Une rencontre pas comme les autres

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Par celine-villette



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23 juillet 2020






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Le week-end s’annonce réjouissant pour Cécile. Son cousin Lucien l’a invité à les rejoindre lui et deux de ses amis dans un village du bord de la Méditerranée. Malgré sa timidité face aux inconnus, Cécile a accepté. Elle prépare son bagage avec soin pour partir de Lyon ce vendredi soir après sa journée de travail. Afin qu’elle puisse retrouver Lucien et sa bande, ce dernier lui a confié le numéro de téléphone de celui qui va véhiculer les autres, Francis. Ça la fait marrer ce prénom qu’elle considère vieillot parce que c’est le même que celui de son père.
Il est maintenant l’heure de partir. Elle prend son courage à deux mains pour appeler Francis et convenir du lieu de rendez-vous. Une sonnerie, deux, trois. Allo ? Le cœur de Cécile s’emballe au son de sa voix chaude, grave, envoutante. Perturbée, elle se présente comme la cousine de Lulu. Elle l’entend lui répondre qu’il sera ravi de la retrouver à vingt-deux heures à la sortie de l’autoroute. C’est la main tremblante qu’elle raccroche, encore sous le choc. A quoi peut bien ressembler ce jeune homme avec une si belle voix ?
La valise dans le coffre, Cécile prend la route. Elle en a pour deux heures et demie à rouler au son du trip-hop que crachent les mauvais haut-parleurs de sa petite Ford Fiesta. Ses pensées vagabondent au fil des kilomètres. Lulu lui a expliqué que Francis travaille en Afrique, comme lui. Il est de passage en France à l’occasion de ses congés. Selon son cousin, elle l’a déjà rencontré il y a quelques années. Elle a beau chercher, elle n’en a aucun souvenir. Elle ne lui avait sans doute pas prêté attention du fait de leur différence d’âge, trois ans à peine. Quand on a vingt ans les années comptent, à vingt-six un peu moins.
Il fait nuit. Cécile arrive au point de rendez-vous convenu avec quelques minutes d’avance. Bien que la présence de Lulu la rassure, elle stresse un peu à l’idée de faire connaissance avec « Belle voix ». Elle attend. Pas longtemps. A l’heure dite elle perçoit de la musique techno qui semble émaner d’une voiture semblable à la sienne. Le son s’approche, le véhicule s’arrête. Elle reconnait son cousin, ce sont bien les trois garçons. Le conducteur sort. Il est grand, mince, les cheveux noirs tout comme ses yeux. Cécile est sous le charme ; c’est Lui. Il est aussi beau que sa voix est sensuelle.
Lulu les présente. C’est l’estomac noué qu’elle fait la traditionnelle bise à Francis. Il fait bien une tête de plus qu’elle. Sa joue est douce, son parfum suave. Jamais elle n’avait ressenti une telle attirance pour un homme.
Les deux voitures redémarrent pour se rendre chez Jean, le deuxième pote. Lulu à ses côtés, Cécile suit les deux autres compères. Encore toute retournée, elle interroge son cousin.
« – Tu les connais depuis longtemps ?
– Oh là, oui ! On s’est rencontrés au bahut, à Meymac.
– Oui, c’est ça. On était collocs. J’te raconte pas les soirées qu’on a pu faire ensemble.
– J’imagine. Et le programme du week-end, c’est quoi ?
– On va chez Jean et après on avise.
Arrivés à destination, le trio s’affaire autour de Cécile pour décharger son véhicule et lui montrer la chambre qui lui est allouée. Le calme revenu, tout le monde se retrouve au salon pour boire le verre de l’amitié. Les garçons sont charmants mais Cécile transpire. Elle est dans ses petits souliers. Elle ne peut pas s’empêcher de regarder Francis. Quand elle croise son regard, le rouge lui monte aux joues. Elle ose à peine parler et se contente de répondre aux questions qu’on lui pose. Elle se sent tellement nulle ! Heureusement, Lulu est là pour faire le pitre.
C’est décidé, la petite bande part prendre un verre en ville à quelques kilomètres de là. C’est Francis qui pilote et invite Cécile à s’assoir à ses côtés. Sa main sur le pommeau du levier de vitesses ; elle est belle. Une grande main mate, fine, aux ongles soignés, une large bague en or au majeur. Son cœur palpite. La musique couvre son silence assourdissant.
