Une scène BDSM élégante

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Une scène BDSM élégante
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Univers BDSM de Sophie



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Cette fiction encourage les relations BDSM sûres, saines et consensuelles. Pour plus d’information, merci de lire la page A propos .
Ce passage s’inscrivant dans l’ensemble d’un récit, je vous invite à commencer par le chapitre 1.1 .
Je reste immobile pendant quelques secondes devant la porte maintenant fermée. Elle ne tarde pas à s’ouvrir doucement derrière moi suite à quoi je me sens soudainement tirée vers l’intérieur par un bras passant autour de ma taille.
Une fois à l’intérieur et la porte refermée, Ilaria commence à me dire :
–     Sophie s’il te plaît il faut que tu dises rien du tout à personne de ce que tu as vu. J’en t’en supplie, il faut que tu me promettes que tu diras rien.
Etant toujours choquée d’avoir découvert Ilaria ainsi, je reste devant elle sans vraiment lui répondre. Elle porte une paire de bottes à talons aiguilles d’une dizaine de centimètres, un corset et une paire de gants, le tout en cuir noir. Elle porte également une petite écharpe autour de son cou cachant complètement son large collier en métal. En parcourant la pièce du regard, je découvre un vibromasseur et une cravache posés sur le lit, et un fouet sur le sol à côté d’un bâillon. La soumise précédemment à genoux au pied du lit entre les jambes d’Ilaria est maintenant au coin de la pièce, face au mur. C’est une soumise débutant au vu de son collier, et son dos est marqué par des coups qu’elle a dû recevoir il y a quelques heures tout au plus.
Alors que quelques larmes commencent à couler sur mon visage, je me retourne vers Ilaria et lui répond :
–     Pourquoi est-ce que tu as fait ça ? Si je ne dis rien et que quelqu’un l’apprend, je vais être punie aussi. Si je dis rien et que ta soumise dit quelque chose, qu’est-ce qui va m’arriver ?
–     S’il te plait sophie, je t’en supplie, tu ne comprends pas ce qui va m’arriver. Toi tu leur appartiens pas, elles peuvent rien faire. Moi c’est fini si elles apprennent ce que j’ai fait.
–     Ilaria je suis vraiment désolée mais je ne sais pas quoi faire. J’ai envie d’être une bonne soumise, Maîtresse Rebecca et Maîtresse Anja ont tout fait pour m’aider à progresser, pour m’aider à devenir une meilleure soumise pour ma Maîtresse. Tu me demandes de les trahir parce que tu ne sais pas te contrôler.
–     Non tu comprends pas. Je vais pas être punie. C’est beaucoup plus. Elles peuvent me mettre dans un trou sans lumière pour toujours, me vendre à quelqu’un, ou encore pire.
Elle semble vraiment paniquer alors qu’elle me parle de ce qui va lui arriver.
–     Si tu as aussi peur des conséquences que ça, pourquoi tu ne te contrôles pas ?
Elle tombe sur ses genoux devant moi et continue en pleurant :
–     Je suis désolée, je sais j’ai fait une erreur, mais je suis ici depuis trop de temps, c’est trop difficile.
Je ne sais plus trop comment réagir. Il me faut du temps avant de savoir quoi faire, mais en ce moment j’ai surtout peur que quelqu’un arrive et nous découvre. Je l’aide à se redresser, je lui demande de remettre les vêtements où elle les a pris et de partir avec « sa » soumise afin que je puisse continuer le travail qui m’a été assigné comme si rien ne s’était passé.
Elle se dévêtit rapidement et ordonne à la soumise de la suivre hors de la chambre après lui avoir dit :
–     If you say a single thing about this to anyone, I promise I will make sure you suffer more in your life than in your worst nightmares. (Si tu racontes quelque chose à qui que ce soit, je te promets que je m’arrangerai pour que tu souffres plus dans ta vie que dans tes pires cauchemars.)
Alors que sa soumise passe à côté de moi, en larmes elle aussi, elle me laisse discrètement un petit « Thank you » (merci) .
