Une nuit qu'il faut oublier

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Une nuit qu'il faut oublier


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une nuit merveilleuse impossible à oublier...
C'etait il y a un peu plus d'un mois... J'ai passé une soirée et une nuit avec un garçon absolument géniales. Malheureusement, pour diverses raisons,il n'y a plus rien de possible entre lui et moi, et cette nuit-la était la dernière. Je n'arrête pas de repenser à des moments, à des paroles de cette nuit et je souffre. Tout était merveilleux. Maintenant j'ai l'impression que ma vie n'a plus de sens. J'ai l'impression d'être condamnée à etre éternellement triste, en repensant à cette nuit. Comment faire pour que ça reste un beau souvenir, mais que je puisse continuer à vivre et à aller de l'avant sans souffrir en y repensant? On dit qu'il vaut mieux avoir connu l'amour, et l'avoir perdu que de rien avoir connu du tout. Je suis heureuse d'avoir vécu cette nuit, mais si elle n'avait pas eu lieu, j'aurais continué à vivre ma vie simplement, sans la souffrance de ce souvenir...
Je vois complètement ce que tu veux dire. Es-tu sur qu'il n'y aura jamais plus rien entre toi et cet homme? Il parait que le temps adoucit tout, alors laisse le faire son oeuvre et tu verras qu'un jour tu y repenseras sans plus avoir mal
je l'ai vécut aussi et je ne connais qu'un remède : le temps... quand à l'amour, tu ne l'as pas encore vécu, tu idéalise cette épisode qui aurait duré si vraiment s'en était. l'amour est dans l'avenir et tu le vivra bientôt...
J'ai 22 ans. C'est sûr qu'il n'y aura plus rien entre nous. Bientot on ne se verra meme plus du tout. 🙁 En meme temps, quand je ne le verrais plus, ce sera plus facile pour ne plus y penser. Je sais que le temps aidera, mais en attendant je ne vis plus, le temps passe pourtant... J'ai l'impression que jamais je ne pourrais être aussi bien avec un autre.
Le titre n'est pas adapté, car je ne veux pas oublier, au contraire, je voudrais vivre cette nuit encore, en tous points identique... Je vis dans le passé et c'est horrible, car je sais pertinemment que c'est du passé et ça me désespère!
Le titre n'est pas adapté, car je ne veux pas oublier, au contraire, je voudrais vivre cette nuit encore, en tous points identique... Je vis dans le passé et c'est horrible, car je sais pertinemment que c'est du passé et ça me désespère!
Chère FLeurdelila, ta situation m'émeut, car je l'ai vécue moi-même et il n'y pas si longtemps. J'étais dans cette phase de déprime pendant de longs mois moi aussi après cette nuit passée dans ses bras. Puis, un jour, récemment, la souffrance s'est atténuée et je suis passée à autre chose. Il est encore dans mon coeur mais maintenant, son souvenir ne m'empêche plus de faire des rencontres et de vivre ma vie. Courage, tu verras que ça passera si tu ne complaîs pas dans cette souffrance en sortant, voyant tes amis et vivant pour toi crois-moi. 😉 PS : j'ai le même âge que toi.
Edité le 13/06/2008 à 12:46 PM par nin61ze
Merci Ninon, et merci à tous ceux qui me comprennent. Je continue à vivre bien sur, je sors avec mes amis, mais j'ai plus l'impression de faire semblant que de continuer à vivre vraiment. J'arrive à donner le change, à faire semblant de m'amuser, et puis des fois tout d'un coup j'y repense et pour le coup je n'arrive plus à faire semblant. J'ai d'autres opportunités avec d'autres garçons mais ça ne m'intéresse pas, parce que ce n'est pas lui.
Merci Ninon, et merci à tous ceux qui me comprennent. Je continue à vivre bien sur, je sors avec mes amis, mais j'ai plus l'impression de faire semblant que de continuer à vivre vraiment. J'arrive à donner le change, à faire semblant de m'amuser, et puis des fois tout d'un coup j'y repense et pour le coup je n'arrive plus à faire semblant. J'ai d'autres opportunités avec d'autres garçons mais ça ne m'intéresse pas, parce que ce n'est pas lui.
