Une orgie paradisiaque lesbienne

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Une orgie paradisiaque lesbienne

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Marc Beaugé, avec Gino Delmas | lesinrocks.com | dimanche 29 juillet 2012



Baie des cochons : bienvenue sur la plage libertine du Cap-d’Agde Marc BeaugĂ©, avec Gino Delmas | lesinrocks.com | dimanche 29 juillet 2012




C’est l’heure du goĂ»ter et quelques messieurs, visiblement affamĂ©s, hĂątent le pas sur le sable chaud. ArrivĂ©s Ă  hauteur d’un parasol gris, ils s’arrĂȘtent et se placent soigneusement en arc de cercle. Ils sont cinq, puis dix, trente. Tous sont nus et en Ă©rection. Muscles contractĂ©s, mĂąchoire serrĂ©e, la plupart se masturbent mĂȘme avec Ă©nergie. Sous le parasol, posĂ© sur une serviette blanche, un couple se montre. La femme est allongĂ©e sur le dos, l’homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d’annĂ©es et leurs corps sont extrĂȘmement blancs, totalement Ă©pilĂ©s. BientĂŽt, ils glissent en levrette. Autour d’eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excitĂ©s. AprĂšs quelques instants, elle souffle un mot Ă  son partenaire, en allemand. Il se retire d’elle et introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxiĂšme. Avec attention, il accĂ©lĂšre le mouvement et, rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Madame est une femme fontaine et l’assistance est aux anges. Quelques applaudissements se font mĂȘme entendre. Le spectacle ne fait pourtant que commencer.
Au Cap-d’Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d’une centaine de mĂštres et rebaptisĂ© “baie des cochons”, rien ne semble interdit. Les couples s’aiment en public et assouvissent leur dĂ©sir d’exhibitionnisme devant une cohorte de voyeurs Ă  l’affĂ»t. En semi-Ă©rection permanente, ceux-ci passent d’un couple Ă  l’autre exactement comme un enfant enchaĂźnerait les attractions Ă  Eurodisney. Ici, la police se fait extrĂȘmement rare. Elle intervient parfois lorsque les Ă©bats se prolongent en bordure de la plage, dans les dunes rattachĂ©es Ă  la rĂ©serve naturelle. Il est mĂȘme arrivĂ© que des voyeurs et des exhibitionnistes s’y fassent arrĂȘter et emmener au poste, simplement habillĂ©s d’une paire de menottes. Mais sur la plage, elle ferme les yeux. Car, mĂȘme si l’exhibitionnisme y est, comme partout, un dĂ©lit, les plaintes sont rarissimes. Dans le coin, tout le monde sait ce qui se trame Ă  cet endroit.
Tout le monde est adulte, consentant et nu
Depuis la construction du village naturiste du Cap-d’Agde dans les annĂ©es 70, cette parcelle de sable a toujours accueilli les libertins et leurs pratiques ont presque fini par entrer dans les moeurs. Des lois informelles se sont mĂȘme Ă©tablies au fil du temps. Sur la “baie des cochons”, tout le monde est adulte, consentant et nu, absolument nu (mĂȘme le journaliste, aprĂšs qu’il eut renoncĂ© au stratagĂšme du parĂ©o). Le groupe veille sur lui-mĂȘme et chasse ceux qui mettraient en danger son harmonie. Cet aprĂšs-midi-lĂ , un homme ayant eu l’indĂ©licatesse de sortir un tĂ©lĂ©phone portable pour filmer une femme en action se fera ainsi sĂ©vĂšrement reprendre. Son portable finira mĂȘme Ă  l’eau.
Au Cap-d’Agde, les exhibitionnistes se montrent dans l’assurance que les voyeurs sauront se tenir, malgrĂ© l’excitation. Ici, lorsqu’un homme jouit et rĂ©pand sa semence sur la plage, il prend mĂȘme le temps de la recouvrir de sable.
Un peu plus loin, c’est maintenant une femme trĂšs bronzĂ©e, la cinquantaine peroxydĂ©e et siliconĂ©e, qui s’offre Ă  son homme. Il est Ă  genoux devant elle et lui lĂšche le clitoris. Un nouveau cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Les plus jeunes ont 25 ans, les plus vieux presque 80, Ă  vue d’oeil. Ils sont lĂ , agglutinĂ©s, collĂ©s les uns aux autres, le sexe Ă  la main. Ils se masturbent dans un silence de cathĂ©drale, comme concentrĂ©s sur les petits cris de plaisir poussĂ©s par la femme. C’est elle l’hĂ©roĂŻne de ce spectacle improvisĂ©, aux allures de tournage porno en plein air et en public. C’est elle qui donne le tempo, dit “oui” ou “non”.
Quand une femme désigne un homme, il doit venir la contenter
Au Cap-d’Agde, la femme est toujours au coeur des attentions, et ses dĂ©sirs sont comme des ordres. Quand elle dĂ©signe un homme dans la foule des voyeurs, celui-ci doit se rapprocher et venir la contenter, ce qu’il fait gĂ©nĂ©ralement avec empressement. LĂ , le veinard est un jeune homme d’origine maghrĂ©bine au corps ferme. DĂ©licatement, il s’installe Ă  cĂŽtĂ© de madame et pose ses doigts sur son corps, puis lĂšche ses seins. BientĂŽt, il pourra venir en elle.
Comme partout ailleurs, personne n’est Ă©videmment Ă©gal devant le dĂ©sir. Il y a une hiĂ©rarchie et un ordre esthĂ©tique. Dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, s’arrĂȘtant pendant quelques pages magistrales sur la plage du Cap-d’Agde, Michel Houellebecq Ă©crit :