Je continue mon travail dans cette chambre ainsi que les suivantes pendant quelques heures. En sortant de l’avant-dernière chambre, je découvre la maîtresse qui m’a réveillée et donné ce travail. Elle s’approche rapidement de moi, m’administre une violente gifle et commencer à hurler quelques phrases en hongrois. Complètement perdue, je le réponds :
–     I am sorry Mistress, I don’t understand Mistress. (Je suis désolée Maîtresse, je ne comprends pas Maîtresse.)
Je reçois une deuxième gifle avant qu’elle ne me réponde, toujours sur le même ton, en pointant la dernière chambre du doigt, puis le sol :
–     THIS FAST! THEN FLOOR FAST! (CA VITE ! ENSUITE LE SOL VITE !)
Elle me laisse une troisième gifle avant de partir. Je me dépêche de reprendre mon travail, pas le temps de traîner si ma vitesse actuelle ne lui convient déjà pas. De plus, l’impression qu’elle m’a laissée lors de nos deux rencontres aujourd’hui ne me donne vraiment pas envie de la tester.
Je finis rapidement la dernière chambre et passe, comme demandé, au nettoyage du couloir. Je commence par l’aspirateur, cela me prend environ une demi-heure à cause de la longueur du couloir, puis la serpillière. Après presque deux heures de nettoyage des sols, ma maîtresse de la journée me rejoint, vêtue uniquement d’une paire de bottines laissant des traces de terre derrière elle, à chacun de ses pas. Elle reprend :
–     NO GOOD SLAVE! NO GOOD CLEAN! (MAUVAISE ESCLAVE ! PAS BIEN NETTOYE !)
–     Yes Mistress, I am sorry Mistress. (Oui Maîtresse, je suis désolée Maîtresse.)
A peine ma réponse terminée, je laisse malheureusement échapper un soupir, ce qu’elle ne manque évidemment pas. Quelques gifles viennent immédiatement colorer mon visage. Elle me prend ensuite par les cheveux et me jette à ses pieds, en ajoutant :
–     LICK SHOES SLAVE! CLEAN! (LECHES CHAUSSURES ESCLAVE ! NETTOIE !)
Je m’exécute immédiatement, rien ne sert de résister. Je passe ma langue sur l’intégralité du relief de ses semelles en utilisant parfois mes lèvres ou mes dents pour faciliter le nettoyage. Je suis heureuse qu’elles ne soient plus trop sales, je suppose qu’une bonne partie de la terre est restée sur le sol des différentes parties du bâtiment qu’elle a visitées avant de me retrouver. Elle reprend :
–     SHOES CLEAN NOW? (CHAUSSURES PROPRES MAINTENANT ?)
–     Yes Mistress, the shoes are clean Mistress. (Oui Maîtresse, les chaussures sont nettoyées Maîtresse.)
Elle avance de quelques pas et m’indique du doigt la terre sur le sol en me demandant de la lécher. Nous répétons l’opération jusqu’au bout du couloir. Comme auparavant, elle demande :
–     FLOOR CLEAN NOW? (SOL PROPRE MAINTENANT ?)
–     Yes Mistress, the floor is clean Mistress. (Oui Maîtresse, le sol est propre Maîtresse.)
Soudainement, je commence à sentir du liquide chaud couler sur ma tête alors qu’elle est encore contre le sol et sur le haut de mon dos. Je vois le liquide s’étaler de plus en plus loin autour de moi. Sa couleur jaune ainsi que son odeur ne laissent pas vraiment de doute sur ce qui se passe. Je me sens humiliée, dégradée, découragée alors qu’elle reprend :
–     SHOES NOT CLEAN! CLEAN NOW! (CHAUSSURES PAS PROPRES ! NETTOIE MAINTENANT !)
Sans énergie, je lui donne la réponse qu’elle attend de moi :
–     Yes Mistress, I am sorry Mistress. (Oui Maîtresse, je suis désolée Maîtresse.)
