Une nuit érotique dans la cuisine

Une nuit érotique dans la cuisine




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une nuit érotique dans la cuisine
Aufeminin et ses partenaires souhaitent utiliser des cookies ou autres traceurs et traiter vos données personnelles (données de navigation, données renseignées dans votre compte et/ou lors de l'utilisation des services, etc.) pour :
- Mesure d'audience,
- Fonctionnalités liées aux réseaux sociaux,
- Contenu personnalisé et mesure de performance du contenu,
- Publicités personnalisées, mesure de performance des publicités et données d'audience,
- Développer et améliorer les produits,
- Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Vous pouvez autoriser ou refuser tout ou partie de ces traitements de données qui sont basés sur votre consentement ou sur l'intérêt légitime de nos partenaires, à l'exception des cookies et/ou traceurs nécessaires au fonctionnement de ce site. Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur "Préférences cookies" au bas de chaque page. Pour en savoir plus, consultez notre politique de protection des données personnelles .
Paramétrer Je n'accepte rien J'accepte tout

Dernière réponse:
3 décembre 2004 à 7h28


De l'info, du fun et des vidéos irrésistibles... Le meilleur de l'actu est sur Facebook

subscribe

Aufeminin, responsable de traitement, collecte ces données afin de vous adresser des communications commerciales personnalisées, sous réserve de vos choix. Pour en savoir plus sur la gestion de vos données personnelles et pour exercer vos droits, vous pouvez consulter notre Politique de protection des données personnelles.
Go

