Depuis qu’il avait eu sa dernière promotion, il partait souvent en déplacement pour de longues périodes. Il était parti depuis maintenant deux mois et il n’était pas sûr de revenir de suite. Amy venait juste de fêter son 13 éme anniversaire et entre l’école, ses activités diverses, elle était rarement à la maison.

Aussi Mary avait pas mal de temps libre. Elle en profitait pour terminer la correction des devoirs et envisageait d’aller à la salle de gym en rentrant. À 34 ans elle entretenait son corps avec régularité, elle était fière de ses 45 kg pour 1 m 65, ses jambes longues et galbées, sa taille fine et sa poitrine opulente et ferme, 95 C.

Mary sortit de ses pensées en entendant un coup à la porte. Elle vit Lisa Simon, une de ses élèves de classe terminale. Lisa était une élève brillante, à 18 ans elle avait un corps parfait et une attitude arrogante. Elle se sentait seule et n’avait ni amie, ni copain, à cause de cela.

— Rentre Lisa, mais je n’ai pas encore fini la correction de vos devoirs.

— Ce n’est pas pourquoi je suis là Mrs Clark. Il y a quelque chose que je voudrais vous montrer.

Lisa chercha dans son sac et tendit un vieux magazine à sa prof. Mary fut choquée, elle avait reconnu le livre... C’était un Playboy de juin 82, elle avait toujours espérée que ce mauvais souvenir ne reviendrait pas.


Lisa ouvrit le magazine à la page central, on y voyait sa prof nue, dévoilant complètement ses charmes, sans pudeur. Mary avait posée nue il y avait des années dans le collège, dans cette même classe pour des photos plus qu’érotiques, elle avait alors de gros besoins d’argent et avait espéré que personne ne le saurait.


— J’ai fait du ménage dans le garage et regardez ce que j’ai trouvé...

Mary essaya de se calmer et avala sa salive.

— C’est bien vieux et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait, mais j’avais besoin d’argent pour terminer mes études, laissons cela, laissons le passé où il est.

— Je ne pense pas comme vous Mrs C. Il faut que nous parlions, allez fermer cette porte.

Mary se leva et alla fermer la porte le plus calmement possible.

— À clef ! Dit Lisa en s’asseyant sur la chaise de sa prof derrière le bureau.

Dès qu’elle eut clos la porte Mary se retourna et vit Lisa à sa place. Elle alla s’asseoir sur le premier rang des élèves.

Ce qu’elle voyait sur le visage de Lisa ne semblait pas encourageant.

— J’ai dis devant le tableau! Dit Lisa d’un ton ferme.

Mary se dirigea sur l’estrade, fit face à son élève, assise sur le fauteuil de l’enseignante, ce n’était pas une position confortable, pour une prof, tout était inversé.

— Vous comprenez ce qui arriverait si ces photos étaient connues de tous?

— Voulez vous que Amy, les voit? Demanda Lisa en montrant les photos.

— Non, dit Mary en prenant conscience de sa situation vulnérable.

— Bien Mrs C. Voila donc trois raisons qui doivent vous faire réfléchir à ce que je vous propose. Désormais quoique je vous dise de faire, vous le ferez et je dis bien TOUT ce que je vous ordonnerai. Si vous refusez ou si n’obéissez pas bien à mes ordres, qu’est ce qui se passera? Plus de travail, plus de famille et plus d’enfant, Amy serait confiée à la DDASS.

— Que voulez vous Lisa? Dit Mary d’une voix tremblante.

-— Je veux que vous m’apparteniez, je veux que vous m’obéissiez, que vous fassiez tout ce que je vous ordonne et sans vous poser de questions. Si vous refusez ou si vous obéissez mal, ce magazine sera rendu public, dans l’école, à vos amis, vos parents, votre mari et à son patron. Mais si vous acceptez cela restera notre petit secret.


Mary sentit ses genoux trembler, elle ne pouvait permettre que ces photos soient rendues publiques, elle tournait ses pensées dans la tête ne sachant comment s’en sortir.

— Je ne comprends pas, dis une Mary désemparée. Je suis ton prof, tu ne peux pas me faire faire cela.

— C’est très simple Mrs C., si vous ne m’obéissez pas, vous ne serez plus la prof de personne, même plus une mère, ni une épouse. Vous me comprenez bien?’


— Et combien de temps cela durera ?

— Aussi longtemps que je le voudrais Mrs C. Mais assez parlé. Tenez-vous droite, Mrs C. Les mains sur le coté, la tête droite et ne bougez pas, ne dites pas un mot.

