Une petite pipe sur mon lieu de travail

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Une petite pipe sur mon lieu de travail
Publié le 20/06/2010 à 09:06 par leslivresacqt

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leslivresacqt
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les livres à cqt, c'est comme a. christi, mais avec des avions et de l'érotisme en plus

Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
16.06.2010
Dernière mise à jour :
10.12.2010








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Les jours passent vite, et bientôt Michèle me ramène au boulot. La reprise est menée tambour battant. À peine arrivé au PC, le chef de section nous rassemble en salle de briefing, le commandant arrive :
« Messieurs bonjour, nous avons été désignés par le commandement de base pour former le plastron qui doit attaquer la base de Reims qui est en manœuvre cette semaine. L’attaque se fera donc aujourd’hui et demain. Dès ce matin, aérotransport du plastron sur les lieux, phase d’observation jusqu’à minuit, et ensuite attaque des postes stratégiques en priorité, et des postes secondaires ensuite si possible. Arrêt des hostilités demain à midi, rapatriement des équipes en H34, à 14 heures messieurs bonne chasse ! »
Nous avons 10 minutes pour aller chercher le paquetage de combat dans les armoires, récupérer l’armement à l’armurerie au retour, et rassemblement devant le PC à 9 heures 30.
Putain c’est la course a l’échalote, mais à l’heure dite tout le monde est au rendez vous. Embarquement dans un camion qui nous emmène en bout de piste ou le nord 2501 nous attend déjà.
Pendant qu’on brèle nos parachutes le chef de section nous briffe :
« Écoutez moi bandes de tapettes, la DZ (DROPING ZONE = zone de largage) se trouve à 10 bornes de la base de Reims, je vais distribuer les cartes aux chefs de groupes, il y a 4 groupes d’assaut, nord, sud, est, ouest, étudiez bien vos coordonnées pendant le voyage, au lieu de dormir comme d’habitude, bandes de tarlouzes, le largage est prévu à 11 point 00, je vous donne jusqu’à
12 point 30 pour être paré à la phase d’observation de l’objectif, en forme, et de bonne humeur, compris ? Il y a des questions ? Allez vérification des brèlages de parachutes et embarquement »
Pendant le voyage j’étudie le topo, et tout va bien, je suis le groupe d’attaque sud et la DZ se trouve au sud de la base, donc en coupant au plus court, je serais facilement dans les temps, mais pour le groupe nord qui doit contourner toute la base pour être en place, ça va pas été facile.
Le largueur relève les portes de l’avion, et c’est les ordres préparatoires au saut, ceux qui 40 ans plus tard te tordent encore les tripes.
Le tumulte des moteurs, le choc de l’ouverture, léger balancement, puis la perception du silence relatif du vent de la descente, et déjà il faut se préparer au choc de l’atterrissage, plier un peu, et serrer les genoux, admirer sans s’affoler le sol qui te saute à la gueule, agripper les suspentes, rentrer la tète dans les épaules, et c’es la chute.
Tout se passe bien il n’y a quasiment pas de vent, lovage sommaire du parachute, on se rassemble, on se compte, tout le monde est là en entier.
Les équipes de récupération du matériel nous délestent des pépins, ventral, dorsal, et c’est le départ :
Tel est l’ordre que je donne à mes 3 gugusses et nous partons vers notre poste, il n’y a pas de temps à perdre, la marche est soutenue, vers midi les groupes est, ouest et nord nous quittent pour prendre leurs routes un peu différentes de la notre. À midi et demi a 5 minutes prés j’appelle par radio le chef de groupe pour l’avertir que je suis en place, et avec mes mecs on se sépare en deux groupes, un à droite l’autre a gauche, 500 mètres de distance. Première chose à faire, casser la graine, ensuite on verra.
Ainsi séparés, si l’un des deux groupes se fait repérer l’autre peut toujours se tirer ou sauver le premier.
On est à moins de 1 km de la base, en m’avançant discrètement au bord d’un petit chemin creux je distingue très nettement notre objectif, la soute a munition. Pour l’instant elle est encore calme, mais à partir de minuit et même avant ils vont y coller un maximum de mecs, il faudrait y rentrer un peu avant, sinon après ce sera difficile !
