Une pipe dans la baignoire

Une pipe dans la baignoire




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Une pipe dans la baignoire
Victime de viol ou d’agression sexuelle ? Postez anonymement votre tĂ©moignage sur Balancetonporc.com

Balancetonporc.com : le site de témoignages de viol et agression sexuelle le plus visité de France


Merci de remplir les champs obligatoires.
Raison (obligatoire) Spam
Mise en cause d'une personne identifiable
Insultes / Discrimination / Diffamation
Incitation Ă  la haine
Personne en danger
Autre
Merci de remplir les champs obligatoires.
Raison (obligatoire) Spam
Mise en cause d'une personne identifiable
Insultes / Discrimination / Diffamation
Incitation Ă  la haine
Personne en danger
Autre


Nous vous proposons de lire Ă©galement




un nouveau commentaire est posté sur cette page
une réponse est postée à l'un de mes commentaires




J'autorise l'utilisation de mon adresse e-mail pour l'envoi d'une notification lorsqu'un commentaire ou une réponse est posté sur cette page (Vous pouvez vous désabonner à tout moment).



J'ai lu et accepte les Conditions générales d'utilisation ainsi que la Politique de protection des donnees personnelles


Vous devez avoir lu et accepté les Conditions générales d'utilisation ainsi que la Politique de protection des donnees personnelles pour poster un commentaire



J'ai lu et accepte les Conditions générales d'utilisation ainsi que la Politique de protection des donnees personnelles


Vous devez avoir lu et accepté les Conditions générales d'utilisation ainsi que la Politique de protection des donnees personnelles pour poster un commentaire


plus récents
plus de votes

Merci de remplir les champs obligatoires.
Raison (obligatoire) Spam
Mise en cause d'une personne identifiable
Insultes / Discrimination / Diffamation
Incitation Ă  la haine
Personne en danger
Autre



Autre 2080

Cercle familial 1569

Au travail 953

Lieu public 874

Au sein du couple 839

Milieu scolaire 493

Milieu médical 477

HarcĂšlement de rue 133


Les numéros utiles
Police Nationale : 17
SAMU : 15
Pompiers : 18
Enfance en Danger : 119
Violences Femmes Info : 3919
Suicide Écoute : 01 45 39 40 00





