Une princesse indienne

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Une princesse indienne

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Dans le document Td corrigé La Guerre 1939-1945 pdf
(Page 77-81)



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La famille Kern honorée en 2000



Le réseau Alexandre Buckmaster, le captain Wilkinson et Mme Diebolt



Une authentique princesse indienne, opĂ©ratrice radio (Vous ĂȘtes ici)



1944, de juin à août : Les mitraillages et les bombardements



Les prisonniers de guerre de VillevĂȘque : combien Ă©taient-ils ?



La crĂ©ation de l'association des anciens prisonniers de guerre, section de VillevĂȘque



Résumé des relations Loiseau-Hamard à propos de l'accueil des prisonniers rapatriés et mesquinerie de la préfecture



1 948 : Etat des ressources que la commune peut offrir pour le logement et le cantonnement des troupes :







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Noor Inayat Khan, de son nom complet Noor Un Nisa Inayat Khan était née le 2 janvier 1914 au
Kremlin, ce qui est tout Ă  fait insolite pour une authentique princesse indienne descendante du
dernier souverain musulman de l’Inde du sud, Tipu Sultan, qui mourut en luttant contre les
Anglais lors de la conquĂȘte de l’Inde.

Son pĂšre Ă©tait un mystique mahomĂ©tan, adepte des doctrines soufiques de paix et d’amour. Il
avait été invité, en 1912, par le tsar Nicolas II à visiter la Sainte Russie et à le conseiller
spirituellement, par l’entremise du cĂ©lĂšbre Raspoutine.

Survint la Révolution bolchevique de 1917 ; Pir Inayat Hahn et sa femme, d'origine américaine, la
Begum Sharada Ameena (auparavant Ora-Ray Baker), d’Albuquerque, N M, dĂ©cidĂšrent de quitter
Moscou et arrivĂšrent Ă  Paris aprĂšs de nombreuses aventures et un court sĂ©jour Ă  Londres oĂč
naquit un de ses frùres. Ils s’installùrent à Suresnes; Noor suivit des cours à la Sorbonne, entra à
l’Ecole Normale de Musique et Ă©crivit occasionnellement des histoires enfantines pour
Radio-Paris.

Toutefois la seconde guerre mondiale survenant, contraignit la famille à fuir son pays d’adoption
et Ă  rejoindre Londres. Noor voulut alors jouer son rĂŽle dans la lutte contre le totalitarisme nazi et
elle s’engagea dans les forces armĂ©es aĂ©riennes en tant qu’auxiliaire fĂ©minine du Women’s
Transport Service : F.A.N.Y., (First Aid Nursing Yeomany), comme « Assistant section officer ».

A cette époque, sa connaissance de la France et de la langue française étaient des qualités
particuliÚrement précieuses. Aussi aprÚs avoir reçu un entraßnement intensif dans le S. O. E.

(Special Operations Executive), Noor Inayat Kahn aurait Ă©tĂ© la premiĂšre opĂ©ratrice radio Ă  ĂȘtre
infiltrĂ©e en France occupĂ©e le 16 juin 1943, donc via VillevĂȘque.

Le soir mĂȘme de son atterrissage Ă  l’aube du 17 juin, elle Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  Paris. Je supposais qu’elle
avait pris le train Ă  la gare du Vieux-Briollay ou de St-Sylvain-Briollay, peut-ĂȘtre avec deux

autres compagnes Diana Rowden et Cecily Lefort, mais selon les biographes le départ se serait
fait depuis Angers, rallié à bicyclette 60

Dans les semaines qui suivirent son arrivée, la Gestapo fit de nombreuses arrestations parmi les
groupes de résistance de la région parisienne, auprÚs desquels elle avait été détachée. Elle
appartenait au sous-réseau Phono, du réseau Prosper. Elle se rendit ainsi à Grignon, devenu
depuis l'Ecole Nationale SupĂ©rieure Agronomique Paris-Grignon, d’oĂč elle Ă©mettait depuis une
serre et oĂč elle Ă©chappa de peu Ă  une arrestation. Elle refusa de retourner en Angleterre alors
qu’elle en avait encore la possibilitĂ©, prĂ©fĂ©rant la clandestinitĂ© extrĂȘmement dangereuse dans
laquelle elle se trouvait engagée mais elle ne voulait pas abandonner ses camarades de combat,
dont elle restait le seul lien avec Londres.

Elle avait changĂ© d’identitĂ© sous le nom de Jeanne Marie RĂ©gnier et Ă©tait nurse. Ses fausses
piĂšces d’identitĂ© avaient Ă©tĂ© fabriquĂ©es Ă  Toronto. Son nom de guerre Ă©tait Madeleine.