De toute manière il faut attendre la nuit, avant rien n’est possible. Avec mon bidasse on décide de faire une petite bulle, et on tentera une approche vers 19 heures 30, pour se pointer au contact du grillage vers 21 heures quand il fera vraiment nuit.
Je garde quand même un œil ouvert. 18 heures 30, remue ménage à l’entrée du champ, au bord duquel nous sommes, c’est une paysanne du coin qui met ses vaches à la pâture pour la nuit après la traite. Je connais les vaches, et je sais ce qu’elles vont faire, si jamais on bouge l’ombre d’un poil de cul dans notre calbut, je n’ai pas le temps d’avertir mon partenaire il s’est assis pour mieux voir. Tu penses bien que les vaches qui d’habitude s’emmerdent dans leur pré n’attendaient que cette occasion, et voyant quelque chose d’inhabituel elles se précipitent immédiatement dans notre direction. Une bonne vingtaine de vaches, les deux plus hardies leur gros museau humide tendu vers nous, en reniflant bruyamment à deux mètres de notre nez, les autres les poussant au cul, il leur faut 30 secondes pour que tout le troupeau soit là, gueule collée à la clôture pour nous dévisager gentiment. La fermière se rend compte du manège et vient au renseignement, elle n’est pas très étonnée de nous découvrir :
« Ce ne serait pas vous qui auriez sauté en parachute ce matin, du coté de l’ancien terrain américain ? »
Devant notre réponse positive, elle ajoute :
« A chaque fois qu’il y a du remue ménage sur la base, il y a toujours des gars planqués dans le coin pour aller attaquer la base ensuite, c’est ça que vous allez faire ? »
Elle a la quarantaine florissante des femmes de plein air.
Son maquillage, c’est le bon air qui le lui donne.
Ses formes c’est le travail de la terre qui les lui donnent.
Et sa bonhomie, c’est son caractère paysan qui le lui donne.
Ce caractère sans détours de celui ou celle dont l’intelligence des mains tient lieu de carte de visite.
Pour nous rejoindre elle enjambe la clôture, ce qui me donne le temps d’apercevoir sa culotte de coton blanc, et çà pour moi ce n’est que du bonheur.
A la radio le groupe que j’ai mis à 500 mètres de là s’inquiète :
« Chef, vous avez des problèmes ? »
« Non, non les gars tout va bien ! »
« Dis donc toi le chef, qui n’a pas les yeux dans sa poche, tu peux me montrer les armes que vous avez, j’en ai toujours rêvée ; quand j’étais gosse j’aurais voulu rentrer dans l’armée mais à l’époque, ça se faisait pas trop, et maintenant il est trop tard, hein qu’est ce que tu en penses mon gars ? »
Me dit-elle en rigolant, et en me foutant un grand coup de coude dans les cotes, tout en s’asseyant à cote de moi.
Je demande à mon adjoint de faire le guet, je ne voudrais pas être surpris en train de faire tripoter de l’armement a un civil, lui faire tripoter mon arme intime ne me coûterait qu’une légère remontrance de mes supérieurs, mais une vraie arme c’est autre chose. Je lui fais d’abord voir mon PA « pistolet automatique » (après avoir pris soin d’enlever le chargeur), elle veut ensuite voir « la mitraillette » le PM « pistolet mitrailleur » du soldat, même précaution, elle voudrait tirer avec, je suis obligé de lui dire que ce n’est pas possible pour l’instant, çà nous ferait repérer, mais que quand les hostilités seront déclenchées, et si on a l’occasion de repasser par là je lui ferais tirer une rafale.
« J’attendrais, quand tu prends le petit sentier qui mène à la pâture, fais un peu de bruit, ne t’inquiète pas je te rejoindrais ici, d’accord ? »
Avant de se relever elle me dépose un léger baiser sur la joue :
« Et n’essaye pas de reluquer encore ma culotte ! »
Dit elle en refranchissant la clôture de telle manière, que je vois même la marque de la culotte sur le coté
A 21 heures, je joins la deuxième équipe par radio, le message est laconique
Comme on sait que les autres nous écoutent, pas de message en clair, mes mecs savent ce que ça signifie, qu’ils ont le feu vert pour l’approche finale, et pour déclencher les hostilités a minuit.
