Une queue noire pour cette trentenaire

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Avoir 30 ans, qu'est-ce-que c'est, qu'est-ce que ce sera, qu'est-ce que c'était ? Être trentenaire, c'est trouver sa voie professionnelle ou l'équilibre amoureux ? Oser de nouveaux projets ? Que vous en ayez 18 ou 42, dites-le-nous.
Aurélie voulait caresser les étoiles : être être astronaute ou pilote de ligne. Aujourd'hui, elle vend des ustensiles de cuisine sur le net et boucle un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros avec son projet MaSpatule.com.
Roxane, fondatrice de TechBaguette, 30 ans
Née dans la Silicon Valley en Californie, Roxanne Varza est tombée dans la potion de l'entreprenariat et des nouvelles technologie quand elle était toute petite.Grâce à son blog TechBaguette, la voilà classée comme l’une des jeunes femmes les plus influentes de la planète tech… au monde.
Comédienne, elle vit au Japon. Elle aime sa vie d’expat mais la France lui manque.
Elle fait des études pour bosser dans la pub. Aujourd’hui, elle est jongleuse de feu !
À 3 mois, elle est bébé nageur, à 5 ans, elle s’entraîne trois fois par semaine… Elle est notre plus grande chance de médaille aux jeux olympiques de Rio.
Traductrice d’anglais, Gaëlle devient pro du poker, au point de terminer 10e au championnat du monde, ce qu’aucune Française n’a jamais fait.
A 30 ans, Elsa couvre des grands reportages dont celui de la guerre de Gaza. Elle éprouve un vif intérêt pour le monde qui l'attire et se dit épanouie dans son métier.
À 30 ans, Olivia est première d'atelier chez Chanel. Si elle en est arrivée là, c'est grâce à son amour des tissus, du cousu main, et sa fascination pour la couture de sa mère.
Cécile, chirurgienne maxillo-faciale
Pendant son clinicat, Cécile fait deux enfants. Car cette chirurgienne maxillo-faciale veut tout mener de front, vie privée et vie professionelle…
Enfance fusionnelle avec sa mère, qui va lui laisser de quoi réaliser son rêve : organiser des mariages décalés.
Eugénie n’a jamais changé de rêve?: être rockeuse. Aujourd’hui, elle a un groupe, un fiancé producteur, et un deuxième album dans les bacs.
Alizée, 30 ans, créatrice de vêtements
Pas facile, et pourtant elle y arrive bien : travailler avec sa mère pour créer à deux une marque de vêtements.
Meneuse de l'équipe de France de basket, Céline veut profiter des JO de Rio l'an prochain avant d'envisager sa retraite.
Léonora fait ses classes avec ses parents forains, et sans piston, ouvre un restau à gâteaux qui devient the place to be.
Sandra refuse les étiquettes. Elle chante, photographie, publie, dirige des ateliers d'écriture, et voyage en stop. Véritable globe-trotteuse, cette année, Sandra a décidé de partir en vacances en voiture électrique !
Animatrice d’ateliers d’écriture et écrivaine, Maïa rêvait d’être danseuse quand elle était enfant. Elle vient de publier un nouveau roman, l’Inhabitée, en réponse à son désir d’enfant pas encore comblé.
Ecrivain, community manager, amoureuse, Laura rêve d’écrire des chansons, et déjà signe « Ladies’ Taste », la première New Romance made in France.
Suisse, amoureuse, Elodie court la Volvo Ocean Race avec SCA, dans le seul équipage 100 % féminin. Neuf mois en mer, elle y est encore.
Maraîchère, mariée, un enfant, Alexia vend des citrons caviar et des courges d’Hokkaido.
Julie, 30 ans, à la tête d'une start-up sur les livres
Papivore, elle adore tourner les pages, mais sent bien que le livre peut aussi passer au numérique. Elle crée sa start-up dédiée aux livres interactifs.
Elodie, 30 ans, créatrice de See my Cils
Trilingue, un master en management, un poste à responsabilité… et une reconversion radicale : Elodie est Mme extensions de cils du Tout-Paris. Retour sur son parcours hors du commun.
Mariée et maman, elle quitte sans regret un CDI dans le marketing médical pour ouvrir son épicerie gourmande.
Elle vit depuis dix ans à Paris et a déménagé cinq fois, seule ou à deux, mais toujours avec ses machines à coudre sous le bras. La couture, c’est sa passion. Carole vient d’ouvrir un atelier pour l’enseigner.
Laurence, 30 ans, patronne de boîte de production
Issue du 9.3, Laurence passe de la vente de téléphones mobiles au monde du cinéma. Aujourd’hui, elle dirige sa propre boîte de production.
Clémentine, 30 ans, gestionnaire de cirque
Avec sa fille de 2 ans et son mari jongleur équilibriste, elle se déplace de ville en ville chaque semaine avec son chapiteau de 300 places.
Pauline, dirigeante d'un club de foot, 30 ans
Avec ses allures de poupée, elle est la seule femme en France à diriger un club de foot, le Red Star.
Américaine, elle s’installe en France par amour, et s’inscrit dans une école de joaillerie. Et espère que, bientôt, elle rêvera en français.
Gardien de la paix en brigade équestre, elle patrouille à cheval. Mais côté cœur, elle a les deux pieds sur terre.
À 21 ans, elle est mariée et psychomotricienne à La Réunion. À 30 ans, divorcée, elle est comédienne à Paris.
Bérénice, 30 ans, travaille dans le cinéma
