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3.1 Un des personnages principaux est masochiste
3.2 Un des personnages a subi des violences non consenties et bascule vers le masochisme charnel
3.3 Films contenant une ou plusieurs scĂšnes BDSM
3.4.1 Films oĂč une ou plusieurs dominatrices sont mises en scĂšne
4 Roman Polanski et l'ambiguïté du mal
5.3 Films d'aventures : les classiques
5.13 Adaptations des Ćuvres de Stephen King
5.14 Sadisme, horreur et sorcellerie
6 Sadisme et masochisme dans les séries télévisées
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La derniÚre modification de cette page a été faite le 5 juin 2022 à 18:07.
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Le sadisme et le masochisme sont deux thÚmes présents dans le septiÚme art . PlutÎt que de parler de sadomasochisme ou BDSM au cinéma, cet article sépare le sadisme du masochisme, ce qui permet de traiter l'ensemble des films, qu'ils abordent la seule thématique du sadisme, ou bien celle du masochisme, et sans qu'il soit forcément et uniquement question de jeux sexuels contractuels .
Traiter le sadisme et le masochisme au cinĂ©ma, n'est pas traiter uniquement le BDSM , dont le but est la quĂȘte du plaisir sexuel. Selon la pure tradition hollywoodienne le masochisme au cinĂ©ma est acceptable « sâil Ă©vacue toute notion de plaisir sexuel : sâil peut incarner lâexaltation du martyre dans le plus pur style judĂ©o-chrĂ©tien [ 1 ] . » De mĂȘme qu'aucune censure ne frappera les films historiques au sadisme exacerbĂ©. Films oĂč l'on met en images des scĂšnes de fouet Ă peine soutenables : Les RĂ©voltĂ©s du Bounty . Ou encore, Qu'est-il arrivĂ© Ă Baby Jane ? qui met en scĂšne un sadisme social terrifiant, Ă travers un couple sadique [ 2 ] et victime, incarnĂ© par deux sĆurs.
En revanche, « que le hĂ©ros vienne Ă succomber aux avances capiteuses de cet archĂ©type hĂ©taĂŻrique quâest la vamp, et celle-ci le conduira Ă lâhumiliation et Ă la dĂ©chĂ©ance [ 1 ] . »
Tout au long de sa carriĂšre, Marlon Brando a accumulĂ© les rĂŽles de personnages troubles ou ambigus, anti-hĂ©ros ou au contraire pervers cruels et effrayants. Acteur aux mille facettes, il avait aussi « quelque chose de dangereux, comme un parfum noir qui Ă©manait de lui. DĂ©testable ? Non. Au contraire, sĂ©duisant, attirant. Il avait la beautĂ© du diable. » [ 3 ] Si bien que certains ont pu parler de lui comme d'un « monstre », donnant l'impression que « lâĂ©cran nâest pas assez grand pour lui. » [ 4 ]
« Brando, ce fut la contradiction mĂȘme : une voix douce sur un corps de colosse une virilitĂ© fĂ©minine - ah, cette lenteur douloureuse de Sur les quais -, un sadisme alternant avec le pire des masochismes - Colombani en fait un autodestructeur compulsif - et une violence qui n'aura de cesse de tendre vers le zen, jusqu'au bouddha Kurtz dans Apocalypse Now . Des contradictions rĂ©solues trĂšs tard avec ce film-culte, mais aussi avec Le dernier tango Ă Paris , oĂč il se dĂ©pouille comme jamais. C'est Ă la fin que le âRoi Brandoâ est nu. » [ 5 ]
Parmi ses incarnations de personnages humiliés, frappés :
à propos de masochisme au cinéma Michel Etcheverry nous dit : « Ce penchant pour le supplice cinématographique constitue le versant respectable du fantasme masochiste masculin » [ 1 ]
Boulevard du crépuscule ( Sunset Boulevard , 1950) : un film de Billy Wilder , avec William Holden , Gloria Swanson , Erich von Stroheim . Norma Desmond, interprétée par Gloria Swanson, fut une grande gloire du cinéma muet. Elle vit désormais enfermée dans une somptueuse demeure et continue à se conduire comme une idole. Elle a perdu son physique de jeune premiÚre, mais son caractÚre s'est durci : capricieuse, autoritaire, narcissique, dominant et manipulant son valet, etc. Elle aurait, selon Georges de Coulteray, « la gifle mondaine » [ 22 ]
« à bien des Ă©gards, [la femme fatale] apparaĂźt comme lâarchĂ©type de la femme dominatrice recherchĂ©e par le masochiste [...] elle est surtout la crĂ©ature du masochiste, davantage que sa tortionnaire. Le rĂŽle de la femme dominatrice dans le fantasme masochiste a Ă©tĂ© parfaitement rĂ©sumĂ© par Gilles Deleuze dans sa cĂ©lĂšbre introduction Ă La VĂ©nus Ă la fourrure , de Sacher-Masoch » [ 1 ] , Ă©crit Michel Etcheverry. Et selon lui, une lecture attentive de Basic Instinct (film de Paul Verhoeven , 1992) et Body (film d' Uli Edel , 1993) en est la parfaite illustration [ 1 ] .
