Une prof dans le besoin

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Une prof dans le besoin
| News | Suisse | Plus jamais prof: Une ex-enseignante raconte son calvaire
«Plus jamais je ne mettrai les pieds dans une classe»
Silvia Tschui est titulaire d'un diplÎme d'enseignante au secondaire et a exercé durant quatre ans. A présent journaliste à Blick, elle nous explique pourquoi il y a trop peu de gens qui veulent encore faire ce travail. Témoignage à la premiÚre personne.
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«Je fais partie des enseignants et enseignantes désespérément recherchés en Suisse , qui en manque actuellement . Certes, je gagnerais prÚs d'un tiers de plus dans mon métier de formation qu'avec mon salaire de journaliste, mais je ne veux plus jamais retourner dans une salle de classe. Et ce alors que j'ai beaucoup aimé travailler avec des jeunes!
Mais jugez par vous-mĂȘme si cela pourrait ĂȘtre un travail que vous souhaiteriez faire. Voici une liste trĂšs incomplĂšte d'incidents dont j'ai Ă©tĂ© tĂ©moin il y a 20 ans, entre mes 22 et 26 ans, juste avant et aprĂšs l'obtention de mon diplĂŽme d'enseignante.
— Pour la premiĂšre fois, je me retrouve seule devant une classe, pour un stage de quatre semaines. J'ai 22 ans. Des Ă©lĂšves de 11 Ă  12 ans s'entraĂźnent Ă  la rĂ©daction. Leur sujet: «Ce que je souhaiterais.» Une petite fille Ă©crit texto: «Je souhaiterais que personne ne vienne plus dans ma chambre la nuit pour pouvoir me toucher.» Lors de ma formation, je n'ai jamais appris comment je devais me comporter dans une telle situation. AprĂšs tous les appels tĂ©lĂ©phoniques que j'ai passĂ©s Ă  la police, aux services sociaux et aux psychologues, il en ressort que je ne peux rien faire. Je ne peux et ne dois rien faire. Cette histoire a continuĂ© Ă  me courir aprĂšs, des mois aprĂšs mon stage.
— Je pars en camp d'Ă©cole avec des Ă©lĂšves un peu plus ĂągĂ©s, Ă  qui j'ai dĂ©jĂ  le droit d'enseigner Ă  50% durant ma derniĂšre annĂ©e de formation. Quatre adolescentes incitent les garçons Ă  se masturber Ă  tour de rĂŽle sur l'oreiller d'une fille qu'ils dĂ©testent. Et ils le font. Je renvoie chez elles toutes les personnes prĂ©sentes dans la piĂšce. Je suis bouleversĂ©e par une telle mĂ©chancetĂ©. J'ai 23 ans.
— Je supervise une classe dans une autre Ă©cole secondaire. Au bout de quelque temps, on dĂ©couvre qu'une des filles de ma classe, qui vient d'avoir 13 ans, fait des fellations aux garçons pour 20 francs Ă  la rĂ©crĂ©ation de 10h, dans les toilettes. Les parents de la fille ne trouvent pas cela si grave. «Ça lui fait un peu d'argent de poche», me rĂ©torque la mĂšre. Sa fille est transfĂ©rĂ©e dans une autre Ă©cole. Et les garçons? Il ne leur arrive rien.
— Des camĂ©ras de surveillance doivent ĂȘtre installĂ©es sur le toit de l'Ă©cole d'une commune de l'agglomĂ©ration zurichoise oĂč j'enseigne. La raison? Les pneus de voitures d'enseignants peu apprĂ©ciĂ©s y sont rĂ©guliĂšrement crevĂ©s.
— Pause de 10h, je suis dans la salle des profs. Soudain, des cris retentissent Ă  l'extĂ©rieur. Les enseignants se prĂ©cipitent dans la cage d'escaliers. Une enseignante qui surveille la rĂ©crĂ©ation veut Ă©loigner une jeune fille de 15 ans qui se dĂ©bat sauvagement d'une autre qui gĂźt dans l'escalier avec du sang sur la tĂȘte et qui hurle. La victime est une de mes Ă©lĂšves. Il s'avĂ©rera plus tard qu'elle a souri Ă  un garçon qui plaisait Ă  l'agresseuse. La fille l'a alors renversĂ©e et lui a frappĂ© la tĂȘte Ă  plusieurs reprises sur les marches en granit. Les profondes lacĂ©rations au crĂąne doivent ĂȘtre recousues Ă  l'hĂŽpital.
