Une scène de doigts entre filles

Une scène de doigts entre filles




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Une scène de doigts entre filles



Sexo


La dernière fois que j’ai fait l’amour… c’était la dernière fois que je la voyais




Anouk Perry

24 oct 2017


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madmoizelle



Sexo



Des madmoiZelles vous racontent leur dernier rapport dans la série Ma dernière fois. Dans ce témoignage, une jeune femme raconte sa dernière relation sexuelle avec une femme, avant la séparation.

On se croirait dans une histoire et on reste sur notre fin c est enorme

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En regardant des films et des séries, je me suis posé mille fois cette question : que se passe-t-il vraiment entre le premier baiser et le dernier soupir de l’acte sexuel ?
Pour assouvir mon envie de regarder par le petit trou de la serrure, je me suis dit que j’allais demander à des gens de me raconter leur dernier acte sexuel. Son déroulé, ses réussites et ses ratés.
Cette série d’article s’appelle Ma dernière fois .
Nous nous sommes rencontrées sur Tinder , il y a à peu près un an . Elle faisait ses études dans la ville où j’habitais.
Nous avons très rapidement sympathisé et couché ensemble, en se mettant d’accord sur le fait qu’on ne recherchait rien de sérieux. De toute façon, elle allait déménager à l’autre bout de la France deux mois plus tard.
Après son déménagement, on a continué à s’envoyer des messages quotidiennement.
Quand elle revenait dans mon coin, on baisait . Sans surprise, j’ai commencé à développer des sentiments pour elle. Comme je doutais que ce soit son cas, j’ai souhaité clarifier la situation.
Il y a deux semaines, elle est venue passer le week-end chez moi. Ça faisait trois mois qu’on ne s’était pas vues et je me suis dit que c’était le bon moment pour lui en parler.
Inutile de dire qu’on a passé une bonne partie du week-end au lit… et que je n’ai pas osé aborder le sujet. J’ai attendu qu’elle soit partie.
Nous sommes au matin de son départ et on n’a pas beaucoup dormi.
Il est 10h, je suis levée depuis pas mal de temps, je me dis que c’est une bonne heure pour la réveiller. Elle est sur le côté, me tourne le dos.
J’ai ma bouche sur sa nuque, ses fesses contre mon bassin, ma main contre son sein . Je commence à soulever son t-shirt, à l’embrasser doucement dans le dos, et à caresser ses fesses . J’entends un ronronnement, elle commence à se réveiller .
Je continue, en m’approchant de plus en plus de l’intérieur de ses cuisses, par-dessus ses vêtements.
Elle se retourne, se met sur le dos et m’embrasse . J’aime la façon qu’elle a d’embrasser, quelque chose de très subtil, avec de la langue mais pas trop.
Je suis au-dessus d’elle, et je continue à caresser son entrejambe, je sens qu’elle mouille franchement à travers son short — d’ailleurs elle me dit de l’enlever. Au passage moi aussi je me déshabille.
Je continue à stimuler son clitoris avec deux doigts , en variant les mouvements.
D’habitude je la pénètre assez rapidement mais là j’ai envie que ça dure un peu. C’est elle qui finit par me prendre la main pour me faire comprendre qu’il est temps, et ça me fait sourire.
À ce moment-là je suis sur le côté, une jambe entre ses cuisses, je la pénètre avec mes doigts et je me sers de ma cuisse comme d’appui contre ma main pour aller plus ou moins fort.
Je varie les rythmes en fonction de ce que je sens et de ce qu’elle me dit aussi.
Je sens qu’elle prend de plus en plus son pied, mais à vrai dire la position est assez physique pour moi et je commence à avoir une douleur de fatigue lancinante dans le poignet. Mais je n’abandonne pas…
Elle me dit qu’elle va venir bientôt, elle me demande de ne pas arrêter, alors je m’exécute.
Elle renverse la tête en arrière, son corps spasme, je sens que son vagin se ressert autour de mes doigts. Elle a eu un orgasme .
Je m’arrête, secoue ma main en l’air pour vérifier que mon poignet est toujours vivant.
C’était fun, ce n’est pas souvent que je la fais jouir sans utiliser ma langue ! On est allongées l’une à côté de l’autre, on prend deux minutes de pause et c’est reparti.
Je suis sur le dos, elle se place entre mes cuisses, m’embrasse les seins et n’y va pas par quatre chemins : elle me pénètre directement avec ses longs doigts fins.
Elle est assise sur ses genoux, place mes fesses sur ses cuisses écartées. J’adore cette position parce qu’elle permet un angle de pénétration profond.
Elle utilise sa main droite pour me pénétrer et son autre main pour stimuler mon clitoris .
J’étais déjà pas mal excitée avant, donc tout va très vite, je lui demande d’aller plus fort, et je jouis en moins de cinq minutes.
Je reste allongée dans le lit. Comme à son habitude, elle se lève rapidement.
Il faut qu’elle prépare ses affaires puisqu’elle doit reprendre son train bientôt.