Je recommence à lécher ses chaussures, sans vraiment réfléchir, sans penser à rien. Je me contente de m’exécuter, de passer ma langue partout. Je l’entends m’ordonner de nettoyer ses jambes aussi qui ont été également touchées par son urine. Je finis par rapprocher ma tête du sol à nouveau afin de terminer mon travail. Elle m’attrape ensuite les cheveux sur le côté de ma tête, et les tire pour me frotter le visage et les cheveux dans son urine sur le sol. Elle me lâche finalement et ajoute :
–     STUPID WORTHLESS WHORE! CLEAN FLOOR! (STUPIDE PUTE BONNE A RIEN! NETTOIE LE SOL!)
Elle me crache dessus avant de se tourner et de partir. Pour ma part, je reprends la tâche qui m’a été assignée, finir de nettoyer l’urine sur le sol avec ma langue. J’essaie de finir rapidement, je ne sais pas vraiment si elle reviendra, ou quand elle reviendra.
Il n’aura pas vraiment fallu attendre son retour longtemps. Dans chacune de ses mains, elle a un grand verre en plastique rempli. Elle me demande de me redresser, me passe le premier verre et me demande de le boire complètement. C’est du liquide épais, comme un milk-shake, mais avec un goût différent. Ce n’est pas vraiment mauvais, mais ce n’est pas agréable non plus. A peine le premier verre terminé, elle me passe le deuxième qui contient la même substance. Elle dépose ensuite les deux verres sur le sol contre le mur et approche sa main vers mes cheveux avant de réaliser qu’elle vient de les tremper dans son urine. Elle retire sa main et m’ordonne :
–     COME SLAVE! (VIENS ESCLAVE !)
Je me redresse et la suis à travers les différents étages. Nous arrivons au niveau des espaces à cellules, et nous dirigeons vers les toilettes. Arrivées devant la porte, elle me demande de me mettre à quatre pattes avant d’entrer. Je prie pour qu’elle ne me fasse pas lécher le sol à l’intérieur, je n’ose pas la supplier de peur que cela ne lui donne l’idée de me l’imposer. Je suis soulagée lorsqu’elle dit :
–     BACK 2 MINUTES! (RETOUR 2 MINUTES !)
A peine entrée, elle referme la porte derrière moi en restant à l’extérieur, probablement pour s’éviter les odeurs de cet espace. Je préfère rester à quatre pattes malgré le dégoût de peur de recevoir une punition de sa part si elle décide de vérifier mon comportement. Je me dépêche afin de pouvoir repartir le plus rapidement possible, et pas uniquement à cause des deux minutes qu’elle m’a données. A peine ressortie, nous partons sans attendre en direction des cellules. Elle me trouve rapidement un matelas libre sur lequel elle me place avant de me quitter. Je ne sais pas vraiment quelle heure il est, mais je pense qu’on doit être en début d’après-midi. Malgré le réveil anticipé de ce matin, j’ai de la peine à trouver le sommeil.
Je ne sais pas vraiment si j’ai somnolé, dormi ou si je suis restée réveillée, mais une autre maîtresse vient me chercher à son tour. Je ne la connais pas non plus, mais elle me fait passer la fin de la journée comme ce matin, essentiellement occupée par du nettoyage.
Les jours suivants sont tous très similaires, à travailler au nettoyage, aux cuisines ou à d’autres tâches de service comme la lessive ou les déchets. J’avoue perdre chaque jour un peu de ma motivation à devenir une meilleure esclave, j’ai l’impression que les journées se répètent sans vraie différence, sans sentiment, juste de façon monotone. La tendresse de Maîtresse Rebecca me manque, la justesse de Maîtresse Anja aussi. Et évidemment, l’amour de Maîtresse Claire me manque plus que tout, j’espère qu’elle pense encore à moi, j’espère qu’elle tient encore à moi.