Autre 2080

Cercle familial 1569

Au travail 953

Lieu public 874

Au sein du couple 839

Milieu scolaire 493

Milieu médical 477

HarcĂšlement de rue 133



© 2022 - Balance Ton Porc. Tous droits réservés.
Veuillez remplir les champs obligatoires.
Petite liste des porcs et des truies que j’ai rencontrĂ© au cours de ma vie :
-La premiĂšre fois, c’était l’annĂ©e de mes 13 ans. Je suis Ă  la plage, je m’amuse avec ma cousine, nous passons un bon moment
 Puis c’est l’heure de rentrer, nous ramassons nos affaires et nous nous habillons. Alors que je mettais mes vĂȘtements par dessus mon maillot de bain, mon regard croise celui d’un papy d’une soixantaine d’annĂ©es, en compagnie de sa femme. L’homme est en train de me reluquer avec un regard “dĂ©gueulasse” (il n’y a pas d’autres mots) de la tĂȘte au pied, en lorgnant sur ma poitrine et mes hanches naissantes. Je ressens une sensation de mal-ĂȘtre, de gĂȘne et de honte. Je ne sais pas pourquoi il me regarde ainsi, qu’est ce qu’il me veut ? Il me sourit de toutes ses dents jaunies, en inclinant la tĂȘte de haut en bas, l’air de dire “plutĂŽt bonne la p’tite”. Il me regarde comme une proie qu’il va chasser. J’ai le sentiment d’ĂȘtre violĂ©e. Et lĂ  viens LA question : “qu’est-ce que j’ai fait pour qu’il me regarde ainsi ? J’ai fait quelque chose de mal ? Un geste dĂ©placĂ© qui lui ferait entendre que j’ai envie de lui ?” (du haut de mes 13 ans). Je n’ose pas aller le voir pour lui poser la question ou pour lui faire une rĂ©flexion, je m’enfuis avec ma cousine de la plage, toujours avec ce sentiment de gĂšne, de honte et de peur. Le pire, c’est que sa femme ne s’est mĂȘme pas aperçue que son porc de mari reluquait une gamine qui avait l’ñge de sa petite-fille ouvertement.
-Ensuite il y a eu les garçons au collĂšge. J’étais en classe, et certains d’entre eux me prenaient pour une “fille facile”. J’avais dĂ©jĂ  eu des propositions orales de leur part, m’invitant Ă  coucher avec eux du haut de mes, et de leur, 14 ans. Je dĂ©clinais Ă  chaque fois, mais je ne m’étais jamais offusquĂ©e de ces propositions douteuses, croyant qu’il s’agissait “d’humour” (excuse si chĂšre aux porcs et aux truies). Un jour donc, je travaille Ă  une table en classe, deux amies Ă  mes cĂŽtĂ©s et trois garçons en face. Soudain, je sans quelque chose sur mon pied. Je regarde ce que c’est et j’aperçois une chaussure de garçon avec la jambe qui va avec. Je me dis qu’il s’agit d’une simple erreur, que j’ai du mettre mon pied Ă  la place de quelqu’un ou je ne sais quoi. Mais malgrĂ© le fait que je dĂ©gage mon pied, celui du garçon me colle Ă  nouveau et se met Ă  remonter tout au long de ma jambe en faisant des va-et-vient. Puis un deuxiĂšme le rejoint : deux garçons de 14 ans me font du pied en classe. Je suis tĂ©tanisĂ©e. Je ne sais pas quoi faire, je ne respire plus, je ne bouge plus, je suis statufiĂ©e. J’ai peur, je suis gĂȘnĂ©e, “mais que font-ils ? “. Les deux porcs me fixent du regard pendant ce temps lĂ , observant ma rĂ©action comme s’il s’agissait d’un divertissement pour eux. La professeur arrive, m’observe, me trouve bizarre et me demande : “ça va ?”. Je souffle “oui oui
”, incapable de prononcer la moindre phrase tellement je suis estomaquĂ©e. Elle demande aux deux porcs, mĂ©fiante, “qu’est ce que vous lui avait fait ?”. Et il lui rĂ©pondent les yeux dans les yeux, bouche en cƓur et tĂȘte d’ange : “MAIS RIEN MADAME ! “. La professeur passe alors son chemin, me laissant avec eux. Aujourd’hui j’aurais aimĂ© qu’elle me demande Ă  la fin du cours, une fois le reste de la classe partie, ce qui c’était passĂ©. Je lui aurais tout dit, je me serais confiĂ©e. Ces deux garçons auraient pu ĂȘtre puni, sermonnĂ©, afin qu’ils ne recommencent jamais une telle chose. Nous aurions pu Ă©viter que cela se reproduise. Mais cette professeur ne m’a jamais convoquĂ©e. Je n’en ai jamais parlĂ© Ă  personne. J’ai attendu mes 18 ans pour en souffler deux mots Ă  ma mĂšre, mais que faire ? C’était il y a 5 ans. C’était des “garçons de 14 ans”. Ils Ă©taient “bĂȘtes” diraient certains pour justifier leur acte.
-Il y aussi toutes les insultes, les moqueries, les propositions de monter dans des voitures Ă  14h de l’aprĂšs-midi, les “T’es BONNE”, les “Eh SALOPE !”, les “Eh MADMOIZELLE ! “, les “Eh P’TIT CUL !” prononcĂ©s par des inconnus, des garçons en groupe la plupart du temps, mais cela, je vous l’assure, n’avaient pas 14 ans.
– Il y a ce professeur de physique, quand j’avais 16 ans, qui reluquait ma poitrine en cours devant tout le monde : il se plantait de longues minutes Ă  30 centimĂštres de moi, fixant mes seins. Moi, naĂŻve, j’ai longtemps cru qu’il regardait ma copie. Ou encore ce professeur de sport quand j’avais 12 ans, qui me caressait le dos pour un oui ou pour un non et qui rentrait sans cesse dans le vestiaire des filles sans frapper Ă  la porte pour les apercevoir en sous-vĂȘtements (heureusement les 3e nous avaient montrĂ© des techniques pour se cacher de lui).
