Une passante me taille une pipe dans la forêt

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Une passante me taille une pipe dans la forêt
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Ouah putain quel mental le gars. Bravo.

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j aurais pas fait 2metres dans la maison que j aurais deja la bite a la main !!!!!

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Demain a pôle emploi je leur demande une formation de plombier....

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est ce que la blonde est la femme du plombier?

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C'est juste qu'il ne s'est pas lavé la bite ouais

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Perso je pense que j'aurai dis Noui ...

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Ouah putain quel mental le gars. Bravo.
Les meilleurs contributeurs du mois



redmail :


Encore une fois... non, l'automobiliste fait que rouler normalement... Faut relire le code de…


ManTec :
Moi je trouve que les deux ont un comportement débiles et que le c'est le cycliste qui trinque lol…


vers :
Mais c'est une femme Fontaine !!!!!!


vers :
Moi je trouve que les deux ont un comportement débiles et que le c'est le cycliste qui trinque lol


belnea :
idem. faut que je ressorte l'orbitale.


p'tit zef :
qu'est-ce qu'il film, la mer ou l'orque?


pawel :
passe un coup d'aspirateur avant pour éviter d'avoir le gros dans la gueule


mansail :
pas bon pour les sacs...ça va trop secher


mansail :
allez à la niche et gamelle d'eau froide


mansail :
bien sonné le pépère






Vous choisirez le lauréat au hasard ? (Ok je sors)


J'espère que ma série de brefs essais vous plaira ! L'expérience aléatoire Soit un dé à six faces. On le lance et l'on obtient un numéro. On lit le paragraphe correspondant. I Je lus un jour que le hasard constituait une réponse commode quand trop de facteurs, trop disparates et hétérogènes, influencent le résultat. Un lancer de dé, qui dépendra des propriétés du mouvement à ce moment-là, s'expliquera toujours physiquement. C'est moins évident avec un simulateur de dé ou une calculatrice. Chère calculatrice, je me souviens de l'époque où je lui faisais choisir un nombre au hasard, de zéro à quatre-vingt dix neuf, avant de le deviner, toujours de la même manière : cinquante, puis vingt-cinq ou soixante-quinze… Si le hasard n'existe pas, il s'agit d'une construction de catégorie. Entendons par là que tout ce qui ne rentre pas dans la catégorie de l'explicable de manière simple devient hasard. II Le hasard est monstre, par monstre j'entends créature imaginaire (comme dit plus haut) et hybride. Comme on donne au Minotaure des jeunes gens et jeunes filles, on livre au hasard des décisions fondamentales de vie. On lui soumet des vies, des destins (destin pouvait se comprendre comme contraire du hasard. Si les divinités décident de tout, alors le hasard ne désigne plus que l'ininterprétable). Je ne crois en aucune divinité, je me mets simplement dans l'esprit de l'Antiquité. On élisait des hommes politiques par le hasard, en cela c'étaient les divinités qui décidaient. Ce monstre sacré était vénéré. Hermès, en particulier, portait chance (en plus de trente-six autres fonctions que je n'énumèrerais pas ici). Je me demande donc : même dans un système athée, comment