« AppelĂ© en Allemagne par E. Pommer, directeur de la UFA, il se voit proposer une vie de Raspoutine, qu'il refuse, et une adaptation du Professor Unrat d' Heinrich Mann , qu'il accepte : c'est L'Ange bleu ( Der blaue Engel , 1930), qui marque sa rencontre avec celle dont il va faire, film aprĂšs film, un mythe universel, Marlene Dietrich . La version anglaise de l'Ćuvre ne sortira aux Ătats-Unis qu'aprĂšs le deuxiĂšme film de Sternberg et Marlene, Morocco : CĆurs brĂ»lĂ©s . L'Ange bleu comme CĆurs brĂ»lĂ©s sont des films marquĂ©s par une fatalitĂ© trouble, que Sternberg, dont le style flamboyant ne s'est pas encore totalement affirmĂ©, traduit en images raffinĂ©es jusquâĂ la plus extrĂȘme sophistication. En 1931, le cinĂ©aste fait de Marlene Dietrich une espionne dans le style de Mata Hari [...] Il retrouve peu aprĂšs Marlene Dietrich dans une aventure exotique, ShanghaĂŻ Express (1932), lointainement inspirĂ©e de Boule de Suif . Femme fatale, Marlene s'y sacrifie pour sauver les passagers d'un train arraisonnĂ© par des brigands, et Sternberg nous parle, avec Ă©lĂ©gance et raffinement, des rapports de l'homme et de la femme, rapports entachĂ©s de sadisme et de masochisme , qui constituent son thĂšme de prĂ©dilection. »
Selon Marie Claire , Brigitte Bardot « demeure lâincarnation mĂȘme de la femme fatale française » [ 69 ] .
Le masochisme peut prendre les diverses formes du travestissement. Ainsi, Ă propos du « masochisme dans le cinĂ©ma comique », Jean Streff Ă©crit : « Le ridicule ne tue pas, il fait mĂȘme jouir [ 73 ] . »
Selon lui, il y aurait un masochisme conscient ou inconscient chez le hĂ©ros travesti au cinĂ©ma. Il remarque dans son livre que « lâaspect dĂ©libĂ©rĂ©ment parodique de ce travestissement et son origine le plus souvent impĂ©rative (nĂ©cessitĂ© de la situation ou caprice de la « maĂźtresse ») assigne au hĂ©ros cinĂ©matographique et au masochiste civil une fonction rigoureusement identique : ĂȘtre contraint et forcĂ©, en butte au rire sarcastique des spectateurs [ 74 ] . »
Par ailleurs, le neuro-psychiatre AndrĂ© Brousselle, partant des travaux de Sigmund Freud , « nous mĂšne Ă prendre en compte lâimportante problĂ©matique de lâidentitĂ© , et dâautres culpabilitĂ©s â celle du travestissement de lâidentitĂ© sexuĂ©e » [ 75 ] .