— Deux garçons viennent me voir: un camarade de classe a souvent des bleus, ils l'ont vu sous la douche aprĂšs la gymnastique. Ils supposent qu'il se fait battre Ă  la maison. Je dois faire quelque chose. Je demande directement Ă  l'intĂ©ressĂ© en privĂ©. Il se fige. Puis il me dit: «Vous ne devez le dire Ă  personne!» Une fois de plus, je ne peux et ne dois rien faire — si l'enfant dĂ©cide de ne rien dire, les services sociaux ne peuvent pas intervenir. LĂ  non plus, une telle situation n'a jamais Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e au cours de ma formation.
— Le vendredi, on m'informe par tĂ©lĂ©phone qu'un nouvel Ă©lĂšve arrive dans ma classe le lundi. Dans un premier temps, je ne reçois ni son nom ni son adresse. Une semaine plus tard, j'apprends qu'il est sous tutelle et qu'il est placĂ© dans un foyer. Comme il ne revient plus en classe la deuxiĂšme semaine, je tĂ©lĂ©phone Ă  cet Ă©tablissement. Il n'est pas non plus au foyer. Lorsque j'arrive enfin Ă  joindre quelqu'un au service social compĂ©tent, on me dit que c'est le tuteur qui doit ĂȘtre contactĂ©. Mais le service ne veut pas me donner le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de ce dernier. Motif: protection des donnĂ©es. Pendant les heures d'Ă©cole, je suis alors responsable d'un garçon qui a visiblement disparu. J'appelle la police. Celle-ci me renvoie vers les services sociaux. Le garçon ne revient plus jamais dans ma classe. Aujourd'hui encore, je ne sais pas ce qui lui est arrivĂ©.
— Un garçon de 6e annĂ©e touche et donne rĂ©guliĂšrement des coups de pied entre les jambes des filles. Lors de l'entretien avec les parents, la mĂšre affirme que je lui mens: «Il ne ferait jamais ça, tout le monde dit toujours qu'il a de trĂšs grandes compĂ©tences sociales! Pourquoi vous attaquez-vous Ă  mon fils?»
— Je donne un 5,25 Ă  un garçon pour son exposĂ©. Le pĂšre, gros contribuable d'une commune de la rĂ©gion, appelle la direction de l'Ă©cole et le prĂ©sident de la commune. Je dois me rendre Ă  divers entretiens, justifier comment je dĂ©termine mes notations (ce que je fais volontiers) et je reçois... une lettre de son avocat. Le 5,25 est validĂ© comme note finale, mais un avocat, un prĂ©sident de commune, la commission scolaire et moi-mĂȘme avons perdu un nombre incalculable d'heures Ă  cause d'un pĂšre mĂ©content.
Toutes ces histoires remontent à 20 ans. Aujourd'hui, c'est pire. Les enfants présentant des handicaps ou des troubles du comportement sont par exemple intégrés dans des classes de base. C'est une bonne chose, parce que les enfants forts à l'école apprennent aussi des enfants qui ont plus de difficultés, et pas seulement l'inverse. Mais pour intégrer les élÚves qui souffrent d'une particularité tout en tenant compte des élÚves plus performants, l'enseignant a besoin de plus de temps. Or, il ne dispose de ce temps que lorsque le nombre d'élÚves par classe est réduit. ParallÚlement à l'intégration, on a fait des économies sur le dos de l'école obligatoire: on a agrandi les classes, la norme étant aujourd'hui de 24 à 26 élÚves. Dans ces conditions, je pense qu'il est impossible de satisfaire tous les élÚves.