fonctionnerait une société où les décisions seraient prises au hasard ? III Prendre une décision au hasard, à la toupie, au dé, aux cartes, voilà qui me tente quand je suis dans un restaurant. Et dans l'immense restaurant de la vie, il m'est parfois tentant, après un vague regard porté sur les prix, de le faire au hasard. Le hasard est d'un secours utile lorsque l'on prend une décision. Que faire quand on a peur de prendre la mauvaise ? S'en remettre à l'adage populaire "on sait ce qu'on perd, on ne sait pas ce qu'on gagne" ? Ce qui signifie que le hasard peut être dangereux quand on a le choix entre celui-ci et une situation connue, peu importe cette situation s'ailleurs. Ou, suivre les pérégrinations de Descartes perdu dans la forêt ? Si l'on est perdu, il faut choisir une direction et persister. Choisis au hasard et persiste, tu sortiras de la forêt (comprendre : de l'incertitude, de l'ennui). Amusant cette spatialisation des concepts. IV Le hasard recouvre un choix parmi les possibles. Qu'est-ce que le possible ? Ce dont, dixit une professeure de philo, le contradictoire est aussi possible. L'expérience aléatoire se construit avec de telles possibilités. La cloche de Gauss longtemps me fascina. Une bille descend une pyramide en allant soit à gauche soit à droite (cinquante-cinquante) et, si l'on répète l'expérience plusieurs fois, on obtient la cloche de Gauss. Evidemment, les extrémités sont rarement atteintes, là où le centre si mainstream se remplissait rapidement. Mais la bille peut aller au centre parce qu'elle peut aller ailleurs. Je me dis qu'en matière d'échelle et de quantité, la langue anglaise est mieux dotée que la langue française, avec ses might, may et autre could. Là où le français se contente des maigres peut et doit. V Je me méfie, surtout avec mon actuelle formation en linguistique, des explications fondées sur l'étymologie. Je rappellerai tout de même celle de hasard : un mot arabe désignant le jeu de dé. Car le hasard est ludique, et je n'aime rien tant que construire des listes, m'y imaginer, avant de piocher un élément en espérant que ce soit moi. "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire" : plus longue est la liste, plus la victoire est trépidante. Le hasard est un marché : que ce soit les lotos, les casinos ou les applications de paris sportifs. Même des aspects financiers, comme la bourse, reposent sur le hasard. VI Politique, conduite de vie, proba, aspects ludiques… C'est ainsi, par ce patchwork, que j'explorai tout ce que le hasard peut recouvrir. C'est par la sérendipité comme j'ai déjà entendu, par le hasard, que l'on sort de la forêt, que l'on avance. C'est par hasard que l'on découvre des vérités difficiles, surprenantes, libératrices. C'est rarement par choix conscient que l'on élargit son domaine. En recherche, on trouve et invente par le hasard. J'aime à comparer la recherche à de la pêche à la ligne (bouh, je suis végan et je cite Descartes et parle de pêche à la ligne, pas bien). On ne sait jamais qui mordra. Si j'ai zébré l'écran blanc de mes traces noires, c'est pour explorer le domaine du hasard. J'ouvris mon livre de philosophie pour conclure la conclusion, et je tombai sur… Descartes et le hasard. Comme par hasard. Haha, qu'est ce qu'on se marre. Quand on arrive au stade du jeu de mot hasardeux, c'est qu'il est temps d'aller se coucher. Bonne nuit. 

