Une petite jeune assez gourmande pour le sexe de son homme

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Décoder les propos d'un homme en amour peut-être un sacré casse-tête. Pour cause, le langage amoureux est un microcosme à lui seul. Et lorsqu'ils ne sont pas 100% honnêtes, les échanges entre partenaires peuvent être teintés de sous-entendus.
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Drôle mais rempli de clicher a prendre au second degrés.

N'importe quoi. ça veut dire "Est ce que je risque d'etre comparé à d'autres, et si oui à combien d'autres" C'est plus une peur qu'un défi.

Hey !!! Vous en faites pas les mec..... La liste du "Décodeur homme-femme" serait 5 fois plus longue ..... lol

et pour " mais bien sûr que je suis amoureux ... " ?????

hey les filles vous voulez vraiment comprendre quand un mec vous parle alors sachez que 9 fois sur 10 (si ce n'est pas plus ....) il n'y a pas de message, d'interprétation a faire ! ... si je vous dis que j'aime bien vos chaussures c'est que je viens de les regardées et que j'aime bien ! ET PUIS C'EST TOUT ! ...
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Tout le monde peut avoir recours aux sous-entendus et aux mensonges par peur de dire la vérité. Mais le langage amoureux peut rapidement donner naissance à des quiproquos très mauvais pour le couple ou futur couple. Et si on vous facilitait la tâche en faisant un point sur les phrases d'hommes à décoder ? 
Cette phrase est très semblable au fameux "c’est compliqué", qui veut clairement dire qu’il n’est pas célibataire. Si un homme qui vous plaît tient ce propos, on vous conseille de demander des précisions. Demandez lui d’expliciter sa situation amoureuse. Ne restez pas dans le flou, vous avez le droit à la vérité. 
Peu importe le genre de l'individu qui la prononce, cette phrase veut explicitement dire que la personne ne fera pas ou plus d’effort. Et si comprendre le vocabulaire d'un homme peut parfois être un casse-tête, là c'est plutôt clair. En clair, ça veut dire : soit tu m’acceptes avec ce trait de caractère, soit tu me quittes.
L’interprétation de cette phrase varie en fonction du contexte, du ton et de la personne qui parle. Si elle sort de la bouche d'un mec rencontré il y a trois semaines, ça peut être un jugement de valeur, dans ce cas, on vous invite à le faire aller au bout de son propos. En revanche, si c’est une personne qui vous connaît depuis plus longtemps, et surtout si le contexte se prête à ce genre de remarque, n’y voyez pas spécialement de sous-entendu. Il n’y a pas de honte à être sensible après tout.
Cette phrase a le mérite d’être claire, nette et précise. Non, il n’ira pas plus loin avec vous. N’essayez surtout pas de le changer en adoptant le comportement de l’infirmière en amour . S’il vous dit ça, ne vous attendez pas à plus de sa part et ne croyez surtout pas qu’il changera d’avis du jour au lendemain. A vous d’adapter votre comportement en fonction de ce que vous attendez de cette relation. N'allez pas vous creuser la tête pendant 4 heures pour comprendre le sous-entendu fait par cet homme , parce qu'il n'y en a pas. 
Même si on n’aime pas les conclusions hâtives, cette phrase ne respire pas forcément la confiance en soi . Si votre chéri tient une phrase comme celle-là, ou du moins, dans le même esprit, sachez qu’il se sent peut-être un peu menacé par la présente de "ce type".
Qu’elle soit posée à une femme ou à un homme, cette question est hyper intrusive. Elle fait partie des questions qui touchent vraiment à l’intimité et qui ne devraient pas être posées durant les premiers rendez-vous.
Cette phrase peut clairement être mal interprétée et vous laisser penser qu’il n’est pas insensible au charme de votre copine. Pourtant, c’est loin d’être systématiquement le cas. Souligner la sympathie de votre amie peut-être juste un moyen de vous dire que vous êtes bien entourée et qu’il serait ravi de rencontrer vos autres ami.e.s. Nul besoin de tout le temps décrypter un homme . 
Encore une fois, les compliments inopinés de la part d’un homme peuvent être associés à des sous-entendus moins bienveillants. Non il ne se dit pas forcement : "j'ai un truc à me faire pardonne r". Et si vos chaussures étaient finalement vraiment juste jolies ? Dans ce cas, ce n'est pas nécessaire de vous creuser pas les méninges pour comprendre le langage secret des hommes.
Plaire aux ami.e.s de l’un et l’autre est une étape importante, mais ne vous emballez pas non plus. Evitez les plans sur la comète en pensant que c’est forcément le début d'une histoire d’amour . Allez-y doucement et n’en tirez aucune conclusion. Pourquoi ne pas, à votre tour, le présenter à vos ami.e.s ?
On est nombreuses à être tentées de dire qu’une telle phrase est synonyme de fuite et de rejet de la conversation. Mais revenons à la raison, peut-être qu’il a passé une très mauvaise journée et qu’il aimerait juste se poser calmement et régler tel ou tel problème plus tard. En revanche, s’il se cache tout le temps derrière cette phrase, n’hésitez pas à insister.
Quatre rendez-vous hebdos pour quatre fois plus de Cosmo






