Une partie à trois avec le patron avant de devenir le patron

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Publié le 18/06/22 à 11h15
— Mis à jour le 18/06/22 à 11h15

L’Union Bordeaux-Bègles affronte Montpellier ce samedi (21 heures) en demi-finale du Top 14. Auteur d’une immense prestation en barrage face au Racing, Maxime Lucu n’en finit plus de prendre de l’épaisseur, sur et en dehors du terrain, à 29 ans. Aujourd’hui, il donne plus que raison à Fabien Galthié de lui faire confiance en tant que doublure d’Antoine Dupont avec le XV de France.
Maxime Lucu est désormais le supplément idoine d'Antoine Dupont. - Francois Mori/AP/SIPA;
Maxime Lucu peut aussi buter. - Daniel Vaquero/SIPA
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Sport Comment Maxime Lucu est devenu le vrai patron de l’UBB

RUGBY Pour tenter de décrocher ce samedi sa première finale de Top 14, l’Union Bordeaux-Bègles s’appuiera une nouvelle fois sur son demi de mêlée, Maxime Lucu, en forme internationale depuis plusieurs mois
C’est l’histoire d’un joueur qui n’aurait pu ne jamais porter le maillot de l’Union Bordeaux-Bègles pour finalement en devenir le patron trois ans plus tard. L’histoire d’un joueur qui enchaînait les matchs de Pro D2 dans un certain anonymat jusqu’en 2019 avant de devenir le numéro 2 du XV de France au poste de demi de mêlée derrière le meilleur joueur du monde, Antoine Dupont. Cette histoire, c’est bien sûr celle de Maxime Lucu. Le Basque vit en effet ces dernières saisons un véritable « rêve » éveillé comme il le dit lui-même.
Un rêve que l’ancien capitaine du Biarritz Olympique n’aurait pu donc ne jamais vivre. La faute à un certain… Christophe Urios. C’est le manager de l’UBB qui l’a confié cette semaine avant la demi-finale de Top 14 face à Montpellier ce samedi à Nice : « Quand j’ai signé à Bordeaux en novembre [2018], j’ai demandé au président si Maxime Lucu avait déjà signé son contrat. Je n’en voulais pas. Je n’aimais pas sa façon de jouer, je trouvais qu’il manquait de vitesse. Mais Laurent [Marti] m’a répondu que c’était déjà signé. » Conclusion du patron de l’Union :
Aujourd’hui, Christophe Urios laisse même entendre que son demi de mêlée pourrait être la saison prochaine son capitaine. Il faut dire que l’homme de Saint-Jean-de-Luz est devenu un élément indispensable de l’UBB. Sur le terrain où Maxime Lucu, véritable « courroie de transmission » dixit son manager, enchaîne les performances de très haut niveau à l’image de son match XXL contre le Racing en barrage. « Il a été excellent sur les initiatives même si ce n’est pas sa qualité première. Ensuite, il a été très fort sur son jeu au pied. Défensivement, il se troue rarement. Je ne sais pas si c’est un sommet pour lui car moi, je l’ai souvent vu dans les sommets et rarement dans les collines », poursuit Urios.
Au point d’avoir le droit à une standing ovation à sa sortie. Un moment très fort pour celui qui entretient une relation particulièrement avec le public. « Je me sers énormément de lui pendant les matchs [à coups de poing rageur], reconnaît-il. Ce sont des choses qui font du bien de voir ces ambiances. Bon, parfois, j’en fais un peu trop. ( sourires ) » A 29 ans, Maxime Lucu fait partie de ses joueurs qui ont mis du temps à faire décoller leur carrière et qui aujourd’hui ont faim de titres, avec l’UBB et le XV de France.
Mais si le Basque a pris une nouvelle dimension cette saison, c’est avant tout pour son apport en dehors du terrain à l’image de la semaine dernière. « On n’était pas bien. Tout le monde avait la tête en bas. Mais on a réussi à se resserrer via Max Lucu, François Trinh-Duc qui ont pris les choses en main. Ils ont pris le groupe à leur charge. Ils ont organisé la semaine, les vidéos », explique l’arrière Romain Buros. Pourquoi ? « Le staff a bossé dix mois, maintenant c’est à nous de prendre les choses en main et d’aller chercher le truc. Ce rôle, j’aurais peut-être pu le prendre plus tôt comme d’autres d’ailleurs dans le groupe. Parfois, on attend trop du staff », affirme le principal intéressé.