Former les futurs enseignants Ă  transmettre des matiĂšres est un vƓu pieux, puisqu'on finit par les utiliser comme travailleurs sociaux, psychologues, promoteurs de talents, thĂ©rapeutes, boucliers contre les parents, Ă©ducateurs, mĂ©diateurs, et j'en passe... Et ceci sans les prĂ©parer au cours de leur formation Ă  agir comme des sortes de rĂ©ceptacles de tout ce qui existe dans la sociĂ©tĂ©.
Aussi longtemps que les classes et la charge de travail seront aussi importantes, et que les enseignants seront en mĂȘme temps traitĂ©s de pleurnichards, de fainĂ©ants et de dĂ©tenteurs de jobs 'faciles', il y aura toujours trop peu de gens qui voudront faire ce travail.»

Blog Cours particuliers Soutien Scolaire Le Marché du Soutien Scolaire en Pleine Croissance
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Le marché des cours particuliers est en pleine explosion depuis des années.
Avec les nouveaux statuts favorisant la crĂ©ation d’entreprises et le fort taux de chĂŽmage faisant peur aux parents, les profs Ă  domicile rencontrent plus facilement des Ă©lĂšves dans le besoin .
En effet, avoir de bons résultats scolaires est devenu une des préoccupations majeures des parents pour leurs enfants.
Et cela passe par la mise Ă  disposition d’un coach scolaire pour les aider Ă  travailler individuellement sur certains points difficiles ou dĂ©couvrir une nouvelle mĂ©thodologie de travail.
Dans tous les cas, si ce marché vous intéresse, nous vous proposons un article qui va vous aider à en savoir plus sur une branche porteuse des services à la personne.
Des chiffres sont plus parlants qu’un long discours.
DĂ©couvrez diffĂ©rentes statistiques qui indiquent que le marchĂ© du soutien scolaire et de l’aide aux devoirs est trĂšs dynamique.
D’aprĂšs un sondage TNS Sofres datĂ© de 2004, 80 % des profs particuliers ne sont pas ĂȘtre dĂ©clarĂ©s .
Avec les diffĂ©rents dispositifs mis en avant par l’État, ce chiffre reste Ă  nuancer aujourd’hui. Le fait de pouvoir rĂ©cupĂ©rer 50 % des sommes engagĂ©es en crĂ©dit d’impĂŽt ou rĂ©duction d’impĂŽts peut avoir freinĂ© cette tendance.
Pour autant, une Ă©tude Xerfi indique qu’en 2007, le marchĂ© du soutien scolaire pesait 2,5 milliards d’euros .
Les statistiques annĂ©e aprĂšs annĂ©e prĂ©cisent qu’ il croit de 1 Ă  2 % par an .
En ne considĂ©rant que le soutien scolaire , une Ă©tude du Centre d’Analyse StratĂ©gique (le CAS) nous permet d’observer que la France est le pays qui a le plus recours aux cours Ă  domicile .
Voici la proportion d’élĂšves de collĂšge et de lycĂ©e qui demandent de l’aide aux professeurs particuliers :
D’aprĂšs le CAS et TNS-Sofres, la moyenne française des Ă©lĂšves qui prennent des cours Ă  domicile serait de 40 h par an et par enfant .
GĂ©nĂ©ralement, ce sont des enfants venant de familles de classe moyenne qui souhaitent s’amĂ©liorer dans une matiĂšre spĂ©cifique (cours de maths, cours de français, cours de langue, etc.) ou qui dĂ©sirent se constituer un dossier d’excellence afin d’intĂ©grer les meilleures grandes Ă©coles supĂ©rieures.
D’aprĂšs l’INSEE, les collĂ©giens profitent du mercredi aprĂšs-midi pour prendre des cours particuliers. Ils sont 42 % d’entre eux dans ce cas. Et la demande est en constante augmentation depuis 2013.
Chaque annĂ©e, le mois de septembre est celui oĂč nous enregistrons la plus forte demande avec une progression de 68 % par rapport au mois d’aoĂ»t . Sans doute une volontĂ© de bien dĂ©marrer l’annĂ©e.
Le second pic est observĂ© au mois de mars avec +20 % par rapport Ă  fĂ©vrier . L’approche des examens de fin d’annĂ©e (brevet des collĂšges et baccalaurĂ©at) peut donner envie aux Ă©lĂšves et aux parents de mettre les bouchĂ©es doubles pour Ă©viter un redoublement.
