Une orgie allemande à l'ancienne

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Prostitution en Allemagne: bientôt la fin des soirées gangbang ?


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par
Annabelle Georgen

Publié le 22 juillet 2017 à 11h42 Mis à jour
le 22 juillet 2017 à 11h42

Une prostituée dans un bordel berlinois (© John MacDougall / AFP)
Malgré l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi sur la prostitution censée mieux protéger les travailleuses du sexe, les bordels allemands continuent de proposer soirées gangbang et formules “sexe à volonté”. Dans les maisons closes berlinoises, qui attirent aussi de nombreux touristes étrangers, le flou règne. Mauvais pour les affaires.
Au King George, le client est roi… pour la modique somme de 49 euros. Une fois les billets alignés, les clients de cette maison close du quartier berlinois de Schöneberg peuvent consommer bières, cocktails et prostituées à volonté. Ce bordel fait partie des nombreux établissements allemands qui ont repris ces dernières années le modèle économique du “all you can eat” des buffets à volonté chinois en le transformant en “all you can fuck” . Surnommés bordels “flatrate” (“au forfait”), ces lieux sont devenus en Allemagne le symbole de ce que le secteur de la prostitution peut avoir de plus sordide.
Le commerce du sexe est légal outre-Rhin depuis 2002, et c’est un secteur florissant : selon l’Office allemand de la statistique, le chiffre d’affaires des bordels représenterait chaque année plus de 14 milliards d’euros à l’échelle du pays. Avec sa législation libérale, l’Allemagne est devenue au cours de la décennie passée “le bordel de l’Europe”, comme on peut le lire dans les nombreux articles de presse parus ces dernières années sur le sujet.
“Paradis pour les trafiquants d’êtres humains»
Berlin n’attire pas seulement les touristes pour son Mur et ses clubs électro, mais aussi pour ses bordels. La capitale allemande compte à elle seule près de 400 maisons closes et plus de 2 000 prostituées selon les estimations de la police berlinoise.
En 2013, la féministe allemande Alice Schwarzer, fondatrice de la revue Emma , a relancé le débat sur la libéralisation de la prostitution en publiant une enquête qui dénonce les nombreux abus dont continuent d’être victimes les prostituées qui travaillent dans ces bordels au fonctionnement relativement opaque. Dans son livre Prostitution, un scandale allemand , Alice Schwarzer affirme que cette législation permissive a fait le lit des réseaux mafieux, et que l’Allemagne s’est muée en “paradis pour les trafiquants d’êtres humains”.
“Plus facile d’ouvrir un bordel qu’une baraque à frites”
Trois ans plus tard, une nouvelle loi entrée en vigueur début juillet est censée mieux protéger les prostituées en encadrant plus la pratique du sexe tarifé: le port du préservatif est désormais obligatoire chez les clients, les travailleuses du sexe sont tenues de déclarer leur activité auprès des autorités sanitaires et les patrons de bordel de demander une autorisation pour pouvoir poursuivre leur activité ou ouvrir un nouvel établissement.
“Ici il est plus facile d’ouvrir un bordel qu’une baraque à frites” , avait déploré l’an dernier Manuela Schwesig, ancienne ministre allemande de la Famille, lorsque le projet de loi avait été examiné au Bundestag. Un des grands objectifs de cette loi était d’interdire l’organisation de soirées gangbang, durant lesquelles une prostituée a des rapports sexuels avec plusieurs clients à la fois, et le principe-même des formules “sexe à volonté” , au motif que ces pratiques seraient dégradantes pour les travailleuses du sexe.
Mais le texte qui a finalement été adopté par le Bundestag, après maints remaniements, ne fait pas explicitement référence à ces pratiques, mais à la notion de “consentement sexuel” .
Quelques semaines après l’entrée en vigueur de la loi, force est donc de constater que rien ne semble avoir changé. Les bordels flatrate de la capitale allemande continuent d’attirer le client avec des “forfaits tout compris”, des dizaines d’orgies et soirées gangbang sont annoncées pour les prochaines semaines sur les sites spécialisées et les prostituées qui ont fait de cette pratique leur fonds de commerce continuent de proposer leurs services sur la toile. La nouvelle loi entretient en effet le flou sur la conduite à adopter, dénonce Charlie, une des porte-parole du BesD, l’Association allemande des services érotiques et sexuels:
“Il y a beaucoup de gens qui ne savent pas aujourd’hui si ce qu’ils font est interdit ou pas. Les gens continuent donc à faire ce qu’ils estiment être correct et attendent de voir ce qu’il va se passer.”
“La dynamique de groupe va plutôt dans le sens d’un contrôle mutuel”
Charlie considère que la pratique du gangbang n’est qu’ “une forme du travail du sexe» et que celle-ci est d’ores et déjà encadrée:
“Les gangbangs obéissent à des règles précises. On définit à l’avance ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Les limites que pose la prostituée sont explicitement communiquées aux clients. Il est bien sûr difficile, pendant un gangbang, de dire à chaque client si on veut ou pas avoir des relations sexuelles avec lui, mais cela irait contre le principe d’un gangbang, car sur le moment cela importe sans doute peu.”