Mon soldat et moi effectuons notre approche sans problème jusqu’à 50 mètres du grillage de la base, là ça se complique un peu l’herbe est tondue a ras, et autant de l’autre coté. Pour passer inaperçu il n’y a qu’une méthode, la reptation reptilienne la plus académique possible. Nous avançons doucement mais sûrement, pour l’heure les sentinelles présentes seulement tous les 200 ou 300 mètres ne sont pas trop attentives. Au contact du grillage quelques coups de pinces viennent à bout d’un bon mètre carre de clôture, que l’on s’empresse de refermer, pour ne pas laisser trace de notre passage, au retour on le laissera grand ouvert au contraire, ce sera notre signature.
Apres avoir atteint l’abri relatif des hautes herbes nous avançons courbés sur nos deux pattes de derrière, ça évite de coucher la verdure.
Çà y est nous sommes au contact de notre objectif, il faut attendre minuit l’heure officielle des hostilités pour découper un morceau de grillage, preuve de notre présence à proximité de la cible, plus un fumigène lancé à l’intérieur et l’attaque sera homologuée.
20 minutes d’attente, un peu angoissés d’être découverts si près du but, les sirènes se mettent à couiner c’est le signal tant attendu, mon soldat découpe 1 bon mètre carré d’enceinte, il le roule pour l’emmener avec lui, et commence à déguerpir.
Lorsque je pense qu’il a rejoint le point de sortie, j’allume le fumigène et le balance à l’intérieur de l’objectif.
Je rejoins mon adjoint, qui a déjà rouvert et découpé ce qui restait de la première enceinte, et nous détalons en même temps que se déclenchent les premiers alarmes dans la soute à munitions.
Quelques rafales sont tirées, mais certainement sur des ombres parce que nous sommes déjà trop loin pour être vus de qui que ce soit.
Arrivés dans le petit chemin, je demande à mon soldat de faire comme moi le plus de bruit possible, en traînant les RANGEOS, et en toussant à fendre l’âme.
« Ça va les gars, çà y est je vous ai entendu il y a 5 minutes vos deux autres copains sont déjà passés, j’ai cru que c’était vous c’est pourquoi je suis déjà là »
« CQT 2 vous avez traité votre objectif »
Tout s’est bien passé pour eux aussi, je leur dis de se reposer jusqu’à 6 heures on se regroupera à ce moment là pour rentrer ensemble sur la base.
Nous nous dirigeons vers le petit nid douillet que nous avons occupés cet après midi, la fermière me prend la main :
« Je m’appelle Maryse, et toi tu t’appelles comment »
Je le lui dis et nous arrivons à destination.
Les vaches, un peu étonnées de voir du monde en pleine nuit nous suivent jusqu’à ce que nous passions la clôture, et comme d’habitude elles restent là, à attendre la suite des événements.
À mon avis, elles ne vont pas être déçues !
Son premier désir c’est de tirer avec nos armes, comme nous ne nous en sommes pas servis, les munitions ne manquent pas. Nous sommes assis dans une sorte de cuvette de verdure. Je me mets derrière elle, mes deux jambes de chaque coté, je lui mets le PA en main, j’arme, et lui dis d’appuyer sur la détente.
La première détonation la surprend un peu, les vaches aussi d’ailleurs qui ont reculées de 10 mètres seulement, sans affolement véritable. Maryse elle ne tremble pas, à l’instar de certains bidasses qui vibrent tellement que même en les tenant a deux mains on n’arrive pas à les empêcher de trembler.
Elle tire les deux chargeurs suivants en rigolant.
Quand on arrive au PM de mon soldat, là elle est un peu plus impressionnée, le déploiement de la crosse, l’abaissement du boîtier chargeur,
Il lui faut 5 minutes pour tout assimiler. Si la première rafale n’est pas trop maîtrisée, les suivantes (3 chargeurs de 20) sont dignes d’un vrai professionnel.