DerniĂšre information : des dizaines de milliers d’experts en cours de soutien de toutes les matiĂšres ( soutien scolaire en français, en physique chimie, en histoire gĂ©ographie ou langues Ă©trangĂšres) exercent sur toute la France. Ils font partie d’un vaste rĂ©seau comprenant 1 million d’enseignants (professeurs de l’Éducation nationale compris).
Cela peut ĂȘtre des Ă©tudiants, des professionnels ou des retraitĂ©s de l’Éducation nationale Ă  la recherche d’un revenu complĂ©mentaire. Mais aussi des spĂ©cialistes de l’encadrement et du coaching scolaire qui ont fait de l’accompagnement scolaire et remise Ă  niveau leur activitĂ© principale.
Dans le secteur du soutien scolaire , plusieurs acteurs se battent pour espérer grignoter quelques places de marché (ou simplement trouver des clients).
Parmi ceux-ci, nous trouvons, tout d’abord, les organismes gĂ©nĂ©ralistes et spĂ©cialisĂ©s dans les cours de soutien scolaire.
D’aprĂšs Xerfi, ces organismes privĂ©s correspondent Ă  12,5 % environ du marchĂ© . Si on considĂšre que l’économie souterraine reprĂ©sente 80 % du marchĂ©, on peut considĂ©rer que les organismes de soutien scolaire sont des acteurs importants du secteur.
Ils proposent des cours particuliers Ă  domicile ou la mise Ă  disposition de salles avec un pĂ©dagogue pour accompagner un petit groupe d’élĂšves.
Depuis quelques annĂ©es, ces grands acteurs historiques voient arriver une concurrence qui vient freiner leur croissance. Alors qu’elle Ă©tait de 3,5 % en 2014, elle est tombĂ©e Ă  3 % en 2015 et la tendance est Ă  la diminution constante.
Ces acteurs sont des pure players (des entreprises prĂ©sentes exclusivement sur internet) qui proposent des offres complĂštes faciles d’accĂšs (cours en ligne par vidĂ©oconfĂ©rence ou mise Ă  disposition de ressources en ligne, consultables Ă  tout moment).
Parmi ceux-ci, nous pouvons citer :
D’aprĂšs les spĂ©cialistes du secteur, le marchĂ© tend Ă  s’uberiser . Et, en effet, des plateformes d’échange libres commencent Ă  voir le jour.
Bien sûr, nous pensons à Superprof qui a la volonté de mettre en relation les personnes cherchant du soutien scolaire à domicile (ou un professeur particulier dans un autre domaine tel que le sport, la musique ou le dessin, par exemple) et les experts capables de donner des cours particuliers.
Peu importe votre localisation en France, votre niveau et votre budget, nous rĂ©pertorions des milliers de professionnels ayant la volontĂ© de transmettre leur savoir ou d’aider les Ă©lĂšves Ă  progresser et se perfectionner dans une matiĂšre prĂ©cise.
Notre objectif (et celui de nos confrĂšres) est de pouvoir faire baisser les prix du marchĂ© pour permettre la rĂ©ussite de chacun. Trouver le bon intervenant n’a jamais Ă©tĂ© aussi facile pour contrer l’échec scolaire.
Les parents (et les Ă©lĂšves) ont de nombreuses raisons de faire appel Ă  des experts de l’assistance scolaire.
D’une aide en mathĂ©matiques pour faire face Ă  des difficultĂ©s scolaires dans cette matiĂšre Ă  un soutien pĂ©dagogique pour viser l’excellence, voyons les diffĂ©rents champs d’action du soutien scolaire en ligne ou en prĂ©sentiel.
Au premier signe de décrochage scolaire général, certains parents (parfois sur les conseils des profs) décident de faire appel à un conseiller pédagogique.
Dans ce cas, le rÎle de ce dernier sera de comprendre les raisons de cette baisse générale.
Autant psychologue que coach scolaire, le spĂ©cialiste devra travailler sur la motivation de l’étudiant ainsi que ses mĂ©thodes d’apprentissage.
