Une pipe inoubliable

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Comment faire une bonne pipe : 6 conseils pour réaliser une fellation inoubliable

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Pourquoi apprendre à faire une bonne pipe ? Tout simplement pour faire plaisir à votre partenaire, mais cela peut aussi vous satisfaire de temps en temps. Quand on pratique une fellation, il y a souvent un doute qui s’installe. Est-ce que c’était parfait ? Des fois même, on demande directement à la personne si elle a aimé ou non. Votre partenaire vous dira toujours que oui, c’était bon, mais pour vous en assurer, perfectionnez votre savoir-faire à travers quelques astuces. Grâce à cela, vous allez l’impressionner, en plus, cela renforcera votre couple. De plus, il ne cherchera plus ailleurs, vu que vous arrivez à répondre à ses besoins, même les plus fous. Voici donc nos conseils pour faire une bonne pipe !
La plupart des femmes trouvent la fellation inutile et n’ont pas vraiment envie de dépenser leurs temps à le faire. Elles s’appliquent tout de même après quelques excuses non pertinentes et astiquent la manche comme si elle était poussiéreuse. Ensuite, elles attendent impatiemment l’arrivée du jus. Cependant, ce que vous devez savoir, c’est que c’est un acte qui déçoit énormément le sexe masculin et impactera son envie. Vous devez donc apprendre à faire une bonne pipe en y mettant tout votre cœur. Vous devez aimer le faire et n’attendez pas qu’il vous la propose. Le mieux, c’est de créer tout d’abord une belle ambiance sexuelle, puis descendre petit à petit vers le bas. Vous pouvez par exemple danser sur une musique douce, vous approchez de lui en enlevant vos vêtements.
Toujours dans le but de faire une bonne pipe , vous pouvez par la suite enlever les siens le plus doucement possible. Prenez votre temps et ressentez le feeling. Puis, apprenez à interpréter les signes et les gestes de votre partenaire. S’il gémit par exemple, c’est qu’il aime ce que vous faites. S’il bouge quand vous faites passer vos mains sur son corps, c’est peut-être parce qu’il est chatouilleux. D’autres hommes guident vraiment les gestes des femmes lors du sexe. Il guide la direction de votre bouche, de votre main, etc. Laissez-vous faire dans ces cas-là et suivez le rythme.
Voilà, vous êtes maintenant en parfaite symbiose avec votre homme et vous avez atteint son entrejambe. La fellation peut commencer. Vous pouvez adopter 6 astuces pour faire une bonne pipe et faire monter votre homme au septième ciel.
Premièrement, il vous faut beaucoup de salive. Si votre bouche est trop sèche, cela pourra irriter le pénis de votre homme. Deuxièmement, faites attention à vos dents au risque de faire mal à votre cher et tendre. Troisièmement, vous devez choisir des mouvements non mécaniques. Évitez donc les simples va-et-vient classiques. Pour une pipe parfaite, commencez par la verge que vous allez lécher doucement, de bas en haut. Entre temps, avec votre main (vous pouvez la mouiller un peu), masturber le pénis, en serrant légèrement. Jouer un peu avec les testicules et toucher doucement le périnée de monsieur. Vous trouverez le périnée entre l’anus et les bourses de votre partenaire.
Quatrièmement, lécher doucement la partie qui relie le pénis au corps de votre homme. Cette intersection fait plaisir à plusieurs personnes. Cinquièmement, ne restez pas focaliser en dessous si vous souhaitez faire une bonne pipe, mais regarder de temps en temps votre partenaire en lui souriant ou en vous mordant les lèvres. Sixièmement, quand vous pensez qu’il va éjaculer, arrêtez tout, pour faire durer le plaisir. Quand il est temps d’éjaculer pour de vrai, lécher son pénis en suivant le parcours du sperme, donc du bas jusqu’à la pointe.
Avaler n’a de sens, que si l’éjaculation se fait dans la bouche, lors de la fellation. La bouche possède les mêmes particularités que le vagin. Elle est humide, chaude et on peut la contracter à volonté. Votre homme appréciera à coup sûr une finition de ce genre. Si l’éjaculation s’est faite à l’extérieur, c’est inutile d’avaler, car votre partenaire ne ressentira qu’un plaisir visuel et non un plaisir sexuel. Après, le choix d’avaler ou non dépend totalement de vous. Si vous n’êtes cependant, pas prête pour goûter au sperme, mieux vaut essayer une autre fois. Ce serait triste de tout gâcher avec un air dégouté alors que vous vous étiez réussi à faire une bonne pipe.
Concernant les risques de la fellation, ce sont les mêmes que les risques lors du sexe classique. Les MST se transmettent également lors d’une pipe surtout s’il y a une ouverture (une plaie, une angine, etc.) dans votre bouche. Même si monsieur n’a pas éjaculé à l’intérieur, il a quand même dégagé du liquide préséminal quand il était excité. Le sperme et le liquide préséminal, comme le sang, transmettent les MST. Cependant, la fellation avec une protection (préservatif) n’est pas vraiment agréable. De ce fait, mieux vaut faire les tests adéquats avant de se lancer dans les pratiques sexuelles de tout genre, y compris la pipe.
Nos 6 meilleures astuces pour faire une bonne pipe à son partenaire : les secrets d’une fellation inoubliable
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Archivé de: Confessions Gay – Numéro 8
Date de parution originale: inconnue

