Une milf russe se laisse séduire par son jeune gendre

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Une milf russe se laisse séduire par son jeune gendre
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Elle fait le ménage en petite tenue chez ses clients et gagne beaucoup d’argent 0
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Jessica Hughes est une belle jeune femme âgée de 30 ans. Malgré le désaccord de son père, elle a choisi de devenir femme de ménage, mais avec un concept très particulier qui lui permets de très bien gagner sa vie. Elle gagne très bien sa vie, environ 160 euros de l’heure, pour faire le ménage chez de riches clients. Comment peut elle gagner autant en tant que femme de ménage ? Et bien il s’agit d’une femme de ménage un peu particulière. Elle fait le ménage en mini jupe. Et elle ne porte rien d’autre que sa mini jupe. Elle travaille pour la société Topless Maids. Cette société ne recrute que de belles jeunes femmes mais ces dernières doivent aussi savoir faire le ménage.
Jessica et son petit ami ont déménagé à Hollywood il y a 6 semaines et elle à déjà nettoyé 12 maisons depuis. Elle avoue que son père n’approuve pas ce qu’elle a choisi de faire pour gagner sa vie, mais ne compte pas changer de job tellement ce dernier est rentable. Il y a bien quelques hommes qui essaient de la toucher, mais à ce prix là, elle s’en fiche
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Dans C'est au programme, Sophie Davant n'a pas caché son attirance pour un jeune homme célibataire à la recherche de l'amour.
Oh la petite coquine ! Il y a quelques heures, Sophie Davant découvrait dans son émission C'est au programme sur France 2 le témoignage d'un jeune homme très timide avec les filles qui prend des cours pour gagner en confiance et accroitre son pouvoir de séduction. Frédéric a très peur d'aborder les femmes, "soit par peur de la déranger" soit parce qu'il la trouve bien "trop belle" pour lui. Sophie Davant n'a pas hésité à faire savoir qu'elle serait très heureuse si le jeune homme l'abordait dans la rue pour la draguer. "Il est très charmant ce monsieur, nous on veut bien le prendre en stage" lâche-t-elle, très amusée, avant d'ajouter qu'elle aimerait beaucoup "consulter le fichier" des hommes qui suivent ce type de cours. Le message est passé !
Closer.fr vous propose de découvrir cet extrait.
A la suite de ses études, Sophie Davant effectue un stage de rédactrice à Antenne 2 en 1986. Elle devient rédactrice pour le 19/20 de FR3.En...
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Sophie on t'Aiiimmmmeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais qu' on lui fiche la paix elle est adorable sophie
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Coincée entre son mari et un voisin entreprenant plutôt sympa, Sophie a vécu, à dix mille mètres d’altitude, une nuit agitée.























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Séduction et turbulences de l’avion ne font qu’un dans cette promiscuité amoureuse… Au retour d'un voyage à Hanoï avec son mari, Sophie tombe sous le charme de son voisin de rangée. 
"Un voyage magnifique... Hanoï et la baie d'Along. Ho Chi Minh-Ville et son quartier chinois. Et puis les gens pleins de vie. Beaucoup de bruit, une ville grouillante. Nous nous sommes bien amusés. C'est avec beaucoup de tristesse et à reculons qu'avec mon mari nous montons dans l'avion du retour. En plus, il fait une chaleur dans cet avion... Alors, un voyage de dix heures, coincée entre mon mari, à droite, assis comme d'habitude au bord du couloir pour allonger ses jambes, et, à ma gauche, un autre costaud côté hublot.
J'échange quelques paroles avec mon voisin
Deux heures après, les plateaux-repas. J'échange quelques paroles avec mon voisin. Il me demande d'où je viens, ce que nous avons fait. Lui, il voyage pour son travail. Il a juste fait l'aller-retour. Puis les lumières s'éteignent, il ne reste que les petites veilleuses, et tout l'avion s'assoupit. Le silence se fait. Je ne peux pas vivre sans musique, donc je mets les écouteurs.
