Une nuit à la salle de gym qui dérape

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Une nuit à la salle de gym qui dérape
S'acheter une île n'est rien. Deux magnats de la presse britannique, David et Frederick Barclay, ont fait beaucoup mieux. En 1993, ces deux jumeaux mettent la main sur la petite île anglo-normande de Brecqhou pour 3 millions d'euros. Mais leurs velléités économiques et touristiques se heurtent vite au régime féodal de Serq, l'île voisine, dont dépend leur fief. Dès lors, ils échafaudent un véritable coup d'Etat. Après la construction d'un château, évalué à 60 millions d'euros, les Barclay créent leurs propres timbres, déploient leur drapeau, "investissent" 4,6 millions d'euros par an à Serq et mènent une guerre juridique pour y imposer un régime "moderne". Les frères auront tant remué l'île que les habitants les sanctionneront lors des premières élections démocratiques en 2008. Un affront immédiatement puni par la fermeture de tous leurs établissements sur Serq, mettant le quart de la population au chômage...
Les milliardaires vivent parfois de véritables drames. La crise a par exemple contraint Roman Abramovitch à reporter son mariage avec sa nouvelle fiancée Daria Zhukova. Mais le milliardaire russe sait se faire pardonner. Il a offert à sa future épouse une propriété de 40 hectares quasi-unique puisqu'elle se trouve... sur la Lune. Et Abramovitch n'a pas fait les choses à moitié : il a choisi un terrain sur le côté le plus visible de l'astre, des terriens mais aussi des satellites. Une bonne idée pour admirer la Lune en amoureux en attendant peut être un jour d'y construire un nième palace. Le plus étonnant reste encore le prix de cet achat. Il aura fallu au Russe dépenser la somme colossale de... 240 euros ! Il faut dire que, même si Jimmy Carter, Tom Cruise ou encore John Travolta se sont lancés, les conditions d'acquisition d'un terrain sur la Lune restent encore sujettes à caution.
Dans le monde de la finance, Warren Buffett, l'un des hommes les plus riches de la planète, est un véritable gourou. Le patron "légendaire" de la holding Berkshire Hathaway a toujours ou presque fait les bons choix dans ses investissements avec un caractère souvent détonant dans ce milieu. A 73 ans, on considère encore aujourd'hui la parole de "l'oracle d'Omaha" et ses conseils comme très précieux. Pas étonnant, donc, qu'on cherche à partager sa table. Et parfois, il faut savoir y mettre le prix. L'homme d'affaire vend chaque année depuis 2000 un déjeuner avec lui pour une association caritative. Et le record a été battu en juin 2010, un enchérisseur inconnu ayant promis 2,63 millions de dollars (1,9 millions d'euros) pour décrocher le gros lot. Le repas aura lieu au très chic Smith & Wollensky de Manhattan. Le gagnant aura le droit d'inviter 7 personnes. Ca valait au moins ça.
La montre a pris une place particulière ces dernières années avec l'apparition de l'adjectif "bling-bling". Mais le record en la matière a été atteint il y a plus de dix ans, en 1999, quand un milliardaire s'est offert la "Supercompilation" de Philippe Patek. Cette montre artisanale unique, en or 18 carat, est partie aux enchères à 11 millions de dollars (10,8 millions d'euros) quand seulement 3 à 5 millions étaient attendus. Il faut dire que ce joyau a nécessité un travail minutieux de quatre ans, de 1928 à 1932, pour son commanditaire, le banquier et collectionneur Henry Graves. Elle compte 24 complications, ce qui en faisait à l'époque la montre la plus compliquée du monde. Si elle a été depuis détrônée par une autre Patek (la Calibre 89, 33 complications), le généreux acheteur de 1999, magnanime, a accepté d'exposer "sa" montre au musée Patek Philippe, à Genève.