“(
) une femme au corps jeune et harmonieux, un homme sĂ©duisant et viril se voient entourĂ©s de propositions flatteuses. Au Cap-d’Agde comme ailleurs un individu obĂšse, vieillissant ou disgracieux sera condamnĂ© Ă  la masturbation – Ă  ceci prĂšs que cette activitĂ©, en gĂ©nĂ©ral proscrite dans les lieux publics, sera ici considĂ©rĂ©e avec une aimable bienveillance.”
Nudité, érection et chaussures de ville, tout passe
Au fil des heures, et des jours, rien ne choque ou ne surprend plus vraiment. On s’habitue Ă  voir dĂ©ambuler des sexagĂ©naires Ă©quipĂ©s d’épais cockrings en mĂ©tal (assurĂ©ment l’accessoire de l’étĂ© 2012 au Cap-d’Agde). On se fait aussi au spectacle bizarroĂŻde d’hommes en Ă©rection, nus mais chaussĂ©s de leurs chaussures de ville ou de leurs baskets, car le sable brĂ»le les pieds en plein aprĂšs-midi. Tout devient normal. Tout passe. MĂȘme quand notre voisine de serviette, ĂągĂ©e d’au moins 70 ans, ouvre ses cuisses en grand et entreprend de se caresser pour le plaisir d’un mateur venu se poser Ă  quelques centimĂštres d’elle, sous l’Ɠil approbateur du mari, un homme aux longs cheveux blancs et au physique de gourou de secte.
Ici, les corps, entiĂšrement Ă©pilĂ©s dans l’immense majoritĂ© des cas, sont souvent usĂ©s, tombants, fripĂ©s. La moyenne d’ñge tourne autour de 45 ou 50 ans et, si l’on recense quelques hommes dans la fleur de l’ñge, les femmes de moins de 40 ans sont trĂšs rares. “C’était mieux avant”, regrette d’ailleurs un homme Ă  casquette, postĂ© en haut d’une petite dune, Ă  un poste d’observation privilĂ©giĂ©. “Il y avait des jeunettes, des belles filles. Elles sont toutes parties
”
De façon gĂ©nĂ©rale, des habituĂ©s de la plage aux policiers municipaux en passant par les habitants du coin, on s’accorde Ă  dire que “la baie des cochons” est au creux de la vague, et qu’il s’y passait davantage de choses il y a cinq ou dix ans. Pour la police, les arrestations dans les dunes portent leurs fruits et dissuadent une partie des exhibitionnistes et voyeurs. Pour les autres, c’est l’apparition des boĂźtes libertines, ouvertes le jour, qui a changĂ© la donne. Il se dit, par exemple, que les jeunes libertines du Cap-d’Agde passent dĂ©sormais leurs aprĂšs-midi au Glamour, une boĂźte de nuit du village naturiste rĂ©putĂ©e pour la qualitĂ© de ses ambiances mousse.
Il est 18 heures, les choses s’accĂ©lĂšrent
Pourtant, indiscutablement, les trois ou quatre cents fidĂšles venant poser leur serviette chaque jour d’étĂ© sur “la baie des cochons” continuent de s’y s’amuser. Il est maintenant 18 heures et le poste de surveillance des maĂźtres nageurs vient de fermer. Les choses s’accĂ©lĂšrent. Dans l’eau, Ă  quelques mĂštres du bord, on remarque une vingtaine d’hommes en groupe. Au milieu d’eux, une femme aux cheveux courts, extrĂȘmement gĂ©nĂ©reuse.
Sur la plage, on s’active aussi. Goguenard, un homme revient de derriĂšre les dunes et raconte Ă  ses copains qu’” une fille vient de se faire Ă©jaculer sur le visage par une dizaine de types” (une pratique connue sous le nom de bukkake). Plus loin, une femme rousse allongĂ©e sur le sol fait l’attraction. Elle est entourĂ©e d’au moins cinquante hommes et elle dĂ©signe les Ă©lus, appelĂ©s Ă  venir profiter d’elle. Ils piaffent tous, cherchent Ă  capter son regard dans l’espoir d’un signe. Mais elle semble impĂ©nĂ©trable, les yeux dans le vague, doucement gagnĂ©e par le plaisir.
Elle dit ” viens” Ă  un homme. Elle est française, comme une majoritĂ© des gens prĂ©sents sur la plage, semble-t-il. Il y a aussi beaucoup d’Allemands, de Hollandais, de Belges et quelques Anglais. Mais, dans le plus simple appareil, les Ă©tiquettes tombent vite, et les marqueurs sociaux s’estompent naturellement. C’est aussi le charme du Cap-d’Adge. Si quelques coupes de cheveux ou quelques tatouages maladroits semblent trahir, parfois, une appartenance Ă  un milieu populaire, on ne peut savoir vĂ©ritablement qui est riche, qui est pauvre, qui est cadre ou ouvrier.
Toujours dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, Houellebecq Ă©voquait, avec une certaine gourmandise, la prĂ©sence “d’infirmiĂšres hollandaises, de fonctionnaires allemands, tous trĂšs corrects bourgeois, genre pays nordiques ou Benelux”. Sur place, pourtant, les informations sont difficiles Ă  glaner. Un homme, habituĂ© des lieux depuis une dizaine d’annĂ©es, glisse qu’il est commercial dans l’agroalimentaire. Une femme dit ĂȘtre kinĂ©sithĂ©rapeute. Mais, ici, personne ne veut ĂȘtre ramenĂ© Ă  la vraie vie. Il y a tellement mieux Ă  faire. Tellement mieux Ă  Ă©voquer. Le soleil tombe et des couples se rapprochent, entament la conversation. Il est grand temps de prĂ©parer ce qui se passera plus tard, Ă  l’abri des regards, cette fois.
Un extrait du numéro Inrocks Spécial Sexe disponible en kiosque et en ligne ici