Lorsque je me réveille, je m'aperçois que je suis tout seul dans le lit. Tu n'es pas levée depuis longtemps car ta place est encore tiède. Je mets mon caleçon et je sors de la chambre, les yeux encore plein de sommeil. Le temps de brancher deux neurones et je réalise que tu es dans la cuisine. J'y vais sans bruit et je te trouve vêtue de ton peignoir rose et blanc, en train de t'affairer du côté de l'évier. Je m'approche à pas de loup, mais tu m'entends lorsque je suis tout près de toi et l'effet de surprise est cassé. Qu'à cela ne tienne, sans te laisser le temps de te retourner, je t'enlace de mes grands bras et je me colle contre ton dos. Malgré l'épaisseur du tissu, je sens les rondeurs de tes fesses dures encadrer ma verge pendante qui s'émeut de leur chaleur et je pose mes mains sur tes seins opulents que j'empaume. Tu ris et tu penches la tête en arrière par dessus ton épaule. Je cueille tes lèvres que j'embrasse fougueusement. Je les baise, les lèche et les mordille avidement. Tu te colles encore plus contre moi et ta chaleur se communique à mon sexe qui commence à gonfler. Mes mains malaxent ta poitrine mais l'une d'elle est victime de la gravité et glisse sur ton ventre jusqu'à ta ceinture mal nouée qui se défait presque toute seule. Ton peignoir s'ouvre et mes mains en profitent lâchement pour se glisser à même ta peau nue. Je pince délicatement les bouts gonflés de tes seins et je les fais délicatement rouler entre mes doigts. Tu geins doucement et tes fesses viennent frotter mon sexe à présent bien dur entre elles. Je glisse une main sur ton ventre nu et j'atteints tes cuisses que je caresse un instant avant de remonter entre elles. Pour assurer ton équilibre, tu écartes les jambes, me laissant la voie royale vers ton intimité que je trouve ruisselante. J'y glisse deux doigts tandis que tes mains partent derrière toi pour attraper mes cuisses que tu presses contre toi. Mon pouce trouve facilement ton clitoris gonflé de désir et je le caresse tout en remuant mes doigts dans ta grotte d'amour ruisselante. Tes mains trouvent mon caleçon et m'en débarrassent aisément. Il faut dire que je ne fais rien pour t'en empêcher Je me retrouve nu dans ton dos et, de ma main libre, je fais glisser ton peignoir qui choit à tes pieds. Nous voilà à égalité Je retire mes doigts de ton sexe affamé et te fais te retourner pour te prendre par les épaules te pousser vers la table en chêne tout près. Je t'y fais asseoir et, comme tu poses tes mains derrière toi, cambrant ton corps et poussant ta poitrine gonflée en avant, je m'assieds sur la chaise entre tes jambes et mon visage se trouve ainsi juste à la bonne hauteur. J'ai une vue imprenable sur ton intimité et j'admire un instant les lèvres lisses et luisantes de ton sexe, juste en dessous de ta toison aux poils châtains bien entretenus. Les nymphes dépassent de tes grandes lèvres, telles un bouquet de soie dégoulinantes de ton jus d'amour... Mon visage s'avance tandis que tes cuisses s'ouvrent et que tes genoux viennent se poser sur mes épaules. Mes lèvres vont déposer de petits baisers sur tes cuisses et ma langue se met à ramper, remontant le flot de mouille vers sa source. Je lèche les lèvres trempées de bas en haut avant de te pénétrer de ma langue le plus profondément possible. Je t'entends gémir tandis qu'une main vient se poser sur ma tête que tu caresses gentiment. Tes doigts se crispent par moment dans mes cheveux lorsque je touche un point sensible. Mes lèvres viennent happer ton bourgeon d'amour que je suçote et aspire fortement. Je glisse deux doigts dans ton sexe et les agite en tous sens, t'arrachant de petits cris de plaisir. Je glisse aussi un doigt entre tes fesses jusqu'à ton petit trou que je masse sans appuyer. Soudain, tes gémissements deviennent un cri et ton corps se cambre alors que tes cuisses enserrent ma tête dans un étau de douceur et que ma bouche s'emplit de ton jus que j'avale goulûment. Je me relève et place tes cuisses autour de ma taille, tenant mon nud bien dur à deux doigts pour le diriger vers ton minou trempé. Je le pose à l'entrée et je pousse doucement mon bassin en avant. La sensation de tes chairs brûlantes qui s'écartent devant mon gland turgescent est indescriptible C'est comme si je te pénétrais tout entier. Tu gémis lorsque je sens mon gland heurter le fond de ton sexe et tu te mets à onduler en donnant de grands coups de reins à ma rencontre. Tes seins ballottent devant mes yeux et je ne peux résister à l'envie d'en gober un. Je me penche en avant et j'attrape la pointe d'un sein que je lèche et mordille doucement, te faisant gémir encore plus fort. Je sens mes testicules qui battent contre tes fesses et ton vagin qui m'enserre chaudement. Je pousse deux ou trois fois plus fort ma queue dans toi et tu te mets soudain à jouir à nouveau, plantant tes ongles dans mes épaules. La douleur m'empêche de te rejoindre, mais ce n'est que partie remise Je te prends dans mes bras le temps que tu reprennes tes esprits, puis tu descends de la table et me pousse pour que je m'y accole. Tu m'embrasse goulûment, retrouvant certainement le goût de ton plaisir sur mes lèvres et ma langue. Puis ta bouche glisse sur mon cou, ma poitrine, mon ventre. Tes mains s'emparent de mon sexe fièrement dressé, luisant encore de ton jus d'amour, symbole de sa victoire récente. Tu t'agenouilles entre mes jambes et ta langue vient caresser mes couilles, les léchant de bas en haut, jusqu'à remonter le long de ma hampe et atteindre mon gland gorgé de sang. De la pointe de la langue, tu fais le tour de mon gland, insistant sur le frein, hyper sensible. Je ne cherche même pas à retenir les gémissements que tu m'arraches. Mon nud tendu vers le ciel est soudain enveloppé de la chaleur humide de ta bouche et tu enfonces mon membre au fond ta gorge. Mes mains sur ta tête ne font que caresser tes cheveux, ne cherchant surtout pas à forcer ta bouche à m'engloutir plus profondément. Tu te débrouilles très bien de toi même Tu me suces ainsi un long moment, faisant sadiquement retomber la tension lorsque tu me sens près de la fin. Lorsque je t'avertis que mon orgasme est proche, je te fais part de mon envie de jouir sur toi. Tu ne dis rien, te contentant de grogner de façon gourmande. Je suis heureux, à ce moment là, que les peuplades celtes aient abandonné le cannibalisme depuis des siècles car rien ne semble pouvoir t'arrêter. Je sens alors un torrent de feu gicler de mon nud que tu arraches de ta bouche juste à temps pour recevoir le premier jet en plein visage, maculant ton front, te joues et tes lèvres de traînées blanchâtres. Les jets suivants vont s'écraser sur ta poitrine, zébrant tes seins des mêmes lignes dégoulinantes. Je rouvre les yeux juste à temps pour voir ta langue venir lécher tes lèvres couvertes de mon jus. Tes yeux brillent de bonheur et tu me souris en te relevant. Tes mains étalent le produit de notre amour sur tes seins et ton ventre. _ Regarde-moi ça, fais-tu d'un ton faussement outré, tu m'en as mis partout. La prochaine fois, je te promets que j'avale tout! Pour toute réponse, je t'attire contre moi et je te roule une méga pelle tout en frottant mon corps contre le tien. Je sens le goût de mon sperme sur ta langue, mais ça ne m'empêche pas de continuer à t'embrasser fougueusement. _ Maintenant, on est bons tous les deux pour prendre une bonne douche, dis-je en te lâchant pour reprendre mon souffle
Ohhhhh bison!!!!! lollll continue comme ca tu est sur la bonne voix hummmm viens viens je n'attends plus que toi mdrrrrrr!!!!! miniska
Ohhhhh bison!!!!! lollll continue comme ca tu est sur la bonne voix hummmm viens viens je n'attends plus que toi mdrrrrrr!!!!! miniska
Ne bouge pas... J'arriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiive ! Bisous
Un beau texte bison01 doux de tendresse pour la femme que tu aimes. marie
Vous ne trouvez pas votre réponse ?
Ne bouge pas... J'arriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiive ! Bisous
Qu'est ce qui... ....se passe ici ???? J'ai entendu des bruits étranges ??? Ah non, y'a personne ils sont partis ? Cela dit en passant, ce texte est "adorable" si je puis m'exprimer ainsi
Un beau texte bison01 doux de tendresse pour la femme que tu aimes. marie
Merci les filles. Vous êtes des amours. Mes inspiratrices! Bises de Bison à vous.