On n'aurait jamais imaginé que les folies des milliardaires iraient aussi loin. En février 2008, un magnat d'Abu Dhabi, Saïd Abdel Ghaffar Khouri, s'est offert aux enchères une plaque d'immatriculation de collection portant le numéro 1. L'homme d'affaires du Golfe s'est illustré lors d'une vente organisée à l'intérieur d'un hôtel 7 étoiles (sic), l'Emirate Palace Hotel, dans le célèbre émirat. Sa plaque, Saïd Abdel Ghaffar Khouri l'a acheté 52,2 millions de dirhams, autrement dit 14,3 millions de dollars ou 9,7 millions d'euros. Lors de cette séance très animée, plus de 25 millions de dollars ont été dépensés au profit d'une oeuvre. La plaque "numéro 1" est devenue la plus chère du monde, le précédent record étant détenu par Talal Khouri, un autre entrepreneur du Golfe qui avait acheté la sienne plus de 5 millions de dollars quelques mois plus tôt.
L'affaire Bettencourt donne un éclairage étonnant sur l'univers des "ultra-riches", sur leur train de vie et parfois même sur leurs très gros caprices. En France et dans le monde, les grandes fortunes ne reculent devant aucune folie, de la plus coûteuse à la plus extravagante ou farfelue. Certes, tous les projets ne sont pas arrivés à leur terme. Crise oblige, certains chantiers pharaoniques ont dû être abandonnés. Des dépenses colossales sont aussi entreprises pour la bonne cause. Mais les chiffres et les idées restent. Voici une sélection totalement subjective parmi les derniers faits d'armes de nos chers milliardaires.
Celui qui sera allé le plus loin dans la construction d'une résidence privée est sans doute l'homme d'affaires indien Mukesh Ambani. Patron du conglomérat Reliance Industrie, ce milliardaire s'est offert un gratte-ciel privé de 27 étages et 400 000 m² à Bombay. Construite selon les règles du Vaastu (tradition millénaire de l'architecture en Inde), la tour "Antilla", entièrement recouverte de verre, compte un jardin par étage, tous inspirés des jardins suspendus de Babylone, mais aussi un cinéma, une piscine olympique, 3 héliports en son sommet et 150 places de stationnement. Il faut plus de 500 employés pour assurer son entretien et faciliter la vie des six membres de la famille Ambani. Achevée au début de l'année 2009, la tour de 173 mètres a coûté près de 2 milliards de dollars, soit 1,5 milliard de d'euros. Un record absolu qui fait d'Antilla la maison la plus chère du monde .
Les duels étaient encore répandus il y a moins d'un siècle. Mais les aristocrates modernes règlent désormais leurs litiges sans épée ni pistolet. C'est par exemple au champagne qu'ont décidé de se départager, juste pour rire, le milliardaire pakistanais Javed Fiyaz, qui a fait fortune dans le transport maritime, et un richissime Malaisien. Objectif : être celui qui en offre le plus. A l'été 2009, à Saint-Tropez, les deux hommes ont débouché, ou fait déboucher, plus de 300 bouteilles en une seule soirée. Et c'est un des plus grand champagnes qui était au centre de ce duel : du Cristal Roederer. Vingt-quatre jéroboams (3,2 litres) et 10 mathusalems (6,4 litres) ont aussi été offerts aux chanceux invités de cet affrontement hors du commun. C'est finalement Javed Fiyaz qui aura le dernier mot avec une facture de 900 000 euros contre 300 000 pour son concurrent. Soit un total de 1,2 million d'euros.
La mode des yachts n'a rien de nouveau chez les milliardaires. L'oligarque Roman Abramovitch a toutefois battu des records. Il a fait construire à Hambourg l'Eclipse, le plus grand yacht du monde, désormais à flot. Alors qu'il possédait déjà un yacht de 115 mètres, il semble que le milliardaire russe n'ait pas supporté que d'autres, comme Larry Ellison, le directeur général d'Oracle et David Geffen, de Dreamworks, mais aussi plusieurs milliardaires du Moyen-Orient, aient des engins plus gros que le sien. Résultat, l'Eclipse, qui a coûté 350 millions d'euros, mesure pas moins de 170 m. Et ce n'est pas tout : il est équipé de plusieurs jacuzzis, d'une piscine, d'un cinéma mais aussi de trois vedettes, de deux pistes d'hélicoptère, d'un sous-marin miniature, de vitres pare-balles et... d'un système de détection des missiles ! C'est le deuxième yacht le plus cher derrière l'Azzam.
