Une petite levrette histoire de bien finir la soirée

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Une petite levrette histoire de bien finir la soirée

Une soirée qui finit bien - histoire érotique
Couleur du fond :
Gris clair

Gris

Blanc


Une soirée qui finit bien



 

hummmm beau récit, une sacrée salope !!!! vivement la suite..





 

Ah ce Georges, quelle imagination coquine qui soulève la p... - Z




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Il est deux heures du matin, je suis allongé sur la banquette arrière de ma voiture
garée au fond d’un parking sombre d’un club échangiste ou je me suis rendu pour la
première fois de ma vie, j’attends pour rentrer chez moi que les vapeurs des whiskys
ingurgités s’évaporent
Par la faute a ma timidité quasi maladive j’ai raté ma soirée, je n’ai pas osé aborder
un couple très jeune, je dis très jeune car par rapport a mes cinquante balais ils
devaient avoir dans les vingt cinq, un homme encore plus jeune qu’eux caressait la
femme vêtue d’une micro jupe et d’un top très court, elle n’avait pas l’air
d’apprécier car elle me jetait des yeux implorent espérant peut être que je m’approche
pour remplacer le jeune fougueux, son mari subjugués par les attouchements qu’elle
subissait ne m’a pas remarqué et la bloquait sur la piste de danse afin de pouvoir
satisfaire ses fantasmes de voyeur
Voilà pourquoi je viens d’ouvrir ma braguette pour extraire mon membre raide pour me
masturber en me remémorant certaines scènes osées qui se déroulaient sous mes yeux
dans le club, telle que cette femme coincée entre deux hommes, la robe relevée à la
taille débraillée a la poitrine, les cuisses écartées pour laisser des mains
fouineuses fouiller son sexe pendant qu’elle branlait deux queues a la fois
Soudain dans le silence de la nuit j’entends des pas probablement de talons
d’escarpins féminins qui claquent sur le bitume, des voix se rapprochent, la femme rie
de bon cœur, ils sont tout prés... Ma voiture bouge … une femme vient de s’appuyer les
fesses sur ma portière arrière juste sous mes yeux, par ma vitre légèrement
entrebâillée j’entends la conversation, je ne me manifeste pas …..
- Chérie pourquoi ne t’es tu pas laissée faire par ce jeune mec ? il avait
vachement envie de te baiser
- Tu plaisante ? t’as vu ? il ressemblait comme deux gouttes d’eau à mon p’tit
frère, j’avais l’impression que c’est lui qui me pelotait
- Ahhhh dommage … y’ a pas un autre mec qui t’aurait plu ?
- Si mais il est partit, tu ne l’as pas vu, quand j’ai voulus te le montrer il
partait en direction des vestiaires, un homme de la cinquantaine une moustache fine,
un beau spécimen !
- Ha merde excuse moi chérie
Ce mec, la cinquantaine, moustache fine qui la regardait …. C’est moi ! Ce serait mon
jeune couple ??
- Chéri que fais-tu ?
- Je lève ton haut pour admirer tes seins au clair de lune ….huuuuuuummmm quels
beaux nichons
- T’es fou ? et si quelqu’un arrive ?
- Il sera le bienvenu !
Lentement je m’assois, je vois son dos nu à vingt centimètres de mes yeux…. Et si ……je
remercie le ciel de ne pas avoir une voiture moderne, mes vitres arrière possèdent une
manivelle sinon je serais obligé de mettre le contact pour la baisser …..Sans bruit je
fais descendre la vitre, c’est là que ça passe ou ça casse …du revers de ma main
j’effleure son dos nu, elle pousse un cri et se jette dans les bras de son mari
- Que t’arrive-t-il minou ?
- Quelqu’un vient de me toucher !
- Ou ça ? je ne vois personne !
- Là dans la voiture regarde la vitre est ouverte !
- Ha, c’n’est pas grave … ça te dirait de te faire toucher sans savoir a qui
appartient la main ? une personne mystérieuse qui palperait tes seins ? …… reprends la
position que tu avais chérie…
- Ça me fout les chocottes ! ……
La jeune femme docile s’adosse à nouveau sur ma portière, je prend une position plus
confortable et pose mes mains sur les flancs de la nana qui tressaille
- Il me touche à nouveau ……
- Je vois ses mains, détend toi mon amour …..
Lentement je progresse vers la poitrine et enveloppe de mes paumes les tétons et une
bonne partie des seins gonflés de désir, je les malaxe comme deux boules de pate, mon
érection redouble de rigidité
- Hhhuuuummmm tu mouille ma salope !
- Ça me fait des choses ….
- Je vais relever ta jupe au cas où cette personne voudrait visiter plus bas …
- Chéri on va nous surprendre …
- T’occupe je veille …écarte les pieds …
J’hésite juste une seconde avant de laisser ma main gauche descendre sur son ventre
plat, je passe sur la jupe roulée en boule, mes doigts se fraient un passage entre le