Falls die Wiedergabe nicht in Kürze beginnt, empfehlen wir dir, das Gerät neu zu starten.
Kanal des Humors der Fiktion und Unterhaltung!

Ziel ist es, mit relevanten Videos ein Lächeln und gute Laune zu schenken!

Jeden Donnerstag wird eine neue EPISODE ausgestrahlt!

Auf meinem Kanal werden Sie garantiert lachen und unterhalten. Zögere nicht !

ABONNIEREN und AKTIVIEREN SIE DIE GLOCKE, um sich zu 100% zu freuen!

KONTAKT

E-MAIL / webawebax@gmail.com
TEL & WHATSAPP / +32492491782
Allo Chérie je suis dans même Voiture avec ton mari ! LE GROS ET LE PETIT
l'Envoûtement d'amour elle paye le prix fort ! LES DÉLIRES DE WEBA
Videos, die du dir ansiehst, werden möglicherweise zum TV-Wiedergabeverlauf hinzugefügt und können sich damit auf deine TV-Empfehlungen auswirken. Melde dich auf einem Computer in YouTube an, um das zu vermeiden.
Bei dem Versuch, Informationen zum Teilen abzurufen, ist ein Fehler aufgetreten. Versuche es bitte später noch einmal.
0:02 / 4:15 • Vollständiges Video ansehen Live