La trajectoire de l'américain Yvan Wilzig est unique. Fils aîné d'un célèbre homme d'affaires, il suit d'abord les traces de son père en devenant banquier. Mais sa vraie passion, c'est la musique. A partir de 2000, "Sir Yvan" se fait connaitre en remixant des tubes des années 1960. Souvent vêtu d'une cape et affichant en permanence le symbole de la paix, son personnage intrigue. Un deuxième surnom, "Peaceman", émerge. Très vite, il décide de reverser les revenus de ses oeuvres à sa Peaceman Foundation. Mais Sir Yvan, qui possède un fort de 10 millions de dollars, n'a pas pour autant abandonné son train de vie. Il organise encore des fêtes orgiaques, notamment pour sa femme ou son chien Chiquita. Il a aussi participé à l'émission de téléréalité "Who wants to be a superhero ?" sous le pseudo de "M. Mitzvah". Ayant définitivement quitté la Trust Company Bank en 2004, il aurait, selon un site américain, dépensé près de 200 millions dans ses projets.
Le cheikh Mohammed Al Maktoum est à la fois émir de Dubaï et vice-président des Emirats arabes unis. Une fonction hautement politique qui ne l'empêche pas d'avoir ses petits passe-temps. Sa passion à lui, ce sont les chevaux. En 2006, à la mort de son frère Maktoum ben Rachid, il reprend son flambeau à la tête de Godolphin. Une écurie de 300 pur-sang dans laquelle les deux frères auront englouti près d'un milliard d'euros. Celle-ci possède notamment un Boeing 747 pour permettre aux précieux "poulains" de passer chaque été dans les grasses prairies anglaises et de revenir profiter d'un hiver plus doux à Dubaï ! En 2007, Al Maktoum a également conclu une transaction record en achetant Authorized, un yearling mythique, pour 40 millions de dollars (33 millions d'euros). Plus récemment, il a jeté son dévolu sur le plus grand haras d'Australie pour 420 millions de dollars. Le cheval le plus cher du monde lui a toutefois échappé.
La défense des déshérités est une priorité pour beaucoup de milliardaires. La défense d'une famille royale est beaucoup moins courante. En 2009, un richissime Espagnol a pourtant bel et bien légué sa fortune à l'héritier du trône d'Espagne, le prince Felipe, à sa femme Letizia, et aux huit petits-enfants du roi Juan Carlos. La volonté de Juan Ignacio Balada Llabrés, le nom de cet homme d'affaires : que la moitié de son argent aille directement dans les poches de la famille et que l'autre soit consacrée à une fondation "abordant des sujets d'intérêt général", sous l'égide du prince Felipe. Hésitante, la famille princière a tout de même accepté cet héritage de 10 millions d'euros. Une fondation pour "l'emploi et la formation" a été immédiatement dotée de 4 millions d'euros. Felipe et Letizia ont annoncé qu'ils consacreraient également leur part (150 000 euros) à des oeuvres.
C'est la dernière tendance chez les milliardaires : le sous-marin privé est devenu l'engin indispensable pour briller dans ce drôle d'univers. Un riche Saoudien a par exemple dépensé 60 millions d'euros en 2009 pour se faire construire un Phoenix 1000, le plus grand sous-marin privé du monde. Dans ses 450 mètres carrés d'appartements, ce monstre de 70 mètres emmènera avec lui en expédition un équipement à faire pâlir certains yachts de luxe en surface. Citons par exemple un cinéma, un jacuzzi et un énorme hublot pour admirer la faune et la flore sous-marine. Rapportée par Capital et confirmée par la société US Submarines, ancien fabricant de submersibles scientifiques, cette commande record devait être livrée dans le courant de l'année 2010. Mais impossible d'en connaitre l'heureux bénéficiaire, clause de confidentialité oblige...
Vous ne connaissez peut-être pas le milliardaire anglais Philip Green. Le propriétaire d'Arcadia fashion group et Topshop gagne pourtant à être connu. Pour ses 55 ans en 2007, il a tout simplement organisé une fête de cinq jours sur une île des Maldives. Et pour être sûr que ses 100 invités ne manqueraient pas à l'appel, il les a lui-même acheminés à bord d'avions affrétés spécialement pour l'occasion. Seule consigne : mettre un maillot de bain dans sa valise. Le reste sera entièrement pris en charge par l'organisateur : 3 000 bouteilles de champagne (Pol Roger), caviar Beluga, langoustes... Côté animation, on rapporte des lives de George Michael et Jennifer Lopez, des danseurs et un feu d'artifice tous les soirs. Budget estimé : 30 millions d'euros. Une paille sachant que cinq ans plus tôt, Philip Green avait déjà fêté ses 50 ans lors d'une fête costumée pour 200 invités à Chypre.
