Une salope veut son permis à tout prix

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Une salope veut son permis à tout prix
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Une manifestation de prostituées à Paris, le 18 mai 2012 (T.EMEK/SIPA)
PROSTITUTION. Il est assez déroutant de constater que, de nos jours encore, certaines personnes s’enferment dans un positionnement moralisateur dès que l’on évoque la question de la prostitution. Un certain héritage judéo-chrétien (la chair relève du pêché) et un ethnocentrisme bien ancré dans les consciences ne sont pas pour rien dans cette approche répandue au sein de la droite conservatrice, bien entendu, mais également et dans une large mesure à gauche.
La personne prostituée peut-elle être libre ?
Ces personnes considèrent en quelque sorte que le corps est sacré et que, subséquemment, l’acte sexuel l’est soit tout autant (la rencontre de deux corps sacrés ne peut qu’être sacrée), soit il constitue une souillure voire une dégradation du corps (le péché de luxure, évoqué plus haut). Dans les deux cas de figure, toute pratique sexuelle tarifée, même consentie, est alors jugée indigne (soit parce qu’elle viole le sacré relatif à l’acte sexuel lui-même, soit parce qu’elle "profane" le corps sacré).
La personne qui se prostitue est de ce fait perçue nécessairement comme une salope (une tentatrice, une corruptrice) ou une victime (qui d’un proxénète, qui de la société, qui d’une aliénation économique quelconque, etc.), tandis que le " prostitueur " (i.e. le client, selon la terminologie d’un certain féminisme) est un dépravé, un salaud obscène, voire un pervers ou un malade.
Si l'on suit cette logique jusqu’à son terme, le seul modèle valable serait donc le prohibitionnisme, c’est-à-dire l’interdiction totale de la prostitution, pratique condamnée moralement, par le biais de la pénalisation non seulement des proxénètes, mais également des clients de la prostitution et des personnes prostituées. Une version plus nuancée de ce positionnement tiendrait d’une forme de néo-abolitionnisme tel que pratiqué dans certains pays nordiques : les personnes prostituées sont alors toujours considérées comme des victimes, et seuls les proxénètes et les clients sont pénalisés tandis que les pouvoirs publics tendent à protéger les personnes prostituées.
À mes yeux, ce dernier modèle relève d’une hypocrisie malsaine, voire d’une "politique de l’autruche", qui ne règlera en rien les problèmes inhérents à la prostitution, telle qu’elle se pratique aujourd’hui en France : si l’on juge la prostitution moralement répréhensible et contraire aux droits des personnes, la seule position qui nous paraît cohérente, bien que nous ne la partagions pas, est le prohibitionnisme.
Une prostituée est-elle vraiment moins libre qu'un ouvrier ?
Non, pratiquer le sexe n’est pas quelque chose de sale et répréhensible. Le vagin, le phallus, l’anus, etc. doivent certes rester des parties intimes de l’anatomie, mais n’ont rien de plus sacré que les mains d’un potier, les pieds d’un footballeur ou les bras d’un maçon.
Non, la prostitution non-contrainte ne relève pas d’une marchandisation du corps humain telle qu’on l’entend de nos jours. Le corps humain d’une prostituée libre et volontaire n’est pas plus marchandé que celui d’un acteur pornographique, d’une strip-teaseuse, d’un mannequin, d’un masseur, voire même d’un ouvrier manuel (ne marchande-t-il pas lui aussi, si l’on entre dans cette logique, sa force de travail physique, et donc in fine son corps ?). Les travailleurs du sexe non-contraints sont par ailleurs libres de choisir les pratiques sexuelles et les clients qu’ils refusent.
