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Garde ton Ă©quipe en pleine forme et surveille nos chaĂźnes officielles pour ne rien manquer de tout ce qui dĂ©barque cette saison. Allez Manager, c’est parti !
Et comme d’habitude, un grand merci pour ton soutien ! Nous avons hĂąte de vivre une nouvelle annĂ©e passionnante avec Top Eleven !
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La centrale de Zaporijjia vue du ciel.


© Planet Labs PBC/Handout via REUTERS



La RĂ©daction
avec AFP

20/08/2022 Ă  10:10








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Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure".
Vladimir Poutine a acceptĂ© vendredi que l'Agence internationale de l'Ă©nergie atomique (AIEA) envoie une mission Ă  la centrale nuclĂ©aire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure". Dans le mĂȘme temps, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'ONU Antonio Guterres, en visite en Ukraine, a demandĂ© Ă  la Russie de ne pas couper du rĂ©seau ukrainien cette centrale que son armĂ©e occupe depuis dĂ©but mars, et qui est devenue la cible ces derniĂšres semaines de frappes dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement.
Plus tĂŽt dans la journĂ©e, l'opĂ©rateur des centrales ukrainiennes Energoatom avait dit redouter un tel scĂ©nario, affirmant que les militaires russes Ă©taient en train de chercher des approvisionnements pour des gĂ©nĂ©rateurs au diesel qui seraient activĂ©s aprĂšs l'arrĂȘt des rĂ©acteurs et avaient limitĂ© l'accĂšs du personnel aux installations. "Bien Ă©videmment, l'Ă©lectricitĂ© de Zaporijjia est une Ă©lectricitĂ© ukrainienne (...) ce principe doit ĂȘtre pleinement respectĂ©", a martelĂ© M. Guterres en marge d'un dĂ©placement Ă  Odessa, le grand port ukrainien sur la mer Noire, aprĂšs avoir Ă©tĂ© la veille Ă  Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine.
"Le bombardement systĂ©matique (...) du territoire de la centrale nuclĂ©aire de Zaporijjia crĂ©e un danger de catastrophe de grande envergure qui pourrait conduire Ă  la contamination radioactive de vastes territoires", a de son cĂŽtĂ© mis en garde vendredi le prĂ©sident russe Ă  l'occasion d'une conversation tĂ©lĂ©phonique avec son homologue français Emmanuel Macron. MM. Poutine et Macron ont dans ce contexte "relevĂ© l'importance d'envoyer dans les plus brefs dĂ©lais une mission de l'Agence internationale de l'Ă©nergie atomique Ă  la centrale nuclĂ©aire, qui pourra Ă©valuer la situation sur place", a informĂ© le Kremlin, soulignant que "la partie russe a confirmĂ© ĂȘtre prĂȘte Ă  fournir toute l'assistance nĂ©cessaire aux inspecteurs" de l'AIEA.
Le chef de l'Etat russe a en outre acceptĂ© que ces derniers passent "par l'Ukraine" et non par la Russie, ce qu'il exigeait auparavant, a prĂ©cisĂ© la prĂ©sidence française. Dans un communiquĂ©, le directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence internationale de l'Ă©nergie atomique, Rafael Grossi, s'est "fĂ©licitĂ© des rĂ©centes dĂ©clarations indiquant que l'Ukraine et la Russie soutenaient l'objectif de l'AIEA d'envoyer une mission" Ă  Zaporijjia. Cette organisation "est en consultation active avec toutes les parties" pour y dĂ©pĂȘcher "dĂšs que possible" une Ă©quipe que M. Grossi "dirigera lui-mĂȘme", selon ce texte diffusĂ© dans la soirĂ©e.
"Dans cette situation hautement volatile et fragile, il est d'une importance vitale qu'aucune nouvelle action ne soit entreprise qui pourrait mettre davantage en danger (...) l'une des plus grandes centrales nucléaires du monde", a insisté le patron de l'AIEA. "Le rétablissement d'une sécurité totale" sur ce site "pourra commencer aprÚs que la mission aura commencé son travail", a quant à lui commenté dans la soirée le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Un diplomate a expliquĂ© le mĂȘme jour Ă  l'AFP que les Occidentaux s'inquiĂ©taient surtout du maintien du refroidissement par eau des rĂ©acteurs nuclĂ©aires, plus que de l'impact d'un tir, car ils sont conçus "pour rĂ©sister" au "pire". La veille Ă  Lviv, oĂč il a rencontrĂ© M. Zelensky et le prĂ©sident turc Recep Tayyip Erdogan, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies avait estimĂ© que "tout dĂ©gĂąt potentiel Ă  Zaporijjia serait un suicide" et exhortĂ© Ă  "dĂ©militariser la centrale". Vendredi, c'est le chef de la diplomatie europĂ©enne, Josep Borrell, qui a appelĂ© sur les Russes Ă  "se retirer" de ce site et Ă  "immĂ©diatement en rendre le contrĂŽle total Ă  son propriĂ©taire lĂ©gitime, l'Ukraine".
La visite de M. Guterres a été marquée par un autre sujet qui préoccupe la planÚte: les exportations de céréales ukrainiennes. Bloquées aprÚs l'invasion russe, ce qui a fait planer le spectre d'une crise alimentaire mondiale, elles ont repris à la suite d'un accord entre Moscou et Kiev en juillet. M. Guterres est attendu samedi à Istanbul pour visiter le Centre de coordination conjointe (CCC), chargé de superviser cet accord international pour permettre les exportations de céréales depuis l'Ukraine, accord "dont la Turquie est un élément clé", a-t-il dit.
La Russie, qui rĂ©clame en Ă©change la levĂ©e des restrictions sur ses propres ventes Ă  l'Ă©tranger de produits agricoles et d'engrais, touchĂ©es par les sanctions occidentales, dĂ©plore quant Ă  elle "les obstacles qui demeurent" -pour reprendre les termes qu'a utilisĂ©s M. Poutine vendredi- dans ce domaine. Des allĂ©gations que la France a d'ailleurs aussitĂŽt rejetĂ©es, jugeant qu'il y a de la part de Moscou "une volontĂ© d'instrumentaliser politiquement cette question". ParallĂšlement, le gĂ©ant Gazprom avertissait que les livraisons de gaz russe Ă  l'Europe par le gazoduc Nord Stream 1 seraient interrompues du 31 aoĂ»t au 2 septembre pour des raisons de "maintenance", au risque de raviver la peur d'une pĂ©nurie en Europe, oĂč la Russie est accusĂ©e de chantage Ă©nergĂ©tique.
Concernant les opérations militaires en Ukraine, le Pentagone, qui a annoncé vendredi une nouvelle tranche d'aide militaire d'un montant de 775 millions de dollars à ce pays, a noté un "manque total de progrÚs sur le champ de bataille" des troupes russes. "Nous n'avons pas constaté de reprise de territoires" par les forces ukrainiennes, "mais nous constatons un net affaiblissement des positions russes à plusieurs endroits", a encore dit une responsable du département américain de la Défense.
Dans l'est de l'Ukraine, les bombardements russes se sont toutefois poursuivis vendredi, faisant au moins cinq morts et dix blessés dans plusieurs localités de la région de Donetsk, l'une des deux provinces du Donbass, un bassin industriel qui est l'objectif stratégique prioritaire de Moscou. Kharkiv (nord-est), la deuxiÚme ville d'Ukraine, a en outre fait l'objet de nouvelles frappes dont le bilan est d'au 15 morts. Et plus de 21.000 personnes ont été évacuées en dix jours des territoires occupés, dont plus de 9.000 de la région de Zaporijjia et plus 8.000 de la région de Kherson, a annoncé la vice-PremiÚre ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.