VidĂ©o "Plage libertine du Cap D’ Agde" :
 www.bonporn.com/video/21021/Cap-d-Agde-libertin
Bravo pour cet article.
Quand on sait qu’en principe, notre humanitĂ© est en pleine Ă©volution, et qu’elle a dĂ©passĂ© depuis plusieurs centaines d’annĂ©es le cap des centres les plus bas (NB le chakra le plus bas est celui liĂ© Ă  la sexualitĂ© bestiale, dĂ©pourvue d’amour, celle qui rĂ©pond de maniĂšre primitive aux instincts les plus bas), et bien lĂ , on s’aperçoit qu’il reste bien du chemin Ă  parcourir ! J’ai honte d’ĂȘtre français....honte d’ĂȘtre un homme d’aujourd’hui quand je lis cela....comme c’est misĂ©rable...
Ces personnes ont-elles des enfants ? J’ose espĂ©rer qu’elles n’osent pas pervertir ces Ăąmes pures en les amenant dans ces endroits de luxure. N’ont-elles pas honte ?
sur cette plage on s y detend beaucoup tres bon endroit pour eviter la deprime je ne suis plus un perdrau de l annee mes vacances au cap me font rajeunir les filles de tous ages sont sympa 300 m de plage sur la longueure de la mediterrannee ca laisse de la place pour ceux a qui cela ne plait pas on se demande pourquoi il viennent voir (il voudrait de temps en temps se conduire comme eux )
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bravo, enfin dire haut ce dont on a besoin. je suis lesbienne , garconne mais completement d accord. les filles doivent se lacher et arreter leur reverie de filettes! place aux rencontres..et a la
prevention aussi, car etant sur le point d etre sexuellemt tres active, j ai quand meme 'peur' des mst..donc merci de faire passer les mot!




on est 3 ^^ moi aussi je mets des talons, j'ai les cheveux longs!
en tout cas bravo pour ton article trĂšs vrai




suis totalement d'accord : c'est pas parce qu'on met des talons et qu'on est blonde aux cheveux long qu'on ne peut pas etre lesbienne : la preuve on est dejĂ  2 ;)




Bravo pour cet article. Une Femme aimant les femmes en harmonie totale avec son corps, ses désirs sexuels des plus tendres aux plus érotiques et aux plus fous...
Quelle leçon de plénitude sensuelle et d'hédonisme lesbien...