Elle se dĂ©plaçait Ă  bicyclette, avec l’émetteur-valise dans une remorque, naviguant entre une
douzaine de lieux dans la rĂ©gion parisienne, et Ă©mettant par intermittence, pour Ă©viter d’ĂȘtre
repérée par les véhicules de localisation goniométriques des Allemands.

On raconte mĂȘme qu’un officier Allemand l’aurait aidĂ©e Ă  tendre un fil Ă  linge
 qui Ă©tait une
antenne radio camouflée ! ( Voir la caricature extraite de...).

Elle habita mĂȘme Ă  proximitĂ© du quartier gĂ©nĂ©ral de la Gestapo situĂ© Avenue Foch, dans un
immeuble oĂč logeaient de nombreux Allemands.

Mais trois mois et demi plus tard, elle fut trahie, dénoncée par jalousie pour 1.000 francs par la
sƓur d’un collĂšgue, arrĂȘtĂ©e et conduite au quartier gĂ©nĂ©ral de la Gestapo Ă  Paris, avenue Foch.

InvitĂ©e Ă  coopĂ©rer, elle refusa de fournir un quelconque renseignement et on l’emprisonna au
siĂšge de la Gestapo, avenue Foch, Ă  Paris, pendant plusieurs semaines, oĂč elle fit deux tentatives
d’évasion, dont une avec John Starr et le colonel Leon Faye mais ils furent repris dans le
voisinage.

AprĂšs son arrestation, les Allemands continuĂšrent d’utiliser sa radio en empruntant son identitĂ©,
ce qui leur permit malheureusement de « piéger » d'autres agents secrets envoyés par Londres..

Elle fut ensuite envoyée en Allemagne, à Karlsrhue en novembre 1943, ayant refusé de signer une
dĂ©claration comme quoi elle s’engagerait Ă  ne pas s’évader. TransfĂ©rĂ©e Ă  Pforsheim, elle refusa
toujours de donner des renseignements sur son travail et ses camarades. Le 12 septembre 1944,
elle fut envoyĂ©e au camp de concentration de Dachau oĂč elle fut fouettĂ©e pour avoir refusĂ© de
crier « Heil Hitler » et tuĂ©e le jour suivant, Ă  genoux, d’une balle dans la tĂȘte.

Noor Inayat Khan reçut la George Cross le (la plus haute distinction britannique), et la Croix de
Guerre (française) et elle est membre du « Most Excellent Order of the British Empire ». Noor est
avec Violette Szabo l’une des deux femmes a avoir reçu ces deux distinctions à titre posthume.

Son nom figure sur une plaque apposĂ©e sur le mur de l’église St-Paul de Knightbridge, Ă  Londres,
parmi les 52 noms de femmes de son service, mortes durant la derniĂšre guerre.

Un article de la « London Gazette » du 5 avril 1949 a été publié en son honneur.

Une plaque a également été apposée à Suresnes, prÚs de la porte de la maison de Fazal Manzil, la
maison de Hazrat Inayat Khan :

« Ici habitait Noor Inayat Kahn 1914-1944
Madeleine dans la RĂ©sistance

Opératrice radio des réseaux Buckmaster
Croix de guerre 1939-1945, George Cross ».

60 « She and two other women stepped from a plane on a French meadow before dawn on June 17 1943 ; By that
evening she was in Paris. Within a week the Gestapo had arrested so many British agents that her radio was one of
the few still operating, intermittently, as she was dodging German direction-finding trucks”. “The Price of Quiet”, by
George Will, article paru dans “The Sacramento Bee”, 21 aoĂ»t 2001. Cf le site Internet. Traduction : « Elle dĂ©barqua
d'un avion avec deux autres femmes sur une prairie française avant l'aube, le 17 juin 1943 et le soir mĂȘme, elle Ă©tait Ă 
Paris. La Gestapo avait arrĂȘtĂ© tellement d'agents britanniques en une seule semaine que sa radio Ă©tait l'une des rares Ă 
pouvoir encore émettre, par intermitence, car elle devait éviter les véhicules allemands de repérage goniométrique ».

Elle est aussi honorée sur le Rubnnymede Memorial dans le Surrey, qui a été érigé pour les
membres de la R.A.F. privés de sépulture.