Mon mari s'endort partout, ah partout ! Moi, j'ai la chance d'être menue, j'essaie de trouver ma place, dans cet espace restreint où ils débordent tous les deux : je suis privée d'accoudoirs, les mains sur les genoux, réduite à la portion congrue. Là, je m'endors. Pour récupérer un peu. Pendant dix jours, nous n'avons pas arrêté. Je m'écroule. Et fatalement, je penche vers la gauche, c'est mon habitude. Au lit, je dors à droite. Je suis un peu frileuse et je me retourne toujours sur la gauche pour attraper mon mari et me réchauffer. C'est une grosse bouillotte.
Donc je m'affale sur l'épaule de l'inconnu . J'ignore combien de temps. En tout cas, il ne bouge pas. Cela ne doit pas être très agréable pour lui. C'est lourd, une tête. Quand je dors, j'aime bien me cramponner. Je lui attrape le bras. Là, mon mari m'envoie un coup de coude dans les côtes. Je me réveille en sursaut. Il me dit : « Tiens-toi. » Je m'aperçois de mon erreur d'épaule, je me confonds en excuses. Mon voisin a un grand sourire et me dit : « Si mon épaule est confortable, je n'y vois pas d'inconvénient. » Vous pensez bien que je me suis repositionnée au milieu. Mon mari s'est déjà rendormi, mais moi, je n'y arrive plus. Je ne suis pas bien. Furieuse de la remarque de mon mari. En plus, j'ai mal au cou. J'allonge mes jambes loin de moi pour changer de position. Ça fait quand même trois heures que nous sommes assis, je suis ankylosée.
Là, ma jambe rencontre celle de mon voisin. Je me décale un peu. Sa jambe suit. Bon, il a été gentil, souriant, je ne veux pas... Je ne me dégage pas. Nous restons collés l'un à l'autre, avec, comment dire, des petites pressions, avec son genou, avec son pied, délicatement. Il a peur de mes réactions, peut-être. Et puis il y a mon mari de l'autre côté, il a vu qu'il n'était pas commode. C'est drôle : il semble impassible, il ne bouge pas la tête. Comme je n'ai pas d'accoudoir, forcément, j'ai ma main en bas, le bras le long du corps. Il quitte l'accoudoir, il vient sous le siège et il rencontre ma main. Ses doigts restent le long des miens, mais il n'ose pas trop s'aventurer à prendre ma main. Nous sommes comme deux collégiens. Je l'entends bien respirer, quand même, et soupirer.
Ce n'est pas désagréable, ces petits frottements. Je crois que j'y prends plaisir autant que lui, peut-être. On passe par plein de sentiments : c'est émouvant, et il y a des moments où j'ai envie de rire. Il ne doit pas se sentir bien, il doit souffrir. Il y a des choses qui ne vous échappent pas, quand même : il se soulève de son siège, je le sens dans un inconfort... Comment dire sans être triviale ? Trop serré dans son pantalon. 
Je me suis levée, on boit beaucoup dans un avion, on va aux toilettes. Je ne sais pas comment il a fait, il n'a pas bougé, c'est du jamais vu. Je suis revenue, je ne trouvais plus mon siège, dans la nuit on ne voit rien. Le petit jeu a continué. Un petit jeu érotique. Tour à tour on s'approche, on se décale, on change de position. Il respirait vite, et moi aussi. Je pense qu'il s'en est aperçu. Il s'est enhardi. Il a mis sa main le long de mes cuisses. J'étais en jean, ça ne pouvait pas devenir très torride. Et pourtant, ça fonctionne quand même, même en jean. Le trouble est là, le désir. On va lâcher le mot : je ressentais un violent désir. Peut-être l'attrait de l'interdit, de cette situation, ce n'est pas banal. 
Le plaisir m'a tellement envahie que j'ai oublié la présence de mon mari. J'avais les yeux fermés tout le temps, je n'avais pas envie de les ouvrir, j'oubliais le cadre, j'étais dans une bulle. Pour ne pas perdre ce bonheur, vous n'osez pas bouger. A un moment, j'ai posé la tête sur l'épaule de mon mari pour tenter de m'endormir et pour arrêter un peu, pour retrouver une respiration, c'était incandescent. Du coup, j'étais tournée, je lui présentais mes fesses, il a plaqué une main sur ma fesse, sur mon jean, je suis revenue tout de suite à ma position.