Conte d'aujourd'hui (2) L'Abnégation Perdu au milieu d'un désert brulant, j'avance chaque pas un peu plus vers la tombe. Au sommet d'une dune, le diable apparaît avec une coupe dans chaque main et me dit : -L'une contient l'immortalité et l'autre un poison mortel pour abréger tes souffrances, choisis sans crainte ! dans les deux cas tu es gagnant ! J'ai repris mon chemin et j'ai crié : - Comme Han Suyin, je n'ai que la pluie pour ma soif ! Et assez de temps pour l'espérer, ici chaque seconde contient l'éternité.


Merci Cathye et très heureux de t'avoir fait connaître Han Suyin !


Bonjour à toutes et à tous, voici ma petite contribution: ""   Jeanne se baladait tranquillement dans les rues de la ville.   Célibataire, la trentaine, elle attendait sans hâte une aimable rencontre et tendait la perche au destin en ce radieux début de printemps. Elle se savait jolie et ne tarderait pas à trouver un partenaire de choix dans cette pêche en dilettante au prétendant idéal. Apparut alors dans son champ de vision un spécimen des plus avenants et son cerveau, comparant rapidement leurs trajectoires, lui confirma une intersection probable dans les deux minutes suivantes. Elle se prépara alors à user de tout son pouvoir de séduction pour capter l'attention du bel homme s'apprêtant à traverser la rue dans sa direction...   Ailleurs, bien loin au delà de la Terre, des professionnels enfiévrés se livraient à de féroces batailles au dessus d'une sorte de gigantesque échiquier. De petits personnages s'y mouvaient, leurs interactions dirigées par les compétiteurs, à grand coups de dés. C'était un jeu très à la mode dans les couloirs du temps et qui pouvait rapporter gros au gagnant.    Une partie acharnée retenait l'attention de tous les spectateurs. Il s'agissait de la finale disputée par les deux plus grands joueurs de la saison.   Vu leurs noms imprononçables, nous les désignerons par « Marcel » et « Raymond ».   Marcel avait un caractère épouvantable, buvait trop et était d'une mauvaise foi impressionnante qui en faisait un adversaire redoutable dans ces joutes suivies par l'ensemble de la population. Raymond était tout son contraire, débonnaire, jovial, d'un calme olympien et dont plus grand plaisir était de contrarier Marcel. Il venait de lancer les dés et les symboles qu'ils affichaient maintenant allaient lui permettre un coup imparable, sorte d'échec et mat...   ...Jeanne s'était arrêtée, faisant mine de chercher son chemin lorsqu'une mouche vint se poser sur le nez de l'homme qui se dirigeait vers elle. Le mouvement qu'il fit en chassant l'importune amena son regard à croiser celui de la belle inconnue qui le dévisageait du trottoir d'en face, avec l'air de requérir son attention, flattant son orgueil masculin...   ...Voyant sa défaite prendre forme, le mauvais joueur fit un grand geste de dépit, renversant au passage son verre rempli de nectar et inondant une partie du jeu...   ...Par une fenêtre grande ouverte sur le printemps, notre héroïne entendit un commentateur enthousiaste décrire à la radio la vague gigantesque qui souleva un surfeur en lice dans le championnat en cours, lui permettant de réaliser des figures acrobatiques qui le propulsèrent largement en tête du classement.   …Marcel contestant le dernier coup de son adversaire, se tourna vers l'arbitre qui vint examiner l'échiquier et fit défiler plusieurs fois l'enregistrement de contrôle...   Sur une planète située un peu à l'ouest de notre système solaire, un savant observait une société primitive à l'aide d'un drone-mouche. Tout allait bien. Il était certain que le matériel audiovisuel récolté allait lui valoir une distinction de l'académie, lorsque le destin s'ingénia à pourrir son enregistrement. Il y avait maintenant sur l'écran une superposition d'événements contradictoires montrant d'une part une femelle et un mâle primitifs engagés dans une parade amoureuse, certes exotique, mais non dépourvue d'intérêt scientifique ; d'autre part, l'attention détournée par le drone-mouche, le mâle entrant en collision avec un véhicule lancé à toute allure. Il eut beau secouer son écran dans tous les sens et procéder à quelques réglages de son matériel de prise de vue, rien n'y fit et l'enregistrement promettait d'être définitivement ruiné...  ...Après maintes simagrées, comme il sied à tout expert, l'arbitre accorda le coup à Raymond, lui attribuant de ce fait la partie et le championnat...  …Sur l'écran, les images parurent se stabiliser au grand soulagement du scientifique qui put enregistrer le début de la relation amoureuse des deux représentants de la civilisation arriérée qu'il avait découverte par le plus grand des hasards. Il put observer le sourire de Jeanne croître jusqu'à devenir rayonnant et son regard se mêler à celui de l'homme qui l'avait rejointe. Les âmes étroitement mêlées dans un pas de deux immobile, ils échangeaient chaque instant de leur vie passée, comprenant que ce coup de foudre était l'aboutissement d'une improbable suite de micro-événements s'étant succédé depuis le début des mondes et qui ne devaient rien au hasard...  ...Marcel, incapable d'admettre sa défaite, repoussa violemment sa chaise en heurtant légèrement le plateau de l'échiquier, bousculant toutes les pièces et provocant un tollé de réprobation de la part des spectateurs.  ...Leur mains se cherchèrent, mais il n'osaient pas aller plus loin et seraient restés des heures à se regarder en chiens de faïence si un léger tremblement de terre ne les avait précipités dans les bras l'un de l'autre. "" Merci d'être arrivé jusqu'ici. Johan.

Johankerganec : comment, ns sommes une société arriérée 😂😮!!! Trop bien cette façon de casser le rythme de l’histoire de ces protagonistes issus de mondes éloignés de millions d’années.Ah ce hasard, il nous fait bien tourner la tête !!!

Bonjour Cathye , merci pour votre aimable commentaire. J'ai souvent l'impression d'évoluer dans un jeu vidéo dont le seul but est d'essayer d'en comprendre les règles. Bonne journée à tous. Johan.

