Une scène Brésilienne d'orgie

Une scène Brésilienne d'orgie




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une scène Brésilienne d'orgie
La version de votre navigateur n'est plus supportée, l'expérience sur le site sera dégradée. Si vous ne pouvez ni mettre à jour votre navigateur, ni en changer, sachez que le site est consultable sur mobile à la même adresse.

Le modèle économique de repose historiquement sur l’affichage de
publicités personnalisées basées sur l’utilisation de cookies publicitaires, qui permettent de suivre la
navigation des internautes et cibler leurs centres d’intérêts. La nouvelle réglementation relative aux
cookies ne permet plus à de s’appuyer sur cette seule source de
revenus. En conséquence, afin de pouvoir maintenir le financement de et fournir les services proposés tout en vous offrant une même
qualité de contenu éditorial sans cesse renouvelé, nous vous offrons la possibilité d’exprimer votre choix
entre les deux alternatives suivantes d’accès :


Pour en savoir plus, consultez notre Politique de
cookies .

En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

News cinéma

News séries

Diaporamas

Podcasts

Dossiers

News jeux vidéo

News bandes originales

News vidéos

News courts-métrages


Accueil News cinéma, films et séries TV News séries News séries: Streaming
Scène d’orgie dans The Boys : quand l’équipe confondait lubrifiant et gel hydroalcoolique sur le tournage
Scène d’orgie dans The Boys : quand l’équipe confondait lubrifiant et gel hydroalcoolique sur le tournage
Passionnée par le grand et le petit écran et fascinée par les acteurs, elle a des goûts très éclectiques. Elle a néanmoins une préférence pour les productions américaines et dévore tout ce qui lui passe devant les yeux, de l'immense blockbuster au plus petit film indépendant.

Avec
Karl Urban ,
Jack Quaid ,
Antony Starr ,
Erin Moriarty ,

Dominique McElligott

The Boys : 10 références aux super-héros Marvel et DC dans la série Prime Video

Partager cet article

FB whatsapp


FB facebook


TW Tweet


Pour écrire un commentaire, identifiez-vous
The Walking Dead : les derniers épisodes auront des zombies intelligents comme en saison 1
A League of Their Own sur Prime Video : 30 ans après, quelles sont les différences avec le film culte ?
Brooklyn Nine-Nine sur Netflix : comment se termine la série policière la plus drôle ?
Bande-annonce Vesper Chronicles : une pépite post-apocalyptique entre Les Fils de l'Homme et La Route
Nouvelles séries venant de commencer

De
Scott M. Gimple ,
Channing Powell


Avec
Anthony Edwards ,
Parker Posey ,
Terry Crews


Avec
Vera Farmiga ,
Adepero Oduye ,
Cherry Jones


Avec
Jung Woo ,
Park Hee-Soon ,
Yoon Jin-Seo


Avec
Abbi Jacobson ,
Chanté Adams ,
D'Arcy Carden

Si vous choisissez de bénéficier de l'offre payante, aucun cookie publicitaire ne sera déposé pour
analyser votre navigation. Seuls les cookies strictement nécessaires au bon fonctionnement du site et à
l’analyse de son audience seront déposés et lus lors de votre connexion et navigation. Ces cookies ne
sont pas soumis à votre consentement.
Si vous bénéficiez déjà de l’offre, vous pouvez vous reconnecter en cliquant ici .

Si vous souscrivez à cette offre, veuillez toutefois noter que
des publicités seront toujours visibles lorsque vous accéderez au site. Cependant, celles-ci ne
seront pas basées sur des cookies publicitaires.
Si vous choisissez d’accéder au site gratuitement, vous consentez à ce que Webedia et ses partenaires collectent des informations
personnelles (ex. visites sur ce site, profil de navigation, votre identifiant unique...) et déposent
des cookies publicitaires ou utilisent des technologies similaires sur pour : stocker et/ou accéder à des informations sur un
terminal, vous proposer des publicités et contenu personnalisés, permettre la mesure de performance des
publicités et du contenu, analyser les données d’audience et permettre le développement de produit, le
traitement de vos données de géolocalisation précises et l’identification par analyse de votre terminal.