La consultation de plusieurs sites Internet dont celui intitulé « PNAS : Princess Noor
Appreciation Society International Guestbook » 61 m’ont fourni tous ces renseignements. Je suis
entrĂ© en contact avec son webmaster 62 qui m’a prĂ©cisĂ© (Ă  tort) que l’atterrissage avait eu au
Vieux-Briollay sur un « slopy ground », terrain pentu. Je lui ai proposé de modifier cette
indication. . Les clĂŽtures et les haies de la rive droite et l’étroitesse du terrain ne permettaient pas
un atterrissage et un décollage de 2 avions Lysander alors que la prairie communale des
Grands-Bas, située juste en face sur la rive gauche, était sans obstacle sur une grande étendue, sans
habitat et sans risque de collision avec des bestiaux puisque la premiĂšre herbe est obligatoirement
fauchĂ©e. A la date du 16 juin, les foins n’étaient pas commencĂ©s et cela correspond parfaitement
avec les traces de pneus observĂ©s dans l’herbe Ă  cette Ă©poque. Il n’y avait pas encore de tracteur
et les voitures Ă©taient quasi-inexistantes.

A noter que son frĂšre fut aussi dans la R.A.F puis dans la marine.

L'information donnĂ©e par le site web prĂ©-citĂ©, concernant le Vieux-Briollay prĂȘte Ă  confusion.

Elle est sans doute reprise de l'ouvrage de Mme Jean Overton Fuller « Noor Inayat Khan,
Madeleine », publié en Angleterre et dont je me suis procuré la 7e édition révisée en 1988.

L'auteur mentionne dans sa préface que le 12 septembre 1973, Rémy Clément, l'adjoint de Henri.

Déricourt, qui organisait le comité d'accueil, la conduisit sur les différents terrains d'atterrissage
clandestins, dont Soucelles et le Vieux-Briollay. Et Ă  propos de ce dernier terrrain, elle Ă©crit, en
1984: « Thus it was just as the setting sun turned the scene golden, he stopped the car by a field
that was unexpectedly small and closely encompassed by hedges, moreover set on a quite a steep
slope. « That it ! » he said. « That is where we set out the lights for the Lysander that night. That
is where she stepped down ».

Traduction : « Ainsi, c'Ă©tait au coucher du soleil lorsque tout devient dorĂ©, il arrĂȘta la voiture prĂšs
d'un champ qui était contre toute attente, petit et étroitement enserré de haies et de plus sur une
pente raide. « C'est ici !» dit-il. « C'est ici que nous avons allumé nos lampes cette nuit-là pour le
Lysander. C'est ici qu'elle pris contact avec le sol ».

Selon moi, l'auteure a confondu le point de vue sur la vallĂ©e du Loir, d'oĂč l'on domine le terrain
d'atterrissage, avec le terrain lui-mĂȘme, car lors de cette rapide visite guidĂ©e, le temps dĂ»t
manquer et il ne devait pas ĂȘtre aisĂ© de s'aventurer dans le dĂ©dale de chemins non goudronnĂ©s de
la vallĂ©e elle-mĂȘme.

Je rappelle que Hugh Verity donne dans son livre, les caractéristiques minimales qui étaient
retenues pour qu'un terrain d'atterrissage soit agréé par le MinistÚre de l'Air britannique : A savoir
une distance minimale de 600 m entre deux haies-obstacles, le début de la piste, commençait 50
m avant le point de contact théorique avec le sol marqué par une lampe A, à 100 m au moins de la
premiÚre haie, une piste de 150 m, plate et sans orniÚre, dont l'extrimité était balisée par une
lampe B et perpendiculairement à cette ligne AB, une seconde lampe C, située à 50 m. Les 3
lampes formaient la lette L inversée et la reconnaissance se faisait par une lettre convenue en
morse. La piste devait pouvoir se prolonger sur 100 m encore, pour des raisons de sécurité, aprÚs
la lampe B. Cela devait offrir au total 300 m de piste praticable, à l'intérieur d'un couloir de 600
m sans obstacle. Le comité d'accueil ou de réception devait se trouver à gauche de la lampe A,
l'avion touchait le sol Ă  droite de cette lampe, s'arrĂȘtait entre A et B, tournait ensuite Ă  droite et
revenait se ranger en A pour le débarquement/embarquement et le le décollage face au vent. Le
temps de séjour au sol était de 3 à 6 minutes seulement.

Une photo aérienne récente du terrain et de ses environs immédiats était spécialement prise par
l'unité de reconnaissance photographique de la base aérienne de la R.A.F., de Benson (la P.R.U.)

61 cf le site Internet http://www.angelfire.com/co/begumnoor/#instructions

62 Tom Lipscombe, Web Administrator, PNAS Internaztional, http:// noor.ipfox.com/

La feuille de briefing (instructions pour une opération) comportait la photo aérienne, les
précisions sur le terrain décrit par l'agent 63 , la référence à la carte Michelin du lieu, la date et
l'heure de l'atterrissage, le nombre de passagers dans les deux sens, le nom de l'officier
accompagnateur.

Le message d'annonce passait le soir Ă  la B.B.C.