Elle estime d’ailleurs que la présence simultanée de plusieurs clients garantirait un certain contrôle social plus qu’elle ne constituerait un danger pour la prostituée:
“Je pense que la dynamique de groupe va plutôt dans le sens d’un contrôle mutuel plutôt que d’un pétage de plombs collectif.”
Au suivant…
Ouvert depuis 2010, le bordel berlinois Erlebniswohnung s’est spécialisé dans les gangbangs. Le tenancier, Mustafa, insiste à maintes reprises sur le fait que les Herrenüberschuss-Parties – comme on appelle dans le jargon ces orgies où les hommes sont en surnombre par rapport aux femmes présentes – qu’il héberge n’ont pas uniquement lieu avec des prostituées mais aussi avec des femmes qui ont envie de vivre ce fantasme, bien que ces dernières soient également “défrayées” pour leur participation. Lui aussi insiste sur le fait que les gangbangs qui ont lieu dans son bordel ne donnent pas lieu à un déchaînement de violence:
“Chacun attend que l’autre ait fini, et c’est la femme qui est au centre qui décide.”
Son établissement de la banlieue berlinoise ouvre chaque jour ses portes dès le matin. Droit d’entrée avec buffet à volonté: 89 euros les jours de semaine, 99 euros le week-end. “Les hommes payent uniquement pour participer à la fête, ils ne peuvent pas prétendre à avoir des relations sexuelles une fois à l’intérieur”, assure-t-il, même si on imagine mal des clients débourser une telle somme pour passer leur après-midi en claquettes, une serviette de bain autour des hanches, à grignoter des cacahouètes au comptoir. Le bordel attire de nombreux touristes étrangers:
«Ils représentent environ un tiers de notre clientèle. On a beaucoup d’Italiens, d’Israéliens, de Français, mais aussi des Américains, des Suédois, des Britanniques…»
Depuis début juillet, son établissement est plus calme qu’à l’accoutumée: “Il n’y a pas assez d’hommes en ce moment. Beaucoup de clients m’ont appelé pour me dire qu’ils étaient embarrassés, qu’ils ne savaient pas quelles conséquences avait la loi et qu’ils avaient peur d’être sanctionnés” , rapporte Mustafa.
La nouvelle loi prévoit en effet tout un éventail de sanctions pour les clients qui ne respecteraient par exemple pas le port du préservatif ou fréquenteraient des prostituées exerçant contre leur gré. Peine maximale: cinq ans de prison.
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Autrice et hôtesse de parties fines
Dès ma première partie fine, je suis tombée amoureuse de ce milieu.
BLOG - Il semblerait que j’aie un talent assez rare: je suis une femme célibataire d’une trentaine d’année qui voyage dans le monde entier pour organiser des parties fines haut de gamme.
Cette carrière a vraiment surgi de nulle part. Quand j’ai organisé une “petite fête” pour mon compagnon d’alors (j’étais vraiment la meilleure petite amie du monde, pas vrai?), j’ignorais totalement que j’en ferais mon métier. Aujourd’hui, je n’en changerais pour rien au monde.
Je n’ai jamais voulu d’horaires de bureau et, pour être honnête, je me suis fait licencier de la plupart de mes emplois. J’étais rêveuse, mon esprit vagabondait et j’étais incapable de me concentrer. Avoir un patron qui me surveillait sans arrêt n’était vraiment pas ma tasse de thé. J’ai toujours été tentée de faire quelque chose de totalement fou.
J’ai donc quitté mon emploi, et mon petit copain, pour vivre mes rêves. Je me suis envolée pour l’Asie où j’ai aidé une amie à ouvrir son nouveau bar, en mentant (évidemment) sur mon expérience professionnelle. Je me suis super bien débrouillée, au point de finir responsable de l’organisation des événements du bar et de son équipe marketing! J’étais faite pour être hôtesse…
En Asie, j’ai aussi trouvé un nouveau partenaire. Nous étions tous les deux branchés pratiques sexuelles non-conventionnelles, et nous nous sommes mis à fréquenter des parties fines. En clair: des orgies. Notre routine sexuelle à deux, et parfois à trois, ne nous satisfaisait pas et nous voulions élargir nos horizons.
Voyager et rencontrer de nouvelles personnes a été merveilleux, profondément libérateur. Nous n’allions qu’aux soirées les plus réputées: l’entrée coûtait les yeux de la tête, mais ça valait le coup. Nous côtoyions des médecins, des célébrités et toutes sortes de gens très influents et respectés. Je suis tout de suite tombée amoureuse de ce milieu.
L’anniversaire de mon compagnon est arrivé et j’ai décidé de lui faire une surprise en organisant pour la première fois une orgie . J’ai invité un petit nombre d’amis triés sur le volet, mais (heureusement pour les affaires, dans ce milieu) ce nombre n’a pas tardé à augmenter: nous avons fini par accueillir une quarantaine de personnes dans la suite que nous avions réservée à l’hôtel. Cela ne me dérangeait pas, et il ne s’en est pas plaint non plus!