Date de publication/archivage: 2017-09-21

Auteur: Damien
Titre: Un suceur inoubliable
Rubrique:
Note: Le magazine Confessions Gay ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 2597 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Il faut que je vous parle du petit Éric. On l’appelle comme ça parce qu’il est vraiment petit, presque anormalement. Il a maintenant vingt ans, mais il faut regarder de près. C’est vrai que trois poils en bataille ornent son menton, et que le haut de ses joues a dû connaître une ou deux fois le rasoir. De ce défrichage de duvet ont survécu quelques longs poils épars qui donnent un soupçon de virilité à sa silhouette. Il a un visage rond et poupin, des jambes à peine duveteuses, de grosses fesses dodues, sa voix n’a pas beaucoup mué et garde une tonalité aiguë. Dans sa culotte, par contre, la puberté a généreusement fait son œuvre, et il possède de quoi satisfaire les tantes les plus exigeantes, dont je suis.

Éric est la deuxième génération des naufragés des banlieues. Avant lui, déjà, ses parents ont tout raté. Son père chômeur a sombré dans l’alcool, sa mère s’est reconvertie dans le tapin. S’est alors incrusté un maquereau qui a jeté Éric à la rue. Depuis, il vit dans Paris, avec un petit sac à dos. Sans domicile, mais pas vraiment SDF. Sa jeunesse et certaines de ses qualités dont je vais vous parler lui permettent de survivre à gauche et à droite dans de relatives conditions de confort.

Il y a plusieurs centaines de mecs en déroute comme lui, dans Paris. Avis aux papas potentiels. Même si l’adoption est souvent perdue d’avance, la délinquance faisant vite son œuvre dans cette fragile population.

Éric fréquente la gare du Nord, les Halles, Beaubourg. Il ne tapine pas, ne demande jamais d’argent, mais personne n’aurait à cœur de le laisser repartir sans le sou. Car il a su, lui, se garder de la délinquance où sombrent bon nombre de gens abandonnés à eux-mêmes. Il est fondamentalement honnête, et totalement gentil. Soucieux de son indépendance, il ne veut pas de papa officiel, malgré les nombreuses propositions qui lui ont été faites. Il lui faut plusieurs papas. Chaque jour, il replie son petit sac, et déménage chez un autre ami. Son carnet d’adresses est rebondi : est-il malade, il va deux jours chez un médecin ; si son linge sale s’accumule, c’est chez moi qu’il vient faire sa lessive, car je possède une sécheuse performante qui lui permet de repartir avec un paquetage séché et repassé dès le lendemain midi. L’été, il part en vacances, là où ses nombreux mecs l'invitent, il a même été aux sports d’hiver en janvier ! Combien de temps pourra-t-il vivre de cette manière ? Il ne faut pas lui parler d’échec scolaire, de reprendre quelques études, de se mettre à suivre une formation. Tout cela est un autre monde. Dans l’attente d’un inéluctable naufrage, tel le beau Dawson sur le Titanic, il vit ce que le hasard et ses charmes lui offrent, et on verra bien. Vos richesses n’ont rien à craindre de lui : il se fera couper en morceaux pour les protéger. Souvent, il exhibe les clés d’un appartement dont le propriétaire en voyage l’a chargé d’arroser les fleurs. Il s’acquitte de sa tâche avec application, mais ne s’y installe pas pour autant pendant l’absence du maître des lieux : sa vie de nomade lui est indispensable.