Des prostituées en vitrine à Prague, sur le modèle du célèbre quartier rouge d'Amsterdam (V.SIMANEK/AP/SIPA)
Non, la prostitution n’est pas nécessairement indigne voire immorale : qu’y aurait-il d’immoral à donner du plaisir à quelqu’un de façon consentie et volontaire, même contre rémunération ? Qu’y aurait-il d’immoral à donner du plaisir, même contre rémunération, à une personne en situation de handicap dont c’est là la seule chance d’avoir des pratiques sexuelles (certains n’étant même pas capables de se masturber par eux-mêmes, alors que tous ou presque ont les mêmes besoins que les personnes valides, et la même activité hormonale) ? Qu’y aurait-il d’immoral même, à permettre à des gens mal dans leur peau ou dans leur tête, parfois simplement inhibés, d’avoir un rapport sexuel avec un ou une adulte consentante contre quelques billets ?
N'y a-t-il que la prostitution qui fait du corps un marché ?
Si l’on juge cela fondamentalement immoral, c’est qu’il faut en revenir à la distinction entre érôs et philía, et à la nuance entre "avoir une relation sexuelle" et "faire l’amour". Si c’est l’argent qui entre en jeu qui est jugé immoral, il l’est alors tout autant quand il s’agit de la pornographie, du strip-tease, voire même du mannequinat et de toutes les professions qui ont trait de près ou de loin à une forme d’exploitation économique du corps humain, quelle qu’elle soit.
Or, a-t-on jamais entendu quelqu’un proposer d’interdire le porno , les clubs de strip-tease ou les défilés de mode, à part chez les tenants rétrogrades de la pire des réactions (au sens politique du terme) ? Non, définitivement, l’argument moral ne tient pas : si des personnes sont gênées de telles pratiques, rien ne les oblige à en faire usage, mais leur point de vue moralisateur et normatif ne doit en aucun cas venir entraver la liberté individuelle de ceux qui souhaitent vaquer à ces occupations que d’aucuns jugent peu glorieuses.
Non, la personne prostituée n’est pas nécessairement une victime d’oppression et, en conséquence, la femme prostituée une victime de violence faite aux femmes. D’ailleurs, on ne compte plus les témoignages sincères de personnes prostituées qui se disent et paraissent épanouies dans leur travail même après des années de prostitution (je parle bien là de personnes prostituées émancipées de toute contrainte) : à cet égard, le documentaire "Les travailleu(r)ses du sexe" de Jean-Michel Carré casse tous les préjugés en nous délivrant sans fard les déclarations d’hommes et de femmes prostitués et fiers de l’être.
La bande-annonce du documentaire "Les travailleu(r)ses du sexe", par Jean-Michel Carré (Les films du grain de sable)
Même si de tels cas étaient (et sont probablement) largement minoritaires parmi les travailleurs du sexe, les principes de tolérance et de respect des libertés individuelles voudraient que l’on reconnaisse à ces personnes le droit le plus complet de pratiquer la prostitution, si elles le souhaitent. Le jugement moral n’a pas à entrer en considération, nous l’avons dit, d’autant plus qu’il est porteur de stigmatisation et de préjugés d’un autre âge.
