Une performance frénétique

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Une performance frénétique



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Maddyness fait le point avec Fabrice Midal sur le bien-être des salariés, et de l'importance pour les entreprises d'adopter une véritable politique capable de réhumaniser les échanges.
Notre société est aujourd’hui prise dans une hystérie de la performance : on ne voit plus les choses qu’en fonction de l’efficacité que cela produit. Plus simplement, je dirais que pour tout mettre dans des cases, pour rendre les choses rationnelles, il faut simplifier drastiquement la réalité. Prenez l’exemple d’un infirmier dans un hôpital : on va comptabiliser le nombre d’actes qu’il fait dans une journée. En revanche, la qualité du service au patient, l’empathie qu’il va avoir envers chacun ne pouvant être comptabilisés, ne comptent plus. Il se structure ainsi un modèle où la seule chose qui compte doit pouvoir être mesurée et comptabilisée. C’est un nouveau mode de fonctionnement profondément irrationnel, qui pourrait mener à la destruction de notre propre humanité.
Ce dont les Français souffrent, c’est un rapport à la réalité extrêmement obscurantiste, irrationnel, et qui conduit à une extraordinaire souffrance, et cela dès l’enfance. On dit très tôt aux élèves qu’il faut qu’ils réussissent, qu’ils fassent mieux, et on induit déjà une certaine défiance de leur expérience quotidienne. Chacun se dit alors « si je me détends, ça va être la catastrophe ». Arrêter d’en faire plus est devenu une faute. On finit ainsi par confondre l’intensité frénétique du travail avec la véritable efficacité. Je crois que c’est ça qui rend les gens malades, et on assiste d’ailleurs au développement massif de nouvelles pathologies (le déficit d’attention, le manque de sommeil, le burn-out). Mon propos n’est pas de dire que notre époque est pire qu’une autre, mais plutôt de pointer du doigt le problème dont nous souffrons aujourd’hui. Nous aurions eu cette même discussion il y a 50 ans, j’aurais évoqué l’aliénation extraordinaire que devaient subir les ouvriers. Aujourd’hui, le problème est que nous sommes conditionnés à nous auto-exploiter : tout est fait pour que nous croyons être libres, alors que nous nous exploitons nous même.
Je peux comprendre que les gens soient un peu perdus et essaient de suivre des modes à cause des réseaux sociaux, comme la mode sans gluten, sans lait…. mais tant qu’ils ne se l’imposent pas de manière directe, cela n’est pas un problème. Suivre des règles me semble sain et peut même se révéler récréatif, si cela vient d’une écoute profonde de ce que la personne est et a envie, et tant pis s’il y a un effet de mode. Ce qui est problématique, c’est qu’il y ai une injonction paradoxale : « il faut faire plus, ça ne va jamais assez ». Vouloir tout contrôler c’est perdre le contrôle.En somme, il ne faut pas remettre le problème sur le dos des réseaux sociaux. C’est bien la dictature de la rentabilité qui nous aveugle, dans n’importe quel domaine. Le bien-être n’est plus aujourd’hui qu’une variable d’ajustement pour augmenter le potentiel des êtres humains, alors que le talent, c’est finalement de pouvoir improviser.
Ce qui est en train de se passer, c’est que tout ce qui pourrait aider les gens est tout de suite tourné en un discours ultra-culpabilisateur comme quoi on n’en fait jamais assez. Par exemple faire attention à son alimentation c’est absolument juste aujourd’hui mais si ça devient une nouvelle exigence pour être plus performant ça en devient nocif. Vouloir tout contrôler emmène à perdre le contrôle. On ne réussit pas à changer par une décision volontaire crispée. On se dit toujours que plus on fait d’efforts, mieux ça va aller, ça n’est pas vrai. La volonté ne fait pas tout. Plus globalement, je crois que l’on se trompe sur le constat. On ne voit pas quel est le problème et du coup le remède que l’on donne se révèle être un véritable poison. La réponse qui est donnée par les sociétés en réponse à cette crise là, loin d’aider, ne fait que de mettre de l’huile sur le feu, parce que ça n’est pas le bon diagnostic qui a été posé. Par exemple, dans de nombreux discours de bien-être, on vous explique comment réussir à être plus efficace, grâce à des outils de gestion de vos émotions, de votre stress. C’est empoisonner les gens plutôt que les aider à aller mieux. Le problème n’est pas que les gens ne gèrent pas assez les choses, mais que leur obsession de vouloir tout gérer et d’être efficace les empêche de l’être.Le fait qu’on parle de gestion du stress et des émotions est tout à fait révélateur du problème, qui est d’employer le langage économique pour parler de ce qui devrait être de l’ordre de l’humain. On devrait gérer son compte en banque, mais écouter ses émotions. C’est une confusion grave, nous nous égarons dans la lecture des causes de la souffrance et particulièrement au travail car les réponses que nous donnons sont inefficaces et niaises.