La troupe tombe d’accord pour investir un bar un peu glauque. Cécile s’installe à une table poisseuse face à son cousin, à côté de Jean. Francis est au comptoir pour commander les boissons. Elle tourne la tête pour le voir et croise son regard posé sur elle. Mains moites et respiration courte, elle est terriblement gênée. Que lui arrive-t-il ? Ce garçon la met sens dessus dessous. Malgré tout, la conversation animée de ses comparses la détend un peu.
C’est dans une boite de nuit de bord de mer que la soirée se poursuit. Jean connait les lieux par cœur et fend la foule devant le reste de la troupe. La fête bat son plein, la musique est assourdissante, les stroboscopes éclairent les mouvements saccadés des danseurs. Il fait terriblement chaud. C’est alors que Francis lui prend la main pour la conduire entre les fauteuils et les fêtards. Sa main est chaude, douce, rassurante ; Cécile se sent protégée. Francis danse. Elle le dévore des yeux. Elle aime sa façon de bouger, nonchalante et rythmée. Il l’invite sur la piste. Cette fois, c’est lui qui ne la quitte plus des yeux.
Le week-end s’étire mollement et déjà il est l’heure de rentrer. Cécile et Francis ont échangé leurs numéros de portable et c’est le cœur serré qu’elle le regarde partir en premier.
Une année s’est écoulée. Cécile a vingt-sept ans. Elle enfile sa robe blanche avec précaution pour ne pas abimer sa coiffure raffinée. Ses doigts aux ongles délicatement peints caressent la soie sauvage qui ondule derrière elle. Son père l’invite à monter dans la voiture pour la conduire à la mairie. Une foule l’attend dans la cour. Emue, elle le voit. Il est là. Il l’attend dans son costume trois pièces. Dans quelques minutes elle va dire oui à Francis.
Encore!!!!! J’attend la suite de cette histoire romanesque
rassurez vous Elodie, elle dure encore, et encore …
Que d’émotions et Amour dans cette histoire !
Il me semble que c’est un coup de foudre qui dure encore.
Quel beau cadeau pour son amoureux !
Ce n’est pas de moi, mais j’ai trouvé cette citation très belle et en cohérence avec ton texte :
Amour velours – amour d’un jour – amour toujours – amour tout court.
Vazquez Isabelle
La larme à l’œil, quelle belle histoire
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8 août, une date qui restera gravée…
Je profitais de cette journée en compagnie de ma famille. J’étais en vacances et nous fêtions l’anniversaire de ma mère.
En fin de journée, j’ai reçu un message de S.
Pour tout vous dire, malgré toutes mes réticences à ce sujet, je m’étais inscrite sur un site de rencontre quelques mois auparavant. Et je dois bien avouer que j’ai fait la connaissance de personnes très sympathiques. Mais pour moi, tout était clair, le but n’était absolument pas de me mettre en couple.
J’avais déjà échangé quelques messages très succincts avec S quelques semaines auparavant. Nous avions rapidement évoqué nos goûts communs pour la musique et il m’avait semblé très “good vibes”.
J’étais donc contente d’avoir de ses nouvelles, mais à ce moment précis, j’étais loin de m’attendre à ce qui allait se passer après.
Nous avons naturellement discuté de nos vies, de nos envies, de nos goûts et de nos peurs aussi, de nos blocages… Il m’a parlé de son métier de marin et de ce rythme si particulier auquel il était parfois difficile de s’adapter. Nous nous échangions des photos pour partager notre quotidien… Et sans même nous en rendre compte, nous avons fini par discuter tous les jours, allant presque jusqu’à installer une petite routine en fonction de ses heures de pauses, du décalage horaire et des activités de chacun.
Un lien très fort a commencé à se créer. Ce lien laissait d’ailleurs une sensation très étrange… Celle d’avoir l’impression de connaître quelqu’un sans même l’avoir rencontré… Et inévitablement, les sentiments ont commencé à se développer. Mon cœur battait plus fort quand j’entendais mon téléphone sonner, mon visage se parait d’un sourire que je n’arrivais pas à enlever lorsque je le lisais et je discutais avec lui jusqu’au petit matin sans même me sentir fatiguée (l’adrénaline vous me direz!).