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Un Mag', des actus, un guide 100% lesbien.

Publié le

1 septembre 2010


par une lesbienne Ă  paris

Quand j'ai "pĂ©nĂ©trĂ©" (ouloulou quel mot tordu pour une gouine
) le milieu LGBT j'ai tout d'abord Ă©tĂ© frappĂ©e par le manque de prĂ©vention chez les lesbiennes... Ă  croire qu'elles ne pouvaient attraper aucune merde... et pour cause, j'ai compris trĂšs vite, elles pratiquaient le sexe euh... d'une façon relativement "soft"
 Tout ce que je n’aime pas... J'ai vite Ă©tĂ© pointĂ©e du doigt, jugĂ©e, critiquĂ©e ; moi et mes talons hauts, mes jeans moulants, mes petits top, mon maquillage et mes cheveux longs et blonds (personne n'est parfait). On m'a refusĂ© l'accĂšs Ă  certaines boites (trop fĂ©minine et trop hĂ©tĂ©ro
BRAVO !). Bref....me voila au milieu de toutes ces femmes aimant les femmes... Et lĂ , surprise... On commence par la fameuse question (parce que j'aime savoir et que c'est important...) :
- pour se protéger de quoi ? Des maladies ?
-moi ? Je me protÚge pas, ça sert à rien on risque rien...
WHOUAOUUU LA LESBIENNE NE PEUT NI ATTRAPER LE SIDA, NI UNE MST
troooop fortes ! Et franchement j’ai posĂ© ladite question Ă  plus d’une vingtaine de gouine

Heureusement que j’ai tĂ©lĂ©phonĂ© Ă  SIDA info service

Digue dentaire, pour la protection lors de rapports bouche/sexe (cunnilingus) ou bouche/anus (anulingus), c’est un carrĂ© de latex appliquĂ© entre la bouche et le sexe ou l’anus de ta copine
).
Les prĂ©servatifs c’est bien aussi pour nous
mais bon, je ne parle pas de la protection du sextoy, non car les lesbiennes n’utilisent pas de gode
 (Grands yeux ouverts quand j’ai entendu : « non mais si tu veux une bite, autant que tu retournes avec des mecs !  »
Ok, la pilule ne te servira pas Ă  grand-chose
 Mais bon, des gens bien informĂ©s sont lĂ  aujourd’hui pour bien nous conseiller sur les pratiques Ă  risque

Bref, me voilĂ  un p’tit peu fatiguĂ©e de ces lesbiennes coincĂ©es qui partent du principe que se goder avec une bite en plastique ressemblant parfaitement au phallus c'est pour les "fausses" lesbiennes, les bi ou les hĂ©tĂ©ros refoulĂ©es". C'est bien connu, une lesbienne ne se prend rien dans le vagin, une vraie lesbienne ne doit avoir que des jouissances clitoridiennes, une vraie lesbienne doit ĂȘtre vierge, une vraie lesbienne tentera pour le fun (grande folle !) la pĂ©nĂ©tration vaginale avec Ă  la rigueur, un objet en plastique, seulement s'il ressemble Ă  un tube de dentifrice rose et s'il s'allume la nuit, une vraie lesbienne n'acceptera que les caresses et titillage du tĂ©ton droit et devra surtout pas se mettre Ă  hurler comme une chienne en chaleur quand la jouissance montera....une vraie lesbienne dĂ©teste les lieux libertins ou tout le monde se monte dessus car c'est sale...une vraie lesbienne ne regarde jamais de porno et surtout pas les Dorcel, car les zizi c'est sale, c'est moche, et ça puent ; une vraie lesbienne ne met que des culottes petits bateaux, une vraie lesbienne aime faire des mamours et cĂąlins tout doux, une vraie lesbienne ne baise jamais, mais fait l'amour, une vraie lesbienne
une vraie lesbienne...
MERDE ! Je suis donc une vraie-fausse lesbienne....aie, aie, aie

                                                                                                    Maryssa Rachel
                                                                                                                                      Photographe lifestyle

Publié dans
Les coups de gueule de Maryssa
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