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Carine, 28 ans, est juriste à La Rochelle. Une nuit, il y a trois ans, dans le train qui l’emmenait vers Nice, elle a rencontré un inconnu. Elle se souvient de ce moment de bonheur, étrange et salvateur...  
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement
C’était la fin du printemps, il y a trois ans, je terminais mon cursus de droit. Je venais de passer des semaines à broyer du noir en pensant que jamais je n’arriverais à boucler mon mémoire. Je ne sortais plus, je m’enfonçais dans une déprime stérile. Mes amis me disaient : « Allez, sors, détends-toi, aie des aventures d’un soir, ça te fera du bien », mais je n’en ressentais ni l’envie ni même le besoin. Jusqu’à ce matin de mai où j’ai décidé de partir chez une tante qui vit seule à Nice et qui m’accueille quand je me sens du vague à l’âme. J’emportais mes livres et mon ordinateur dans l’espoir que l’air de la Méditerranée me sortirait peut-être du marasme. J’achetai une place dans le train de nuit pour le soir même. Il n’y avait pas d’arrêt jusqu’à Nice, la destination finale. Je me suis installée dans un compartiment vide, bien heureuse de pouvoir être tranquille, et je me suis étalée, j’ai sorti mon ordinateur, mes dossiers, mes bouquins. J’étais contente d’être dans cet espace nouveau où personne ne viendrait me déranger, où le téléphone ne passait pas. Je me suis même dit : « Je voudrais rester là des jours et des jours. »
Au bout d’une heure, un jeune homme en uniforme de contrôleur est venu me demander de lui montrer mon billet. Il a juste demandé si je partais en vacances et, quand il a vu mon fatras, il s’est ravisé : « Non, visiblement, vous n’êtes pas en vacances, vous avez du travail. » J’ai, à ce moment-là, aperçu un visage doux et calme, rien de l’attitude habituelle du dragueur insistant ni du contrôleur de train un peu terne. Et, sans me troubler, je me suis remise à travailler. Un moment plus tard, il est revenu me demander si je voulais boire quelque chose, il a commencé par me proposer un jus de fruits, un verre de vin, une bière, une vodka. Je trouvais ses propositions très inhabituelles, mais sans plus. Chaque fois, je faisais non de la tête, sans vraiment lever les yeux de mon écran. Puis il s’est assis sur la banquette en face de moi, et il a dit : « Et un câlin, est-ce que vous voulez un câlin ? »
Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, en le regardant à peine, j’ai dit oui. Un oui qui m’est sorti du coeur. Il s’est approché, m’a embrassée très doucement. C’était la première fois de ma vie que je donnais un baiser à un parfait inconnu. Il m’a juste glissé qu’il avait 26 ans et qu’il était contrôleur pour arrondir ses fins de mois. Je trouvais son contact agréable mais, dans le baiser, je ne pourrais même pas dire que je le voyais vraiment. Je sentais des lèvres douces, un souffle caressant, rien de plus. A aucun moment je n’ai eu peur de lui alors que nous étions seuls dans un train presque vide qui filait dans la nuit au beau milieu de la France. A l’extérieur du compartiment, on entendait des va-et-vient, mais rien de rassurant en cas de danger. Nous n’avons pas parlé, à peine quelques mots, je lui ai murmuré mon prénom. « Carine, a-t-il répété, Carine a besoin d’un câlin. » Je ne lui ai même pas demandé comment il s’appelait, et, chaque fois qu’il s’apprêtait à me dire quelque chose de lui, je posais un doigt sur ses lèvres en chuchotant : « Je ne veux pas savoir. »
Quelques minutes plus tard, nous avions défait l’une des couchettes et nous étions blottis l’un contre l’autre. Et nous avons commencé à nous caresser puis, tout en douceur, à faire l’amour. Je ne savais pas qu’une telle douceur était possible entre deux inconnus. Ce n’était pas comme au cinéma où ce genre de situation donne toujours lieu à des scènes torrides et sauvages. C’était à la fois plus modeste et plus étonnant que cela. C’était plutôt comme dans une chanson de Jeanne Moreau : deux inconnus se sont unis dans le train de nuit… Ou comme dans une pub : quelques grammes de douceur dans un monde de brutes. Dans la soirée, un de ses collègues a frappé, est entré, nous a vus enlacés, nous a regardés avec étonnement puis nous a laissés. Nous n’avons ressenti ni honte ni gêne, et nous avons repris le fil. Evidemment, un instant, j’ai pensé qu’il était peut être coutumier du fait, qu’il joignait l’utile à l’agréable, que ses collègues le savaient et que je n’étais qu’une parmi tant d’autres, mais ça ne m’a ni troublée ni arrêtée. Au contraire. Jamais je ne me serais crue capable d’une telle audace moi qui suis plutôt réservée dans la vie, une fille sérieuse, comme on dit, peut-être un peu frileuse. En fait, c’est cette audace soudaine qui me plaisait, le sentiment de braver les tabous et les peurs dans lesquelles on éduque les filles.
Plusieurs fois dans la nuit, il s’est rhabillé pour aller s’acquitter de ses tâches. Chaque fois, je me disais : « Bon, allez, maintenant, ça suffit, quand il revient, je lui annonce qu’on s’en tient là », mais c’était comme la voix d’une autre et je ne bougeais pas, je me laissais bercer par le roulis du train et la douceur du moment. Et quand il revenait, il reprenait sa place à mes côtés. J’ai plusieurs fois éprouvé un plaisir intense et profond
Test une nouvelle caméra avec une asiatique
Douce russe baise sur le canapé de sa maison
Délirer avec la queue d’un joueur

Report Page