Mon mari s'est levé. Nous nous retrouvons seuls tous les deux, nous avons cinq minutes. Il a un regard interrogateur, avec un petit sourire grivois : qu'est-ce qu'on fait ? J'ai pris un air un peu sérieux, c'est très hypocrite de ma part, il sait bien que je participe complètement. Je ne sais pas, sursaut de pudeur. Cela ne m'est jamais arrivé. Je n'ai jamais trompé mon mari, en vingt ans de mariage, jamais. Je n'ai jamais cherché l'aventure. J'ai trop vu mes parents souffrir. Je l'adore, mon mari. Il m'a demandé où j'habitais, si j'avais des enfants. J'ai deux filles, lui trois garçons. Aucune allusion, ni l'un ni l'autre, à cette expérience, à cette complicité sensuelle.
Nous étions comme deux gamins pris en défaut
Mon mari est revenu. Mon voisin a remis ses écouteurs et fait semblant de dormir, moi aussi. Nous étions comme deux gamins pris en défaut. Ce sont des émois d'adolescents, quand même.
Il y a des turbulences. On nous prie de nous rattacher. Il était resté sage cinq minutes. Je me disais : « Tiens, le charme n'opère plus. » Avec les turbulences, il est revenu, encore plus assidu, plus fort et plus près. Il m'a attrapé le petit doigt, il m'a presque tenu la main. Et toujours sa cuisse bien collée à la mienne. C'est difficile de mettre des mots sur des choses qui sont seulement ressenties. On est dans une espèce de bien-être. On ne voit plus les autres. On est concentrée, obnubilée par une pression sur quelques centimètres de cuisse, on entend le cœur de l'autre battre.
Un avion c'est petit, c'est étroit, on ne peut pas bouger. Tout se passe en silence, dans l'imaginaire. Chacun des deux ressent la même chose, sans pouvoir manifester. Tout ça est très subtil. Ce sont des impressions... Des gestes furtifs, avec le plus de discrétion possible, ce qui n'est pas forcément compatible avec le plaisir. Un contact qui appelle d'autres caresses, mais elles restent dans l'imaginaire. C'est quand même du plaisir à l'état pur. Un tsunami. Pour une femme. Pour un homme, je ne sais pas, quand c'est avorté... Nous étions comme deux cocottes vapeur - tendus de plaisir, d'inassouvissement, de manque. Comme quelqu'un qui attend sa came. 
Et puis d'un seul coup, la lumière est revenue. Il est redescendu de son nuage. Comment cela avait-il pu durer une nuit ? C'est très efficace pour abréger un voyage. Les petits-déjeuners sont arrivés. Mon mari s'est réveillé. C'était immonde, le pain n'était pas décongelé. Mais comme d'habitude, il a englouti tout ce qui restait.
Là, je me suis tournée vers la gauche. Nous avons commencé à parler un peu de choses et d'autres. Il m'a dit qu'il aimait les photos aériennes. Il m'a dit : « Là, nous sommes au-dessus de telle ville. » Il m'a engagée à regarder par le hublot par-dessus son épaule. Nous étions tout proches, j'avais mes cheveux très près de lui.
Nous descendons sur Roissy dans la grisaille. La tristesse. C'est surtout lui qui est triste. La fin du petit jeu, de plaisir et de torture mêlés. Quand tout est contenu. Il est malheureux parce que tout cela se termine et qu'il n'y aura jamais d'assouvissement. Pas d'explosion, pas de bouquet final. Ça s'appelle rester sur sa faim. Il me jette un regard désespéré : « On ne peut pas se quitter comme ça. » Il a l'air d'un enfant que sa mère vient de laisser tout seul. Je me sens responsable de sa détresse. Ça a l'air tellement costaud, un homme. Mais malgré ses épaules carrées, c'est une petite chose fragile. Ça faisait partie du jeu, il ne fallait rien attendre de plus. C'était un rêve.
Quand on a vécu des sentiments aussi forts, la chute est brutale. La séparation est un déchirement , un cataclysme, qu'autour de nous, tout le monde ignore. Les gens se lèvent, prennent leurs bagages. Je lui serre la main. Il détourne les yeux et regarde par le hublot, où il n'y a rien à voir, puisque nous avons atterri depuis longtemps.