Bien entendu, il est nécessaire de lutter plus que farouchement contre tout ce qui relève de la prostitution contrainte, du proxénétisme (profit tiré de la prostitution d’une personne tierce, ou favorisation de celle-ci), voire de la traite des êtres humains : pour cela, il faut renforcer les moyens d’investigation et de renseignement, particulièrement au niveau européen, afin notamment de démanteler les réseaux de l’esclavage et du tourisme sexuel, et de combattre sans vergogne l’exploitation sexuelle des mineurs.
La prostitution doit relever uniquement d’un acte consenti, délibéré et volontaire, et la personne prostituée, nécessairement adulte, ne doit pas dépendre, par quelque contrainte que ce soit (rétention de papiers d’identité, rétorsion financière, hébergement, etc.), d’une tierce personne. Sur ce dernier point, tous les individus attachés aux droits et à la dignité humaine peuvent se retrouver.
Abolir la prostitution est une utopie contre-productive
La France s’est depuis une cinquantaine d’années engagée dans une politique abolitionniste, à tel point qu’on en vient aujourd’hui à envisager la pénalisation des clients de la prostitution, après avoir pénalisé le racolage passif (en 2003) . De telles mesures, alors que la prostitution en tant que telle demeure légale, ne font qu’accroître la clandestinité et la précarité des personnes prostituées, qui sont dès lors obligées de se cacher des forces de l’ordre en fuyant les centres-villes, en pratiquant leurs "services" dans des lieux isolés ou fortement inappropriés, ce qui accroît d’autant leur fragilité sanitaire et les risques pour elles de se faire agresser, voire violer. Est-ce vraiment là l’objectif recherché ?
En conséquence, l’abolitionnisme n’est pas, à mes yeux, une solution : il entretient la confusion, il détourne le regard d’une réalité pourtant existante, et il poursuit, in fine, l’objectif de disparition de la prostitution qui nous semble irréaliste et dogmatique. De la même façon, le prohibitionnisme est nécessairement utopique : on aura beau interdire la prostitution, celle-ci continuera de se pratiquer illégalement, dans des conditions encore plus précaires et périlleuses qu’aujourd’hui. Tout libertaire considérera en outre que le prohibitionnisme est une atteinte au droit de chacun de disposer de son corps comme il l’entend (i.e. à se prostituer s’il le souhaite, et que cette prostitution n’est assujettie à aucune contrainte).
Une manifestation de prostituées à Paris, le 18 mai 2012 (T.EMEK/SIPA)
Certains relèveront que la prostitution peut paraître consciemment choisie par un individu, mais relever inconsciemment d’une aliénation économique (la personne se prostitue pour gagner sa vie). Certes, mais une telle aliénation n’est pas inhérente à la prostitution : elle touche toutes les professions, et je considère même qu’elle est moins susceptible de toucher les personnes qui se prostituent volontairement que certains autres travailleurs qui ne choisissent pas leur métier.
Le choix de la prostitution demeure, à considérer le regard réprobateur que porte la société sur cette pratique, un choix difficile, transgressif, et relève sans aucun doute d’une décision réfléchie pour celles et ceux qui s’engagent dans une telle voie sans contrainte. Cela n’interdit pas de lutter contre l’aliénation économique qui pourrait mener à un tel choix par défaut (ou "faute de mieux"), mais il s’agit là d’un tout autre sujet (lutte contre le chômage, revalorisation des bas salaires, allocation d’autonomie pour les étudiants, etc.).
Réglementer la prostitution libre : la solution la moins néfaste