Le styliste français Christian Audigier, qui s'est plusieurs fois affiché avec Michael Jackson ou Johnny Hallyday, en sait quelque chose : il est plus que courant que des milliardaires admiratifs se lient d'amitié avec des stars (sans qu'on sache toujours quel marché a été conclu dans l'ombre). Certains fans richissimes sont d'ailleurs prêts à tout pour approcher leur idole voire entrer dans leur monde. C'est le cas d'un milliardaire russe qui a offert 1 million de dollar (800 000 euros) à Lady Gaga pour avoir un petit rôle dans l'un de ses clips. Seulement connu sous le pseudo d'Arkady, cet admirateur de trente ans a fait une brève apparition dans le film de neuf minutes intitulé Alejandro , en juin 2010. Tout de cuir vêtu et képi noir sur la tête, il aborde pendant quelques secondes une moue énigmatique dans cette vidéo "homo-érotique" et "militaire" selon les termes de la chanteuse. Alors, heureux ?
Inviter des centaines de personnes sur une île pour une réception de plusieurs semaines, quoi de plus banal ? Sans doute lassés par les fêtes somptueuses et le faste de leurs loisirs habituels, certains milliardaires peuvent aller très loin pour trouver de nouveaux divertissements. Des oligarques russes ont d'ailleurs inventé 2007 un loisir assez inédit : se déguiser en "pauvres" et passer une journée ou une nuit dans la peau d'un sans domicile fixe, d'une prostituée, ou, moins radical, d'un serveur , d'un chauffeur de taxi ou encore d'un musicien de rue. Un club a même été créé à Moscou pour proposer ces jeux de rôles en toute discrétion et assurer la sécurité des participants. Le "Club ludique", dirigé par un ancien psy, Sergueï Kniazev, propose des prestations de 10 000 à 20 000 dollars en moyenne, soit 7000 à 15 000 euros. Peut-être qu'en plus de son côté ludique, l'activité aura une vertu pédagogique...
Les coups de pouce des parents aux jeunes qui débutent sont parfois inestimables. Le nabab de l'acier Lakshmi Mittal avait déjà nommé son fils Aditya Directeur Financier de son groupe en 2006. Mais en 2008, notre papa-poule indien est allé encore plus loin pour sa progéniture : il voulait tout simplement lui acheter un appartement à deux pas de chez lui. Selon The Sun, le jeune homme de 32 ans aurait ainsi hérité d'un meublé de 147 millions d'euros dans le quartier privé de Kensington Palace à Londres. Une somme record dans le domaine. Révélée par The Sun, la transaction a été démentie par Mittal puis confirmée par l'entourage du vendeur, le financier américain Noam Gottesman, et enfin "abandonnée" selon les rumeurs. Rappelons que Lakshmi Mittal avait déjà acheté la maison la plus chère du monde dans le même quartier en 2004 (81,5 millions d'euros).
Le cheikh d'Abu Dhabi Hamad ben Hamdan Al Nahyane possède une collection de 200 véhicules d'environ 10 millions de dollars (7,2 millions d'euros). Rien, nous direz-vous, à côté de certains riches collectionneurs. Et pourtant, la collection d'Al Nahyane est tout aussi étonnante. Dans son musée (gratuit) en forme de pyramide et situé en plein désert, on trouve des voitures assemblées et trafiquées dignes du docteur Frankenstein, des Mercedes aux couleurs de l'arc en ciel mais aussi des modèles géants, faisant de cinq à huit fois la taille des originaux. La gigantesque réplique d'un Dodge des années1950 est par exemple dotée de 4 chambres climatisées, d'un salon, de plusieurs salles de bains et même d'un patio. Autres clous de la collection : deux caravanes géantes. L'une prenant la forme d'un globe terrestre , contient 9 chambres et 4 garages. L'autre, un mobil-home géant, a été inscrit dans le Guinness book. Rien que ça !