Maman d’un garçon de 2 ans, Bérénice milite pour plus d’égalité hommes-femmes dans son univers pro : le cinéma.
Élodie, 30 ans, gère l'ouverture des 84000 m2 d'un des plus grands centres commerciaux de France. Cette jeune femme veut également rencontrer le père de ses futurs enfants.
Vice-championne du monde de coiffure, elle vient d’ouvrir son propre salon, et vit avec son ex-voisin de palier.
Avocate, amoureuse, elle est comblée par la vie. Et même si sa génération est celle de la crise, à 30 ans, Joan reste optimiste.
Elle qui fut une enfant différente, elle ouvre une micro-crèche qui respecte l’individualité de chacun.
« Il y a un décalage monstrueux entre ce qu’on nous fait miroiter à la fac et la réalité », dit Noémie, qui a trouvé l’homme de sa vie mais pas le job de ses rêves. Peut-être au Canada ?
Simona, 30 ans, étudiante en médecine
Il n’est jamais trop tard pour rattraper sa vocation : à 30 ans, cette Italienne amoureuse d’un Français s’inscrit en médecine.
Iris aime bouger, voyager, s’investir, elle a un métier dans l’hôtellerie, un mari, un bébé bientôt, et plein de projets.
Après huit ans d’études, Fanny est vétérinaire quand elle réalise que ce n’est pas sa voie?: elle démarre un master de négoce en vins
Pompier, c’est une vocation. Aujourd’hui officier, mariée depuis quelques mois, Sandra voudrait un enfant, et être sur tous les fronts.
Tout juste mariée au Cap-Vert, serveuse pour l’alimentaire, Carla veut percer dans la mode et ne s’interdit aucun rêve.
Aujourd’hui, Cécile ne fume plus, elle a repris des études et est partie vivre à la campagne.
Cette motarde chevronnée, divorcée à 25 ans, se remarie et s’installe à Biarritz. Gail a 30 ans !
Elle termine sa thèse de pharmacie, vient de tomber amoureuse et anime un blog pour prouver que la vie est une fête... même en fauteuil.
Ils ont payé, ses sacrifices, la tête dans les livres pendant que les copains faisaient la fête : à 30 ans, Raphaëlle est médecin.
Pour Yasmine, avoir 30 ans, c’est être chef de pub pour gagner sa vie, sans perdre de vue son rêve de monter un jour sur scène.
Amaryllis, 30 ans, est une battante
Pour elle, avoir 30 ans, c’est avoir surmonté la maladie, trouvé sa voie professionnelle, l’équilibre amoureux, et sa philosophie.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est arrêter de travailler dix heures par jour et de courir le marathon. Elle part six mois pour un tour du monde à son rythme.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est aimer Christophe, élever leur fille, s’improviser architecte et décoratrice de la maison de famille dont elle a hérité.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est gâter ses parents parce qu’elle est chef d’entreprise. De la génération Facebook, pas question de se prendre au sérieux.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est diriger sa boîte de production et occuper le poste de 7e adjointe auprès du maire de Nogent-sur-Marne.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est attendre un bébé, écrire son spectacle, et gagner sa vie en étant sur scène.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est être une jeune gynécologue, 500 accouchements à son actif, et plein de projets.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est élever sa fille de 3 ans, réussir dans la com, et mettre du punch dans ce qu’elle fait.
Elle croit en l’école qui donne sa chance à tous. Institutrice, elle enseigne dans le 93 qu’elle adore, et veut passer son permis.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est accepter sa féminité, exprimer son vrai désir?: être comédienne.
Pour elle, avoir 30 ans, c’est un job où elle gravit les échelons, un petit garçon, et un homme au foyer. Plus qu’à vaincre sa peur de l’avion.
Leslie, 30 ans, joueuse professionnelle
Pour Leslie, avoir 30 ans, c’est réaliser à quel point l’enfance revient dans sa vie. Et comprendre, enfin, ce qu’est : jouer.
Pour Marie, avoir 30 ans, c’est être la 8e femme pilote de chasse, élever ses deux enfants et boucler un marathon.
Pour Hélène, trentenaire, c’est être flûte solo, danser avec ses enfants sur David Guetta et porter des Louboutin.
Son métier ? C’est clown ! Entre Chaplin et Mr. Bean, Ludivinia rêve de voyage en Amérique latine et de prince charmant.
Avoir 30 ans pour Ève, c’est se marier, son fils César dans les bras, et travailler douze heures par jour pour Blune,
sa ­marque de tee-shirts, créée avec deux copines.
Anne-Sophie, 30 ans, directrice artistique
Avoir 30 ans pour Anne-Sophie, c’est vivre à Paris, faire un métier passionnant à Roland-Garros et s’épanouir dans la danse africaine en toute liberté.
À 30 ans, Delphine gère 25 hectares de vigne, élève seule sa fille, et vient de retomber amoureuse.
Après des études de finances, adieu la vie de bureau. Avec sa sœur, Constance monte sa boîte, It mylk. Le concept : vendre du frozen yogurt. Cette trentenaire en veut et cela se voit. Cosmo vous fait découvrir une jeune femme dynamique et passionnée !
Bonne nouvelle : le bonheur, ça s’apprend !
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J’ai pris un coup de vieux ou quoi ?