Tu verras Fleurdelila c'est vraiment une question de temps. J'ai traversé cette phase moi-aussi, j'étais avec mes amis, en soirée physiquement, mais psychologiquement j'étais dans ma bulle. D'autant plus que lui, continuait à m'envoyer des messages malgré notre histoire impossible...jusqu'à encore très très récemment. Et pourtant maintenant je commence de nouveau à en "connection" avec le monde actuel. 😁 Je recommence à parler aux beaux garçons, à me dire et constater qu'ils y en a d'autres de bien. Tu verras, tu y arriveras toi-aussi! 😃
Ah, toi tu étais encore en contact avec lui! Moi c'est je pense définitivement mort. Je sais qu'il y a d'autres garçons bien, mais je ne serais pas aussi bien avec un autre comme j'étais avec lui... Et je continue à l'espérer alors qu'il n'y a pas d'espoir... Je ne regrette pas cette nuit mais elle m'a plongée dans la tristesse...
Bonsoir les filles, j'ai lu vos différents commentaires.. je m'y retrouve un peu... En bref voila mon histoire ,une collégue sortait avec un mec, mais elle n'était pas du tout intéressé par lui... preuve deux mois aprés elle en a épousé un autre. Dés qu'il la rapelait au bureau, j'étais obligé de l'envoyer balader gentiment. Il avait crée sa propre boite, nous étions en pleine période de démarchage, le responsable commercial lui avait rendu visite... Aprés presk un mois, il avait pris RDV avec le responsable pour venir nous voir... En fait, il ne voulait que s'assurer que ma collégue était bien et bel casée. moi et mon responsable acceuillons cet homme avec professionalisme et tout le tralala.... Nous lui avons demandé des infos sur le marché , 3 jours aprés il se repointe, m'appele pour ke je puisse ecuperer ces données. Il m'a fait promettre de passer le voir dans son bureau au cours de la semaine, je portais pas du tout d'intéret au départ, d'autant plus ke j'avais des engagements professionels et personnels (je sors deja avec un mec ... on etait en periode de crise). Vu ke je ne passais pas, il rappele pour relancer. On fixe RDV, et cette fois ci j y vais . On papote boulot au départ, puis on vire sur les congés, aprés plus de deux heures de conversation, je me rends compte ke je n ai pas vu l heure passer et ke le plateau commence à se vider, sa scretaire part, nous voila seuls. Il m'invite à voir la vue à partir de son bureau, et puis la il commence à me caresser la main, sur le coup j'étais sous le charme, je ne trouve pas ca desagreable, soudain on commence à s'embraser fougeusement ... et puis arriva ce ki arriva. En prennant du recul, je me dis ke c'est un beau parleur, il avait réussi à me deconnecter du monde exterieur... parceque jamais je ne suis tombé sous le charme de kelkun aussi vite, c'était presque un inconnu, ou plutot c'est un inconnu. Maintenant, je suis trés triste, trés mal o point... De 1, parceque je suis passé pour une fille facile, de 2, il a fallu ke ca arrive avec kelkun ki bosse dans le meme secteur, (forcement nous connaisons des personnes en commun), de 3 je suis sur ke je ne suis pas prete à revoir cette personne avt un bout de temps, et de 4 j'ai été deguelasse avec mon mec. Le dilemme est que malgré tout, je n'arrive pas à regrertter le moment passé en sa compagnie, c t plus ke charnel... je trouve meme pas les mots. Voila, chui completemnt dechirée, j arrive pas à trouver d'explication pour ce ki arrive.

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Coup de foudre et passion amoureuse
Impossible de passer à autre chose..
Coup de foudre et passion amoureuse
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Cartes Pokémon : sortie d’un nouveau ...