Puis s’est ensuivi son lot de doutes, de peurs, de remises en question. Des “Et si… ?” à n’en plus finir!
Et si j’étais en train de me faire des idées sur ce que je vis, et s’il n’était pas sincère, et s’il n’était même pas qui il prétend être…
Mais aussi… Et si ce qu’il me disait ressentir était réel, et si c’était lui ma bouffée d’air frais, mon renouveau ! Tellement de questions sans réponses… En tout cas, pas avant qu’il ne revienne de ces deux mois en mer.
Il faut dire que lui comme moi avions des blessures sentimentales bien ancrées et nous étions en phase avec nous-même sur le fait de ne pas vouloir se lancer dans une relation amoureuse.
Mais petit à petit, l’évidence était là… Nous nous donnions envie d’être là l’un pour l’autre, envie de se soutenir, de s’épauler, de se confier et de tout partager.
Et finalement, ça s’est imposé à nous. Tout ça était presque plus fort que nous. Nous ne pouvions pas l’expliquer mais nous avions tellement de choses en commun, d’idées communes et d’envies partagées, qu’il nous semblait naturel d’écouter nos cœurs (et uniquement nos cœurs). Après tout, pourquoi ne pas se laisser surprendre par ces sentiments si agréables…
Nous avons donc commencé à planifier son retour et à imaginer la façon dont on aimerait passer notre temps ensemble. Et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il avait réservé un week-end en amoureux, comme pour sceller notre première rencontre. Il avait d’ailleurs décidé de venir directement chez moi avant même de rentrer chez lui (sûrement l’impatience après tout ce temps passé à se découvrir à travers nos messages…)
La machine était lancée… Plus de marche arrière possible ! Une fois dans le train du retour et sentant LE moment approcher, il m’a envoyé un message pour partager avec moi ce sentiment de stress et de timidité qui grandissait en lui à l’approche de la rencontre. Et encore une fois, ses mots n’ont fait que me rassurer car je savais que nous étions tous les deux dans le même état d’esprit ! Ce mélange d’impatience, d’appréhension et de timidité avait fait battre mon cœur comme rarement…
Puis arriva ce moment où nos regards se sont croisés pour la première fois… Une explosion, un feu d’artifice, le temps qui s’arrête… C’est ce à quoi vous vous attendiez peut-être… Eh bien non ! Je tiens quand même à rappeler que la vie se passe rarement comme dans une comédie romantique, même si, à mon grand bonheur, on arrive parfois à s’en approcher… A cet instant, nous étions plutôt gênés, un peu maladroits et très timides… Mais mon naturel enjoué a pris le dessus et, après un petit bisou échangé rapidement, nous avons pris le chemin de la maison.
Sur le trajet, j’ai tenté de le détendre car finalement, il était beaucoup plus stressé que moi (et j’ai trouvé ça tellement mignon !). C’est une fois arrivés chez moi que j’ai pu retrouver cette complicité qu’on avait partagée à travers nos messages. Nous nous sommes “trouvés” à ce moment-là et tout ce qui a suivi a été d’une fluidité incroyable ! Comme la concrétisation de ces sentiments qui avaient évolué avec le temps et rempli nos cœurs…
La suite ? Notre premier week-end en amoureux (qui nous a comblé de bonheur), la découverte de nos vies respectives, de nos familles, de nos amis, de tout ce qui fait de nous ce que nous sommes. Des rires, des fous rires, des joies, des peines, de la passion et tellement d’amour !
J’ai aujourd’hui conscience de l’incroyable chance que j’ai d’avoir trouvé mon âme complémentaire, et je profite de chaque instant passé à ses côtés !
Pour conclure, si vous ne deviez retenir qu’une seule chose, ça serait… n’ayez pas peur et laissez-vous surprendre ! Les surprises ont tellement de belles choses à offrir !
Et surtout, n’oubliez pas de rire !
J'ai 36 ans, un garçon de 10 ans et un amoureux marin (officier dans la marine marchande sur un rythme 2mois/2mois).