30 ans ... même pas peur !!
Un burn out à 28 ans pour finalement comprendre que celui qui ne se perd pas ne découvrira jamais de nouveaux chemins. Alors me voilà en route pour une nouvelle aventure : celle de MA vie; celle que je choisis au maximum plutôt que celle que je subis.
Belle maman à 22 ans, mariée à 25, maman à 26, chef d'entreprise à 27 puis patatras ... et enfin retour en formation à 32. Alors après une vingtaine à fond, je me réserve une trentaine sereine. Ma remise en question m'a permis de me recentrer, d'apprendre à me connaitre grâce à quelques livres de développement personnel découverts grâce à Cosmo.. Plus question de foncer. J'apprends à avancer à mon rythme et je refuse d'être entrainée à nouveau dans le tourbillon des médias, du quotidien, des bouchons.. etc. Le monde de 2016 a oublié l'essentiel : le Bonheur. A présent, même si tout n'est pas rose, je suis en pleine conscience, je vais mieux. J'ai arrêté de vivre pour construire l'avenir en réduisant le présent au moyen d'y arriver.. A PRESENT, j'essaie de vivre aussi l'instant PRESENT ! VIvez ! Là, maintenant !!!

Avoir 30 ans c être trop vieille pour se caser pour certains,moi on m'a dit ça,que gt vieille.Donc je finirai hélas seule. G jamais rencontré personne,c moi ou les hommes me trouvent repoussante ?

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu faire de ma passion, mon métier : graphiste !

Vers 10 ans, une instit (très jolie ... déjà à l'époque) m'a dit que j'atais douée pour le dessin, que j'étais promise à un joli avenir !
Vers 13 ans, au collègue, je dessinais des Lucky Lucke assise dans la cour pour mes potes.
A 15 ans, j'ai visité une école de graphisme et là j'ai vu comme rêve devenir réalité, je ferais tout pour intégrer cette école !!
L'année suivante, j'étais prise dans cette école où naviguaient 30 futurs graphiste, du moins c'est ce que je croyais !
4 années se sont écoulées et j'ai fais des centaines d'affiches, de logos ... je mourrais d'envie, grâce à mes stages de faire ce métier !
Puis 3 années de spécialisation où j'ai rencontré un garçon avec qui je suis restée 3 ans ... les études magiques !! mon histoire un peu moins, je me mentais, j'avais 20 ans !

A 23 ans, il me quitte, je signe mon 1er cdi en tant qu'infographiste et je m'inscris sur un site de rencontres pour rencontrer ... une fille ... mon destin depuis toujours aussi ^^

A 24 ans, je me mets en couple avec une demoiselle, notre histoire a duré 4 ans et demi !
J'ai quitté mon cdi, elle m'a quitté ... j'ai retrouvé un cdi et une copine !

Aujourd'hui, j'ai 30 ans, je crée mon entreprise (infographiste et photographe) et j'emménage avec ma copine, avec qui je suis depuis 1 an ...

L'année des 30 ans est une année charnière pou moi ... nouveau départ !
Quitter un cdi, avoir une nouvelle relation, créer mon entreprise déménager, emménager ... on a envie de bouger, de changer, de se lancer des défis et d'écouter son corps, son coeur, son esprit ... que voulons nous vraiment ?

Petite je rêve de mariage de princesse. Toutes mes Barbies ont trouvé leur prince charmant.