cache sexe et la peau brulante, une inspiration profonde gonfle son sein, je joue un
instant avec les poils bouclés du mont de vénus puis avec les lèvres charnues, elle
sursaute et pousse un cri quand j’atteins le clitoris, je vais mouiller un doigt dans
la fente avant de revenir titiller le mini gland enflé d’excitation
- Il te fait du bien chérie ? je vais faire glisser ton cache sexe
- Ooouuiiiiiiiii ! il me doigte merveilleusement bien………
- Branle moi aussi …
Je décide de mettre deux doigts dans son vagin et mon pouce lubrifié sur le clito
- Ta chatte fait du bruit ma salope ça te coule entre les cuisses
- Soutien moi je vais jouir …..aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!
La fille fléchie les jambes ce qui fait que mes doigts sont retirés de force de la
vulve trempée, je les porte a mon nez …. Muuummm quel parfum !!!! Et quel goût ……..
- Ça va mieux mon amour ?
- Voouuufff ! quel pied !
- C’est la sensation de te faire toucher par une main anonyme, au fait monsieur,
nous pourrions peut être faire connaissance maintenant que vous avez bien ‘ examinée ‘
ma femme ?
- Avec plaisir…écartez- vous je vais ouvrir la portière …
Je pose les pieds au sol, ma queue dépasse largement de ma braguette
- Mais ! … Mais vous êtes le monsieur qui me regardait dans la salle ?
- Effectivement excusez moi je n’ai pas eu l’audace de vous aborder
- Vous plaisiez pourtant à Nelly, et à ce que je vois vous tenez la forme ! Tu
veux qu’il te baise chérie ?
- Ou ça ici ?
- Oui, dans votre voiture, c’est possible ?
- Tout à fait je peux basculer le siège passager en couchette, j’en ai pour une
seconde …il serait préférable qu’elle soie nue, et moi aussi pour ne pas être entravés
car la place est limitée
- Je pourrais regarder ?
- Bien sûr je me tiendrais écarté afin que vous voyiez bien ma queue entrer dans
son ventre… vous avez une charmante compagne monsieur mes compliments
- Merci c’est d’ailleurs pour cela que j’aime la prêter à des mâles fougueux !
- Remontez le plus possible en arrière je vais vous manger l’abricot avant de
vous pénétrer
- Comme ça ?
- Impeccable, lever une jambe je vais me glisser entre vos cuisses…. Voilàààààà
! je vais allumer le plafonnier …. Hummmm quel tableau, il y a longtemps que je
n’avais pas vu un p’tit cul comme celui là ! vos lèvres brillent de mouille
Je me penche au mieux pour lécher la fente juteuse, le mari a ouvert la porte arrière
pour caresser les seins de sa femme et observer ma façon de brouter son minou,
l’orgasme récent se réveille a nouveau, heureusement que j’ai un plaid sur le siège je
n’arrive pas a tout avaler, elle m’attrape par les oreilles pour plaquer mon visage
entre ses cuisses au cas où j’aurais la mauvaise idée de me retirer, une plainte
montante brise le silence mais c’est son mari qui hurle le plus fort
- AIIIIEEE ! lâche moi la queue chérie tu me mords !
Nelly met une minute à reprendre son souffle, dés qu’elle émet un son compréhensible
je la tire par les jambes afin de positionner sa chatte au ras du siège, les pieds sur
la planche de bord, a genoux mon braquemard a la main je fouille l’entrée de la vulve
afin de trouver le passage qui mène au paradis, mon nœud s’enfonce dans un magma
brulant, en appuis sur les mains je prends lentement possession du vagin, le mari
approche sa tête
- Ça y est chérie ! tu es belle et bien prise !
- Il en a une grosse …la positon est impeccable ça frotte au bon endroit
- Défoncez là, elle adore être secouée
- C’était bien mon intention ….
Tandis qu’il triture les tétons j’entame une sarabande diabolique, elle secoue se tête
en tous sens rendant impossible une fellation sur son homme, si des gens passent à
proximité ils vont voir la voiture exécuter une drôle de danse
Mes coups de boutoirs font couiner la femme, le mari n’ose pas me dire de ralentir
mais je vois qu’il est inquiet, le vagin s’est dilaté, la mouille baigne son entre-
fesses, ma queue poisseuse brille sous la lumière du plafonnier, combien de temps ai-
je labouré son jardin secret ? En tout cas il est prêt à être ensemencé, d’un coup de
rein plus violent que les autres je me soude à son ventre, ma queue crache de longs
jets à intervalles réguliers au fond de sa matrice, une lave épaisse suinte des lèvres
tuméfiées, Nelly est inerte sa respiration devient régulière, ma queue se réduit a vue
d’œil et quitte le trou marécageux, son mari l’embrasse tendrement
- Ça va chérie ? tu m’as fait peur, tu n’as pas mal ?
- Rassure toi, il m’a littéralement explosée la chatte mais ça fait un bien fou
!
- Allons dans notre voiture j’aimerais lécher ton con ….
- Tu pourras aussi me baiser….



Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur] .
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Histoire érotique Publiée sur HDS le

26-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags:
Club-libertin Candaulisme Caresses-preliminaires 
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( 8.0 /10 )




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Fin de soirée chaude - histoire érotique
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Fin de soirée chaude



 

tres bon, tres beau




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Fin de soirée chaude


Après une dure journée d'étude, rien ne vaut une petite soirée entre potes. Ce soir c'est dans mon studio que ça se passe et comme souvent l'alcool coule à flot. On rigole on boit, les jeux s'enchaînent et ce jusque tard dans la nuit. Mes potes quittent l’appart les un après les autres mais Tiphaine reste pour m’aider à ranger. Elle m’avoue avoir un peu trop bu pour reprendre sa voiture et me demande si elle peut passer la nuit sur le second lit de mon studio (j’occupe seul un studio fait pour deux). Bien sur j’accepte, je ne veux pas être responsable d’un accident. On finit de ranger, on prend un dernier verre et je dis à Tiph que je vais prendre une douche avant de me coucher, elle me dit qu’elle va laver les derniers verres pendant ce temps. Tiph est une gentille fille avec quelques rondeurs, elle n’est pas grosse, mais affiche une forte poitrine, une bonne paire de fesse et un petit ventre. Elle n’est pas très grande, 1m50 je dirai. Je n’ai jamais été spécialement attiré par elle, on est pote et ça me va comme ça.

Une fois dans la petite salle d’eau je pousse la porte et la bloque comme je peux, et oui elle ne ferme pas, en même temps j’avais jamais prévu de recevoir quelqu’un et donc jamais demandé à l’agence de réparer le loquet. Une fois sous la douche je savoure cet instant tant attendu, après avoir bien fait la fête rien de tel pour vous requinquer. Le bruit de l’eau qui coule et la vapeur ambiante masque l’ouverture de la porte. Je n’entends pas Tiph s’approcher. Soudain un courant d’air. Le rideau s’écarte. Je lui tourne le dos. Je n’ose me retourner et je la sens qui se colle à moi. Je sens ses deux gros seins se plaquer contre mon dos. La fraîcheur de son corps provoque des sensations très fortes et mon sexe ne tarde pas à réagir. Tiph m’embrasse tendrement le dos et ses mains caressent mon corps, elles vont de mon torse à mon ventre. Sa caresse est douce et sensuelle. Je bande maintenant comme un taureau. Je tente de lui rendre sa caresse en faisant passer mes bras derrière moi. Je lui touche les cuisses et remonte sur ses fesses, ses hanches, la position ne me permet pas d’atteindre une autre partie de son corps. Ces caresses durent de longs moment, puis elle me prend la main et la glisse entre nos deux corps en direction de son sexe, dans le même temps elle m’attrape la queue de son autre main. Mon érection est à son maximum. Je sens son sexe légèrement poilu, mais je n’en ai pas la mesure exacte. Mes doigts glisse lentement le long de sa fente, je m’arrête et insiste sur son bouton. Elle me masturbe lentement mais très méticuleusement, cette caresse est si intense que mon excitation monte à une vitesse que je ne connaissais pas encore. Par peur de me lâcher trop vite je mets fin à sa masturbation et me retourne face à elle. Tiph à une bonne tête de moins que moi et je me penche pour l’embrasser, notre baiser est chaud et langoureux, nos langues se mêlent, se lient, la passion est présente sous cette douche dont l’eau devient froide depuis que je suis dessous.

