Une pompeuse avec de l'envie aujourd'hui

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Une pompeuse avec de l'envie aujourd'hui

Phrases avec « pompeuse » en Français

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TĂ©moignages


Celui qui
 est presque devenu mon premier coup d’un soir




Une madmoiZelle

15 mar 2018


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madmoizelle



TĂ©moignages



Cette madmoiZelle s’est retrouvĂ©e en soirĂ©e avec un charmant inconnu, un jour. Le charme opĂ©rant, elle a pourtant fini seule chez elle.




Plan cul



Sexe




Pour répondre à ta question, il faut repréciser certaines choses :

*Ce qui m'a fait rĂ©agir dans le post initial n'est pas temps le rĂ©cit des Ă©vĂ©nements eux-mĂȘmes mais la conclusion que l'auteure semble en tirer, Ă  savoir qu'elle a tout bien fait tout partout. Ce n'est pas le cas. Bien sĂ»r, rien n'est dramatique et le fait qu'elle ait refusĂ© de poursuivre l'interaction sexualisĂ©e parce qu'elle n'en avait plus envie est, de loin, le principal. Aussi, il est trĂšs probable que le jeune homme se soit « remis » de l'histoire, mĂȘme si on ne peut pas dĂ©finitivement Ă©carter l'hypothĂšse qu'il l'ait mal vĂ©cu. Ce n'est pas parce qu'une histoire finit « bien » qu'on a forcĂ©ment bien agi.

*Nous ne sommes Ă©videmment pas dans la tĂȘte de l'auteure du post, non plus que nous avons vĂ©cu les Ă©vĂ©nements. Le discours que je vais formuler en rĂ©ponse sera donc Ă  partir d'un contexte similaire mais (Ă©videmment) virtuel. D'ailleurs, je partirais du principe que, dans un cas semblable, j'aurais confondu (ou plutĂŽt appris la diffĂ©rence) entre flirter et coucher – et que si l'on est motivĂ©e pour l'un, on ne l'est pas forcĂ©ment pour l'autre.

*Je suis convaincue que l'on vit mieux sa vie, pour soi-mĂȘme et pour son entourage, quand on parle la vĂ©ritĂ©, surtout dans les sujets importants. Non pas toujours dire ce que l'on pense, mais penser toujours ce que l'on dit. Le mensonge a souvent tendance Ă  nous enfermer dans d'autres mensonges, qui grossissent au fil du temps jusqu'Ă  nous exploser au visage. Une vĂ©ritĂ© claire et honnĂȘte n'est jamais l'expression de qui tu es.


Nous voilĂ  donc dans le contexte imaginaire inspirĂ© de l'auteure du post. Si j'Ă©tais dans ce contexte, et si j'Ă©tais animĂ©e d'un souci particulier pour ce jeune homme, je chercherais Ă  le recontacter. Une discussion en face serait le meilleur mais, par facilitĂ© de retranscriptions, nous allons prendre le cas oĂč je lui Ă©cris un SMS/Mail.

Pour ĂȘtre tout Ă  fait franche, c'est un peu pompeux de ma part d'Ă©crire une fausse rĂ©ponse littĂ©rale, mais ça m'amuse ^^ En vrai, ce serait surtout des conseils gĂ©nĂ©raux sur quoi raconter.

« Salut,

C'est Charlotte, la fille que tu as rencontrĂ©e l'autre soir Ă  la boĂźte XXX et qui t'a plantĂ© sur le trottoir. Je sais qu'on s'est ensuite recroisĂ©s Ă  cette mĂȘme boĂźte et que je n'ai pas Ă©tĂ© plus loquace que la fois d'avant ; c'Ă©tait la surprise de te voir et je n'ai pas su comment rĂ©agir sur le coup.

AprÚs réflexion, je pense que je te dois une explication sur ce qu'il s'est produit pendant cette matinée à 3h.

Je suis Ă©tudiante Ă  [grande ville] depuis seulement quelques mois, et j'ai rompu avec mon copain il y a peu de temps. En bref, je dĂ©couvre la grande vie en mĂȘme temps que le cĂ©libat. Je suis plutĂŽt studieuse et je sors relativement peu en pĂ©riode de partiels (on y est pas encore, mais les examens sont pour bientĂŽt).

Le fameux soir oĂč on s'est rencontrĂ©s, c'Ă©tait donc l’occasion idĂ©ale de lĂącher prise avant de me replonger Ă  corps perdu dans le travail.

Je ne vais pas revenir sur les détails sur ce qu'il s'est passé dans la boßte, tu le sais aussi bien que moi. Disons simplement que ce soir-là, je me suis découverte d'humeur trÚs joueuse et j'ai apprécié le moment passé avec toi.

Cependant, je ne connaissais pas encore la diffĂ©rence entre flirter et coucher et, mĂȘme si j'Ă©tais trĂšs Ă©moustillĂ©e par ce qu'il s'est passĂ© entre nous, le fait de sortir marcher dans le silence, le froid, l'alcool qui redescend, puis l'Ă©trangetĂ© de notre relation – parce qu'on nous sommes des inconnus l'un pour l'autre – , tout cela m'a fait rĂ©aliser que je ne dĂ©sirais pas vraiment ce qui allait se produire chez toi. MĂȘme si ce n'est pas ce qui m'a dĂ©cidĂ©e, je prĂ©cise que certains de tes propos n'ont pas aidĂ© Ă  allĂ©ger l'ambiance (me parler de viol...).

