Une mexicaine se fait quatre mecs

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Une mexicaine se fait quatre mecs
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Les quatre violeurs présumés d'une petite fille de 9 ans.


© UINTAH COUNTY SHERIFF OFFICE/SIPA



La Rédaction

06/04/2016 à 08:47








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Quatre hommes ont comparu mardi pour le viol présumé d'une fillette de 9 ans en Utah pendant que sa mère fumait des méthamphétamines.
Depuis quelques jours, les Etats-Unis sont bouleversés par un fait divers particulièrement sordide. Le 27 mars dernier en Utah, dans l'ouest américain, une femme a rendu visite à une amie dans la petite ville de Vernal avec sa fille de 9 ans. Les deux femmes se sont rendues dans le garage pour fumer des méthamphétamines, rapporte la chaîne KTLA . Pendant ce temps-là, la fillette dormait sur un canapé. «L'enfant a été emmenée dans une autre pièce de la maison pour y être violée par quatre hommes», indique le communiqué du bureau du shérif du comté d'Uintah. 
D'après des documents de justice, ces derniers, qui vivaient temporairement dans cette maison, se sont succédés pour violer l'enfant avant de la ramener sur le canapé et de la menacer de mort pour lui faire garder le silence. La mère a dit avoir trouvé sa fille «perturbée» avec sa robe «relevée au dessus de la taille» quand elle est sortie du garage. Elle a alors appelé un taxi pour rentrer à leur domicile. Le lendemain, sa fille lui a raconté son agression et elle a appelé la police. Les autorités ont indiqué que la fillette avait été emmenée à l'hôpital et placée sous tutelle du gouvernement.
Les quatre agresseurs présumés, Larson RonDeau, 36 ans, Josiah RonDeau, 20 ans, Jerry Flatlip, 29 ans et Randall Flatlip, 26 ans, n'ont pas encore dit s'ils plaidaient ou non coupable. Ils risquent la prison à vie, et sont actuellement détenus et poursuivis pour viol et sodomie. Une audience le 11 avril permettra de déterminer s'ils peuvent ou non être libérés sous caution.
La grand-mère de la petite victime a déclaré à KTLA vouloir «une punition sévère». «Je veux que justice soit rendue. Ma petite-fille ne mérite pas de vivre ça. Ces gens me dégoutent». L'affaire a aussi suscité l'indignation dans la région et au-delà, certains demandant que les violeurs présumés soient condamnés à mort. Le shérif a appelé au calme sur sa page Facebook. G. Mark Thomas, le procureur du comté, a qualifié l'agression de «particulièrement haineuse parce que la victime a été abusée par quatre adultes rapidement et d'une façon particulièrement dégradante».


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25 mai 2020 à 7h00 — Temps de lecture : 52 min

