Une pompom girl très coquine

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Une pompom girl très coquine
samedi 13 août 2022, Saint Hippolyte











Un spectacle un peu osé pour les jeunes enfants présents dans le stade.
Capture YouTube










Insolite , International , France - Monde




Publié le 07/05/2019 à 08:08
, mis à jour

à 08:32




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l'essentiel
Le show très osé de pom pom girls en préambule au 2e match de la finale du Championnat de Russie de basket entre le Spartak Saint-Pétersbourg et Samara, dimanche, a choqué de nombreux spectateurs et provoqué de vives réactions dans la presse. 

"Ce n'est pas la victoire de Samara que l'on retiendra, mais surtout la performance des pom pom girls du Spartak Saint-Pétersbourg", écrit le quotidien Soviet Sport. "Les organisateurs devraient avoir présent à l'esprit que des enfants aussi viennent voir les matches", ajoute le journal. 
Une troupe de huit pom pom girls en talons hauts, certaines en sous-vêtements quasi transparents, ont exécuté un numéro contenant des éléments de strip-tease, provoquant l'indignation et les réactions de nombreux spectateurs sur les réseaux sociaux. 
"Ils auraient dû mentionner interdit aux moins de 18 ans pour ce match", a posté l'un des spectateurs. 
Le directeur exécutif du Spartak Saint-Pétersbourg, Yury Obvalov, avait de son côté refusé de reconnaître le caractère érotique du show, le décrivant dans la presse comme "élégant, une performance chorégraphique". 
Samara a accessoirement remporté ce match sur le parquet du Spartak Saint-Pétersbourg 66 à 59, et mènent 2 victoires à 0 dans cette finale, disputée au meilleur des cinq matches. 
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Faire çà dans ces pays c est de la provocation
Visuellement ça nous change du chœur de l'armée rouge,
@ jayje31, Ôtez-moi d'un doute, vous parlez de débiles qui laissent des commentaires, mais n'est-ce pas ce que vous avez fait?

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Publié le
24/07/2010 à 10:00






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Guillaume Atger / Fedephoto pour L'Express
Quand les joueurs ont remonté leurs chaussettes, elles ont ajusté leur brassière. Quand ils ont enfilé leur maillot XL, elles ont vérifié coiffure et eye-liner. Et quand ils ont chaussé leurs crampons, elles ont attrapé leurs pompons. Le 11 juillet, à l'heure où la planète foot avait les yeux braqués sur l'Afrique du Sud, les Eurogirls sont, elles aussi, entrées en scène... Mais à Marne-la-Vallée. 

Sûr, ces Françaises auraient préféré être à Johannesburg plutôt qu'en Seine-et-Marne, siège d'un parc d'attractions et patrie de Mickey Mouse, où le match était retransmis sur les écrans du Sport's Bar à Eurodisney. Mais elles ont animé la soirée avec enthousiasme, misant sur leurs meilleurs atouts: chorégraphies millimétrées, sourires immuables et silhouettes impeccables. "On est toujours très bien reçu par le public, assure Malika, leur meneuse depuis près de vingt ans. On nous applaudit, on nous dit merci, les mères viennent en courant nous saluer avec leurs petites filles." 

Les pom-pom girls, nouvelle passion française? Depuis quelques années, ces troupes de jeunes femmes tout en jupettes, paillettes, tee-shirts moulants et grands écarts faciaux ont envahi stades et gymnases. 

"Presque toutes les villes ont leur équipe de pom-pom girls", souligne encore Malika, qui a vu le phénomène prendre de l'ampleur au cours des vingt dernières années. Du basket au rugby, du hockey à la pétanque, en passant par le foot, ces majorettes modernes sont désormais de toutes les manifestations, insufflant un peu de leur féminité dans un univers gonflé à la testostérone. 

"Au début, on nous a un peu pris pour des extraterrestres, reconnaît Didier Barraud, porte-voix des Phoxy Girls, une équipe qui suit notamment l'AJ Auxerre. Mais, aujourd'hui, les gens en redemandent." Le rôle de ces reines assumées du kitsch? Accompagner les phases de jeu, mettre de l'ambiance, faire rêver les spectateurs. En somme, créer l'événement. "On évolue de plus en plus vers du sport-spectacle à l'américaine, observe Philippe Colin, directeur artistique de Media Drop, une société d'événementiel. Les clubs veulent diversifier leur public, proposer autre chose que du sport pur. Et sur ce créneau, les pom-pom sont une valeur sûre: on est certain qu'à leur arrivée le public va réagir et crier." 