Bref, pour plein de raisons indépendantes de toi, j'ai décidé de rebrousser chemin et, comme il se faisait tard et qu'avec la sobriété sont venues la fatigue et un peu d'angoisse, j'ai agi brusquement en te plantant sur place. D'habitude, je ne suis pas une girouette, mais la situation était nouvelle pour moi et j'ai pris conscience d'une limite que je ne désirais pas franchir ce soir-là.

Je voulais donc te dire que tu n'y Ă©tais pas pour grand-chose, j'aurais probablement pris la fuite avec n'importe qui d'autre. J'ai conscience que cela a pu te paraĂźtre trĂšs Ă©trange et je suis dĂ©solĂ©e de ne pas m'ĂȘtre expliquĂ©e plus tĂŽt. Le soir mĂȘme ce n'Ă©tait pas possible, on Ă©tait pas en Ă©tat d'en causer, puis j'avais besoin de temps pour dĂ©mĂȘler tout ça de mon cĂŽtĂ©. VoilĂ  toute l'histoire !

J'espÚre que je ne t'ai pas traumatisé avec tout ça et je te souhaite bonne continuation !

Charlotte »

AprĂšs, le jeune homme le prend comme il le veut.

En fait, ce n'est pas vraiment différent de ce que l'auteure du post a fait : revenir sur l'histoire et donner son avis. Seul le destinataire change.

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J’ai 18 ans, je dĂ©bute mes Ă©tudes dans une grande ville. J’ai mon propre appart, et ce soir-lĂ , je sors avec plusieurs amies.
Une soirĂ©e organisĂ©e est par notre BDE, en milieu d’annĂ©e. Les partiels sont derniĂšres nous, mais ceux qui auront lieu Ă  la moitiĂ© du second semestre s’annoncent dĂ©jĂ .
L’occasion idĂ©ale de lĂącher prise avant de se replonger Ă  corps perdu dans le travail.
Occasion idĂ©ale, d’autant plus que ça fait peu de temps que j’ai rompu avec mon copain avec qui j’étais depuis bientĂŽt 3 ans – on s’était rencontrĂ©s jeunes, Ă  16 ans.
Je n’ai pas vraiment d’autres expĂ©riences, ni jamais eu d’autres partenaires mis Ă  part celui qui a conduit Ă  notre rupture (oui, bien jouĂ© t’es perspicace : je l’ai trompĂ© ).
Bref, c’est la premiĂšre fois que je sors vraiment depuis cette rupture . On boit, on danse, le club est bondĂ©. J’ai pas l’habitude d’accepter les avances de qui que ce soit dans ce genre de soirĂ©e, rapport que j’ai toujours Ă©tĂ© en couple depuis que j’ai l’ñge d’y aller.
Je suis pas fan du concept non plus, mais aprĂšs tout c’est pas la mĂ©ga forme dans ma vie actuellement, donc j’ai dĂ©cidĂ© de m’amuser.
L’alcool aidant, quand ce grand jeune homme blond commence à me jeter des regards, je lui rends.
À peu prĂšs avec autant de dĂ©licatesse et de subtilitĂ©.
Et lorsqu’il s’approche de moi pour danser, je me prends au jeu.
Je me prends tellement au jeu que trĂšs vite la danse devient plus lascive, nos corps sont collĂ©s, ses lĂšvres effleurent mon cou, et Ă©videmment on finit par s’embrasser.
Et ça dure un moment. Une heure, peut-ĂȘtre plus. J’ai dĂ©cidĂ© de me foutre de ce que les gens autour pourraient penser , y compris celles et ceux que je croise en cours et j’ai perdu mes amies de vue.
Il doit ĂȘtre 3h, la soirĂ©e bat son plein autour de nous, et vient cette question :
« On sort ? J’habite pas loin si tu veux ? »
C’est lui qui prononce cette phrase, pas moi. J’acquiesce.
Ça fait une heure qu’on se chauffe, on a clairement envie d’aller plus loin, je dĂ©cide de le suivre. Je n’ai jamais fait ça, je ne sais pas exactement Ă  quoi je m’attends, je ne rĂ©flĂ©chis pas plus que ça : j’ai envie de m’amuser, alors allons-y.
On se dirige vers le vestiaire, on récupÚre nos affaires, à la porte on nous averti :
C’est pas comme si on avait l’intention de revenir de toute façon.
Il y a une bonne dizaine de minutes de marche pour rejoindre son appart, il fait froid.
C’est un peu mignon et un peu Ă©trange en mĂȘme temps car on ne s’est pas vraiment parlĂ©, et on ne sait pas trop par oĂč commencer. Qu’est-ce que tu dis Ă  un mec dont tu commences Ă  bien connaĂźtre les lĂšvres mais dont tu as Ă  peine entendu la voix ?
La jeune fille de 18 ans sans expĂ©rience que je suis n’en a aucune idĂ©e, et aprĂšs tout, elle s’en fiche un peu.
Le mec pourrait voter Front National, je ne suis pas au courant et honnĂȘtement on n’est pas lĂ  pour parler politique.
Ça fait bientît dix minutes qu’on marche, c’est moins pratique pour s’embrasser, on n’est pas trùs bavards, je me gùle
 et je redescends. C’est comme si les vapeurs d’alcool s’envolaient.
D’un seul coup je ressens comme un petit malaise. Je me dis que finalement, je ne suis pas trĂšs sĂ»re d’avoir envie d’aller chez lui. En dix minutes, mon humeur a changĂ© et la perspective de passer la nuit avec lui me paraĂźt bien moins allĂ©chante qu’auparavant.
Mais c’est « pas trĂšs cool » de le planter lĂ  alors qu’il ne peut mĂȘme pas retourner en boĂźte et que lui semble manifestement avoir envie de partager son lit cette nuit.
C’est « pas trĂšs cool » , mais je dĂ©cide de le faire quand mĂȘme : aprĂšs tout, j’ai plus envie d’aller chez lui. Je vais quand mĂȘme pas me forcer ?
Je fais encore quelques pas avant de m’arrĂȘter, je le regarde :
« Je suis dĂ©solĂ©e mais finalement j’ai pas hyper envie d’aller chez toi. »
J’avoue, mon cƓur bat un peu trop fort pour que la situation soit tout Ă  fait sereine de mon cĂŽtĂ©, mais je ne lui donne pas le temps de nĂ©gocier.
Je tourne les talons, et je commence à marcher dans l’autre sens. Au bout de quelques dizaines de mùtres sans me retourner, je hùle un taxi, je monte