🔴🏉Il faut éteindre le début d'incendie à @UBBrugby 👉« Là, je dois arrêter de parler » - @ChristopheUrios 👉Le très risqué coup du poing fermé 👉Attention à l’effet hamburger… 👉Avec du très bon @denistroch 👌 #Bordeaux #UBB https://t.co/GJi58o70Z3
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Une prise d’initiative que Christophe Urios a plus qu’appréciée :
Il amène « cette rébellion » dont l’Union Bordeaux-Bègles avait besoin après une deuxième partie de saison ratée. « Max, c’est un rassembleur. Un leader par l’exemple. J’aime beaucoup sa façon de parler. Je me retrouve en lui. D’ailleurs, il a souvent le dernier discours dans le vestiaire avant d’entrer sur le terrain. Il emmène les autres et surtout, c’est le plus important pour moi, il fait les choses. » Jusqu’à décrocher à un Bouclier de Brennus ?
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Aider les parents à suivre - Aux Etats-Unis les Parent Academy Programs sont des cours de mise à niveau dans diverses matières ainsi que sur le fonctionnement du système scolaire. Ils sont proposés aux parents dans l'école fréquentée par leurs enfants afin de répondre aux besoins de parents qui peuvent avoir besoin d'aide pour mieux les accompagner dans leur scolarité.
ÉDUCATION - Ils réceptionnent chaque jour les produits, s'occupent des relations avec les fournisseurs, gèrent les demandes et les desideratas de leurs employés mais aussi leur organisation. Lorsqu'un recommandé arrive, c'est bien à eux qu'il est adressé, quant aux bases de données, ce sont aussi eux qui les mettent à jour. Bref, en un mot ils sont responsables, si bien que chaque soir, c'est aussi eux qui s'assurent que tout le monde est parti avant de fermer les portes. Eux? Ce ne sont pas de véritables chefs d'entreprises, ce sont les directeurs d'école.
Des fonctionnaires dont le statut et les conditions de travail seront au coeur des négociations qui doivent s'ouvrir ce mardi 18 juin en début d'après-midi, à Paris. Face au cabinet du ministre de l'Éducation nationale, le syndicat enseignant Se-Unsa particulièrement actif sur la question. En octobre 2012, il publiait une vaste enquête sur ces salariés de plus en plus épuisés et stressés . Les mots convoqués sont alors empruntés à un lexique davantage associé au monde de l'entreprise qu'à celui de l'éducation. "Souffrance au travail", "burn-out" ... Début juin, le syndicat a lancé une " alerte sociale ", une démarche nationale susceptible de conduire les directeurs d'école à la grève s'ils ne sont pas écoutés d'ici la rentrée.
Leurs revendications, à l'approche d'une nouvelle année marquée par de nouveaux rythmes scolaires? Des missions clarifiées, plus de personnel administratif pour les aider, mais aussi, à terme, plus d'autonomie financière. Car dans leur fonctionnement, les écoles ressemblent en tout point à de petites entreprises et plus particulièrement aux microentreprises.
Comme dans les microentreprises, le nombre de salariés des écoles oscille autour de dix personnes. Comme dans les microentreprises, les écoles ont recours à des emplois à temps partiel pour 10 à 30% de la masse salariale. Quant aux salaires des personnels, ils s'alignent d'ailleurs sur ceux la moyenne de ces petites entreprises, soit un peu plus de 1700 euros par mois, selon les chiffres du Conseil d'orientation pour l'emploi, dans son rapport sur les TPE .
Mais si les directeurs d'école étaient de véritables dirigeants, ce seraient de drôles de patrons. Simples instituteurs, la majorité d'entre eux continue d'enseigner. Seuls les directeurs d'école de plus de douze classes, une minorité, sont déchargés de l'enseignement. Ce ne sont donc pas chefs d'établissement à l'image de leurs collègues du secondaire qu'ils envient, et dont ils sont de plus en plus nombreux à vouloir disposer des mêmes prérogatives... à commencer par tenir davantage les cordons de la bourse.
Éducation nationale, collectivités locales (communes), associations de parents d'élèves (coopérative scolaire), en fonction des postes de dépenses, les sources de financement ne sont pas les mêmes. Faute de visibilité et de lisibilité, deux des trois directeurs d'écoles publiques contactés par Le HuffPost , n'ont pas été mesure de nous donner une idée du budget global de leur établissement.