Connaissez-vous la chanson de Tryo ‘désolé pour hier soir’ ? et bien c’est exactement ce que nous vivons actuellement. Je ne sais même plus comment j’avais été attiré ici. Comment j’avais fais pour me bouger de Berkeley pour aller faire la fête mais surtout pour jouer le mort au sol, face contre la moquette. J’étais tellement loin que je n’avais même pas entendu Perdita crier à la mort lorsqu’elle avait vu un tigre, et je l’avais encore moins senti me tomber dessus. Oui je dormais bien sagement, enfin beaucoup plus sage que la veille au soir. Je ne sais même pas ce que j’avais pu consommer la veille, mais je me mis à me réveiller doucement…ouvrant doucement un œil et puis le deuxième et pourtant tout es flou encore. Je commence à faire des bruits avec ma bouche non identifiable. Je ne savais même pas à quoi ça pouvait ressembler. Etrange. Je regardais Perdita avant de rire à l’entente de sa fin de phrase. D’ailleurs je me mis à rire encore et toujours quand j’entendis mon rire qui ne ressemblait à rien. Déjà, il faut savoir qu’en temps normal je n’ai pas un rire digne de ce nom, mais là c’est carrément l’hôpital qui se fout de la charité. « Un tigre dans la salle de bain…Perdi qu’est-ce que tu as bu hier ? Tu délire complet là. » Je la regardais avant de mettre ma main sur ma tête. J’avais l’impression de sentir mon cœur battre au niveau de mes tempes. Bordel, qu’avais-je fais la veille, qu’ais-je bu ? Il fallait vraiment que j’arrive à me souvenir de ce que j’avais fait la veille. Je me mis doucement assis à terre avant de sentir ce dernier bouger, de voir les murs bouger aussi…mon dieu, vous comprenez pourquoi je ne bois jamais, pourquoi je ne fais jamais la fête ? Je réagis mal face à l’alcool. « mon dieu…ça tournnnneee » je fermais les yeux avant d’écouter Perdita qui se mit à me parler, je ne comprenais pas totalement tous ces dires, et c’était juste étrange. Je mis mes main dans mes poches pour chercher un ticket ou autre… « hier ? je ne me souviens même pas où on est là…alors ne me demande pas l’impossible. » puis je tournais mon visage à droite, à gauche, en haut…histoire d’essayer de comprendre où j’étais et pourquoi pas pour voir d’autres personnes. Je ne voyais rien mais je pouvais distinguer une silhouette non loin de nous, et je me levais avec difficulté avant de mettre ma main sur le canapé à mes côtés, histoire de ne pas tomber, ça serait dommage. « il me faut un médicament… » Oui d’ailleurs où était la salle d’eau ? Ou même une salle avec un peu de médicament, il me fallait quelque chose pour calmer ce mal de tête qui commençait à me ronger de l’intérieur. Je mis énormément de temps à arriver vers une porte, et étrangement je n’entendais plus ce que l’on me disait bien que j’entendais un peu de brouhaha, confus, vous savez ce que ça veut dire ? Je met ma main sur la poignée, j’ouvre la porte avant d’arriver à la salle de bain où je me cherche un médicament…mais avant je pose ma main sur une chose, quelque chose de doux mais surtout quelque chose de très vivant…et je tourne ma tête avant de me réveiller totalement au contact de cet animal : le fameux tigre que Perdita m’avait parlé. Je fis quelques pas en arrière avant de crier et me mettre à courir (en oubliant de fermer la porte) « MON DIIIEUUU IL Y A UN TIIIGRE DANS LA SALLE DE BAIN ! » Je crois que j’ai jamais couru aussi vite dans un état aussi catastrophique que celui là. Oui j’avais pris mes jambes à mon cou mais j’avais surtout eu la peur de ma vie oui. Je courais vers Perdita avant de me mettre doucement derrière elle. Me cacher ? Qui a dit que j’étais une poule mouillée ? Certainement pas moi, j’assume totalement ce que je suis au fond. Puis mettant mes mains sur ces épaules je laissais mon regard se poser sur mes mains…mais à partir de ce moment là mon cœur s’arrêta de battre. Je regardais mon doigt très attentivement sans comprendre et je dis doucement. « OH-MON-DIEU ! » je fis de gros yeux…oui vous ne rêvez pas, j’avais bien vu une bague, mais pas n’importe quelle bague, une bague de fiançailles ou même pire…de mariage. Comment ça pouvait se passer, comment ça se faisait d’ailleurs…où était Roxane. J’étais passé d’une excitation face au tigre à une frustration, à un malaise…et je vis Perdita se tourner vers moi et je mis mes mains en évidence avant de la regarder assez tristement, oui je ne comprenais pas et tout ça ne me ressemblait pas. Il suffit d’une fête pour que tout parte en fumée…surtout que j’étais en couple depuis peu avec Roxane, et ça n’allait faire qu’empirer les choses. « Roxane...où est Roxane ? » puis je tournais la tête doucement avant de voir quelqu’un à mes côtés, une personne que je ne connaissais pas. Etrange, bien étrange. Oui pour résumer cette soirée : ÉTRANGE