Apparence trompeuse 21h55... Lorsque le commissaire Tardieu arrive rue Auguste Comte, il est accueilli par une multitude de gyrophares. Véhicules de police et ambulances rivalisent d’effets de lumière pour transformer la rue en un barnum impressionnant, lui laissant penser qu’il doit s’attendre à découvrir qu’il y a eu du grabuge. Sa principale crainte est d’apprendre de la bouche du commandant Armand Dupin qu’il y a un homme à terre – expression utilisée pour désigner une victime dans les rangs des forces de police –, en l’occurrence une femme, la lieutenante Aurélie Monnier, qui s’était certainement trouvée en première ligne. Quelques jours plus tôt... Le « tueur de la Presqu’île » venait de faire parler de lui pour la quatrième fois en moins d’un mois. Une fréquence inquiétante qui prouvait la frénésie destructrice d’un psychopathe sévissant dans ce quartier du deuxième arrondissement de la capitale des Gaules. Les victimes, dont les physiques différents ne permettaient pas de définir un profil type, avaient en commun de vivre seules. Elles avaient toutes été surprises au domicile et frappées de plusieurs coups de couteau, le tueur s’étant ensuite évaporé en ne laissant aucune trace. L’aspect localisé se confirmait, toutes les agressions ayant eu lieu entre Saône et Rhône dans un périmètre englobant la place Carnot et les rues desservant la place Bellecour. La section criminelle du SRPJ chargée de l’enquête avait donc circonscrit ses investigations à une zone géographique restreinte, mais néanmoins fortement peuplée et passante. Le commandant Armand Dupin, en sa qualité de chef de groupe, distribuait les tâches. — Antoine et Max, vous faites la tournée des bars et restaurants des environs, en commençant bien entendu par celui où la première victime était serveuse. C’est un microcosme où tout le monde se connaît plus ou moins, quelqu’un aura peut-être remarqué des trucs bizarres, le comportement étrange de certaines personnes, personnels ou clients. — Aurélie et Kader, vous faites de même dans les commerces des rues ciblées par le tueur. Recueillez un maximum de renseignements sur les malheureuses jeunes femmes. On a affaire à un casanier. Il y a forcément quelque chose à glaner dans l’enquête de voisinage. — Est-ce qu’on a un lien entre les trois victimes précédentes ? voulut savoir Aurélie, qui venait tout juste de rejoindre la Crim’ et n’avait pas connaissance de tous les éléments de l’affaire. — Négatif, lui répondit son supérieur. Le tueur s’en prend à des femmes seules, c’est tout ce qu’on a. — Ce qui signifie qu’il tape au hasard ? — Apparemment. Ce qui ne va pas faciliter sa traque. Après la première journée d’enquête de voisinage, Aurélie Monnier et Kader Mimouni n’avaient que peu d’éléments nouveaux à se mettre sous la dent, et espéraient que leurs collègues aient eu davantage de chance dans des lieux réputés plus propices à la vie sociale et aux rencontres. C’était effectivement le cas pour Max Avedian et Antoine Dimeco. Le patron d’un petit troquet avait formellement reconnu la troisième victime, comme une habituée de son établissement. — C’est une base de départ, souligna Antoine lors du débriefing organisé en fin d’après-midi. — Je peux faire une suggestion ? — Vas-y, répondit Armand à sa lieutenante. — Et si on forçait un peu le hasard. — Précise ton idée. — Je pourrais me faire passer pour une nouvelle habitante du quartier. — Et servir d’appât pour le tueur ? réagit Max. Trop risqué. — Avec une surveillance discrète et efficace, c’est jouable, insista sa collègue, bien décidée à défendre sa proposition et obtenir l’adhésion du commandant. Il lui revenait en effet d’engager ou non sa responsabilité, ce qu’il fit après avoir pesé le pour et le contre. Il avait accueilli Aurélie Monnier avec une certaine réserve, et devait tenir compte de l’appréciation de son précédent supérieur qui louait ses compétences, tout en soulignant une certaine insubordination et un tempérament difficile à canaliser. — Je valide l’idée, mais il faut que la procédure d’urgence soit réglée aux petits oignons. Je vais faire en sorte qu’une patrouille de l’anti-criminalité se trouve toujours dans les parages pour parer à toute éventualité. — C’est ok pour moi, assura la jeune femme. Au moindre problème j’appelle à l’aide. Une fois seul avec son chef, Antoine tint à lui faire part de ses craintes. — Je le sens moyen ce coup-là. On envoie une novice au casse-pipe. — Je lui fais confiance pour ne pas prendre de risques inconsidérés. A nous d’assurer au niveau protection. — Est-ce qu’elle sera armée ? demanda le lieutenant. — Elle pense que c’est mieux si elle ne l’est pas. Elle n’a pas tort, c’est difficile pour jouer les infiltrés. — Elle risque d’affronter un fou furieux, sans biscuit, insista Antoine anxieux. — J’en suis conscient. C’est pour ça qu’il faut redoubler
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