Pour Jean Streff , Laurel et Hardy « représentent certainement l'expression comique la plus accomplie des rapports dominant/dominé en milieu homosexuel » Toujours selon Jean Streff [ 91 ] , dans le tandem Laurel et Hardy « La plus outrageante domination est, sans conteste, la catégorie des épouses. Elles mÚnent leur mari à la baguette et sont « hurlantes, violentes, dévastatrices, castratrices [ 92 ] ».
Dans un collectif prĂ©facĂ© par Jean Dutourd de lâ AcadĂ©mie française , Alain Paucard nous dit quâils Ă©taient dĂ©signĂ©s « sous le vocable neutre de tandem pour ne pas avoir Ă dire quâils formaient un couple, un vraiâŠÂ » « Dans Twice two (1933), Hardy est mariĂ© avec Laurel travesti en femme et Laurel fait de mĂȘme avec un Hardy tout aussi grimĂ©.[âŠ] La preuve absolue est le nombre de fois oĂč ils se sont montrĂ©s dormant ensemble dans un lit nullement jumeau » [âŠ] « VoilĂ deux hommes qui expliquent « quâavoir un bon copain câest plus fidĂšle quâune blonde », qui se livrent Ă des activitĂ©s fort ambigues, qui manifestent une misogynie Ă©pouvantable et les Ă©ducateurs se taisent, sont donc « objectivement complices ».[âŠ] Ils sont bĂȘtes et le royaume du second degrĂ© leur est fermĂ©âŠÂ » [ 93 ]
Pour Jean-Yves Alt, « Comment ces deux "abrutis" de Laurel et Hardy ont pu Ă©chapper aux bistouris de la censure ? Parce que, dans leurs films, ça y va franchement : des mollets poilus aux talons aiguille, des pantalons envoyĂ©s en l'air, des nuits blanches transpirĂ©es dans le mĂȘme lit, et mĂȘme, des envie de faire un bĂ©bĂ© ensembleâŠÂ » [ 94 ]
En 2018, sort sur grand écran le biopic Stan et Ollie , réalisé par Jon S. Baird, et qui retrace la vie des deux artistes, et leur complicité tant amicale qu'artistique [ 96 ] .
Sous cette appellation, Jean Streff intÚgre le film suivant dans son analyse de régression masochiste [ 97 ] : Un mari en laisse (1962) de Henry Levin : Micheline Presle traite son époux en chien, lui apprend à marcher comme un chien tenu en laisse, la patte levée pour se soulager.
« Aucun film de Polanski n'est directement autobiographique. Pourtant, tous ont Ă voir avec son enfance troublĂ©e, confisquĂ©e, violentĂ©e : la domination d'un ĂȘtre, parfois d'une communautĂ©, sur un autre, avec ce que cela implique de sadisme et de masochisme, de rĂ©versibilitĂ© et de trouble de l'identitĂ©, y occupe une place centrale » [ 105 ] .
Listes, évidemment non exhaustives, de quelques films emblématiques :
Le cinĂ©ma a abondamment traitĂ© le thĂšme des tueurs en sĂ©rie , dont le profil est trĂšs variable, mĂȘme s'ils apparaissent trĂšs souvent comme des psychopathes se caractĂ©risant par leur manque d'empathie et leur sadisme, leur boulimie de meurtres, le plaisir de satisfaction et le sentiment de supĂ©rioritĂ© qu'ils tirent de leurs crimes. Parmi une multitude de films, quelques rĂ©fĂ©rences emblĂ©matiques :
Ă noter que le film de Charles Laughton a fait l'objet d'un « remake », ou plutĂŽt d'une variation en forme d'hommage qui reprend le mĂȘme canevas de base, en exacerbant la violence et les dĂ©lires du pasteur sadique et psychopathe interprĂ©tĂ© par Guy Pearce : Brimstone , film franco-nĂ©erlandais de Martin Koolhoven (2016). Avec une certaine emphase formelle dans l'exhibition du sadisme et de la cruditĂ© sexuelle, « le film est une tentative ambitieuse de western gothique, tout Ă la fois guidĂ©e par une volontĂ© de rĂ©alisme brut et effleurant une dimension fantastique, renvoyant Ă certaines conventions du cinĂ©ma dâĂ©pouvante. » [ 159 ]
« Il Ă©tait dĂ©testĂ© autant quâestimĂ©, il aimait lui-mĂȘme se peindre en misanthrope, tyran sadique et tortionnaire dâactrices et dâacteurs, et en dĂ©miurge obsessionnel. Henri-Georges Clouzot Ă©tait tout cela Ă la fois, et bien plus encore : lâHitchcock français, maĂźtre du suspense, le peintre de la noirceur de lâĂąme humaine, Ă©tait un perfectionniste fĂ©tichiste, un pessimiste angoissĂ©, grand satiriste de la France de lâaprĂšs-guerre et de ses veuleries misĂ©rables » [ 181 ] .