Ce matin c’est Maîtresse Anja qui vient me réveiller, ce qui me réjouit. Malheureusement, elle n’a pas l’air autant heureuse de me voir que moi. Son visage est très neutre, trop, elle n’a pas son habituel petit sourire cruel. Les premiers mots que j’entends aujourd’hui sont :
–     Move, quickly, she is waiting for us! (Viens, rapidement, elle nous attend ! )
–     Yes Mistress Anja (Oui Maîtresse Anja. )
Je me relève et commence à me demander qui nous attend. Peut-être Rebecca, elle souhaite peut-être à nouveau m’avoir comme soumise dédiée. Cela me plairait beaucoup, sortir de ces journées de travail répétitif pour retrouver sa tendresse et sa douceur. Ou peut-être Lucie… non pas Lucie… ce n’est pas possible que ce soit elle… elle m’avait dit qu’elle s’était arrangée avec d’autres maîtresses pour me remettre en confiance avant de me casser à nouveau… cela peut aussi expliquer que Maîtresse Anja semble différente aujourd’hui, elle voulait peut-être juste me remettre en confiance avant de m’offrir à nouveau à Lucie… je ne veux pas, je ne peux pas retourner vers elle… Alors que nous marchions, je m’arrête soudainement et ajoute :
–     I can’t go to her… I won’t go to her again… (Je ne peux pas retourner vers elle… je ne retournerai pas vers elle… )
–     Come on, don’t behave like that, don’t make me punish you! (Allez, ne te comporte pas comme ça, ne me force pas à te punir ! )
Alors qu’elle me prend par le bras et commence à me tirer en avant, je lui résiste et essaie de me libérer. Elle reprend :
–     What the fuck are you doing? You knew this day will come ! (Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu savais que ce jour allait arriver )
–     No I won’t go back, lock me, hurt me, I don’t care, I won’t go back to her. (Non je n’y retournerai pas, enfermez-moi, punisssez-moi, je m’en fiche, je ne retournerai pas auprès d’elle. )
–     Listen slave! I don’t care who is waiting for you back home, or how they treat you there, one way or the other you will go back to your owner! (Ecoute-moi esclave ! Je me fous de qui t’attends chez toi, ou de comment ils te traitent là-bas, d’une façon ou d’une autre tu vas retourner chez la personne à qui tu appartiens. )
–     She doesn’t own me ! I am not Lucie’s slave ! (Je ne lui appartiens pas ! Je ne suis pas l’esclave de Lucie ! )
–     What are you talking about? Who said anything about her? We need to process your exit for you to go home! (Mais de quoi tu parles ? Qui a parlé de Lucie ? On doit faire ton processus de sortie pour que tu retournes chez toi. )
–     You are not bringing me back to Lucie Mistress Anja? (Vous ne me ramenez pas auprès de Lucie Maîtresse Anja ? )
–     Why would I bring you to her? I thought you were one of the girls who wanted to go home. (Pourquoi est-ce que je te ramènerais auprès d’elle ? Il me semblait que tu étais une de celles qui veulent retourner chez elles. )
La violente gifle qu’elle m’administre m’empêche de complètement réaliser ce qu’elle vient de me dire. Elle ajoute directement :
–     Now hurry! (Maintenant dépêche-toi. )
Nous arrivons en quelques minutes devant le bureau de la directrice. Maîtresse Anja frappe à la porte qui s’ouvre quelques secondes plus tard. Nous nous plaçons devant le bureau jusqu’à ce qu’elle dise :
–     Sit slave! There is something you need to see. (Assieds-toi esclave ! Il y a quelque-chose qu’il faut que tu voies. )
Je me place sur la chaise alors qu’elle tourne l’écran de son ordinateur vers moi. Celui-ci affiche une vidéo d’une chambre vide. Quelques secondes après le début de la vidéo, on y voit la porte s’ouvrir, Ilaria entrer dans la pièce et rapidement se diriger vers la salle de bain. Elle en ressort quelques secondes plus tard, ouvre l’une des armoires et en sort les vêtements qu’elle portait il y a quelques jours. J’essaie rapidement de me défendre en disant :
Mais je suis immédiatement interrompu par sa réponse :
–     Slaves speak only when asked to speak! (Les esclaves ne parlent uniquement lorsqu’on leur demande de parler !)