Certains dépensent des millions pour l'achat ou la construction de leur nid douillet. Beaucoup se lancent aussi dans des travaux pharaoniques dans leur petit chez eux. C'est le cas d'un milliardaire, resté anonyme, dont la villa domine une colline du cap d'Antibes, entre Nice et Cannes. Sa lubie : installer un ascenseur qui permettra aux occupants de relier, sans le moindre effort, l'intérieur luxueux de la demeure avec sa piscine en contrebas. Pour ce faire, il aura fallu creuser la colline elle-même et déployer des efforts d'ingéniosité pour installer la machinerie au coeur de la roche. Evidemment, pas question de se contenter d'une vulgaire cabine classique. Dans un ouvrage, "Les milliardaires de la Côte", paru en 2009, le journaliste Bruno Aubry relève que l'ascenseur devait être doré à l'or fin. On ne sait pas où en sont les travaux aujourd'hui, mais le coût a été estimé à 1 million d'euros.
Parmi les milliardaires de ce dossier, Thierry Ehrmann est sans doute le plus inquiétant. Ce chef d'entreprise français (président du Groupe Serveur, spécialisé dans les bases de données), anarchiste et polygame, a une passion pour l'occulte sous toutes ses formes. Il y a quelques années, il a transformé l'ancien relais de poste d'un petit village du Rhône en oeuvre d'art : la Demeure du Chaos. Cet "antre de la déconstruction", inspiré par le 11 septembre, présente un univers de désolation meublé de carcasses calcinées, de portraits effrayants, d'une piscine remplie de sang ou encore de plusieurs machines diaboliques. Mais ce complexe, qui lui a coûté 2,5 millions d'euros, choque le voisinage. Après une longue succession de procès, il a été condamné en 2009 à remettre la "Demeure" en état. Ehrmann annonçait alors vouloir de se défendre devant la justice européenne.
C'est une villa de 2 700 mètres carrés située au beau milieu d'un parc de 8 hectares, face à la baie de Beaulieu, à proximité du cap Ferrat. La Villa Léopolda, à Villefranche-sur-Mer , est réputée comme la villa plus chère du monde . Propriété du roi des Belges Léopold II puis du milliardaire Edmond Safra, elle est depuis tombée entre les mains de la veuve de ce dernier, Lily Safra. En 2008, un milliardaire a l'idée saugrenue de l'acheter. L'offre de départ : 496 millions d'euros. L'acheteur potentiel : le milliardaire russe Mikhaïl Prokhorov. Malheureusement pour lui, la crise est passée par là. Après avoir négocié une baisse du prix aux alentours de 390 millions d'euros, il se serait finalement rétracté. Après moult démentis et décisions de justice, Lily Safra a finalement pu conserver les arrhes de 39 millions d'euros... qu'elle a reversés à plusieurs associations.
Le sultan de Brunei Hassanal Bolkiah est un homme généreux et un bon patron. Gérant une fortune de plusieurs dizaines de milliards d'euros, il rémunère grassement, dit-on, ses employés. Une gageure quand on sait qu'avec l'un des palais les plus somptueux et le plus important garage au monde, des centaines de petites mains sont au service du milliardaire. Quelques exemples dévoilés dans plusieurs titres de presse suffisent à prendre l'ampleur de ces salaires . Son majordome personnel par exemple gagnerait 14 millions de dollars par an , soit 10 millions d'euros. L'équivalent de 800 années de smic ou presque en France. Les cas de son coach de badminton et de son acupuncteur ont aussi fait jaser. Les deux spécialistes toucheraient quant à eux 3 millions de dollars (2,1 millions d'euros) chacun.
Automne 2007. L'A380, le célèbre "Super Jumbo" d'Airbus, finit à peine sa campagne d'essais, qu'une rumeur folle s'empare des médias. Un milliardaire veut acheter le nouveau fleuron de l'aviation civile pour son usage personnel. Cité dans un premier temps, Roman Abramovitch dément vite être l'heureux acheteur. En novembre 2007, c'est finalement le prince saoudien Al Walid Ben Talal qui se déclare officiellement comme l'acquéreur du "palais volant" , lors du salon aéronautique de Dubaï. Un show étonnant y est même organi
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