Tenues travaillées, décolletés, musique entraînante et jambes apparentes: la formule est imparable. Mais que les libidineux se refrènent: à chacune de leur prestation, les filles refusent de céder aux clichés. La vulgarité n'est pas leur terrain de jeu. "Nous ne sommes pas dans la provocation, soutient Erika Blain, présidente et coach des Pink Ladies. On ne boit pas d'alcool, on n'a pas de contact avec les sportifs, on ne met pas de string. On voit dans le public des gens plus dénudés que nous !" 

La référence des pom-pom françaises, ce sont bien sûr les cheerleaders américaines, ces équipes sportives, souvent mixtes, qui font partie intégrante de la culture et du folklore US. "Les séries télévisées portent beaucoup cette symbolique", analyse le chercheur et écrivain Frédéric Martel, auteur de Mainstream. Enquête sur cette culture qui plaît à tout le monde [Flammarion]. Le slogan de la fiction américaine Heroes , suivie par des millions de fans outre-Atlantique, est éloquent: Save the cheerleader, save the world (sauve la pom-pom girl, sauve le monde). Portée par le pouvoir d'influence des Etats-Unis, la pratique s'exporte et se développe jusque dans l'Hexagone. 

Ce samedi de mai, en France, Lyon a pris, en effet, aussi des airs de high school . Dans l'un des gymnases de la ville, France Cheerleading Association (FCA) organise un open international où se sont donné rendez-vous une quinzaine de groupes mordus de pompons. Moyenne d'âge: 14 ans. Toute la matinée, les cars déversent devant l'entrée des flopées de participants remontés à bloc, de mamans attentives et de supporters motivés. Il est 11 heures. Sur le praticable, les équipes, dos droit et couettes hautes, s'échauffent, rivalisant de sauts et de portés sur des musiques à la mode. Dans les gradins, on se maquille, on se coiffe et on se laque à tour de bras. Les visages brillent presque autant que les accessoires. 

"Vous avez vu ce que c'est que bouger ses fesses, les filles?" lance Marjorie à son équipe. Les Dijon Cheerleaders opinent, observant avec attention et admiration leurs concurrentes finlandaises de la Funky Team et leurs pyramides vertigineuses. "Et ne dites pas que ce n'est pas du sport !" lance Marjorie, exhibant ses bras parsemés d'hématomes. Bienvenue chez les "cheers". Ici, l'appellation "pom-pom girl" n'a pas cours. Ici, sur le terrain, les garçons sont les bienvenus, les enfants sont les bienvenus, même les kilos en trop et les nez proéminents sont les bienvenus. Ici, on célèbre un sport spectaculaire et codifié, qui se décline en deux sous-branches: le cheerleading , très acrobatique, et le cheerdancing , où les pompons servent de support aux mouvements chorégraphiques. 

Mais le propre du "cheer", c'est aussi d'être porteur d'une dimension spectacle, mi-enfantine mi-coquine, qui charme ses adeptes. Ainsi, avant leur prestation, les équipes disposent une petite mascotte-peluche en bord de tapis. Et pendant leur show vitaminé, les athlètes multiplient mots d'encouragement, mimiques, clins d'oeil appuyés et signes de main à l'adresse de la salle. Surprenant. "Souvent, les gens ne comprennent pas notre passion, admet Morgan, 18 ans, des Lion's Cheerleaders. On passe pour des danseurs ou des gymnastes ratés. Alors qu'aucun sport n'a un tel rapport au public." 

En France, les volontaires sont, en tout cas, de plus en plus nombreux à vouloir y goûter. "On m'appelle tous les jours pour me demander des renseignements", se réjouit l'énergique Karen Cappiello, présidente de FCA. L'association, qui revendique 350 adhérents, s'est fixé pour mission de faire connaître ce sport et de donner "un gros coup de pied dans la fourmilière". Comprenez: faire du cheerleading une discipline en soi. Certes, le sport bénéficie déjà d'une reconnaissance institutionnelle puisque la Fédération française de football américain (FFFA) a reçu en 2008 délégation du ministère de la Jeunesse et des Sports pour gérer la pratique. Mais ce que réclament ses plus virulents défenseurs, c'est une structure indépendante, à la mesure de l'enjeu. 

"Les Etats-Unis se battent pour faire reconnaître cette discipline aux Jeux olympiques de 2016 et c'est le moment de créer une fédération française reconnue au niveau du cheer international", estime Thierry Braillard, adjoint aux sports de la ville de Lyon, qui a soutenu l'organisation de l'open. Car le potentiel de développement de la discipline ne semble faire aucun doute. "On peut grimper très vite à 10 000 licenciés", estime François Fournier, cadre technique national à la FFFA. Sous une forme ou une autre, la déferlante pom-pom est proche. Mieux vaut être prévenu. 



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UNE POM POM GIRL QUI EXPULSE DES LITRES DE MOUILLE
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