Ces exigences techniques ne sont pas du tout compatibles avec un atterrissage sur le cĂŽteau du
Vieux-Briollay.

Je suis entré en contact avec l 'éditeur de la version française de l'ouvrage de Hugh Verity, pour
avoir des précisions sur ce terrain, malheureusement M. Lequin qui rassemblait toutes les
informations qui lui parvenaient Ă  l'attention de H. Verity, est dĂ©cĂ©dĂ©, comme l'auteur lui-mĂȘme.

Il reste encore le War Museum de Londres à contacter et avec un peu de chance, la découverte
dans les archives de la Couronne, de la photo aérienne du terrain, ce qui apporterait une preuve
formelle. Affaire Ă  suivre.

Depuis, (décembre 2004), un correspondant Web anglais m'a fourni les coordonnées d'un terrain
utilisé au N-E d'Angers par Déricourt :

La consultation du site Web MAPORAMA.com m'a fourni les coordonnées suivantes:

- pour les BougonniÚres (au sud des Grands-Bas) : L at. 47° 33' 34 sec. et Long. 00° 27'
55sec.

- pour le Vieux-Briollay (au nord des Grands-Bas) : Lat. 47° 33' 50 sec. et Long. 00° 29' 29
sec.

- pour un point central des Grands-Bas, sur le chemin : Lat. 47° 33' 53 sec. Long. 00° 28'
8sec.

- pour la Grand-RiviÚre Lat. 47° 33' 34 sec.et Long. 00° 24' 9 sec., face au Port-Terreau.

Le point dont les coordonnées sont les plus proches de celles indiquées par le correspondant
anglais se situe dans l'ancien champ de courses de VillevĂȘque, sur la rive gauche du Loir
(Lat. 47° 33' 24 sec. et Long. 00° 24' 24 sec. On peut penser que ces coordonnées sont celles
du terrain de Soucelles et non des Grands-Bas, compte tenu d'une marge d'imprécision de
quelques centaines de mĂštres.

Henri Déricourt était l'agent qui organisait les transferts aériens clandestins à partir de plusieurs
terrains qu'il avait sélectionés dans l'Ouest, en Indre-et-Loire et en Maine-et-Loire, à
Pocé-sur-Cisse (37400), St-Martin-le-Beau (37270), Azay-sur-Cher (37270), Soucelles et le « notre », à 3,
5 km O-NO de VillevĂȘque. Il s'est rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre un agent double, voire un agent triple : « Il a servi
-et trahi – Hitler, Churchill et Roosevelt... il n'a servi que lui-mĂȘme car il Ă©tait le diable » (Bob
Maloubier in : « Triple jeu : l'espion Henri Déricourt »). Ceci explique que les Allemands
prévenus, comme le mentionne Hugh Verity, puisque tous les messages pour l'Angleterre, étaient
aussi transmis et copiés par la Gestapo, aient pu observer l'atterrissage de la nuit du 17 au 18
septembre 1943, et Ă  mon avis, depuis le coteau du Vieux-Briollay, qui constitue un point
d'observation remarquable sur tout ce qui pouvait se passer dans la vallée en face, en contre-bas,
dans les Grands-Bas !

L'histoire extraordinaire de cette princesse indienne agent secret a inspiré à Laurent Joffrin
directeur de la rédaction du Nouvel Observateur et producteur à France-Inter, un récit trÚs
romancé publié récemment, en 2002, chez Robert Laffont. Ce roman est intitulé « La princesse
oubliĂ©e » basĂ©e partiellement sur sa courte vie. Il lui prĂȘte toutefois une idylle imaginaire, sans
doute pour satisfaire Ă  un besoin romanesque des lecteurs mais cela ne s'imposait nullement dans
le tragique de sa situation.

Peut-ĂȘtre verra-t-on un jour, pour le centenaire de ces « pick-ups, », par exemple, s’élever un
monument commĂ©moratif honorant le sacrifice de ces obscurs combattants de l’ombre, Ă  l’entrĂ©e

63 Les agents étaient entraßnés en Angleterre à la description des terrains d'atterrissage par l'utilisation d'une méthode
basée sur le cadran d'horloge. (Hugh Verity).

de la prairie des Grands-Bas, comme un rappel permanent, ponctuant un itinéraire de randonnée
des Basses Vallées Angevines ?

Les randonneurs de plus en plus nombreux qui fréquentent ces lieux écartés de toute
habitation sont loin de soupçonner les évÚnements qui s'y déroulÚrtent et aussi leur rattachement à
un réseau mondial de communication et d'échange d'informations qui s'efforce de les faire
revivre, tĂ©moin ce site amĂ©ricain d’hommage Ă  la princesse Noor.


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