Malgré les crampes, une nuit sans dormir, à peine arrivée chez nous, j'ai lancé à mon mari : « Enlève ta veste, viens... » J'ai pris l'initiative des caresses. Il s'est laissé faire. Il était ravi. Il y avait urgence dans l'aboutissement des caresses trop longtemps contenues. Mon mari aurait pu dire merci à mon voisin. J'y repense le soir, la nuit. Mais je ne peux en parler à personne. C'est mon petit coin de fantasme à moi. Je nous imagine laissant libre cours à tout ce qui a été retenu et allant vers de vrais ébats, avec tout le corps. Bizarrement, là, je sors de l'avion et exit le mari. Tout va bien, tout se passe sans entraves. Vous savez, parfois on revoit les gens, j'ai lu ça dans des romans, et la magie n'opère plus. L'excitation vient de l'interdit, de l'impossibilité." 
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La pianiste (2001) Une professeure de piano au Conservatoire de Vienne (Isabelle Hupert) et laisse libre cours à sa sexualité en s’adonnant au voyeurisme, fréquentant secrètement les peep-shows et les cinémas pornos. Jusqu'au jour où Walter, un élève d'une vingtaine d'années, tombe amoureux d'elle. De cette affection naît une relation sado-masochiste entre la maîtresse et son disciple. Ce film est l’adaptation du roman controversé de Elfriede Jelinek . On vous prévient, ce n’est pas facile à regarder.
Chronique d’un scandale (2006) Barbara Covett (Dench), est une enseignante d'histoire proche de la retraite. L'arrivée à l'école d'une nouvelle professeure d'art, Sheba Hart (Blanchett), va bouleverser sa vie. Lorsque Barbara découvre que sa nouvelle amie a une liaison avec un élève mineur, elle saisit cette opportunité inespérée…
Bonjour Mon nom est Doris (2015) ou Hello my name is Doris de son titre original. C’est dans l’ascenseur de ses bureaux que se produit la révélation sexuelle de Doris (Sally Field) avec le nouveau directeur artistique, John Fremont (Max Greenfield). C’est l’histoire d’un véritable coup de cœur et des mesures aussi extrêmes qu’attachantes que prend Doris pour garder John dans sa vie.
Chéri (2009) Dans le Paris du début du XXème siècle , où, semblerait-il, les mères étaient beaucoup plus impliquées dans l’éveil sexuel de leurs garçons, une courtisane à la retraite, Charlotte (Kathy Bates) demande à Léa de Lonval (Michelle Pfeiffer), d’initier son fils aux joies charnelles. Mais Charlotte n’avait pas prévu que son fils, Chéri (Rupert Friend) et Léa tombent amoureux, malgré les 20 ans qui les séparent.
Don Jon (2013) Jon , beau jeune homme originaire du New Jersey (Joseph Gordon-Levitt) connait bien ses priorités : sa famille, le sport, les filles et — bien sûr — son porno. Sa dépendance au porno rend à Jon la tâche d’entretenir une vraie relation avec les femmes difficile. Tout cela change lorsqu’il rencontre deux femmes : Barbara (Scarlett Johansson) et Esther (Julianne Moore).
The Mother (2004) À la recherche d’une aventure pour donner du piment à sa vie, May, une veuve déprimée, tombent dans les bras de Darren, un bel homme-à-tout-faire qui a la moitié de son âge. Darren (Daniel Craig) est un homme marié qui trompe sa femme avec la fille de May. Quel joyeux bazar !
Boulevard du crépuscule (1951) Norma Desmond (Gloria Swanson) est la représentation terrifiante d’une femme d’âge mûr. C'est une star de cinéma muet dépassée, qui piège un scénariste (William Holden) et le mène droit à sa perte. Sunset Boulevard est un film merveilleux, mais Norma est l’incarnation de la façon dont Hollywood voit les femmes plus âgées. Une fois passé la « fleur de l’âge », elles sont tout simplement grotesques.
Le lauréat (1967) S’il y a bien un film auquel on pense lorsque l'on parle de ce type de relations, c’est celui qui met en scène Mme Robinson . Anne Bancroft est on ne peut plus sexy dans ce rôle iconique, où elle séduit Dustin Hoffman dans le rôle de Benjamin Braddock, un jeune homme un peu perdu. Mais, tout comme Norma avant elle, Mme Robinso
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