Une petite Russe fait du bien à son minou

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Une vidéo d’une petite fille blessée chantant l’hymne ukrainien circule. Pour certains utilisateurs, elle a été blessée lors d’une frappe russe. En réalité, sa mère a expliqué qu’il s’agissait d’un accident de vélo. © Observateurs




Texte par :


Aude Dejaifve



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Ukraine

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Russie


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Des utilisateurs partagent une vidéo d'une petite fille ukrainienne, prétendument blessée par un missile russe. Toutefois, la mère de l’enfant a publié un démenti, assurant que la blessure était due à un accident de vélo.
Sur la vidéo, on peut voir une petite fille blonde se faire bander le pied par des soignants, au moins au nombre de quatre. Elle chante l’hymne ukrainien. 
Certaines publications, comme celle-ci sur Facebook datant du 29 juin, et celle-ci sur Twitter du même jour affirment que la vidéo montre une petite fille ukrainienne touchée par un missile russe. 
“Cette petite fille a été blessée par 🇷🇺 missiles à #Mykolaïv. Et elle chante l'hymne national à l'hôpital. #Ukrainiens invaincus” commente l’auteur de la publication sur Twitter, ArmyInform, qui se présente comme le compte officiel de l'agence d'information du ministère de la Défense de l'Ukraine. Le compte fait référence à la frappe d’un missile russe à Mykolaïv , dans le sud du pays, le 29 juin. La vidéo a été visionnée plus de 35 000 fois. 
La vidéo avec cette même affirmation a également été partagée en français sur Twitter le 30 juin, cumulant plus de 70 000 vues.
Sur Facebook, la publication est accompagnée d’une vidéo de l’explosion suite aux frappes russes sur le centre commercial de Krementchouk , en Ukraine le 27 juin, suggérant que la petite fille a été blessée lors de l’explosion.
Le compte Twitter officiel du ministère de la défense ukrainienne est disponible ici. La rédaction des Observateurs de France 24 avait déjà analysé une fausse information relayée par ce compte.  
Quand on recherche les mots “petite fille’” et “Mykolaïv” en ukrainien sur Tik Tok, on peut retrouver une vidéo de démenti d'une personne portant le même nom de famille que la petite fille. Le message a été publié le 30 juin sur le réseau social. 
“Chers amis, notre belle Elizaveta Komarevich est une vraie star ! Mais aujourd'hui, des gens malhonnêtes sur les réseaux sociaux l'ont fait passer pour une fille de Mykolaïv qui a échappé aux bombardements et qui chante l'hymne national... Elizaveta a très bien chanté l'hymne national, [mais] sa jambe [est] blessée parce qu'elle a cassé son vélo... ça arrive !” explique ce compte. 
Sur son compte Tik Tok, une autre vidéo de la petite fille chantant l’hymne national a été publiée le 29 juin. 
Reuters confirme que la personne qui a publié le démenti est la mère de la petite fille. A Reuters, celle-ci a déclaré que sa fille Elizaveta, âgée de quatre ans, avait été blessée à vélo et que les affirmations selon lesquelles elle aurait été blessée dans un attentat à la bombe étaient fausses. Elle a également expliqué que la famille habite dans l'oblast ukrainien de Ternopil, à 800 km de route de Mykolaïv.
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Une base russe de Crimée à été la cible d'une attaque / AFP illustration Marina Moyseyenko











Guerre en Ukraine , International , France - Monde




Publié le 17/08/2022 à 06:31
, mis à jour

à 08:13





Margaux Munoz
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l'essentiel
Frappes ukrainiennes en Crimée, tensions autour de la centrale de Zaporijia, contre-offensive dans la région de Kherson... une nouvelle étape de la guerre en Ukraine débute. Carole Grimaud spécialiste de la géopolitique russe et ukrainienne, nous explique les enjeux de ce nouveau chapitre.
 