Puisqu’il est d’une part anti-libertaire, et d’autre part et quoi qu’il en soit rationnellement impossible d’anéantir la prostitution, et au vu des nombreux problèmes qu’entraînent les conditions actuellement très instables dans lesquelles les personnes prostituées officient, il nous paraît raisonnable et pragmatique d’opter pour une option plus réglementariste. Puisqu’on ne peut éviter la prostitution, autant l’encadrer administrativement afin de protéger les personnes prostituées et de leur offrir de meilleures conditions d’exercice, plus protectrices, notamment sur les plans juridique, sanitaire et social.
Par ailleurs, cela permettra d’assurer que la prostitution en question soit choisie et non-contrainte. Une telle orientation n’empêche en aucun cas de mener une politique de prévention et d’éducation déterminée, afin notamment de rappeler aux jeunes générations que le corps humain n’est ni une marchandise, ni un objet, mais aussi que les personnes prostituées ne doivent en aucun cas être victimes de stigmatisation, de marginalisation ou d’exclusion.
Ce choix du réglementarisme pragmatique doit conduire à une large consultation des associations regroupant des personnes prostituées, afin de définir la forme la plus adaptée de réglementation. Plusieurs pistes se dessinent. Le refus du proxénétisme (non négociable à mes yeux) conduira nécessairement à un système relevant du service public (maisons closes gérées par la puissance publique), de l’autogestion (maisons closes coopératives, par exemple) ou de l’exercice en profession libérale (dans un local dédié). L’organisation pourrait encore relever de ces trois principes en les faisant vivre en parallèle ou de façon imbriquée.
Dans le même temps, devra être prohibée toute prostitution en dehors des lieux autorisés et menée une lutte sans merci contre la prostitution clandestine, qu’elle soit contrainte ou non. L’objectif premier de cette réglementation devra quoi qu’il en soit demeurer la protection des personnes prostituées et le respect de leurs droits, ce qui amènera à l’établissement d’un cadre économique viable et d’un statut juridique clair, à l’assurance de conditions d’exercice dignes sur un plan sanitaire (contraception et protection contre les IST, hygiène, suivi médico-social, contrôles sanitaires, etc.) et sûres sur un plan physique (exercice en lieu clos assurant une meilleure protection que le tapinage, présence de vigiles dans la cas de maisons closes, par exemple), ainsi qu’à la mise en place d’un système de protection sociale garantissant notamment aux travailleurs et aux travailleuses du sexe une couverture contre la maladie et les accidents du travail fiable tout comme une retraite digne.
Bien évidemment – c’est une lapalissade mais elle mérite d’être réaffirmée –, le réglementarisme n’est pas une solution miracle, et sa mise en œuvre nécessitera, en parallèle, des politiques publiques (de contrôle, de prévention, d’éducation, de répression, etc.) déterminées et d’une bien plus grande ampleur que celles qui sont menées actuellement.
Il faudra en outre veiller à ce que la réglementation de la prostitution en France ne favorise pas le tourisme sexuel, comme ce fût le cas aux Pays-Bas. Pour cela, il sera indispensable soit de trouver une solution juridique (interdire les clients étrangers, sauf ceux ayant un titre de long séjour, par exemple), soit de coordonner la réglementation au niveau européen, et dans l’idéal, au niveau mondial, afin d’éviter l’afflux dans les pays réglementaristes de clients de la prostitution.
http://www.lemonde.fr/style/article/2011/12/23/pays-bas-flop-de-la-legalisation-de-la-prostitution_1621755_1575563.html