Les cookies qui nous permettent d’assurer le bon fonctionnement du site et d'analyser son audience seront
déposés et lus. Pour en savoir plus, accédez à la liste
complète des finalités.
Vous pouvez retirer votre consentement au dépôt de cookies publicitaires à tout moment, en cliquant sur
le lien « Préférences cookies » présent en bas de toutes les pages de : vous pourrez alors avoir accès à notre contenu sans cookie
publicitaire en souscrivant à l’offre payante

Ex. :
Stranger Things , Grey's Anatomy , Banshee , The Walking Dead
Intitulé Herogasm, l’épisode 6 de la saison 3 de The Boys promet du jamais vu à la télévision : une scène d’orgie géante dont le tournage a laissé des marques chez les personnes présentes.
C’est le 24 juin prochain que les spectateurs pourront découvrir Herogasm, cet épisode de The Boys qui a déjà tant fait parler. La raison ? Il contiendra une scène d’orgie de super-héros adaptée d’un arc des comics qui avait marqué les esprits.
D’ailleurs, Eric Kripke , le créateur de la série Prime Video, a révélé à nos confrères de Sensacine que depuis le début de son implication sur le projet, de nombreuses personnes l’ont défié de mettre en scène cette fameuse orgie. “ Challenge réalisé ”, a-t-il ainsi déclaré, fier de lui.
Et d’ajouter : “ Je n'aime pas reculer, alors j'ai attendu d'avoir assez d'influence et de bonne volonté chez Amazon pour pouvoir y parvenir. ” C’est donc le 6e épisode de la 3e saison qui a été choisi pour accueillir cette séquence folle dont le tournage a choqué ses participants, dont le scénariste ne fait pas partie !
“ Dieu merci, je n'étais pas sur le plateau, c'est pourquoi je peux encore dormir la nuit sans être en position fœtale ”, a ainsi avoué Eric Kripke. Jensen Ackles , l’interprète du nouveau Super Soldier Boy, était en revanche bien présent et il a raconté une drôle d’anecdote sur ce tournage digne d’un film porno.
“ L'équipe, en raison de la nature de ce qui se passait là-bas, avait mis de grandes bouteilles de lubrifiant éparpillées sur tout le plateau. Mais comme il y avait le Covid, il y avait aussi des bouteilles de gel pour les mains éparpillées sur le plateau ”, a-t-il commencé. Avant d’ajouter, hilare :
Également interviewé par Sensacine, Chace Crawford , qui joue The Deep dans la série et qui a lui aussi connu des moments de tournage difficiles , n’a pas pris part à l’orgie mais il en a entendu parler… “ Je me souviens avoir entendu quelques membres de l'équipe, ils étaient dehors en train de fumer et de dire ‘J'ai vu des choses…’ comme s’ils revenaient de la guerre.
Je n'ai rien vu et je ne sais pas grand-chose sur la scène mais les rushes sont déjà légendaires, c’est folklorique. Les rushes étaient totalement fous et j’imagine qu'ils ont dû filmer des choses qui leur ont causé un syndrome de stress post-traumatique ”, a-t-il confié.
Son camarade Antony Starr (Homelander) a lui aussi échappé à cette vision d’horreur : “ Je suis content quand j'entends certaines des histoires de ne pas avoir été là parce que je pense que ça m'aurait marqué et qu'il n'y aurait pas eu assez de thérapie dans le monde pour me remettre de cet épisode. ”
De quels héros DC et Marvel les Supers de The Boys sont-ils des parodies ?