La vidéo continue, on y voit Ilaria sortir de la chambre prendre une ou deux minutes avant de revenir avec la soumise. A peine la porte fermée, elle la gifle et pointe le sol du doigt. Une fois la soumise à genou devant Ilaria, elle lui tend sa main gantée pour qu’elle l’embrasse avant de lui indiquer de baiser ses bottes. Elle continue ensuite par lui administrer quelques coups de canne et de martinet. On la voit ensuite forcer la soumise à lui donner du plaisir avec sa langue entre les gifles qu’elle reçoit chaque 2 ou 3 minutes. La directrice tourne son écran alors qu’Ilaria est toujours en train de profiter de la soumise et ajoute :
–     I don’t need to show you, you can guess that we also see you in this recording. Before you speak, let me tell you how this day will continue. You have two options. Option number 1, you show me that you are a good slave, you will be cleaned, dressed, and a bit later today you are going to meet your owner and go back home. She is already on her way. Option number 2, you show us that you want to encourage bad behavior and that you are not ready to go back to your owner. I will call her, tell her that we made a mistake, that you are a big disappointment and she should go back home alone, and leave you with us a bit longer. What option do you prefer? (Je n’ai pas besoin de te montrer, tu peux deviner qu’on te voit aussi dans cet enregistrement. Avant que tu ne dises quoi que ce soit, laisse-moi t’expliquer comment le reste de la journée va se passer. Tu as deux options. Option numéro 1, tu me montres que tu es une bonne esclave, tu seras lavée, habillée, et un peu plus tard dans la journée tu retrouveras ta propriétaire et tu retourneras chez toi. Elle est déjà en route. Option numéro 2, tu nous montres que tu préfères encourager de mauvais comportements et que tu n’es pas prête à retrouver ta propriétaire. Je l’appellerai, lui dirai que nous avons fait une erreur, que tu es une grande déception et qu’il est mieux qu’elle retourne chez elle seule, et te laisse avec nous un peu plus longtemps. Quelle option est-ce que tu préfères ? )
Je reste choquée, je ne pensais pas revoir cette scène, je n’avais jamais vu aucune caméra dans les chambres. Je ne sais pas vraiment non plus ce qu’elle attend de moi puisqu’elle a déjà plus que ce que je sais de ma courte visite dans la chambre avec Ilaria. Sans que je ne lui réponde, elle reprend :
–     It doesn’t seem to be a difficult choice to me. What do you think Anja? (Personnellement cela ne me semble pas être un choix difficile. Qu’est-ce que tu en penses Anja ? )
Maîtresse Anja se tourne vers moi et ajoute :
–     Be a good girl, show us you deserve to go back home. I thought it was what you wanted, become a good slave, make your owner proud of you. (Sois une brave fille, montres nous que tu mérites de retourner chez toi. Je pensais que c’est ce que tu voulais, devenir une bonne esclave, rendre ta propriétaire fière de toi. )
Je réponds sans vraiment en comprendre les conséquences, la seule chose que je me dis c’est qu’elle savent déjà tout, donc ça ne sert à rien de leur résister :
–     I want option 1, I want to be a good slave. (Je veux l’option 1, je veux être une bonne esclave.)
–     I think that’s a wise decision. What would a good slave, a slave deserving to go back to her mistress, do when she sees something like this? (Je pense que c’est une bonne décision. Qu’est-ce qu’une bonne esclave ferait, une esclave méritant de retourner auprès de sa maîtresse, lorsqu’elle voit une scène comme celle-ci ? )
–     She would come and tell you what she saw Mistress. (Elle viendrait vous voir et vous dire ce qu’elle a vu Maîtresse. )
–     That’s good… I want to give you a chance to be this good slave. Both of you are going to leave my office, and come back in immediately. When you come back, we will pretend this happened yesterday, and the good slave you are asked to see me. Does it make sense to you?  (C’est
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