Je rends l’arme à mon soldat, qui en profite pour me demander, fort à propos s’il peut aller se reposer un peu plus loin.
Le cou de Maryse est à un centimètre de ma bouche, avant de m’y aventurer, je lui demande si son mari ne va s’inquiéter de ce vacarme et de son absence, elle m’apprend alors qu’elle st célibataire et que son vieux papa est sourd comme un pot.
Feu, je mets mes deux mains sur ses seins, je colle ma bouche contre son cou qui sent le lait, elle n’attendait que çà.
Attends deux minutes avant de te mettre à saliver, il faut que je te parle de l’odeur, que dis-je, du parfum de Maryse.
Elle sent le foin, dans ses cheveux, l’étable, sur sa blouse,
Le mix de toutes ses fragrances est autrement plus affolant, que le n° 5 de chanel qui, pour un type de la campagne comme moi évoque plus la pute de luxe, que la romance amoureuse.
Bon allons-y, sa bouche vient à la rencontre de la mienne, elle a un baiser profond et ensorcelant, c’est léger et vorace en même temps.
Elle s’allonge, je la suis dans le mouvement elle a défait les deux boutons du bas de sa blouse afin que j’accède plus facilement au centre de la vie. Je m’attarde un moment sur ses seins lourds, surtout qu’elle n’a pas de soutien gorge.
La chaleur qui se dégage de sa poitrine m’invite à y déposer la bouche, pendant que ma main part en exploration dans la zone sud, elle est la bienvenue et était même très attendue. Je passe sous le coton de la culotte, l’accueil est humide et la dame l’accompagne d’un soupir de bienheureux soulagement.
Voyant que le chemin est tracé, je commence à vouloir me débarrasser de la culotte, d’une forte pression sur mon poignet Maryse m’en empêche :
« Non Thierry, je préfère que tu me branles un peu s’il te plait »
Oh alors si on m’invite à faire ce qui me plait le plus.
Evidemment, cet exercice avec une nouvelle partenaire demande des études préalables, j’attaque donc le tour du mont de venus à la recherche éventuelle d’une zone sensible, il y en a, mais pas vraiment concluantes, c’est en découvrant le petit bouton sous son capuchon protecteur que je sais que je viens de trouver le graal.
Je le triture un peu au départ, et je le sens grandir et grossir sous mes doigts à tel point que bientôt il a atteint la taille de mon petit doigt, le faire vibrer devient vite un jeu d’enfant.
Maryse jouit d’une manière brutale, sans avertissement préalable, sinon sa respiration qui s’accélère au moment crucial, ensuite pendant la descente elle m’embrasse longuement et profondément.
Quand son ventre se tend je sais qu’il faut recommencer mes manœuvres ludiques, et je le fais avec beaucoup de bonheur.
Une demi-heure plus tard, Maryse est en sueur, elle retire ma main et nous faisons une longue pause récupératrice, pendant laquelle elle m’embrasse à sa manière qui me rend fou de désir.
Elle le sait, sa main vient se promener légèrement sur la protubérance qui signale ma braguette :
« Tu m’as bien fait jouir, laisse moi faire maintenant c’est moi qui vas te faire jouir, et surtout n’aie pas peur de tout laisser dans mon ventre, je le veux »
Elle a largement ouvert mon pantalon, et sorti l’outil principal calmement et souverainement elle me chevauche écarte sa culotte petit bateau, et procède a l’introduction.
Par de longs et profonds mouvements de va et vient, elle finit par m’extirper tout ce qu’il pouvait y avoir en moi, y compris les réserves, elle se love ensuite sur moi pour un gros câlin.
On câline ainsi encore une petite heure :
« Thierry je vais rentrer, tiens je te donne cette enveloppe tu l’ouvriras demain seulement, tu me le promets ! Et je t’interdis de regarder encore ma culotte pendant que je m’en vais »
On s’embrasse langoureusement et elle s’en va, en me montrant gentiment sa petite culotte.