Contact |
Qui sommes-nous |
Recrutement |
Publicité |
CGU |
Politique de cookies |
Préférences cookies |
Données Personnelles |
Revue de presse |
Les services AlloCiné |
©AlloCiné


Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,90€/minute)


Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».


www.seneweb.com needs to review the security of your connection before
proceeding.

Did you know keeping your browser up to date will help protect you from malware and other digital attacks?
Requests from malicious bots can pose as legitimate traffic. Occasionally, you may see this page while the site ensures that the connection is secure.

Performance & security by
Cloudflare


Abonnez vous pour ajouter à vos favoris
Jean-Luc dans son kiosque au Théâtre du Suçoir à Paris, en octobre 2012 - Sébastien Leban/Rue89
La représentation porno au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89
Au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89
Stamony Coffre-fort électronique - 38 x 30 x 30 cm ST-ES-300 - 119,00€
Pour réagir, je me connecte Connexion
marxforever a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
Pour réagir, je me connecte Connexion
maxcasanova a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
Pour réagir, je me connecte Connexion
coucoucestmoi89 a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
Pour réagir, je me connecte Connexion
asspainedchristfag a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
Pour réagir, je me connecte Connexion
letigre a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complète. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
La salle est secrète. Son adresse (dans Paris) n’est donnée aux spectateurs que quand ils achètent leur place. Ils payent 60 euros pour assister au tournage d’une scène pornographique.
Alors, à l’entrée du loft – une grande porte de garage verte –, le vigile nous demande :
On met du temps à comprendre qu’il ne blague pas, et qu’il faut presque donner un mot de passe pour entrer. La porte franchie, on découvre un vaste loft, joli. Le lieu est loué pour diverses occasions – fêtes, tournages, etc.
On aimerait bien y habiter mais la déco est un peu spéciale ce soir-là. Images de filles aux seins gonflés, lumières tamisées.
Dans l’entrée, Jean-Luc, l’organisateur débonnaire du Théâtre Suçoir et de la soirée, est assis à son kiosque. Il accueille les spectateurs.
Après vingt ans passés dans le monde du porno, entre sa boutique sexy à Paris et son activité de distribution et de production de films, il a eu envie de se mettre au théâtre. Il n’a pas inventé l’idée, elle a déjà existé au Théâtre des Deux Boules ou au French Lover, comme le raconte l’acteur Karl Bipasse :
En 2012, l’idée d’un théâtre porno est d’autant plus originale qu’à l’heure actuelle, regarder du porno à plusieurs n’est pas tellement en vogue. Le Beverley, dernier cinéma porno de Paris, lutte pour remplir sa salle .
Sans cacher qu’il fait un business, Jean-Luc raconte, sincère, qu’il voulait montrer au spectateur comment ça se passe. Il dit que c’est une « démarche soft plutôt que de faire un truc plus glauque ». Il aime le mélange des spectateurs :
Ce soir-là, dans la quarantaine de spectateurs (invités et clients), il y a un peu de tout ça. Mais les groupes ne sont pas équilibrés. Le public est très largement masculin. Il n’y a pas plus de cinq femmes.
Beaucoup de « curieux ». Amar, par exemple. 38 ans. Un bras dans le plâtre, des sandales aux pieds, il raconte qu’il va tous les ans au salon du X « par curiosité ». Le spectacle de ce soir ? Par « curiosité » aussi. C’est la deuxième fois qu’il vient. Je lui fais remarquer que du coup, il pourrait être moins « curieux ». Lui répond, sans se démonter :