À Lauriac, dans le Lot-et-Garonne, Pascal Dauliac reçoit chaque année 11.500 euros destinés à l'achat de matériel et aux voyages scolaires pour ses 8 classes qui comptent 218 élèves. C'est la seule enveloppe qu'il gère en personne. À ceux-ci s'ajoutent 2000 euros de complément de voyage financés par les parents d'élèves via la caisse scolaire. Restent les salaires des 8 enseignants, et 2 enseignants remplaçants, payés par le ministère. Au total, il estime que son budget avoisinerait les 270.000 euros. La cantine, les charges de chauffages, d'électricité ou encore de téléphone sont pris en charge par la municipalité.
"Pouvoir gérer notre argent de façon plus libre, c'est une nécessité," explique le directeur d'école qui a réglé près de 70.000 euros de factures depuis le début de l'année... sans pour autant en avoir le pouvoir. "De fait, on s'acquitte de ces tâches, mais on ne devrait pas, on est dans le flou juridique le plus total", ajoute-t-il. Un flou juridique qui les amène à prendre en charge la comptabilité sans y avoir été formé. Et pour cause, celle-ci ne fait officiellement pas partie de leur prérogative, mais s'impose de fait comme une réalité. De drôle de patrons donc, puisqu'ils ne choisissent pas non plus les personnes avec lesquelles ils travaillent.
"On se sent comme des chefs d'entreprises," confirme Christine Mercier, 52 ans, directrice d'une école maternelle à Malakoff (Hauts-de-Seine). De fait, cette ancienne cadre en ressources humaines reconvertie dans l'école républicaine sait de quoi elle parle.
116 élèves, 5 classes, son établissement compte 7 enseignants, dont 1 mi-temps, et 1 temps partiel. Christine Mercier enseigne trois jours par semaine et dispose d'une journée pour s'acquitter de ses tâches de direction. Mais dans les faits, celles-ci sont nombreuses et s'accumulent. Conséquence, sur emploi du temps déborde. Arrivée à 7h30 du matin, elle ne quitte pas son établissement avant 19h le soir et confie travailler les week-end.
Il faut dire que ses missions s'accumulent. Prise en charge pédagogique, mise en place du projet d'école mais aussi du projet annuel, organisation des réunions de parents d'élève, conseil des maîtres, conseil d'école, tâches administratives diverses, saisie informatique, relations avec les pompiers, le personnel de service, la mairie, les animateurs, ou encore gestion de la sécurité, elle ne sait parfois plus où donner de la tête. "Il y a toujours quelque chose à faire, toujours dans l'urgence, du coup on fait tout à moitié," déplore-t-elle. "On est multifonctions," résume la directrice. Son salaire? 2390 euros par mois.
"Le véritable problème, c'est qu'on est seuls," confie Emeline Bourcier, 33 ans, directrice d’une école élémentaire à Villiers-Saint-Frédéric, dans les Yvelines. Elle fait partie de ces enseignants qui s'investissent dans ces postes de direction en début de carrière. Témoignage du malaise qui entoure la fonction, 10% des postes de directions des 45.000 écoles ne sont pas pourvus faute de volontaire. Pour les jeunes instituteur, devenir directeur permet donc de s'assurer une forme de stabilité.
Mais comme la majorité de ses confrères, elle ne dispose aujourd'hui d'aucune aide pour les tâches administratives. Or celles-ci sont de plus en plus nombreuses. Circulaires, gestion des relations avec la hiérarchie, enquêtes nationales, courriers, photocopies... Elle explique s'acquitter de tout, y compris des tâches les plus ingrates. Les arrêts maladie? "C'est délicat," explique-t-elle car faute de personne pour la remplacer, l'établissement ne tourne plus.
Si tous les directeurs d'école que nous avons contactés concèdent que "c'est bien pire ailleurs," dans le privé sous contrat d'association, le fonctionnement est le même à quelques détails près. Comme dans le public, l'État prend en charge une grande partie des coûts, à commencer par une partie des salaires des instituteurs, mais grâce aux frais d'inscriptions ces établissements disposent de fonds supplémentaires, souvent garants d'un travail dans de meilleures conditions.
Exemple avec l'école Saint-Thomas d'Aquin, dans le 7è arrondissement de la capitale, une petite structure qui accueille 150 élèves en classes maternelles et élémentaires. Pour l'aider dans ses tâches administratives, Brigitte Biasse dispose d'une secrétaire. Résultat, la directrice a le sentiment de pouvoir "faire tout ce qu'elle a à faire". Pour autant, elle ne s'estime pas représentative et concède que la surcharge de travail dont se plaignent ses collègues du public ne l'étonne pas. En cause: des missions plus nombreuses, et un temps de travail qui s'accélère. "Les choses étaient beaucoup simples il y a 25 ans," conclut-elle.
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