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Il est assis, serein, bienveillant, à l’écoute depuis des mois, des années. Mais derrière ce calme apparent, qu’a-t-il en tête ?
Tout comme on a du mal à imaginer que nos parents aient eu – ou pire, aient encore – une vie sexuelle, il est difficile de s’imaginer les psys avec une vraie vie. Karine en a fait l’expérience. Depuis quelques mois, elle était en analyse avec une thérapeute option taiseuse. Beaucoup de « hum hum », de rares « c’est-à-dire ? », ce prototype de psy lui convenait parfaitement. Pour elle, une analyste devait être une personne un peu abstraite, un container à problèmes, à secrets. Jusqu’à ce qu’elle la rencontre dans la vraie vie, et cela à deux reprises ! La première fois, on la lui présenta à un vernissage, la seconde fois, elle l’aperçut dans une soirée déguisée… Croiser sa psy hors contexte, quand on est, de surplus, habillée en Calamity Jane, est une expérience passablement traumatisante qui mérite d’être évoquée. Pourtant, jamais ni Karine ni la psy n’abordèrent ces rencontres au sein du cabinet. Et c’est sans en parler que Karine mit fin à sa thérapie. Qu’est-ce qui l’avait perturbée ? Découvrir que sa psy avait un compagnon ? Une préférence pour le champagne rosé ? Un très beau déguisement de gitane ? Bref, une vie ?
Car le psy est une personne, et même parfois une personne avec des problèmes personnels. Sur le thème « les cordonniers sont les plus mal chaussés », la regrettée psychologue Maryse Vaillant racontait avec humour comment, à une époque, elle rentrait de ses propres conférences sur la jeunesse angoissée à l’idée de retrouver sa fille, dont la crise d’ado carabinée la bousculait, comme n’importe quelle mère. Quel drôle de métier que celui de psy. Sont-ils de meilleurs parents que nous ? Ont-ils des chouchous ? Comment font-ils pour se souvenir de tout ce qu’on leur raconte ? Nos histoires les font-elles pleurer une fois la porte fermée ? Ou, au contraire, doucement rigoler ? Racontent-ils nos histoires le soir à leur famille, en raclant leur pot de yaourt ? Aiment-ils avoir de nos nouvelles ? Sont-ils bien équilibrés eux-mêmes ? Nous avons recueilli le témoignage de quatre d’entre eux. D’âge, de parcours, de sexe différents, ils ont tous en commun d’être comme nous : de pauvres humains.
« Exercer ne m’a pas changée, mais c’est parce que j’ai changé dans ma vie que j’ai décidé d’être psy. Cela ne m’empêche pas de demeurer un être humain, avec des préférences et des rejets. J’ai eu ainsi, après les attentats de Paris, une patiente qui tenait des propos très violents, racistes, haineux. J’étais censée rester dans la symbolique, dans le non-réel propre à la thérapie, mais je peinais à conserver cette “neutralité bienveillante” que mon rôle réclamait. Heureusement, j’ai pu en parler en supervision. Car nous avons, pour la plupart, des psychologues référents, des “maîtres” en quelque sorte, avec qui évoquer nos patients. C’est ainsi que j’ai réussi à remettre les choses en abyme, à me concentrer sur les peurs et les conflits internes de cette patiente et non sur mon propre ressenti. De la même façon, nous avons nos “chouchous”. J’ai beaucoup de plaisir actuellement à recevoir une jeune fille : très agressive au départ, elle est en train de s’ouvrir, de se déplier, et cela, c’est très valorisant, professionnellement mais aussi humainement.
Bien sûr, c’est un drôle de métier que d’entendre les problèmes des gens à longueur de jour. Comme tout un chacun, il m’arrive d’être fatiguée ou mal fichue, mais je parviens à me mettre dans une sorte d’auto-hypnose. Face à un patient, je me souviens de tout ce qu’il m’a dit, jusqu’aux noms importants de son histoire, des détails que j’aurais bien été incapable de donner un quart d’heure auparavant, hors contexte ! Avec mes amis, je refuse de jouer les psys, même s’ils me sollicitent. Le thérapeute doit être un inconnu, un tableau blanc sur lequel se projeter. Pour autant, si je croise l’un de mes patients, je vais le saluer. Souvent, ce sont eux qui sont surpris de me rencontrer dans la “vraie vie”, comme les enfants qui croisent leur maîtresse dans la rue. L’un d’eux s’est exclamé en me rencontrant dans un magasin : “Mais vous habitez ICI ?”. J’ai eu envie de lui répondre : « Non, je n’habite nulle part, je suis une entité… »