Nous décidons de rejoindre la chambre, on se sèche rapidement histoire de ne pas prendre froid et tremper tout l’appart. Tiph s’assied sur le lit. Je peux alors admirer son corps dans toute sa splendeur. Ses seins sont parfaits, un peu gros (un bon 95D) mais d’une forme qui n’appelle pas de retouche, des seins de rêves. Sa toison est légèrement fournie mais taillée en triangle la pointe juste au dessus de sa fente. Je m’approche d’elle, me met à genou et embrasse ses seins, je laisse ma langue dessiner de petit rond autour de ses aréoles et lui gobe les tétons déjà bien tendus. Tiph se laisse aller se penchant en arrière, en appuie sur les coudes. Je descends lentement le long de son ventre pour arriver à la lisière de sa toison. Je lui écarte d’avantage les cuisses histoire de me frayer un chemin jusqu’à son puits d’amour. Je lape lentement ses lèvres les écartant progressivement pour atteindre l’entrée de son vagin. Elle gémit de plus en plus, son sexe est doux et à un goût tout aussi doux, son jus coule littéralement, Je lui prodigue un cuni qui lui décroche un premier orgasme. Je ne la laisse pas pour autant, et malgré quelques résistances du fait de son orgasme, je remonte ses jambes bien haut et continu ma caresse linguale autour de sa rosette.
Après quelques coups de langue, elle se laisse complètement aller à ma merci. Je joins un doigt à ma langue, histoire de reprendre un peu mon souffle et la pénètre lentement. Je décroche un nouvel orgasme. Histoire de reprendre un peu ses esprits, Tiph m’attire à elle et m’embrasse à pleine bouche, goûtant ainsi à sa mouille.

Tiph me fait pivoter sur le lit de sorte que je me retrouve coucher sur le dos, elle continue de m’embrasser, et je comprends très vite son intention. Elle ne tarde pas et s’attaque directement à mon sexe tendu à mort. Elle commence par lécher la tige de bas en haut et de haut en bas, sa langue faisant de petit huit sur le gland. Elle prend mon sexe en main et me gobe tendrement les testicules, les aspirants, les léchant voir les mordillant. Elle revient sur ma tige, me la gobant de tout son long. Elle commence par prendre mon gland en bouche puis descend lentement aussi loin qu’elle le peut. Elle aspire, suce, me procure un plaisir si fort que je sens la jouissance monter. Je lui dis que je vais jouir dans sa bouche si elle continu à appliquer une telle caresse à ma queue, et cette remarque ne fait que lui appliquer un rythme encore plus intense et je ne peux retenir mon éjaculation dans un râle très fort, les giclées se succèdent au fond de sa gorge et Tiph n’en laisse pas s’échapper une goûte et avale avec délectation.

Malgré cet orgasme intense, je reste dur et tendu comme un roc. Je positionne Tiph en levrette sur le lit et lui introduit mon sexe directement au fond du sien. Elle est tellement mouillée que ça glisse tout seul, sans résistance. La sensation est extraordinaire, elle est à la fois douce, humide, brûlante et glacé, c’est la première fois que je ressens une tel sensation. Je la pilonne lentement, puis de plus en plus fort, ses cris d’abord légers, doivent maintenant s’entendre sur plusieurs étages. En plus de mes coups de butoir, je lui caresse l’anus d’un doigt léger et au fur et à mesure que ses cris augmentent, je presse de plus en plus jusqu’à la pénétrer avec mon index. Cette nouvelle sensation lui arrache un nouveau cri, et je ne tarde pas de faire suivre un second puis un troisième. La jouissance la gagne et je sens une liquéfaction complète de son vagin. Je me retire et là surprise, c’est elle qui éjacule. Elle inonde littéralement les draps. N’ayant pas encore joui, je la repénètre aussi sec mais cette fois dans le petit trou que j’avais préalablement préparé. J’applique des va et vient encore plus intenses que précédemment et lui arrache un nouvel orgasme qui m’entraîne à mon tour dans la jouissance. Je lui remplis l’intestin et continu mes mouvements si bien que mon sperme et sa jouissance coulent de partout. Je me retire et m’écroule à côté d’elle. Tiph continue d’expulser le sperme qui lui rempli les fesses. Elle s’allonge près de moi et nous nous endormons comme cela.

La nuit fut très courte et nous avons remis ça au petit matin, mais c’est une autre histoire.

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A mon réveil, elle est là, endormie, nue, magnifique. Je n’avais pas rêvé, ça c’était bien passé,
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