Depuis plusieurs jours, l'armée ukrainienne frappe les différents ponts de la ville de Kherson pour l'isoler. Occupée par les Russes depuis les premiers jours de la guerre, la ville tient une place hautement stratégique que les Ukrainiens aimeraient récupérer. Cette riposte est l'une des pièces du puzzle qui constitue la contre-offensive ukrainienne, Carole Grimaud professeur de géopolitique nous explique ses enjeux.
À quoi fait-on référence quand on parle de contre-offensive Ukrainienne ?
Au début de la guerre le président Ukrainien Zelensky ne voulait pas de cette contre-offensive car il avait déclaré qu'il y aurait trop de pertes humaines. Il est apparemment revenu sur sa décision puisque différentes actions ont été menées par l'armée ukrainienne en Crimée mais aussi dans la région de Kherson. Une possibilité envisageable grâce à l'aide internationale et plus particulièrement américaine qui a fourni de nombreuses armes, comme les Himars, qui permettent d'atteindre des cibles éloignées et ainsi de reprendre certaines villes. 
Quelle est la stratégie des Ukrainiens ?
Le but de cette contre-offensive est surtout d'assécher la capacité de la puissance russe pour qu'ils finissent à terme par se retirer. Pour cela, les Ukrainiens tentent de porter atteinte au réapprovisionnement des Russes en frappant et en détruisant les infrastructures. En Crimée ce sont des bases aériennes russe qui ont été la cible de l'armée pour la deuxième fois ce mardi 16 août.
Depuis plusieurs jours, l'armée ukrainienne frappe également certains ponts de la ville de Kherson pour empêcher un déploiement des troupes ennemies à partir de l'est. Des lieux cruciaux pour le ravitaillement des troupes d'occupation russes.
Est-ce que ça va suffire pour que les Russes se retirent ?
Le problème c'est qu'il faudrait anéantir toutes les munitions des Russes pour que cette stratégie marche. Or, on ne sait pas combien ils en ont, où elles sont, combien de temps ils peuvent tenir avec et s’ils peuvent résister à cette offensive ukrainienne. Côté Ukrainien il n'y a clairement pas assez d'hommes et d'armes pour mener une vraie contre-offensive.
La stratégie de destruction des ponts à Kherson porte par exemple atteinte au réapprovisionnement russe, mais en faisant cela les Ukrainiens annulent une possibilité de contre-offensive sur la ville car ils ne peuvent plus y accéder. 
Les Ukrainiens sont-ils pressés par le temps ?
La "russification" des régions occupées a déjà commencé depuis mars. Des passeports russes sont distribués, la monnaie d'échange est le rouble, les programmes scolaires ont été modifiés... L'étape suivante : la Russie souhaite annexer les régions occupées. Le pays prépare un référendum autour du 10 septembre, afin d'intégrer les régions de Kherson et de Zaporijjia dans la Fédération de Russie, comme Moscou l'avait déjà fait avec la Crimée quelques années plus tôt. Il y a de grandes chances pour que les Russes votent de la même manière qu'en 2014, même si le référendum ne sera encore une fois pas reconnu par l'Ukraine et les pays Occidentaux.
On peut s'attendre à une riposte de la part des Russes ?
Si l'Ukraine revendique, ce qu'elle n'a pas fait pour le moment, des attaques contre la Crimée on peut s'attendre à une forte riposte de la Russie. La plus simple ? Le chantage comme ils le font déjà avec la centrale de Zaporijia, dont ils se sont emparés le 4 mars. La menace nucléaire est bien sûr un levier qu'ils vont utiliser.
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Attention, la russie n'est pas le seul pays au monde a être doté de l'arme nucléaire !!!! Ca donne à réfléchir.
Vous êtes bien certain que Zelensky n'aura pas non plus cette tentation d'instrumentaliser le nucléaire pour accroître l'internationalisation du conflit, internationalisation qu'il appelle de se vœux depuis le début du conflit ?
'Le problème c'est qu'il faudrait anéantir toutes les munitions des Russes pour que cette stratégie marche' / On voit tout de suite qu'on a affaire à une 'spécialiste' (qui dit n'importe quoi) : puisque c'est évidemment impossible de détruire toutes les munitions russes.


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Sont-ils revenus ou bien est-ce les mêmes appareils qui avaient été repérés le 8 février dernier? Toujours est-il que le ministère russe de la Défense vient de confirmer le déploiement à Kaliningrad, de trois avions de combat MiG-31K, porteurs du missile aérobalistique hypersonique Kh-47M2 Kinjal.
« Aujourd’hui, 18 août 2022, dans le cadre la mise en œuvre de mesures de dissuasion stratégiques supplémentaires, trois avions MiG-31 équipés de missiles hypersoniques Kinjal ont été déplacés vers l’aérodrome de Chkalovsk dans la région de Kaliningrad », a en effet annoncé l’état-major russe, via un communiqué. Et de préciser que ces appareils seront maintenus en alerte 24 heures sur 24.
On ignore s’il s’agit des avions MiG-31 soupçonnés par la Finlande d’avoir violé son espace aérien, dans la matinée de ce 18 août.
Faisant partie des six « armes invincibles » dévoilées par le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, en mars 2018, le Kh-47M2 Kinjal est un engin dérivé du missile balistique Iskander. D’une portée estimée à 2000 km, il peut être doté d’une tête nucléaire ou d’une ogive à fragmentation de 500 kg. Il serait en mesure d’atteindre la vitesse de Mach 10, ce qui ne laisse quasiment aucun de temps de réaction aux défense aériennes.
Ce Kinjal a connu son baptême du feu dans le cadre de la guerre en Ukraine. Le 18 mars, l’état-major russe a en effet indiqué que ce type de missile avait été utilisé pour la première fois contre un entrepôt souterrain de munitions appartenant à la force aérienne ukrainienne situé près de la localité de Deliatyn.
Depuis, d’autres Kinjal ont été tirés contre des positions de l’armée ukrainienne [la dernière en date, effectuée contre un site militaire de la région de Vinnytsia, a été signalée au début du mois d’août]. Pour autant, l’emploi de ce missile hypersonique n’a pas permis de donner un avantage significatif aux forces russes sur le terrain.
Cela étant, le caractère « stratégique » du Kinkal dépend de la charge militaire qu’il emporte… Le déploiement de ces trois MiG-31K à Kaliningrad [territoire russe coincé entre la Lituanie et la Pologne, nldr] met théoriquement la quasi-totalité des capitales européennes à sa portée.
Par ailleurs, le Kinjal peut être utilisé comme missile anti-navire, ce qui prend du sens dans une région comme celle de la Baltique, où se trouve actuellement l’USS Kearsage, un navire d’assaut amphibie américain de classe Wasp, affichant un déplacement de 40’000 tonnes.
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