Si tu as chez toi « c’est la vie, » mon premier livre tu découvriras en lisant « les jumelles » pourquoi les petites culottes en coton me foutent toujours en émoi.
J’ouvre mon sac de couchage, j’appelle mon soldat, il n’est pas très loin, une dizaine de mètres :
« On se met en veilleuse, le premier qui se réveille tout à l’heure, alerte l’autre, d’accord ? »
La fraîcheur de la rosée du matin, sur mon visage, me tire du sac à 5 heures et demi. Je réveille tout le monde, on se rejoint sur le bord du chemin, et à 6 heures direction la base.
Déjeuner, et embarquement dans les hélicos.
Certains mecs s’endorment dans le H34, porte ouverte, et pourtant ça fait du bruit, ils sont peut être un peu fatigués ?
A 15 heures, le commandant nous félicite en salle d’honneur, nous avons atteint 90/100 des objectifs, c’est plus que n’en espérait le commandement, donc tout va bien.
Arrivé dans ma piaule, je me jette sur mon lit, et je dors.
Le lendemain matin, il faut que je me déloque, pour pouvoir mettre une tenue propre et aller monter la garde.
Le tour de 10 jours de garde/alerte terminé, Michèle est là qui m’attend, on prend la route :
« Pas de séance dans le parking ce matin madame ? »
« Non ce matin il faut que j’aille aux impôts, et je serais juste à l’heure, mais ne vous inquiétez pas, en sortant je vous réglerais votre compte, vous serez IPPON avant de comprendre ce qui vous arrive »
Michèle me largue devant chez elle, et fonce à son rendez vous.
Je jette mon sac dans la chambre, et je m’allonge en l’attendant.
Une force étrange me tire de mon sommeil, Michèle est là au bout du lit, j’ai du mal à émerger.
Je me dresse tant bien que mal, 10 jours de G/A (Garde/Alerte) ça tue, je suis enfin assis en face de Michèle, qui agite une enveloppe devant ses yeux :
« C’est quoi çà mon minet. Avant de mettre vos fringues dans la machine, j’ai vérifié les poches, et dans la veste de votre tenue camouflée, j’ai trouvé ça, vous avez peut être une explication, voyou des rues ? »
L’enveloppe de Maryse ! Je l’avais complètement oubliée, Michèle me la jette dans la figure, elle est ouverte :
« Je n’ai pas eu besoin de l’ouvrir, elle n’était pas cachetée ! J’attends vos explications, monsieur le
Avant de juger, je lui demande la permission de prendre connaissance de la missive. Elle s’assied à coté de moi. Effectivement sur l’enveloppe, en majuscules est écrit :
« Je m’appelle Maryse, toi je ne sais pas encore comment tu t’appelles.
Si tu reviens ce soir, je le saurais certainement.
Quand je t’ai vu cet après midi, toi et ton regard direct, sans complexe sur ma culotte, j’ai immédiatement compris que j’aurais envie d’avoir une aventure avec toi.
Je ne sais pas si cette aventure aura un lendemain, c’est toi qui en décidera, mais s’il te plait reviens moi ce soir ! »
Suivent ensuite l’adresse de Maryse et son numéro de téléphone.
Je regarde Michèle, et m’apprête à lui donner des explications, mais avec sa langue dans ma bouche c’est difficile de parler.
Comme Michèle me l’avait dit, je suis IPPON en moins de 5 minutes. Elle se déchaîne. Oh bien sur avec mon mètre 80 et mes 80 kilos, et en usant de force brutale je pourrais me libérer de son emprise. Mais il s’agit ici de joute amoureuse, et finalement je suis plus complice que véritable victime. Aujourd’hui, je n’ai même pas eu droit de poser mes mains sur son corps, surtout son petit popotin bien musclé que j’apprécie particulièrement.
Non elle m’a immédiatement crucifié. J’ai juste eu le droit et le temps d’enlever mon pantalon et mon calbut, elle était déjà sur moi, empalée, mais suffisamment active pour m’emprisonner les jambes dans les siennes, repliées sur mes cuisses. Ses doigts entrecroisés avec les miens, son regard est du
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