Au collège j'annonce à mes professeurs que je veux devenir organisatrice de mariage, à l'époque ça n'existe pas. Seule Jennifer Lopez peut jouer ce rôle. Ils m'orientent en BAC technologie, je n'ai pas le niveau pour le général et je ne veux pas faire de BEP. En troisième je me convaincs que je veux devenir infirmière militaire ( Merci la JAPD !)

Je grandis, bercée par toutes les comédies romantiques du monde, mes copines sont fans de ma collection de DVD. Au lycée je prends une voie qui, finalement , ne m’intéresse pas du tout. L’événementiel revient à la surface mais ça ne reste qu'un rêve. Mes professeurs se moquent de moi en disant que je pourrais toujours tenter de marier les personnes âgées dans la maison de retraite où je serais infirmière. Cette filière n'est tellement pas pour moi que je redouble ma terminale, sans aucun projet professionnel. Le BAC approche et hors de question de faire comme toutes les filles de ma classe : Infirmière.

A 20 ans, Je pars en BTS Diététique, ça coûte un bras à mes parents. Malheureusement je n'ai ni le niveau des autres filles de ma classes, ni même l'envie de me couper du monde pendant deux ans pour réussir mon diplôme. Je veux pouvoir m'éclater à apprendre, faire marcher mon imagination et non apprendre par cœur la composition du lait. J'abandonne en cours de première année.

A 520 ans, je me que cette fois c'est décidé je vais faire une école d'événementiel, mais au bout du compte je n'ai pas le niveau pour ce type d'école prestigieuse. Une fois de plus la déception. Je me tourne vers le social.

A 21 ans, je fais une école d'aide médico psychologique, puis une école d'éducateur spécialisé. Le social est peut être un second choix mais pour la première fois j'ai de l'ambition.

A 24 ans, je rencontre Julie Courtefois de l'Atelier de Julie, une organisatrice d’événements au top ! Elle organise le mariage pour lequel je suis animatrice pour enfant. Elle répond à mon flot de questions, je rêve de sa vie !

A 25 ans, Julie me propose d'être son assistante pour la saison prochaine, elle est enceinte et a besoin de "petites mains". Je passe mes examens d'éducateur spécialisé cet été là mais qu'importe je fonce !

A 26 ans, j'obtiens mon diplôme et je travaille avec Julie. Elle me fait rêver et m'embarque partout avec elle. Je rencontre Agathe Gruni, d'Agathe dit oui. Elles sont dingues et tellement comme je veux être. Cette vie dont j'ai tellement rêver elles ont réussi a se la créer.

Aujourd'hui je sais que je suis faite pour ça sans aucun doute. A 27 ans j'attaque la saison 2016 avec Julie et Agathe.

A 30 ans, j’espère être l'associé des filles ou avoir ma propre boite, être marier à mon merveilleux amoureux depuis 5 ans et demi et être maman, oui rien que ça ! En attendant je éducatrice spécialisée la semaine et organisatrice éventements le week-end, je suis comblée et amoureuse.

J'aime beaucoup cette rubrique et j'aimerai partager mon histoire qui n'est pas évidente :

30 ans pour moi, c'est l'âge où on casse tout pour recommencer. On finit enfin par se comprendre et devenir qui ont veut être.
Petite, je voulais être styliste. À 9 ans j'ai envoyé mes dessins à un styliste trouver dans l'annuaire... je n'ai jamais eu de retour. Mais j'adorai déjà dessiner, des femmes, des vêtements... il parait que je savais dessiner avant d'écrire. Déjà à l'époque je luttais pour paraître normale : à la maison, mon père nous battait régulièrement moi et mes frères, et nous séquestraient dans nos chambres. L'école était le seul moment où je pouvais respirer. Et puis finalement, arrive le collège, mes notes s'effondrent. Me voilà dans une filière pro, pour passer un BAC PRO secrétariat et complètement découragée par des conseillères d'orientation qui n'arrivent à me proposer rien d'autres que d'être "secrétaire de styliste" !!!
A 22 ans, après un an en dépression (enfance maltraitée, tentative de partir et j'ai fini en foyer SDF et au bort du suicide...), je décroche non sans peine un BTS Assistant de direction après 2 ans d'alternance. J'ai eu la chance de bosser pour une grosse boite, mais au fond je sais que l'assistanat n'est pas mon truc. Que faire après ça ? Continuer mes études et continuer de dépendre de mes parents malgré le climat horrible (père alcoolique, violent...) ? Ou travailler et devenir indépendante ? Ni l'un ni l'autre, je pars en Australie pour un an. Là-bas, je découvre la Vie avec un grand V : les amis, la fête, les flirts... les galères aussi, mais
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