-Une autre fois en voyage dans une famille d’accueil Ă  l’étranger. Un soir, j’écris des mails en pyjama dans le bureau de la maison. Le fils, de deux ans mon aĂźnĂ©, rentre de soirĂ©e. Il vient me voir et me parle, ce qui me surprend car d’habitude nous n’avons rien Ă  nous dire. Nous discutons gentiment pendant de longues minutes, puis Ă  l’odeur qu’il dĂ©gage et Ă  ses yeux dĂ©foncĂ©s, je comprends qu’il est ivre et droguĂ©. FatiguĂ©e, je lui dis que je vais me coucher et je commence Ă  quitter la chaise du bureau. LĂ , il donne un coup violent dans le meuble, Ă  10 centimĂštre de mon visage, et me dit “NON !”. Je suis obligĂ©e de me rassoir devant tant de violence. Je commence Ă  avoir peur. Peur qu’il me frappe. Tout le monde est couchĂ©, la maison est particuliĂšrement bien insonorisĂ©e, et personne n’a entendu ce qui s’est passĂ©. Je parviens Ă  me dĂ©gager de la chaise, Ă  sortir du bureau sans l’énerver. Puis il me dit : “viens on va regarder un film ensemble dans le canapĂ©â€. Je lui redis que non, que je veux me coucher, mais il insiste. Je dĂ©cline, il essaie de se rapprocher de moi, tente de me toucher
 J’esquive ses gestes. Il me suit partout. Je descend au rĂ©ez de chaussĂ©, et j’entends ses pas lourds qui me suivent en courant. J’ai peur, je pique un sprinte dans la maison, je me rĂ©fugie dans la salle de bain du bas que je ferme Ă  clĂ©. Je n’ai pas eu le temps d’allumer les lumiĂšres du couloir, je ne peux pas voir oĂč il se trouve. Je prend mon courage Ă  deux mains. Ma hantise est qu’il se jette sur moi dans le noir. J’entrouvre la porte, je vĂ©rifie les lieux. Personne. Je sors du couloir, m’apprĂȘte Ă  remonter l’escalier, et c’est alors que je l’aperçois dans le canapĂ© du salon, me demandant : “qu’est-ce que tu fais ? On doit regarder un film”. Je re-dĂ©cline, mais il se lĂšve prĂ©cipitamment en fonçant sur moi. LĂ , je m’enfuis, je cours. J’ai peur. Je remonte Ă  l’étage, avec lui Ă  mes trousses. Je parviens Ă  entrer dans ma chambre, Ă  me cacher dans l’armoire et Ă  me munir d’un cintre pour seule arme. Il ouvre la porte de ma chambre, plongĂ©e dans le noir. Il se dirige vers mon lit, pensant m’y trouver. Ses pas son lents et lourds. Il a un air menaçant. Je comprends son intention. Mon instinct prend le dessus : je sors de l’armoire et je lui hurle (avec le cintre braquĂ© sur lui) : “Qu’est-ce que tu fais ?! Vas-t-en !”. Il est tellement surpris de me trouver dans l’armoire qu’il quitte la piĂšce prĂ©cipitamment. Une personne de la maison se rĂ©veille et va au toilette Ă  ce moment lĂ . Il n’ose pas revenir et ne m’embĂȘte plus de la nuit. Le lendemain, pendant qu’il dĂ©cuve, je raconte tout Ă  ses parents, qui m’expliquent que leur fils a de gros problĂšmes avec l’alcool”. Lui, ne se souviens de RIEN. Je quitte la famille d’accueil aprĂšs cette nuit horrible. Sur le chemin, le pĂšre de famille (qui me ramĂšne) reçoit un appel. Je n’ai jamais compris si c’était la police ou quelque chose du genre, mais aprĂšs avoir raccrochĂ©, il m’explique que son fils a agressĂ© une autre jeune fille la veille. ça n’a pas l’air de l’inquiĂ©ter plus que ça, il en parle comme s’il s’agissait d’une simple routine. Je n’ai jamais revu cette famille et son fils tordu. Lui, a oubliĂ© ce qui c’était passĂ© et dors tranquillement la nuit. En attendant, 3 ans aprĂšs, impossible d’effacer cette soirĂ©e tragique.
– Enfin, il y a Ă  peine un mois, j’avais rendez-vous au CHU avec une mĂ©decin renommĂ©e. Je rentre dans son cabinet, sans fenĂȘtres, accompagnĂ©e de ma mĂšre. Nous parlons, je me mets en sous-vĂȘtements pour faire des examens et lĂ , la mĂ©decin me caresse le dos sans aucune raison (je dis bien “caresse”). Puis, sa main descend, descend, descend
 jusqu’à mes fesses, qu’elle caresse aussi. Et cela plusieurs fois au cours du rendez-vous, toujours lorsque ma mĂšre regardait Ă  cĂŽtĂ©. De mĂȘme, la mĂ©decin me mesure et se retrouve, Ă©trangement, trĂšs proche de mon corps, collĂ©e Ă  moi. Seuls quelques centimĂštres sĂ©parent mon corps du sien. Pourtant, ma mĂ©decin habituelle est toujours Ă  un bras de distance de moi quand elle me mesure, elle n’a jamais eu besoin de se coller Ă  moi
 Puis, cette truie me manipule, me “montre” comment je dois me relever correctement etc
 Sa tĂȘte est si proche de mon entre-jambe (pour une raison obscure) que je manque de lui dire ” vous voulez que j’écarte mes cuisses un peu plus aussi ?”. Beaucoup de mĂ©decins, de kinĂ©s et d’ostĂ©opathes m’ont manipulĂ©e/ mesurĂ©e au cours de ma vie, mais les attouchements que me faisais celle-lĂ , je ne l’oublierai pas. Surtout, je ne peux m’empĂȘcher de me dire que si ma mĂšre ne m’avait pas accompagnĂ©, si j’avais Ă©tĂ© seule avec elle, elle aurait peut-ĂȘtre tentĂ© d’autres choses dans cette piĂšce close