Je suis responsable de secteur dans une société de nettoyage industriel. Ce n'est pas un emploi passion mais ça me convient pour le moment par rapport à mon rythme de vie actuel.

J'ai fait partie d'une troupe théâtrale pendant 7 ans (et ça me manque parfois beaucoup...).

J'ai un esprit plutôt positif et je suis généralement assez enjouée dans tout ce que j'entreprends (j'aime donner de la positivité à ceux qui m'entourent).

Mais je suis aussi parfois une grande révoltée (promis je me soigne... )

Une rencontre internet pas comme les autres ! 
Ca fait quelques mois que je me suis lance sur les ''sites de rencontres'' en quete d'une relation a ''long'' terme. Apres 2rencontres nulles $ 🤪 , je ne baisse quand meme pas les bras! C'est alors qu'il m'ecrit ''tu es mon match du mois,toi et moi c'est 80% $ 😉 '' lol Oui,je suis sur match.com (avec photos, tests de personnalites, et payant !) C'est la que tout a commence... Nous vivons tous les deux aux Etats-unis, dans le meme etat(Texas). Mais je suis ne vaccances en caroline du nord avec la famille pour le moment (c'est environ 1664km).Nous parlons via emails-telephone depuis 1mois, le courant passe hyper bien. L'envie de se rencontrer etait de plus en plus forte ! Du coup, a ma grande surprise , il decide d'acheter un billet d'avion et reserver une chambre d'hotel ici en caroline du nord $ 😍 so sweet ! Voila, il arrive dans 4jours !!!! $ 🤪 Il dit qu'il va m'embrasser des qu'il va me voir...mais moi , je suis du genre timide (d'ou les rencontres sur le net) et je redoute du coup cette 1ere rencontre. $ 😅 Je veux vraiment qu'il me voiye comme quelqu'un de bien. Je ne concois pas d'embrasser quelqu'un a un 1er rencart ! (meme si il dit qu'il a l'impression qu'on se connait depuis toujours et que je le pense aussi) Vous pensez que c'est un plan cul? Ou bien c'est un gros reveur? $ 😒 Bref , je STRESS terrible !!!! J'ai besoin de conseils. A quel moment se rencontrer ? Ou aller? Comment savoir qu'on est vraiment en securite? J'ai peur meme si je suis ultra ravie de pouvoir le voir plus tot !
Tout a fait, je comprend. Mes deux premieres rencontres etaient terribles du coup maintenant je me mefie des gens assis derriere leur ordinateurs! Mais je me dis que celui ci, si il n'etait pas a la recherche de quelque chose de serieux , il n'allait pas se taper le voyage jusqu'ici. Vu que je dois retourner au texas dans un mois seulement. Sinon , je prend note, je ferai tres attention. Mais je risquerai quand meme la rencontre ! ^^ Qui ne risque rien , n'a rien , n'est ce pas? Merci NuitDesTemps $ 😋
Pourquoi dis-tu que le courant passe très bien entre vous si tu ne sais pas à quoi t'attendre de sa part, si tu ne sais pas sur quel pied danser? $ 😇
Bonjour, J'espère pour toi que tu as rencontré la bonne personne. Ceci dit attention sur Internet il y a bc de manipulateurs qui utilisent ce que tu aimes, ta psychologie pour aller dans ton sens et ensuite te manipuler, tu as sur le moment l'impression que la personne te correspond, est la personne de tes rêves parce qu’il se calque sur toi. A mon avis, le rapprochement des corps doivent se donner aussi du temps. S'il refuse ce temps c'est qu'il cherche une relation éphémère, bon tu comprends quoi... Bonne chance
Alors, il est arrivé ? Comment ça s'est passé ?
BulleOfLove , le courant passe bien. Mais je ne l'ai jamais vu en reel ! C'est ca mon probleme. Et mes dernieres rencontres etaient catastrophiques..j'ai peur que derriere son ecran,comme les precedents,il soit celui dont je reve et en reel , quelqu'un d'autre. Je suis de nature mefiante, ca me fait stresser. :/
Tu pourras en être sûre seulement quand tu le verras, quand tu t'habitueras vraiment à sa présence...rencontres le sinon tu le regretteras mais oui sois méfiante et prudente... Et n'oublies pas, ils ne sont pas tous pareils ! $ 😉 Bonne chance et tiens-nous au courant ! $ 🙂 $ 🙂


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mais une rencontre pas comme les autres !
Rrencontre annuelle des bergers et noyaux de Moselle 6 février 2021
Depuis plus de 10 ans, le premier week-end de février voit accourir vers l’institut de la Providence à Peltre une centaine de bergers, serviteurs des groupes de prière du renouveau charismatique catholique de Moselle, mais aussi des Vosges et de Meurthe-et-Moselle. La date est donc réservée et 2021 n’a pas failli. Bien sûr, pas question cette année de se retrouver physiquement, et la rencontre a été prévue et réalisée par zoom.
Dès septembre, le noyau de « Fraternité Pentecôte 57 », encouragé par les coordinateurs grand Est, dans le désir de proposer largement l’effusion de l’Esprit Saint , a travaillé avec le livre d’Olivier Belleil : « Viens Esprit Saint », afin de proposer un parcours utilisable par visio-conférence . Fin décembre, nous décidions à la fois de proposer un support technique et de faire vivre la première semaine aux bergers et serviteurs, le samedi 6 février, de 14h à 21h.
Olivier Belleil nous avait donné son feu vert mais ne pouvait être présent. Nous avons contacté trois autres enseignants qui n’ont pu répondre favorablement… alors les 7 sœurs du noyau diocésain se sont réparti le travail !
La louange était assurée par quatre musiciens et chanteurs (issus du groupe Metz ages). Il fallait trouver une salle assez grande, avec un réseau internet performant, et proche des domiciles pour que chacun rentre chez soi avant 18h, heure du couvre-feu.
Le presbytère de Woippy nous a accueillis chaleureusement, moyennant un ajout de câbles Ethernet .
Depuis ce lieu, j’ai animé la première partie. Le déroul
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