Parfois, il arrive qu’un Ă©tudiant soit trĂšs bon dans certaines matiĂšres et moins douĂ© dans d’autres. Nous opposons souvent les matiĂšres littĂ©raires (cours d’anglais, cours d’allemand, cours de français, de philosophie, etc.) et les matiĂšres liĂ©es au domaine scientifique (cours de mathĂ©matiques, de sciences physiques, etc.).
Comme les lycĂ©ens doivent ĂȘtre bons partout (Ă  nuancer en fonction de la filiĂšre), il peut ĂȘtre parfois utile de bĂ©nĂ©ficier d’un cours d’espagnol ou d’un soutien en maths pour redresser la barre .
Tous les parents veulent offrir le meilleur futur Ă  leurs enfants.
Pour cela, le soutien scolaire est une solution excellente.
MĂȘme si certains Ă©lĂšves sont bons en classe, un petit coup de pouce peut les aider Ă  viser la perfection afin d’obtenir une mention trĂšs bien au bac et rĂ©ussir les concours des Ă©coles les plus prestigieuses.
Au lycĂ©e ou en Ă©cole supĂ©rieure, les professeurs particuliers sont alors d’un grand secours.
Certains élÚves ont des parents qui doivent déménager souvent. Ou encore, une longue maladie les a écartés du systÚme scolaire pendant un long moment.
Parce que la vie est pleine de rebondissements et qu’un enfant doit ĂȘtre scolarisĂ© jusqu'Ă  16 ans minimum, un prof Ă  domicile peut aider un Ă©lĂšve Ă  rattraper son retard .
Il peut arriver que les deux parents partent tĂŽt le matin et rentrent tard le soir.
Afin d’éviter que les enfants soient livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, ils peuvent dĂ©cider de faire appel Ă  un prof particulier.
Bien sĂ»r, cela peut Ă©voluer en fonction de l’ñge de l’élĂšve et de ses besoins.
D’aprĂšs les spĂ©cialistes (dont les experts Xerfi), le secteur du soutien scolaire Ă  domicile tend Ă  s’uberiser .
Nous voyons que les acteurs majeurs du secteur (les entreprises telles qu’Acadomia, entre autres) voient leur croissance ralentir.
Cela a commencĂ© avec l’arrivĂ©e d’acteurs proposant leurs services sur internet. Mais ces derniers ont aussi Ă©tĂ© chahutĂ©s par de nouveaux venus sur le marché : les plateformes de mise en relation (telle que la nĂŽtre).
En facilitant la rencontre entre Ă©lĂšves et professeurs, nous changeons complĂštement la donne du secteur.
Plus besoin de passer par une société qui vous facturera une somme conséquente, tous les mois.
Avec Superprof, par exemple, vous payez un montant unique au moment oĂč vous trouvez l’enseignant qu’il vous faut.
Ensuite, c’est avec ce dernier que vous Ă©changez.
L’uberisation, c’est ça : tout le monde peut devenir entrepreneur, du moment qu’il a un service Ă  proposer, un produit Ă  vendre ou une connaissance Ă  transmettre. Internet a facilitĂ© les Ă©changes entre tous les acteurs de ce secteur .
C’est un fait : le marchĂ© du soutien scolaire se porte bien.
De plus, de nombreuses mesures ont permis au travail au noir de devenir de moins en moins intéressant.
Pourtant, internet a bousculé un marché trÚs dynamique.
La facilité pour créer une société et la possibilité de passer par des plateformes pour trouver plus simplement des clients incitent les personnes intéressées à se lancer sans prendre trop de risques.
Il y a fort Ă  parier que la tendance dans les annĂ©es qui viennent sera Ă  l’auto entrepreneuriat (ou l’entreprise individuelle), les sites de mise en relation et les cours en ligne (e-learning).
Notez enfin que l’Éducation Nationale tente aussi de faire du soutien scolaire , par l'intermĂ©diaire d'un programme mis en place par Najat Vallaud Belkacem.

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Tombé dans l'écriture depuis tout petit, je suis aussi rédacteur web de métier. Mes passions : les jeux vidéo, le cinéma et les livres. Curieux de tout, j'ai une soif insatiable de nouvelles connaissances.
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