Extrait :
"AUJOURD'HUI, DE 50 À 90 % DES "TRAVAILLEUSES" actives derrière les vitrines ou dans les "salons de massage" le feraient sous la contrainte. Et dans le quartier De Wallen, la célèbre "zone rouge" d'Amsterdam, seules 2 % des quelque 6 000 prostituées avouent aimer leur travail, a indiqué une enquête. De nombreuses femmes originaires d'Afrique, d'Europe de l'Est et d'Asie se voient toujours confisquer leur passeport à l'arrivée et sont contraintes de se livrer à de "l'abattage" en échange de quelque 2 000 euros par mois pour les plus chanceuses. Un souteneur gagnerait, lui, en moyenne 500 000 euros par an en maintenant plusieurs femmes sous sa coupe."
Un excellent épisode de l'émission Strip Tease. Je suppose, dès lors que ces femmes sont consentantes et "libres", que vous n'y voyez pas non plus d'inconvénient ?
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/06/30/une-filiere-de-prostitution-chinoise-decouverte-a-lyon

Un exemple d'une "volontaire"...

Extrait pour ceux qui auront la flemme de cliquer sur le lien...
"L’analyse de son téléphone montre que seules les bornes de l’immeuble se sont déclenchées. Preuve qu’elle n’est jamais sortie en trois semaines. D’ailleurs, elle ne disposait même pas des clés ! "
Une prostituée n'est pas nécessairement une victime...
Pas nécessairement ...
Rien de plus NORMAL ;-))
Ceux et celles qui vivent de la prostitution défendent leur gagne-pain.
Hier devant l'Hotel de Ville de Lyon.
La dame qui s'en prend à Hollande est une menteuse: Hollande n'est ni un proxo,
ni un client ,ni un attaché de presse de la profession ...A ma connaissance;-))
J'avais déja lu Rue 89Lyon.
Avez vous lu les "conditions de travail" de la femme dans l'arrticle du Progrès?
J'en doute; mais l'extrait suffit pour donner une idée.
Certes nous gagnons correctement notre vie et ça en dérange beaucoup, mais nous remplissons un rôle social éminemment positif, certainement bien supérieur à toutes ces pseudo féministes qui cherchent à nous éradiquer.
Cette gauche moralisatrice et bien pensante, tous ces culs-bénis à commencer par Najat Vallaud-Belkacem me donnent la nausée.
J'aimerais qu'on me laisse bosser en paix, m..... !
Je repose une question aux personnes qui ont un cerveau en état de marche: avez vous déja vu un gosse de riches pratiquer la boxe?
Bien conscient de la terrible misère et déshérence sexuelle que traversent hélas une grande partie de ses administrés masculins, le Gouvernement de "Gauche libérale", qui reste Humain avant tout, aurait décidé, dès l'application de la loi de prohibition de la prostitution de faire produire et distribuer en grand nombre des poupées gonflables à l'effigie de Najat et Aurélie (les deux inénarrables "Poms Poms Girls de la gauche libérale") à l'ensemble des clients pris en flagrant délit par les services de police, et ce en guise de thérapie à suivrerégulièrement, et de lot de consolation (en contre partie de l'amende).

Cette mesure aura un double effet bénéfique, d'une part relancer l'industrie française du latex, mais également fidéliser les élues auprès de leurs administrés.

Projet à confirmer.................Mais le Changement c'est Maintenant !!!
Le Gouvernement de "Gauche Libérale" et sa mielleuse VRP Najat Belkacem, savent très bien que la Prostitution ne disparaitra pas en France, prohibition ou pas, il y aura toujours de la prostitution.

Ils veulent seulement, sous couvert de menées "Droit de Lhommistes" prendre un ptit billet au passage.

Vous me direz c'est de bonne guerre, et à lire le livre de Pierre Péan "Mister K" d'autres docteurs sans frontières et humanitaires ont également pris leurs ptits billets sur des grandes causes humanitaires.

Faut bien vivre les amis, faut bien vivre.
Coluche est de retour les amis :

"C'est l'histoire d'une fille qui fait le trottoir et qui un beau matin rencontre une élue de la "Gauche Libérale" et de la Diversité, qui lui dit que pour son Bien, il lui est interdit de travailler. Ne pouvant plus gagner son pain en période de grave crise économique et aucun emploi à la clé, elle commence donc à mendier, mais là elle recontre un élu de la "Droite Libérale", style Lellouche, qui lui dit ma fille il est interdit de mendier.............

Elle est vraiment perdue la fille"................c'est bien la Politique, c'est très bien......lol.....aucune issue, aucune.
@Maryse,
Lisez mon témoignage, Maryse.
Lorsque je me "prostituais" (mis entre guillemets car ce n'est pas ce qui me motivais), j'avais pourtant un boulot et un salaire plus que dignes. L'un n'empêche pas l'autre.
Rien à voir avec l’appât du gain ou un quelconque statut social à échanger avec le fait de vendre son corps.
J'ai conscience de faire partie d'une infime minorité, mais essayez d'éviter de mettre tout le monde dans le même sac.
J'avais le choix...
Le problème de Maryse, est qu'elle veut à tout prix que son "Modèle Dogmatique à la Auguste Comte, genre Positivisme à outrance" s'applique absolument et en tout point à la réalité terrain.

Or, il n'en est hélas, rien, et beaucoup de témoignages ainsi que la réalité elle-même (des traffics et de l'insécurité qui augmentent toujours en phase de prohibition), démentent ce Modèle dogmatique.

C'est toute la différence entre la "Pensée Exacte et Scientifique" (Réalité Physi
Une MILF qui apprend sur le latex et la douleur
Une belle nana à poitrine fabuleuse reçoit des tonnes de foutre d’un vicieux sur ses seins
Jouir avec un gode dans son cul

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