« Lorsqu’on est psy, on aime se raconter qu’on est un parent ordinaire, mais on est forcément plus averti qu’un parent lambda. On sait sans doute mieux décrypter certains signes. Pour autant, je parle très peu de psychologie à la maison, pas plus qu’un tourneur-fraiseur ne parle de mécanique, ou un dentiste de bridge. C’est le hasard de mon premier poste qui a décidé de ma spécialité. à l’époque, j’avais plutôt envie de tester mes grandes théories sur les adultes. Mais finalement, c’est bien plus gratifiant de suivre des enfants, ils ne jouent pas le jeu des convenances sociales, ils sont plus “cash”, ils évoluent plus vite. On a parfois l’impression d’être leur héros, et c’est assez agréable. J’ai conscience de me soigner à travers eux. Après tout, les psys sont de grands malades, ils ont suffisamment raté leur thérapie pour avoir besoin d’y rester toute leur vie ! évidemment que rencontrer un psychologue lorsque j’étais petit m’aurait fait le plus grand bien, mais dans les années 1970, le suivi de l’enfant compliqué que j’étais n’était pas une priorité. Mon vécu de petit garçon peut m’amener à faire des rapprochements : je ne leur raconte pas mon histoire mais je passe par une parabole qui deviendra objet de médiation. Il y a des moments où je suis “moins là”, je “m’absente” mentalement, au moment de la digestion. J’essaie de caler un enfant agité en début d’après-midi afin de me tenir éveillé. Autrefois, comme on me l’avait appris, je ne cherchais pas à savoir ce que devenaient mes petits patients. Je suis désormais le modèle anglo-saxon, je prends de leurs nouvelles après un certain temps. Quand ils me disent qu’ils vont bien, qu’ils font de bonnes études, je suis content. »
Marine, psychologue spécialisée en aide à la parentalité.
« Je ne suis pas là où je suis par hasard. Moi aussi j’ai grandi dans une famille compliquée, avec une certaine forme de violence. Aujourd’hui, écouter des parents me permet sans doute de mieux comprendre les miens, et de consoler la petite fille que j’étais. Même si nous n’avons pas d’entonnoir sur la tête comme les psys des Bandes Dessinées, nous sommes souvent un peu cabossés. Par conséquent, lorsqu’un patient me demande s’il est fou, je souris intérieurement, parce que c’est une question que je me pose moi-même souvent, sur le divan de ma propre thérapeute. Au début de ma carrière, j’essayais de correspondre à l’image que je me faisais d’une psy, mais cela sonnait faux. Aujourd’hui, je suis moi-même. Bien-sûr que je “compartimente” : mettre une distance est une question de survie pour le psy. Pour autant, je ne m’empêche pas d’être émue en entretien. Je vous rassure : je n’éclate pas en sanglots ! Mais quand une histoire m’émeut, je le formule. C’est une façon de reconnaître la souffrance de l’autre, de dire qu’elle nous touche.
Dernièrement, j’ai reçu une dame qui avait perdu son bébé à sept mois de grossesse, quand je lui ai affirmé qu’elle vivait un drame réel, elle m’a répondu : “Merci ! Vous êtes la première à me le dire.” Tout le monde lui disait que ce n’était pas grave, qu’elle aurait d’autres grossesses. Voilà encore un problème qui résonne en moi. J’ai moi-même des problèmes à concevoir et, sans me vanter, je m’y connais en fausses couches. Bien sûr que je ne vais pas le confier à cette femme, mais je crois que ça m’aide à la comprendre. Il est certain que mon vécu me rattrape parfois. Comment ne pas se sentir en colère devant des parents violents ou défaillants lorsqu’on a tant de mal à être enceinte ? Comment ne pas se sentir frustrée quand on est face à une adolescente paumée qui vit une grossesse non désirée ? Il m’est arrivé, lorsque c’était trop difficile, de mettre fin à un
Salope européenne explosée par trois bites
Trois femmes arabes se gouinent
Trois ados pour une grosse bite

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