Par Xavier Jacq

Publié le 18/08/2022 à 16h53
2 minutes de lecture






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C’est l’action qui a le plus fait parler en Ligue 2 le week-end dernier, le carton rouge de MickaĂ«l NadĂ© a Ă©tĂ© retirĂ© par la Commission de Discipline de la LFP tenue ce matin. Une bonne nouvelle avant la rĂ©ception du Havre en ouverture de la 4e journĂ©e.
Un tacle propre, sans fioriture et pourtant une exclusion. VoilĂ  l’action qui a valu la revalorisation de la commission de discipline de la Ligue Professionnel de Football. Le week-end dernier, Saint-Etienne se dĂ©place sur la pelouse de Quevilly-Rouen. Au terme d’un match fou, les deux Ă©quipes n’arrivent pas Ă  se dĂ©partager et prennent 1 point chacune (rĂ©sultat nul 2-2). Mais le principal fait de jeu de la partie n’est pas un but ou un arrĂȘt spectaculaire, mais bel et bien un carton rouge immĂ©ritĂ© pour le dĂ©fenseur central de l’ASSE Ă  la 86Ăšme minute. En effet, sur un retour dĂ©fensif, l’homme de la charniĂšre centrale tacle par derriĂšre, certes, mais prend uniquement le ballon. Une action jugĂ©e dangereuse par l’arbitre qui dĂ©gaine le carton rouge engendrant l’exclusion. Pour rappel, ce tacle n’a pas Ă©tĂ© revisionnĂ©, le VAR n’étant pas utilisĂ© en Ligue 2. Cependant, seulement quelques jours plus tard, ce dernier vient d’ĂȘtre retirĂ© Ă  la suite de la rĂ©union de la Commission de Discipline de la LFP. Une dĂ©cision qui arrive au bon moment, permettant aux StĂ©phanois de se prĂ©senter face au Havre, Ă  domicile mais sans supporter, avec NadĂ© dans le groupe et l’effectif au complet. Une aubaine pour le club qui peine Ă  dĂ©crocher sa premiĂšre victoire en seconde division, toujours bloquĂ© Ă  la derniĂšre place du classement avec -1 point au compteur (points nĂ©gatifs dus aux sanctions de l’incident de fin de match lors du barrage retour Saint-Etienne – AJ Auxerre).
Cette dĂ©cision de retirer le carton rouge vient de l’homme en noir lui-mĂȘme. Effectivement, Alexandre Perreau-Niel aurait revu les images dans son vestiaire aprĂšs la rencontre avant de prĂ©senter son rapport Ă  la Ligue en demandant le retrait de l’exclusion . Une requĂȘte acceptĂ©e par la LFP dont voici la rĂ©ponse : « Suite au rapport complĂ©mentaire de l’arbitre estimant que MikaĂ«l NadĂ© ne devait pas ĂȘtre sanctionnĂ©, la Commission dĂ©cide de retirer le carton rouge infligĂ© au joueur lors de la rencontre ».
?? ExpulsĂ© Ă  la 86e minute de la rencontre face Ă  QRM, ????????????????????????????? ????????????????? a vu son carton rouge ĂȘtre retirĂ© par la Commission de Discipline ce mercredi.

Le défenseur central est donc disponible pour #ASSEHAC ce samedi (15h). pic.twitter.com/y5aZOagObK




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