“Alors Sarah, c’est quand, ta prochaine soirée?” m’a demandé un de mes amis peu après. Sa question m’a trotté dans la tête pendant des jours. Mais oui, au fait, quand organiserais-je une nouvelle orgie? C’est alors que j’ai décidé de faire de faire carrière dans ce milieu.
Par chance, j’avais déjà participé à tant de parties fines que j’avais rencontré des tas de gens. Grâce à ces contacts, il m’a été facile d’en organiser une nouvelle. Après avoir exercé des emplois qui ne me plaisaient pas, j’étais prête à m’éclater, faire ce truc complètement fou dont j’avais toujours rêvé. J’étais déjà une habituée du milieu, et je voulais passer davantage de temps avec ces gens: non seulement ils étaient super cool et sexuellement libérés, mais en plus, ils étaient vraiment très sympas.
Je n’ai pas du tout eu peur de me lancer sur cette nouvelle voie. À vrai dire, j’étais tout excitée à l’idée de partager cette expérience libératrice et follement amusante avec d’autres gens. Il m’a suffit de créer un site Web, d’arrêter une date pour ma première partie fine, organisée à Londres dans un club très sélect avec l’aide de quelques amis du milieu, et ma carrière était lancée.
Mais je me suis rendue compte que je ne parvenais pas à concilier vie professionnelle et vie privée. Mes soirées avaient du succès, mais mon couple périclitait. Alors j’ai quitté mon compagnon. Depuis, j’ai organisé des orgies au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Asie et dans quelques pays d’Europe. Je passe mon temps à trouver des suites d’hôtel, des manoirs ou des yachts à louer, et il me faut trois mois pour préparer une soirée. Vérifier les antécédents des participants prend toujours du temps. C’est une chose de glisser des allusions ici ou là mais beaucoup de gens s’imaginent qu’il est très facile d’obtenir une entrée alors que c’est tout le contraire! Je vérifie soigneusement le profil des participants en ligne: je cherche leur nom sur Google, sur les réseaux sociaux, je les appelle pour un entretien préliminaire et, à partir de là, je crée un fichier d’invités. Cela paraît fastidieux mais, franchement, ce changement de carrière est la meilleure chose qui me soit arrivée depuis des lustres. En fait, je n’ai pas l’impression de travailler.
L’entrée n’est pas donnée. Le tarif varie en fonction de la taille de la soirée et des efforts que m’a demandés son organisation. Pour un petit rassemblement sans divertissement particulier, avec juste des boissons et un espace sécurisé pour les ébats, je facture dans environ 120 €. Pour une partie fine plus élaborée, dans un lieu gigantesque, avec des effeuilleuses, un bar et tout le toutim, les prix augmentent, évidemment.
Je suscite beaucoup de réactions haineuses de gens qui ne connaissent pas ce milieu et qui me traitent de pute, mais ils ne comprennent pas ce que je fais. Je ne couche pas avec les invités ou leurs partenaires. Je gère ces soirées de façon professionnelle. Quand je tiens le rôle d’hôtesse, je reste habillée, et je travaille réellement: je m’assure que tout se passe bien, comme pour n’importe quel événement… sauf que tout le monde est nu.
Je crois que j’ai toujours été inspirée par les années 1960 en matière d’amour et de sexe. Il n’y avait pas de honte à l’époque. Les gens étaient heureux et émancipés, ils se fichaient de l’opinion des autres. J’adore cette sensation.
Il n’y a vraiment aucune crainte à avoir si vous avez envie de participer à une partie fine. Tout ce dont vous devez être sûr·e, c’est que vous serez à l’aise nu·e en compagnie d’autres gens nus. Mais, croyez-moi, quand tout le monde est nu, c’est comme si personne ne l’était. On ne peut pas se sentir gêné·e quand tout le monde est dans la même situation. Peu importe votre métier ou votre façon d’exprimer vos passions, je sais d’expérience qu’il ne faut pas avoir peur de tenter l’expérience si vous êtes d’un naturel curieux.
Dès que les gens découvrent ce que je fais, je les sens embarrassés. Ils n’osent pas me poser de questions ou tentent de le faire de manière détournée. Pourquoi? Ce sujet est-il nécessairement tabou? Les espaces sécurisés que nous créons permettent de se libérer du stress de la vie moderne, où l’on est jugé parce qu’on couche en dehors de son couple. Si vous voulez mon avis, c’est un problème tout ce qu’il y a de plus réel, et il n’y a rien de mal à réaliser ses fantasmes sexuels. Ce choix de vie m’a transformée et je me sens très heureuse de pouvoir procurer aux gens ce qu’ils veulent: un espace sûr où explorer leur sexualité et être eux-mêmes, délivrés de toutes leurs inhibitions.
Cet article, publié sur le HuffPost britannique , a été traduit par Iris Le Guinio pour Fast ForWord .
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