« Ses films ont marquĂ© des gĂ©nĂ©rations de spectateurs et son style ne cesse dâĂȘtre copiĂ© et parodiĂ©. DerriĂšre les classiques intemporels ( Psychose , Sueurs froides , FenĂȘtre sur cour ) se cache une personnalitĂ© dĂ©criĂ©e, un sadique qui n'hĂ©sitait pas Ă torturer (psychologiquement) son entourage » [ 188 ] .
Le western regorge de personnages cruels, plus ou moins sadiques, et parmi une filmographie abondante, les films de Sergio Leone , considéré comme le pÚre du western spaghetti , présentent toute une galerie de personnages violents et sadiques.
Michael Haneke ouvre une expérience de spectateur inédite et dérangeante, parfois traumatique dans la dureté des scÚnes exposées ou la manifestation d'une brutalité insoutenable, y compris hors-champ [ 199 ] , [ 200 ] . La radicalité de ses films a souvent divisé la presse et le public : les adjectifs « pervers », « culpabilisant », « manipulateur » et « sadique » ont réguliÚrement été employés [ 199 ] .
Selon Georges de Coulteray, « la fessée est devenue la forme privilégiée de ce que l'on nomme le petit sadisme [ 245 ] » .
« En couleurs puis en scope, Tom nâa cessĂ© de poursuivre Jerry sans succĂšs de film en film. On a tout dit sur le sadisme, la violence, la cruautĂ© des gags qui Ă©maillent ces folles poursuites oĂč toutes les lois de la physique sont abolies et oĂč la raison finit par chavirer. » [ 280 ] .
Ce que nous explique Jean Tulard vaut en rĂ©alitĂ© pour un large pan des dessins animĂ©s Ă trĂšs grande diffusion : chez Disney avec Les 101 Dalmatiens , La Belle et le Clochard et mĂȘme Mickey [ 281 ] , chez Tex Avery avec Bugs Bunny ou Bip Bip et Coyote .
Ă chaque fois, lâon y retrouve un prĂ©dateur sâacharnant sur sa proie, un bourreau tyrannisant sa victime [ 282 ] .
« Un film qui s'annonce sulfureux, dans lequel Emmanuelle Béart incarne une maitresse aux penchants SM entrainant un jeune homme dans une histoire passionnelle et dangereuse... »
« Boxing Helena met en scĂšne un chirurgien obsĂ©dĂ© par une femme aussi fatale que sadique, qui se refuse Ă lui et quâil va donc finir par sĂ©questrer avant de lui couper les jambes et les bras, histoire de la statufier. »
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Deux femmes font un tour de manĂšge slingshot (boule tenue par des Ă©lastiques) sur l'Ăźle de Malte. Mais l'une d'entre elles va ĂȘtre un peu trop excitĂ©e. Pendant que la boule va l'envoyer en l'air Ă 70 mĂštres de hauteur Ă plus de 160 km/h, elle va avoir un orgasme. C'est ce qu'on appelle un manĂšge Ă sensation !
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