À ce moment-là je me sens triste puisque je prends conscience que c’était la toute dernière fois que je la voyais . Que je ne peux pas continuer dans cette relation alors que nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde.
Je l’ai accompagnée au tram, et j’ai attendu de la voir partir à bord du wagon avant de lui envoyer un message pour lui expliquer qu’on allait arrêter tout ça.
C’est toujours très triste de mettre fin à une relation qui fonctionne très bien amicalement et sexuellement, mais je crois que la rupture s’est plutôt bien passé.
Je ne pense pas que nous nous reverrons. Ma dernière fois, c’était aussi notre toute dernière fois ensemble .
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za_a_va a posté le 17 novembre 2016 à 17h47
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margolio a posté le 17 novembre 2016 à 17h47
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breogan_gaels a posté le 17 novembre 2016 à 17h47
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matanapari a posté le 17 novembre 2016 à 17h47
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margolio a posté le 17 novembre 2016 à 17h47
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Dans le porno, on ne dit pas éjaculation féminine, on dit « squirting », la même chose en anglais. C’est un tag à part entière sur YouPorn et c’est aussi une scène hyperfréquente, voire systématique chez certains réalisateurs.
Pierre Cavalier, journaliste chez Hot Vidéo, remarque :
La première fois que nous avions parlé de ce sujet, il y a un an pour un reportage sur la rédaction d’Hot Vidéo , Pierre Cavalier m’avait expliqué que déclencher une éjaculation chez une femme était en réalité assez simple. Que c’était même possible pour toutes les femmes. 
Des propos qu’ont confirmés toutes les actrices porno que j’ai interviewées. Anna Polina, égérie de Marc Dorcel :
Appuyer fort. Donc oui, ça peut faire mal. La réalisatrice Ovidie raconte avoir vu des acteurs « s’acharner pour que ça sorte » (pas sur ses tournages).
Aucune des actrices que j’ai interviewées n’était vraiment fan de ça, sans détester non plus.
Anna Polina dit qu’il y a aussi des filles qui trouvent l’éjaculation plaisante.
Ce qui est sûr cependant, c’est que l’éjaculation se produit sous l’effet « de contractions liées au plaisir ». Stéphane Perez, sexologue et gynécologue, explique  :
Le gynécologue explique qu’il s’agit en réalité d’« une majoration d’une hyperlubrification ». Le liquide contrairement à ce qui est parfois cru n’est pas du pipi.
En novembre 2010, Camille, à qui l’on doit la création de Rue69, vous montrait à quoi ressemble sur un drap une éjaculation féminine (avec des effets spéciaux très sympas).
Au bout du téléphone, quand je l’interroge sur le sujet, Olivier Ghis, rédacteur en chef du « Journal du hard », sur Canal +, s’exclame :
Pour lui, la répétition de cette pratique est « un phénomène intéressant apparu comme une tendance dans le X, il y a deux, trois ans ». C’est devenu une performance parfois recherchée car tout le monde n’est pas capable de déclencher un « squirt ». Pierre Cavalier d’Hot Vidéo :
Dans les faits, ce n’est pas aussi simple. Le gynécologue Stéphane Perez conteste l’aspect totalement mécanique de l’éjaculation
John B. Root, réalisateur et producteur de films porno, explique que ça ne marche que « dans un état de très grand plaisir », qu’il faut un lâcher prise total.
Annissa Kate a 25 ans et travaille comme actrice depuis un an et demi. Elle raconte qu’elle ne joue, à son sens, pas un rôle hyperactif dans ses éjaculations.
Elle parle de Mike Angelo, l’acteur spécialiste en France des éjaculations féminines. Il les provoque avec les doigts mais a une « particularité » qui lui permet aussi d’arriver au résultat escompté, sans les doigts.
L’intéressé confirme et dit amusé :
Il se dit libertin et aime se voir en initiateur de nouveaux plaisirs.
Il se plaint un peu. Certaines boîtes de production n’acceptent pas le squirting et le privent de son jeu favori. C’est le cas de Marc Dorcel, chez qui on explique que l’entreprise « ne veut pas se couper de diffusions internationales ».
Or dans certains pays, le squirting n’est pas autorisé. En Angleterre par exemple, la BBFC , responsable de la censure des films, n’autorise pas la pratique dont elle assimile le liquide à de l’urine .
Pour ce qui est du ton, sur les tournages, le plus souvent, le registre autour de l’éjaculation féminine est celui de l’amusement. Les femmes jouent la surprise, la découverte de leur corps ; les hommes (quand c’est un rapport hétérosexuel), le rôle du professeur.
John B. Root, connu pour faire des films moins stéréotypés, filme les éjaculations féminines en contre-plongée, la caméra entre les jambes. Pour lui, c’est une vieille histoire.
Filmer une performance ou une fille qui a mal, ça ne l’intéresse pas, dit-il. Sur les tournages, ses équipes font des concours d’éjaculation. « A qui ira le plus loin. » Ce qu’il veut, c’est de
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