Voila, un rĂ©sumĂ© non exhaustif de mes rencontres avec des porcs et une truie. J’espĂšre que ce tĂ©moignage pourra servir Ă  quelqu’un, d’une façon ou d’une autre.
L'auteur de ce témoignage n'a pas souhaité révéler son identité
Afin d'améliorer l'espace commentaires, tout en permettant aux victimes d'obtenir de l'aide, nous invitons les personnes désirant partager des liens et coordonnées de spécialistes, d'associations etc, à le faire UNIQUEMENT dans la section "Obtenir de l'aide" du forum crée à cette occasion.
Nous tenons à préciser qu'aprÚs avoir posté un témoignage, chaque victime désirant obtenir de l'aide est invitée à se rendre sur le forum .
Afin d'améliorer l'espace commentaires, tout en permettant aux victimes d'obtenir de l'aide, nous invitons les personnes désirant partager des liens et coordonnées de spécialistes, d'associations etc, à le faire UNIQUEMENT dans la section "Obtenir de l'aide" du forum crée à cette occasion.
Nous tenons à préciser qu'aprÚs avoir posté un témoignage, chaque victime désirant obtenir de l'aide est invitée à se rendre sur le forum .
C’est horrible, je suis un homme et je ne comprends toujours pas comment certains qui appartiennent au mĂȘme sexe que le mien ait cette mentalitĂ©, cette idĂ©alisation de la femme en tant qu’objet sexuel.
Ça me dĂ©goĂ»te, je suis vĂ©ritablement dĂ©solĂ© pour toi, parfois j’aimerais ĂȘtre une femme pour comprendre la douleur ressentie, et la partager avec des personnes qui en ont besoin.
Vous avez Ă©tĂ© victime de viol ou d’agression sexuelle ? Alors venez poster anonymement votre tĂ©moignage
Vous avez Ă©tĂ© victime de viol ou d’agression sexuelle ? Alors venez poster anonymement votre tĂ©moignage

Falls die Wiedergabe nicht in KĂŒrze beginnt, empfehlen wir dir, das GerĂ€t neu zu starten.
Videos, die du dir ansiehst, werden möglicherweise zum TV-Wiedergabeverlauf hinzugefĂŒgt und können sich damit auf deine TV-Empfehlungen auswirken. Melde dich auf einem Computer in YouTube an, um das zu vermeiden.
Bei dem Versuch, Informationen zum Teilen abzurufen, ist ein Fehler aufgetreten. Versuche es bitte spÀter noch einmal.
0:02 / 1:20 ‱ VollstĂ€ndiges Video ansehen Live



Deux filles lors d'un plan Ă  quatre
Une grosse bite allemande dans son cul
Une baise anale pour un couple de geeks

Report Page