Le déshabillage d’Éric n’est pas en général un spectacle d’un érotisme torride. Après avoir vidé son sac dans la machine à laver, il se déshabille posément devant le hublot béant, rajoute au lavage les vêtements qu’il portait, et se retrouve tout nu dans la cuisine avec le bidon d’Omo à la main. Après quoi, suivant un rituel maintenant bien rôdé, il va prendre sa douche et revient avec un peignoir qui, vu sa petite taille, traîne par terre. C’est au coucher que s’instaure un autre rituel. Je ne sais pas comment les choses se déroulent chez les autres, en ce qui me concerne, je ne veux pas changer une ligne au sort que me réserve Éric. Il ouvre le lit de mon côté, m’invite à m’y allonger, règle la lumière et la musique de la manière qui lui convient, puis s’assied en tailleur contre moi et me demande si je suis en forme. Quoi que je lui réponde, il prend mon sexe en mains et le soumet à quelques préparatifs dont l’effet n’est jamais long à se montrer. Puis il conforte sa position, dandine ses grosses fesses pour bien les installer, tel un gastronome qui se met à table, et place ses couverts et son assiette. Il se penche sur mon gland pour s’assurer que sa position est optimale, la rectifie au besoin, écarte un pied qui heurte mon genou, avance ses fesses d’un centimètre, s’assure qu’il peut aisément accéder de la bouche et des deux mains à l’objet de son désir, puis se frotte les mains comme un gourmand qui voit arriver un plat fumant. Tout est prêt pour le festin. Car il y a quelque chose de gastronomique dans la manière posée, minutieuse, cérémonieuse, savamment organisée dont Éric se prépare pour m’administrer ma gâterie. C’est une véritable cérémonie, comme celle du thé au Japon. À d’autres moments, je le compare à un gourmet avisé qui se met à table, se carre bien sur sa chaise, rectifie remplacement de ses couverts, fait claquer sa langue pour appeler sa salive, s’affuble cérémonieusement de sa serviette et regarde arriver le rôti avec l’œil brillant.

Voilà, tout est prêt, Éric est installé, je suis bandant, le membre dressé sous son nez. Une dernière inspection pour éliminer un éventuel poil, de chat ou de moi, et la dégustation commence. D'abord, il m’agace le bout du gland avec l’extrémité de sa langue, puis le décalotte entre ses lèvres en mettant juste la salive nécessaire pour conserver à l’ensemble une onctueuse humidité. Après ce préambule, toujours du bout de sa langue, il visite les plis et les rainures, le frein, le tour du gland, pendant que ses mains massent mes couilles, avec une surprenante compétence. Ensuite, ben ensuite, je ne sais pas. Je perds le nord. Si je pouvais me faire ma pipe moi-même, je ne ferais sûrement pas mieux que lui. Je ne sais plus si ce sont ses lèvres ou ses doigts qui courent le long de ma queue, en égrènent les anneaux, en appellent les spasmes par de savantes pressions. Je ne me pose plus de questions. Il prend son pied, je prends le mien. À quoi bon rédiger un procès-verbal, puisqu’on s’offre chaque semaine une impeccable reconstitution ?

L’orgasme arrive. Il le sait en même temps que moi ; il l’a espéré, l’a senti venir alors qu’il n’était encore qu’une infime vibration de mes entrailles. Il l’appelle à lui sans précipitation, le fait même attendre un peu, juste ce qu’il faut, assez pour l’amener à son paroxysme, sans jamais dépasser accidentellement le point de non-retour. Il le fait mijoter dans mon bas-ventre, contrôle les spasmes de mes couilles, les convulsions de ma bite, les contractions de mon ventre avec la savante maîtrise d’un pilote de ligne qui fait décoller son boeing. Et on arrive au décollage. L’orage enfle en moi, le plaisir gonfle mes couilles, déferle dans ma verge. Il l’a suscité, appelé, il le désire, il le veut.

Il prend brièvement son souffle avant de la happer et le reçoit comme une manne divine, en accueille chaque salve dans sa bouche avec respect et délectation. Chacune de mes éjaculades est un rebondissement de son plaisir. La source vient à tarir, il en suscite de nouvelles largesses, aspire jusqu’au bout tout ce que je peux lui livrer, puis fait à coups de langue une toilette minutieuse de l’instrument de nos délices. Enfin, il l’abandonne à regret, fourre son nez dans mes poils, y donne force baisers, couvre mon ventre de folles embrassades, puis s’éteint enfin dans un juste repos.

Non seulement Éric ne fait rien pour mettre son sexe à portée de mes mains ou de ma bouche, mais il repousse les tentatives que je peux faire en ce sens. Après la tempête, je découvre qu’il a joui, spontanément, abondamment, plein partout. Je l’ai observé au cours de nos exercices : j’ignore s’il se retient ou s’il conduit mon orgasme de manière à ce qu’il survienne en même temps que le sien, toujours est-il qu’il jouit au même instant que moi, avec un synchronisme que bien des vieux couples ne réussissent pas toujours... Mon orgasme est sa récompense, et suscite le sien. À mes questions, il répond :

Jamais je n’ai pu obtenir plus d’explication. Un matin, j’ai voulu le faire jouir. Après tout, j’aime ça aussi. Éric est le seul échec de ma vie. J’ai fait prendre leur pied à des hétéros qui m'avaient parié que je n’y arriverais pas, et je n’ai jamais raté mon affaire. Je n’ai jamais pu faire jouir Éric sans qu’il ait ma bite dans sa bouche.

C’est l’analyse la plus avancée que, dans sa simplicité, il a pu me fournir.

— Mais, toujours ? Comment dire... Avec tout le monde ?

— Bon, ça va ! Je ne poserai plus de questions idiotes.

Après le plaisir, Éric se blottit dans mes bras et s'endort en quelques instants, comme un petit chat ronronnant.


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