Assis à côté de lui, Stanislas a la main posée sur sa canne. A 68 ans, ce retraité moustachu a un bon petit look de rockeur avec son blouson en cuir et ses Converse.
Il se décrit comme un « vieux cochon » et a découvert le théâtre grâce à une affiche sur un kiosque à Pigalle, son quartier. Stanislas regarde du porno deux fois par semaine et avait envie d’assister à un tournage :
Ce soir, il n’a pas l’intention de se masturber. Il dit qu’il est rangé, qu’il ne bande plus beaucoup et qu’il admire beaucoup ces acteurs pornos capables de tenir si longtemps en érection :
Le corps des femmes l’intéresse aussi. Il dit d’ailleurs que dans la vie, il aimerait bien se « trouver une jeunette de 18 ans ».
Amar et Stanislas attendent dans la grande salle, celle où le « spectacle » va se dérouler. Partout à terre, il y a des tapis. Les spectateurs font face à une estrade sur laquelle est juché un lit. En fond sonore, fort, de l’électro. Au fond de la salle, un aquarium.
Il y a aussi de quoi manger (ça fait partie du prix). Pas de petits fours, mais du pâté en croûte, du saucisson à l’ail, du saucisson tout court, des chips, des cacahuètes.
Dans une autre salle – à laquelle tout le monde peut accéder –, les acteurs se préparent. Une femme passe, une poire à la main (pour faire un lavement anal). On échange un mot avec Stella Johanssen sur ses chaussures rose fuchsia à strass, très hautes. Elle s’enorgueillit :
Les acteurs se chauffent un peu, les actrices se tripotent avant que la caméra ne tourne. Fabien Lafait, réalisateur de films , s’agite. C’est lui qui orchestre les soirées. Son rôle sera à la fois de filmer et commenter les gestes des acteurs, de leur poser des questions. Voilà, le show commence.
Assis en rang d’oignons sur le bord de l’estrade, les acteurs sont présentés par Fabien Lafait sous les applaudissements des spectateurs. Max Casanova , 28 ans, Lilou, 36 ans et Stella Johanssen, 23 ans. Vous vous souvenez de Jacques Martin ? « L’Ecole des fans » ? Là, c’est pareil :
Puis vient la présentation du scénario par Stella Johanssen. Les acteurs l’ont rapidement mis au point ensemble. Encore une fois l’impression (bizarre, certes) d’assister à ces spectacles d’enfants qu’on subit souvent dans les réunions familiales. Avec une histoire absurde et incohérente :
Voilà pour la complexité du scénario. Point de trois coups, mais le spectacle commence. Sans trop de surprise, le jeu des acteurs est très mauvais, mais clairement, ce n’est pas l’attraction de la soirée. Au bout de cinq minutes de parlotte, les deux actrices sont déshabillées et se lèchent le sexe.
Stanislas, le vieux rockeur, soupire un peu.
Puis, c’est l’entrée surjouée et franchement drôle de l’assistant (Max Casanova) :
Ensuite, les positions s’enchaînent très rapidement.
C’est du porno « gonzo » classique, avec tout ce que ça présente de désagréable. Une représentation sexiste et hypernormée des rapports hétérosexuels, des plans gynécologiques plus écœurants qu’excitants. Exemple flagrant avec cette manie de montrer à la caméra l’anus grand ouvert des actrices après une scène de sodomie.
Alain, un spectateur avec qui on avait parlé avant que le spectacle ne commence, mitraille, l’air grave, les acteurs avec son appareil photo. Un gros reflex numérique. Ce quarantenaire est cadre dans les essais automobiles. Dans son pantalon de cuir et ses lunettes de vue rectangulaires, il nous avait expliqué être venu après avoir vu un reportage dans l’émission « Paris Dernière ». Il espérait « voir un véritable show ». On le pense servi.
Par un mouvement de doigts hyperbourrin, Max Casanova fait éjaculer Stella Johanssen. Elle hurle à la mort, puis assure au public que c’est parce que c’était très bon. Ce dont on ne peut s’empêcher de douter un peu .
L’intérêt du spectacle n’est de toute manière pas là. Régulièrement, Fabien Lafait interrompt les acteurs pour leur demander d’expliquer ce qu’ils font :