❝Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé. ❞
On était dans de beaux draps. A quel nom, avait-on réservé cette chambre ? Parce que je pense qu’elle aurait besoin d’un sacré rangement et de quelques réparations. Je me voyais surtout très mal à l’aise, de demander de l’aide à ma grand-mère. Etant donné qu’elle se charge de mes dépenses, de ma survie financière. Elle est la seule sur qui je peux compter mais, lui expliquer la situation serait très embarrassante. Lui dire, qu’on avait volé un tigre, qu’on l’avait fait monter dans notre chambre et qu’il avait fait de cette salle de bain, son territoire. J’imaginais déjà sa tête. Je n’avais plus qu’à espérer qu’elle ne tombe pas des pommes. A son âge, ma grand-mère a besoin de calme et de sérénité. Savoir sa seule petite fille, avec un tigre comme animal de compagnie, ça n’a rien de rassurant. Pendant ce temps, Dmitri se réveillait. Il me prenait pour une folle. Pas étonnant. J’ai moi-même cru que je rêvais, les yeux ouverts. Je lui lançais ce regard qui en disait long et ajoutais quelques mots. « Tu me prends pour une folle ?! Je l’ai vu. Avec ces grandes dents, pointues ! Je te jure. » Puis, s’il ne me croyait pas, il lui suffisait de prendre ses jambes, se lever et aller vérifier lui-même. Ce n’est pas moi, qui est idiot, pour le coup. Comme s’il était habitué à des mensonges de ma part. D’accord, j’aime beaucoup rire. Mais, est ce qu’il a vu ma tête ? Est-ce qu’il voit cette émotion ? J’ai vraiment vu un tigre. Je l’écoutais mâchouiller ses mots. Je l’observais se lever et mon attention se posa également sur Esméralda. On avait passé une incroyable soirée, je ne pouvais pas le nier. Je pense qu’on avait, cependant, tous besoin d’explication. Seul souci, personne n’en a. Je répondais donc à Esméralda, en toute honnêteté. « Aucune idée. Le trou noir. » Pendant ce temps, Dmitri remarquait par lui-même que je ne mentais pas. Derrière moi, effrayé et toujours entre le sommeil et le réveil, je ne pouvais pas m’empêcher de rire. C’est dingue quand ça vous arrive. Certes, on pourrait en reparler à nos enfants, si on en avait un jour. Sauf pour Esméralda, elle connaissait déjà ce genre de vie au quotidien, avec sa petite fille. Dmitri ne me lâchait plus et je m’avançais malgré tout vers la salle de bain pour refermer la porte. On avait des choses à régler et le tigre n’était pas invité. Et la suite se bousculait.. Dmitri me posait des questions sur Roxane et un bébé pleurait à l’autre côté de la pièce. On était dans une situation désagréable et on allait devoir s’en sortir, si on voulait rentrer à l’université l’esprit tranquille. « ON SE CALME. » J’élevais le ton. Je posais mes mains de chaque côté de mon crâne. Je pouvais appeler Isaac à l’aide, j’imaginerais qu’il viendrait mais, qu’il ferait certainement la morale pendant trois ans. Alors, cette option était vite effacée. Je ne pouvais que compter sur moi-même, sur mes souvenirs et sur comment s’en sortir. Le tigre était ma dernière occupation. Je me décidais à trouver donc des réponses et à parler sincèrement à mes amis. Me tournant en premier lieu vers le jeune homme, je lui accordais ce regard inquiet. Je n’avais aucun souvenir sur Roxane. Elle avait vraiment été avec nous ? Mais alors, où est-ce qu’elle est ? « Je ne sais pas où est Roxane. Je suis désolée. Et qu’est-ce que tu caches à ton doigt ? » Il tenait sa main, comme s’il avait une douleur. Je voulais me rassurer. En plus de tout ce qu’il y avait sous nos yeux, je ne voulais pas en découvrir d’autre cadavre, plus d’erreur. Surtout sans avoir la moindre idée, de comment elles sont arrivés à nous.. Je m’avançais vers Esméralda, qui tenait ce bébé dans ses bras. « A qui est cet enfant et pourquoi il était dans le placard ? » Je n’avais jamais vu l’enfant de mon amie. Chose étrange, j’avoue. Néanmoins, je n’ai jamais eu l’instant maternel, non plus. Alors, plus ils sont loin de moi et mieux je me porte. Je tournais instinctivement mon attention dans toute la pièce. A la recherche de mon téléphone, à la recherche d’indices et surtout de réponses !