Autrice anonyme
— 25 mai 2020 à 7h00
J-1 avant la date à laquelle je suis attendue pour témoigner au procès du mec qui m'a violée le 30 mars 2018 aux alentours de 3h30 du matin. Comme toutes les veilles-de, cette veille de procès se passe dans une ambiance irréelle. J'ai créé un groupe Whatsapp avec mes copines les plus proches, pour être sûre d'avoir toujours au moins une copine avec moi pendant les trois ou quatre jours que va durer le procès (on ne sait jamais à l'avance combien de temps les témoignages, plaidoiries et délibérations vont durer).
J'ai prévu de venir bosser le matin et de rentrer peinarde à l'appart l'après-midi. Je reçois plusieurs coups de fil de la witness support , la personne qui est censée te soutenir, t'expliquer le déroulement du procès, s'assurer que tu viennes témoigner dans les «meilleures» conditions possibles, et que tu viennes tout court d'ailleurs (comprendre: te donner un jour, une heure, un lieu où te présenter, et quelques mouchoirs, on sait jamais).
Jusqu'à la veille du procès, je n'avais pas senti la pression monter. Ou peut-être était-elle montée progressivement et insidieusement. Le fait d'avoir la witness support au téléphone et de s'entendre raconter que le procès a commencé, qu'un juge s'est vu attribuer l'affaire, qu'un jury de douze personnes a été tiré au sort, et que les deux parties sont en train de mener une legal dispute pour déterminer quelles preuves peuvent ou ne peuvent pas être prises en compte pendant le procès, précipite directement dans l'œil du cyclone. Après quinze mois d'attente, la machine est en marche.
La witness support et la sollicitor me rappellent à plusieurs reprises pour changer l'heure à laquelle je dois me présenter pour témoigner et pour me prévenir d'être préparée au fait que le accused aura du support avec lui, c'est-à-dire de la famille et des amis pour le soutenir. Cette mise en garde a été le détonateur du procès. L'idée que ce timbré puisse avoir des gens avec lui pour le soutenir, même si ça me paraît maintenant évident, me donne des boules dans la gorge.
Mon corps est en alerte maximale. Je pleure, je tremble, je relis ma déposition, je pars m'acheter un spray antistress et me faire masser pour me détendre.
Je me couche tôt et dors très peu. Le procès c'est demain, et je dois être à 9 heures 30 au 17 e étage du tribunal de Sydney pour témoigner.
Je me lève et pars courir pieds nus sur la plage et sauter dans les vagues pour me détendre. Je me douche, ma super pote Héloïse arrive, ça fait redescendre la pression. Je m'habille comme pour un entretien, et ça fait longtemps que ça ne m'est pas arrivé. On se marre et on part prendre un petit-déj dans un café où Félicie et Charlotte nous rejoignent. Mes copines ont la patate de ouf, et moi j'ai un peu l'impression d'être dans un film. Je sais que la machine est lancée, je ne peux plus reculer, il va falloir y aller.
On part en Uber au tribunal. On arrive au rez-de-chaussée et là, on tombe sur le procureur général, Ken, qui me reconnaît direct. Il ressemble à un gros nounours, il a des yeux bleus tendres et rieurs, il m'a tout de suite inspiré confiance quand je l'ai rencontré pour la première fois la semaine d'avant, pour qu'il me briefe sur le déroulement du procès. Je présente mes copines à Ken, et il nous embarque avec lui direct au 18 e étage, parce qu'il ne veut pas qu'on tombe sur le Mexicain et sa famille.
On se retrouve dans une salle. Charlotte, Héloïse, Félicie et Gisèle sont là. Ken nous donne quelques updates techniques sur le procès. Il m'annonce qu'une des preuves accablantes (enfin, selon moi) contre le Mexicain ne pourra pas être utilisée pendant le procès.
Pour plus de clarté sur l'intérêt de cette preuve, il me semble important de revenir à cette nuit du 29 au 30 mars 2018. Pour récapituler: je rencontre un Mexicain (Luis) en soirée, je le trouve très sympathique, on discute, on danse, on fume, on s'embrasse et surtout on rigole, on rigole, on rigole. Je rentre avec lui dans son appartement, on couche ensemble et je m'endors vers 2h30 dans ses bras en me disant que j'ai passé une sacrément bonne soirée. Je me réveille à environ 3h30 et me rends compte qu'un autre mec est en train de me violer. Je hurle, le mec s'enfuit du lit et de la chambre. Je me lève, je prends mes affaires, je commence à partir, Luis réapparaît et me demande ce que je fais. Je l'insulte, il me dit qu'il ne comprend pas, et il a tellement une bonne tête qu'il commence à me mettre le doute. Me souvenant que les épaules du violeur étaient poilues, je vérifie que je ne suis pas folle, et je lui touche les épaules. Elles sont toutes douces et me confirment que je suis bien tombée dans un traquenard. Je laisse Luis en plan et pars chez les flics.
S'ensuit un échange de messages (je laisse les fautes de frappe on purpose ):
Luis à 3h47 : «I didn't understand what you were saying. Hope to see you soon. I had a great night.»
Moi à 3h48 : «I know it wasn't you the last time. Then i opened the door and saw two guys. I perfectly knownot was not you.»
Luis à 3h51 : «I don't understand. My friends were just arriving when I went to the bathroom.»
3h52 : «I don't know where you got the idea that it wasn't me.»
3h52 : «I hope to see you soon and have a great night.»
Dans sa réponse, Luis me fait clairement croire que c'était bien lui avec moi dans la chambre. Or, les analyses ADN prouveront par la suite qu'il y a bien eu rapport sexuel avec le second Mexicain. Donc il y a forcément l'un des deux (au moins) qui ment.
Revenons au matin du 12 juin, dans une salle du 18 e étage du tribunal avec Ken et ma garde rapprochée de copines. Ken m'annonce que les messages envoyés par Luis à partir de 3h51 ne peuvent pas être mentionnés pendant le procès. La raison: ils ont été envoyés par Luis, et Luis n'est pas présent pour expliquer dans quel contexte il a écrit puis envoyé ces messages. Il est rentré au Mexique et il n'est pas revenu à Sydney pour témoigner au procès dans lequel son propre frère est impliqué pour viol. On ne m'a pas expliqué la raison de son absence, mais je soupçonne fortement qu'il ait eu peur d'être inculpé pour complicité de viol en revenant. Parce que c'est quand même sacrément évident. Et si en plus son absence permet à la défense de censurer l'une des preuves clés du dossier, c'est encore mieux finalement.
Il y a donc eu legal dispute entre l'avocat du Mexicain et l'avocat général au sujet des messages envoyés par Luis. Je suis dans l'incompréhension, je ne comprends pas pourquoi on peut parler des messages qu'il m'a envoyés à 3h47 et pas de ceux envoyés quatre minutes plus tard. Je n'ai pas fait droit, donc je ne comprends pas, mais Ken m'explique (et plus tard la sollicitor en rajoutera une couche parce que j'ai du mal à lâcher le morceau) que si le mec est déclaré coupable alors qu'on a utilisé ces messages pendant le procès, il pourra de toute façon faire appel.
Ken n'a pas l'air plus affolé que ça par le fait qu'on ne puisse pas parler de ces messages. Il me dit que le dossier est solide, même sans. Il m'explique que je n'ai absolument pas le droit de mentionner l'existence de ces messages au cours de mon témoignage, sinon le juge devra dissoudre le jury et on recommence tout le process à zéro. Le message est clair.
Avec le recul, je pense que c'est mieux qu'on ne m'ait prévenue qu'au dernier moment que les messages de Luis allaient être censurés. Je m'étais toujours dit, depuis la nuit du viol, que j'irai jusqu'au procès si et seulement si j'avais des preuves tangibles contre le Mexicain.
Je voulais à tout prix m'éviter un procès parole contre parole. J'avais suivi de près le procès de la touriste canadienne violée par les deux flics du 36, quai des Orfèvres . La n
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