Tout y passe et on apprend vraiment des choses sur la façon de travailler des acteurs. Comment ils doivent se positionner par rapport à la caméra, les techniques des actrices pour ne pas avoir mal pendant une sodomie. Si Max Casanova crache à l’intérieur de son préservatif, c’est pour ne pas être trop irrité de la verge.
Pendant tout le spectacle, l’acteur n’a cessé de répéter aux spectateurs en riant :
Et, de fait, il n’a cessé de se masturber frénétiquement pour tenir les presque deux heures de tournage. On l’a secrètement plaint, ça n’avait pas l’air hyperagréable.
En fait, de notre point de vue qui vaut ce qu’il vaut, tout cela n’a absolument rien d’excitant, c’est très technique. Et on pense beaucoup au génial film de Raphaël Siboni, « Il n’y a pas de rapport sexuel », dont nous vous avions parlé en janvier. Un documentaire sur le monde du travail qu’est le porno.
Avant que le spectacle ne commence, on avait aussi parlé avec Isabelle et Gérard (ce couple tenait absolument à être anonyme). Elle, ingénieure de 36 ans, lui, « cadre industriel » de 46 ans. Ils nous avaient dit être venus pour « pimenter un peu leur couple ». Une surprise de Gérard à Isabelle. Elle reconnaissait :
Ils étaient complices, se lançaient des regards amusés, disaient être encore très amoureux après douze ans de relation. Eux attendaient une pièce de théâtre. Récemment, ils avaient adoré la mise en scène des « Liaisons dangereuses » par John Malkovich au Théâtre de la ville, à Paris.
Pendant le show, ils regardent les acteurs s’activer, curieux, sérieux, intrigués. Isabelle penche un peu la tête pour mieux voir, entre les spectateurs de devant. Pas très loin d’eux, un homme se paluche dans son pantalon. Tout va bien.
Après une position acrobatique digne d’un numéro de cirque, le spectacle se termine de manière classique : deux sodomies et une double éjaculation faciale.
On n’a pas pu demander à Isabelle et Gérard ce qu’ils en avaient pensé, ils sont partis avant la fin. Jean-Luc, l’organisateur de la soirée, nous a rapporté qu’ils devaient libérer leur baby-sitter.
Stanislas, « le vieux cochon », n’est pas déçu. Même s’il n’a pas bandé. Il a trouvé la pièce « assez drôle » et il a bien ri des blagues des comédiens pendant le spectacle. Amar, lui, n’est pas très content :
Ses vêtements enfilés, Max, encore rouge de l’effort sportif qu’il vient d’accomplir, engloutit du saucisson à l’ail. Il a le sourire aux lèvres et raconte aimer avoir un public, observer ses réactions :
Dans son kiosque, quand on parle à Jean-Luc du spectateur qui s’est masturbé en lui demandant si c’est l’ambition du spectacle, il répond, agacé :
Ce soir, il n’y avait pas autant de spectateurs que ce qu’il escomptait. Il l’explique par la reprise : il n’y a pas eu de représentations pendant l’été.
La production de la soirée lui a coûté 2 500 euros. Jean-Luc est un peu déçu, il n’est pas rentré dans ses frais. Après les prochaines représentations, si tout marche comme il veut, il aimerait emmener le Théâtre Suçoir en Grèce au printemps.
Contrairement à certains dans le fil qui disent la société shootée au porno, moi je ne m’y intéresse pas. Le porno c’est comme Lady Gaga : de la pseudo-subversion pour cul-béni puritain qui veut se faire une petite frayeur sans surtout remettre en cause les piliers de l’horreur moderne que sont l’idéologie de la performance et le mercantilisme.


Le porno qui m’intéresserait serait celui qui parlerait de déconstruction des rapports sociaux, d’anti-domestication du corps, de rapport à l’animalité et à la liberté sous-jacente ou qui dirait simplement que c’est bien mieux d’être un peuple passionné par le
Indienne reçoit un massage
Des cochonnes dans un manga qui adore ça
Mike Adriano détend le cul de Maddy O'Reilly


Report Page