Je ne crois pas que la méditation en entreprise, par exemple, soit forcément une bonne chose. cela peut être formidablement constructif mais si cela permet aux employés de retrouver une dimension humaine dans leur travail, cela dépend de l’intention et de la manière dont cela est fait, mais l’initiative est très souvent survolée. On oublie globalement qu’il faut d’abord se foutre la paix. Pourtant, c’est ce qui importe le plus pour la survie de nos entreprises et de notre société. Beaucoup d’éléments du bien être reposent sur une compréhension beaucoup plus fine de la réalité. Les entreprises qui tentent de mettre en place des solutions ne savent pas vraiment comment s’y prendre, mais sont animés de plein de bonnes intentions. C’est de la maladresse. Certaines, en revanche, ne souhaitent même pas que ce qu’elle mettent en place fonctionne. Leur intérêt est juste de cocher la case « on l’a fait ». Et ça c’est extrêmement destructeur.
Il faut trouver une alternative capable de désamorcer quelque chose qui est en train de nous empoisonner. Un changement d’attitude est la condition sine qua none pour aller mieux. Vous pourrez toujours vous torturer pour aller mieux, ça ne changera rien. Se foutre la paix ne veut pas dire démissionner, baisser les bras. Cela vous permettra notamment de découvrir en vous des ressources, une créativité, une spontanéité, une intelligence qui vous aideront à voir autrement les choses. Le seul défi est de savoir si vous êtes prêts à accepter de perdre un petit peu vos points de repère.
Ce qui est important aujourd’hui, c’est de voir à quel point certaines personnes tentent de réhumaniser les choses. Je crois beaucoup à la valeur de l’engagement propre de certaines personnes. Quand on est convaincu que l’on a un projet et que sa motivation est juste, on peut faire de belles choses, même avec quelques maladresses. Chacun peut être le changement qu’il veut voir dans le monde.
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L'actualité théâtrale en Suisse romande, sous la plume des étudiant·e·s
Tartuffe d’après Tartuffe d’après Tartuffe d’après Molière / D’après la pièce de Molière / Conception Guillaume Bailliart (Groupe Fantômas) / Théâtre de Vidy / du 2 au 12 mars 2022 / Plus d’infos .
Le théâtre de Vidy à Lausanne accueille une performance de Guillaume Bailliart, qui occupe à lui seul la scène pour interpréter tous les personnages du Tartuffe de Molière. Si le projet, sur le papier, peut s’annoncer plutôt risqué, la réalisation repose sur une véritable maîtrise du jeu corporel. La mise en place de codes très précis permet de conserver une certaine clarté, y compris pour les spectateurs et spectatrices qui ne connaîtraient pas l’intrigue ou les personnages de la pièce originale.
Les prémices sont les mêmes que chez Molière : Orgon recueille et admire le faux dévot Tartuffe, qui en réalité souhaite avant tout détourner la fortune de son hôte. Mais c’est un autre dénouement qui clôt le spectacle, en déclarant Tartuffe vainqueur. Les multiples personnages de la pièce s’avèrent tous partager le même visage, celui de Guillaume Bailliart, y compris l’imposteur, qui cache pourtant son vrai visage. C’est un exercice qui peut s’avérer difficile, car il requiert des spectateurs une attention particulière afin de reconnaître quel personnage Guillaume Bailliart interprète lorsqu’il débite ses premières répliques. Pour faciliter ces échanges, c’est par le biais des noms des personnages marqués au scotch sur la scène, sur lesquels il se déplace, qu’il réussit à expliciter lequel prend la parole. Tout ceci est par ailleurs soutenu par une syntaxe gestuelle que l’on décrypte très vite : en pointant du doigt vers un nom au sol lorsqu’il est mentionné dans une réplique, ou une paume ouverte pour l’incarner temporairement. Le comédien joue par ailleurs la totalité des personnages les yeux fermés, à l’exception de Tartuffe qui, lui, les a grand ouverts. Le détail est d’autant plus marquant que c’est ce dernier qui gagne en ayant réussi à tromper Orgon et dépouiller la famille. La façon dont sont joués ces personnages est particulièrement énergique, et cette dynamique transporte le public dans un rythme effréné, qui ne laisse respirer qu’à de très rares moments. Le débit de paroles est rapide, un point commun avec les mises en scène de Molière par Gwenaël Morin, sous la direction duquel Guillaume Bailliart a travaillé. Ici, le débit rapide et ce rythme frénétique offrent plus la sensation d’une performance sportive qu’autre chose, même si cette performance n’en est pas moins colossale et que c’est avec une redoutable précision que Guillaume Bailliart parvient à la délivrer. Le numéro a beau époustoufler, il ne fait pas de proposition particulière concernant les thématiques de l’intrigue ou les personnages, comme un solo de musique que l’on jouerait plus pour la virtuosité de l’exercice que pour exprimer une vision artistique.