Et voilĂ . Je l’ai littĂ©ralement plantĂ© lĂ , sur le trottoir froid et humide , entre chez lui et la boĂźte oĂč il ne peut pas remettre les pieds car « toute sortie est dĂ©finitive » .
Je rentre chez moi, je me couche. Seule. Un peu amusĂ©e par ce que je viens de faire – mĂȘme si « c’est pas trĂšs cool » quand mĂȘme.
« Pas trĂšs cool » , mais « osé » selon les potes Ă  qui je raconte l’histoire un peu plus tard et qui se marrent.
« Franchement t’as bien fait, si t’avais pas envie, mais c’est vrai que tu aurais pu Ă©viter de le faire sortir de la boĂźte si c’était pour le planter sur le trottoir. »
Oui, sans doutes que j’aurais pu Ă©viter
 si j’avais su que j’allais changer d’avis. Je n’avais pas anticipĂ© ça honnĂȘtement, et de toute façon, rien n’îte la lĂ©gitimitĂ© de mon absence soudaine d’envie.
Planter quelqu’un, que ce soit sur le trottoir, sur le pas de la porte, dans le salon ou mĂȘme une fois nu dans un lit, c’est toujours la bonne dĂ©cision quand on n’en a pas envie.
Alors oui, je suis un peu dĂ©solĂ©e pour le pauvre jeune homme, qui a visiblement Ă©tĂ© relativement vexĂ© par mon comportement puisque deux mois plus tard, Ă  une autre soirĂ©e, il m’a alpaguĂ©e pour me dire que

« T’as pas Ă©tĂ© cool, la derniĂšre fois. »
J’ai bafouillĂ© que j’étais dĂ©solĂ©e et j’ai filĂ©. Je n’avais pas d’excuse Ă  donner.
Et je n’étais pas tout Ă  fait d’accord avec son point de vue : le planter, c’était sans doute dĂ©sagrĂ©able pour lui, mais ça ne fait pas de moi une « fille pas cool » .
Ça fait de moi une fille qui sait ce qu’elle veut, et qui sait (faire) respecter ses envies et ses limites. Ça fait donc de moi une fille cool, à l’inverse.

Et puis
 Peut-ĂȘtre que le jeune homme en question allait Ă©galement se remettre en question.
Il y a un dĂ©tail que je n’ai pas donnĂ© car au final il ne devrait pas avoir d’importance. Dans une piĂštre tentative de faire la discussion, il m’a sorti :
T’as raison mec, j’avais pas peur
 mais maintenant que tu le dis, une petite voix dans ma tĂȘte m’intime de faire demi-tour.
En rĂ©alitĂ©, que ce soit cette phrase nulle ou quelque chose d’autres ou rien du tout, on n’a pas besoin d’excuse pour se rĂ©tracter Ă  n’importe quel moment.
Mais quand mĂȘme un conseil au passage : ne parlez pas de viol Ă  la personne que vous avez prĂ©vu de mettre dans votre lit ce soir, car mĂȘme si elle avait prĂ©vu de consentir avec joie elle risque TRÈS PROBABLEMENT de changer d’avis.
Et sur ces mots, je vous souhaite de profiter pleinement de votre prochain coup d’un soir consenti.
Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à :
jaifaitca@madmoizelle.com
On a hĂąte de vous lire !

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