Ne sachant que faire, que dire et ne voulant pas contrarier son élève, Mary fit ce que lui demandait son élève. Lisa se leva, alla vers la prof et commença à tourner autour de sa prof qui tremblait.

— Vous comprenez bien que si vous me désobéissez vous êtes ruinée, perdue? Dit Lisa en regardant sa prof d’anglais dans les yeux, ses yeux en pleurs.

— Oui Lisa, dit la pauvre Mary, perdue, prise au piège de son passé et ne pouvait risquer de ruiner son avenir et celui des siens. Une larme coula sur sa joue.

— S’il vous plait ne faites pas cela, Lisa.

Sautant de son siège, Lisa gifla violemment sa prof

— Vous êtes une putain. Et faites le maintenant!

Mary se sentait comme gelée, elle ne pouvait bouger.

— C’est bien, dès lundi ces photos seront distribuées.

Lisa s’arrêta, se tourna devant sa prof tremblante.

— S’il vous plait Lisa ne fais pas cela je te donnerais de l’argent, Please, pleurnicha la prof en larmes.

— Eh bien au revoir, Mrs C., dit Lisa calmement en allant vers la porte.

— S’il vous plaît, Lisa, Ms Simon, je vais le faire, ne partez pas ! cria la pauvre prof terrifiée.

Lisa s’arrêta, se retourna devant sa prof qui s’inclinait.

Les mains de Mary se dirigèrent vers les boutons de son chemisier. Elle commença à les défaire tous et se tint droite devant son élève, le visage en feu, perdue de honte.

— Enlevez-le, dit Lisa en retournant à la chaire.

Mary enleva son chemisier et le posa sur le bureau. Elle se tenait devant son élève, se demandant jusqu’où cela irait.


— Maintenant le soutien-gorge, Mrs C..

Mary enleva les agrafes et le soutien gorge, dévoilant sa poitrine, ses jolis seins fermes et opulents.

— Mettez le dans la poubelle, vous n’en aurez plus l’usage désormais.

Nue jusqu’à la ceinture, se recroquevillant, la prof se tint devant son élève. Elle se sentait horriblement embarrassée, comment avait pu se retrouver dans une telle situation, pourquoi avait elle accepté de poser pour ces photos et dans ce collège?

— Maintenant, Mrs C. Je veux que vous posiez votre jupe sur le bureau.

Sans plus réfléchir, Mary ouvrit sa jupe, la laissa glisser sur le sol et posa la jupe sur le bureau.

— Bien Mrs C. Je vois que vous mettez des dessous horrible, enlevez immédiatement ces horribles collants et cette moche culotte.

Choquée de ce que lui disait Lisa sur ses sous vêtements, Mary enleva ses collants et sa culotte et se tenait nue devant son élève âgée de 18 ans qui lui ordonnait des choses indignes.


Elle ne voyait pas comment se sortir de cette situation, et quelle serait la suite?

— Faites attention, Mrs C. et tenez vous droite, les mains sur le côté.

Lisa se leva et fit le tour de sa prof pétrifiée de honte. Elle pinça un mamelon.

— Ils sont en érection, Mrs C., vous aimez donc cela !

Mary garda le silence, elle se sentait excitée mais ne voulait pas l’admettre. Lisa pinça plus fort la pointe des seins, jusqu’à ce que Mary gémit.

— Non, je n’aime pas cela, répondit Mary.

Bien qu’elle n’aimait pas cela, elle se sentait inexplicablement excitée par ce traitement. Lisa relâcha les seins de Mrs C.

— Je pense que vous me mentez Mrs C. Et vous serez punie pour cela. Votre mari est absent et votre fille aussi pour le weekend, aussi j’ai tout le temps pour m’occuper de vous.

Mary fut terrifiée parce qu’elle croyait comprendre.

— Je vais m’occuper de vous tout le weekend et je suis sure que lundi, vous comprendrez vraiment ce que je veux de vous. Mettez votre chemisier, votre jupe et vos chaussures, laissez deux boutons ouverts de votre chemisier.

Habillée ainsi, Mary se sentait encore plus nue.

— Allez à votre place, Mrs C. Mettez votre bra, vos collants et votre culotte dans la poubelle, cela fera plaisir à Bubba, l’homme d’entretien. Et prenez votre badine, avec vous.

Mary ne s’était jamais servi de celle-ci, mais elle la prit, c’était un morceau de bois, long et large. Nue sous son chemisier elle sentait ses tétons en érection, danser sous le fin tissus et cela la blessait et de sentir le courant d’air, nue sous sa jupe... Les deux se dirigèrent vers la sortie, elles allaient commencer une nouvelle aventure...


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