6 mai 2015 6 mars 2018




Olivier Hoeffel




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26 février 2013 7 mars 2018




Olivier Hoeffel




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30 août 2016 6 mars 2018




NOVÉQUILIBRES




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Nos convictions : La Qualité de Vie au Travail, c'est pour toutes et pour tous, et par toutes et par tous.
La QVT part de soi, dans une juste articulation entre la responsabilité individuelle et les responsabilités collectives.

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La QVT pour toutes et pour tous, et par toutes et par tous

Nous sommes à moins d’une semaine de la 16ème semaine de la Qualité de Vie au Travail organisée par le réseau Anact -Aract dont le thème est « Vous avez dit performance(s) ? ». Dans beaucoup d’événements, il sera question de faire le lien entre QVT et performance. Nous avons plusieurs fois exprimé notre vision par rapport à ce lien : nous mettons la QVT en intention première et faisons de la performance un bénéfice collatéral. Ma motivation dans cet article est de mettre en évidence en quoi une recherche frénétique de performance court terme, non seulement impacte négativement la QVT, mais aussi détruit à peu près tout dans notre société, sans oublier la planète. Et justement, on va commencer par la planète.
Je signale à celles et ceux qui considéreraient ne pas avoir suffisamment de temps à lire le présent article que j’ai réalisée une infographie le résumant située en fin d’article .
Les dangers d’une focalisation excessive sur la performance court terme – notamment par la réduction des coûts – peuvent être représentés par une courbe que j’ai eu l’occasion à deux reprises de mentionner sur laqvt.fr. Elle a été présentée par Alexandre Rambaud, chercheur en sciences de gestion associé à Paris Dauphine, à l’occasion de la conférence de l’ Observatoire Des Cadres (ODC) « Manager en toute connaissance d’impact » le 20 avril 2017.
Alexandre Rambaud fait un parallèle extraordinairement pertinent et parlant entre les dégâts de la pollution sur l’environnement et les dégâts de la réduction des coûts sur la santé de l’humain, et ensuite sur la performance globale.
Je m’appuie sur ce schéma pour présenter ce que produit la recherche de performance en fonction de son intensité croissante (plus elle est intense, plus elle met en stress l’individu) :
En quelques mots, voici les enseignement que j’en tire :
Par rapport à la dynamique de recherche de performance, l’essentiel est d’intégrer a minima deux principes de bon sens qui étaient gravés sur le fronton du Temple de Delphes :
L’idée de dynamique de recherche de performance méritant d’être remise en question au même titre que la stabilisation dynamique (ou impératif de croissance) qualifiée ainsi par le philosophe et sociologue allemand Hartmut Rosa. Une dynamique qu’il dénonce au profit d’une stabilisation d’adaptation (selon la situation et la position dans un écosystème : statu quo, croissance ou décroissance).
Pour avoir plus de précisions sur la construction intellectuelle du parallèle entre pollution et QVT, je vous invite à prendre connaissance du diaporama que j’ai réalisé. Vous pouvez aussi visionner l’extrait de la conférence dans laquelle Alexandre Rambaud donne ses explications :
En 2017, j’ai réalisé un travail de modélisation en m’inspirant de divers éléments du rapport « La QVT : un levier de compétitivité » publié en novembre 2016 par le réseau Anact-Aract, Terra Nova et La Fabrique de l’industrie. Ce rapport met clairement en lien la QVT avec la performance économique. Ses auteurs sont Emilie Bourdu, Marie-Madeleine Péretié et Martin Richer.
J’ai modélisé un triangle QVT – Performance économique – Qualité. J’ai regroupé ces 3 dimensions inter-reliées et qui s’influencent mutuellement (en positif et en négatif) au sein d’un ensemble plus vaste que j’ai appelé Performance globale et durable.