Je ne devrai plus me laisser faire, et surtout me laisser aller en soirée. Oui à chaque fois ça se passait mal. Rappelé vous. Première soirée, c’était avec les Omega et les Iota et…je mettais retrouvé dans un pub gay. Classe comme première fois depuis quelques années, non ?! Puis vint la soirée où j’avais dû affronter, un peu, l’affreux jojo…le petit ami de ma meilleure amie. Dur et longue soirée et là..je ne me souvenais de plus rien, chose qui ne mettait jamais arrivé auparavant. Oui c’est vrai que j’ai 22ans et encore toutes mes dents mais les soirées ce n’est pas pour moi. Pourquoi aller chez les Iotas ?! Oui c’est vrai que je ne suis pas un grand fêtard mais je passe énormément de temps à faire du sport, et c’est tout naturellement dans cette confrérie que je suis allé, la seule qui puisse m’aider à être qui je suis…bon et on ignore pas le faite qu’au départ ma meilleure amie, Perdita, était une Iota à ces débuts. Oui tout est en ma faveur, vous ne pensez pas ?! Les yeux pas encore en face des trous je regardais cette dernière avant de rire doucement. Un tigre…oui et moi j’ai vu le père noël..soyons un peu sérieux de temps en temps cela n’a tué personne à ce que je sache. « Je crois plutôt que ce sont des substances illicites qui te font parler..un peu comme ceux que j’ai dû prendre, vu le mal de tête que j’ai. » dis-je en grimaçant. J’avais tellement mal à la tête que ça ne pouvait pas être le résultat d’une simple prise d’alcool, ou alors…je ne mettais jamais pris de cuite, oui c’est surement ça. Mais ceci dit, je me levais avant de vouloir me trouver des médicaments mais je pu constater qu’elle ne m’avait pas menti, qu’il y avait bien un tigre. Oui oui un tigre. Et je me mis à courir comme un goss vers ma meilleure amie. Je restais à ces côtés tout en commençant à avoir la tête qui tourne et surtout à avoir quelques vertiges. Je ne savais même pas si nous avions mangé la veille ou quoique se soit mais je n’eus pas le temps de réfléchir que Perdita prit la parole assez fortement, je mis mes mains sur mes tempes avant de reprendre. « Whô Whô doucement là…j’ai l’impression d’avoir la troisième guerre mondiale en moi déjà ! » oui oui vive la métaphore, pas vrai ?! Mais étant derrière Perdita je regardais mes mains avant de voir une foutu alliance à mon doigt, vous savez le doigt qui signifie que vous êtes mariés ? L’annulaire quoi. Je devais certainement rêver, ce n’était pas possible que ça soit ceci, ça n’était pas possible que je sois marié, surtout pas ici ! Et surtout, avais-je qui étais-je marié, ça c’était la question à un million de dollars. Je fronçais les sourcils avant de mettre ma main un peu plus en retrait lorsqu’elle se retournait vers moi. « euh… rien. » je tournais la tête vers l’autre fille, Esmeralda, avant de faire une grimace et de tendre ma main vers Perdita et fermer les yeux. « Dis-moi, que je ne suis pas réellement marié. » Je ne peux pas être marié aussi jeune, à une inconnu, et surtout ne pas me souvenir de ce mari
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