Je n’entre pas dans le détail de cette modélisation. Si vous souhaitez en savoir plus, je vous renvoie sur un document multimédia qui décrit en 15 étapes les enjeux à combiner les 3 dimensions (QVT, perf éco et qualité) et les risques que prennent les entreprises à tirer trop fort sur la performance économique : non seulement pour la QVT et la Qualité, mais aussi pour la performance économique elle-même par un effet boomerang. Un exemple est donné en illustration : celui de l’association néerlandaise Buurtzorg , dans le secteur des soins à domicile, qui, en quelques années a bouleversé les pratiques du secteur en devenant l’acteur N°1, par la promotion et la mise en pratique d’une raison d’être allant dans le sens d’une performance globale et durable.
Que celles et ceux qui travaillent dans l’économie capitaliste, qui souffrent de la course effrénée à la performance, ne pensent pas que les autres secteurs sont préservés ; par exemple : le secteur public et le milieu associatif sont-ils à l’abri ?
Non. En effet, on a tendance au raccourci trompeur suivant : la focalisation sur la performance serait strictement liée à la recherche toujours plus gourmande (voire gargantuesque) de profit.
Or dans les autres secteurs de l’économie, la motivation est autre mais tout aussi pressante : faire plus avec moins . Pour le secteur public, il s’agit de baisser les dépenses publiques . Pour le milieu associatif, avec la baisse des subventions, il s’agit de continuer à assurer les actions avec moins de moyens . Et en particulier dans le secteur social, comme les besoins sont de plus en plus grands – par le désengagement de l’Etat dans des services publics – on se trouve à avoir à assumer plus d’actions avec moins de moyens. D’où une forme d’injonction à plus d’efficacité, y compris en matière de réponse à appels à projets et plus globalement à l’exploration d’autres possibilités de financement. On entend utiliser fréquemment le mot “rationalisation” avec un paradoxe assez étonnant quand on prend un minimum de recul : on cherche à introduire dans le secteur associatif des méthodes de gestion dont on a vu toutes les conséquences en matière de RPS dans le secteur capitaliste ; le secteur capitaliste qui essaye justement timidement d’en sortir notamment par l’innovation managériale, la gouvernance partagé, … y compris dans des entreprises du CAC 40 (par exemple Michelin qui expérimente des équipes autonomes).
Il y a une forme de subtilité à mettre en évidence à propos du lien entre QVT et performance ; voyons les deux invitations suivantes :
Un des risques avec la deuxième, c’est d’investir la QVT uniquement par la périphérie du travail (par exemple : des services de proximité : conciergerie, salle de sport, massage, …). Quoi qu’il en soit, il s’agit d’instrumentaliser la QVT en tirant uniquement les fils qui permettraient d’accroître la performance.
Au contraire, le comité éditorial invite les organisations à investir la QVT dans le cadre d’un (re)centrage sur l’humain, sa réalité de travail, ses perceptions et ses aspirations . Comme montré sur le schéma du triangle Performance – QVT – Qualité, la QVT mérite d’être considérée comme un élément à part entière constitutif d’une performance globale et durable.
Notre société est tellement focalisée sur la performance qu’il est largement temps de considérer la QVT en tant que motivation première et en soi, et de lui donner toute sa place . Si on lui consacrait, ne serait-ce que 10% de l’énergie que l’on consacre à la performance dans les organisations, il est sûr que le niveau de QVT ferait un sacré bon en avant.
Alors, donnons-nous le temps, l’envie et l’énergie d’investir la QVT et de l’intégrer dans les décisions et les pratiques. Pour les individus et les organisations qui se sentent dans l’impuissance d’investir la QVT, je vous invite à lire notre série de 3 articles De l’impuissance solitaire à la puissance coopérative . 
Pour pas que notre vie au travail soit sous perf, faisons de la QVT une motivation forte, individuelle et collective ! Donnons-nous le temps de bien vivre au travail, de bien faire et de cultiver nos valeurs collectives.
Télécharger l’infographie : au format png , au format pdf
( 1) J’ai reformulé le “Sam’suffit” Vs Monsieur Plus” de Barry Schwartz (Livre “Le paradoxe du choix”)
Responsable éditorial de laqvt.fr
Associé et responsable exécutif de Novéquilibres
Associé de La Manufacture coopérative
Auteur du blog lesverbesdubonheur.fr
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photo sous licence creative commons – auteur : Martin Deutsch Je viens de publier une chronique en lien avec la Qualité de Vie
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