Une maman bien sauvage

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Une maman bien sauvage
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Crédit : Photographee.eu/Shutterstock.com
À toi, l’éducatrice de mon précieux, je sais que j’ai eu l’air d’une sauvage ce matin. Je sais que ça doit faire drôle que je ne prenne pas le temps de bavasser sur la câline de météo qui fait des siennes encore. Je te laisse mon petit et je sors comme un coup de vent, en sachant que j’ai déjà du retard sur ma routine serrée du matin.  
À toi, la collègue de travail qui me demande si je veux aller dîner avec toi. Je sais que j’ai l’air sauvage avec mes refus répétitifs. Je le vois bien que tu te demandes pourquoi je choisis de passer mon heure de dîner à avancer mon travail ou à prendre un des nombreux rendez-vous pour mes enfants. J’aimerais ça moi aussi placoter, mais je préfère le calme de mon bureau pour poursuivre mon travail. 
À toi, mon patron, qui me voit partir en vitesse, je sais que j’ai l’air sauvage. J’aurais pu prendre la peine de terminer mon dossier ou de souhaiter bonne fin de journée à tout le monde, mais je quitte avec un « bye là! » à la va-vite dans le hall d’entrée. Je ne suis pas paresseuse en voulant partir plus tôt, je pense seulement à mon petit loup qui m’attend depuis trop longtemps déjà.  
À toi, mon amie qui veut sortir souper au restaurant un mardi soir. Je le sais que j’ai l’air sauvage quand je dis non, mais ce n’est pas possible pour nous. Je sais très bien que de dérégler la routine devoirs-souper-bain-histoire-dodo de ma marmaille est un risque que je ne suis pas prête à prendre. J’ai l’air d’une matante qui ne veut pas sortir, d’une ermite qui reste chez elle, mais je n’ai pas envie de mettre de l’énergie là-dedans.  
À toi, mon chum, quand je fais du lavage ou de la vaisselle aussitôt que les enfants sont couchés, je sais que j’ai l’air sauvage. Je sais que tu as envie de passer un moment avec ta blonde, mais ma seule envie c’est de finir ça au plus vite pour aller me reposer. Je comprends que tu me trouves plate. 
À vous, toutes les personnes de mon entourage, je sais que parfois j’ai l’air sauvage. Voyez-vous, j’essaie tellement de rentabiliser chaque précieuse minute de ma journée que j’oublie que vous êtes là, autour de moi. Je fonce dans mon marathon comme un taureau vers son drapeau rouge en éliminant les distractions. Loin de moi l’idée de vous froisser, on dirait que c’est ma façon de me sentir efficace dans ma vie de maman.  
Alors, pense à ça la prochaine fois que je vais passer vite à ta caisse à l’épicerie ou quand tu vas me voir travailler seule à mon bureau. J’ai l’air sauvage, mais c’est ma façon d’avancer. Quoique… tu peux bien te permettre de me déranger pour me convaincre de sortir dîner avec vous de temps en temps. J’ai l’air sauvage, mais je suis encore capable d’avoir du fun.
À toi, le père de mes enfants, sais-tu que je rêve d'être à ta place quand je te vois nu, ton corps indemne de toute cicatrice due à la grossesse ? À toi, le père de mes enfants, sais-tu que je rêve d'être à ta place la nuit quand les…
Je suis une maman et ça ne peut pas être ça, la vie. Se taper le rush du matin, un stop à l’école, beaucoup de trafic, s’asseoir devant un écran pendant huit heures, reprendre le volant pour retourner à l'école, se taper le rush du soir, se coucher et recommencer…
À toi, la maman souvent seule mais pas célibataire, Celle dont l’amoureux travaille de jour, de soir ou de nuit. Militaire, camionneur ou employé d’usine. Celle qui s’assure de veiller sur la maisonnée parce que papa a un horaire plus dur à suivre que ton terrible two qui pleure quand il…
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Je me rend compte que je dois souvent donner l’image d’une personne positive, optimiste et courageuse. Je dois l’être, parfois. Mais pas aujourd’hui.
Aujourd’hui est un jour sans…pour Ugo et pour moi…je suis perdue, découragée, pessimiste …il y a des jours comme çà, où rien ne va.
Bon ok, Ugo est mal luné ce matin mais on a l’habitude, çà ira mieux dans 1h ou 2…finalement il accepte d’aller à l’école, son EVS l’attend en classe où il bénéficie d’une demi heure rien qu’à lui, il peut faire du bruit, de la musique, courir, se mettre à terre…pendant que les autres enfants sont accueillis dans la cour de récréation.
Avant de partir on « révise nos classiques »(on ne sait jamais, aujourd’hui çà peut marcher, ne surtout pas perdre espoir):
Moi : « Ugo regarde moi. Ugo, regarde maman. Il est interdit de se cacher sous la table, il est interdit de crier…Ugo, qu’est-ce qu’il est interdit? »
Ugo: « Il est interdit de se cacher et de crier. »
Moi: « c’est d’accord? »
Ugo: « oui c’est d’accord. »
Moi: « C’est bien mon coeur. A tout à l’heure? »
Ugo: « A tout à l’heure! »
Et puis en sortant de la classe je croise la psychologue scolaire, çà faisait un moment alors on parle d’Ugo et de la réunion prévue en Janvier pour son orientation scolaire, l’année prochaine.
Dernière année de maternelle pour Ugo, on ne peut plus repousser, il doit grandir et l’accepter.
Oui mais voilà, ce n’est pas si simple pour un enfant comme Ugo. Le CP classique c’est exclu, impossible. Pour lui il y a la CLIS (les classes pour l’inclusion scolaire qui permettent l’accueil dans une école primaire ordinaire d’un petit groupe d’enfants (12 au maximum) présentant le même type de handicap). Une solution envisageable pour Ugo et envisagée par son enseignante spécialisée et la psychologue scolaire mais seul hic: le comportement d’Ugo. Dans l’idéal il lui faudrait une E/AVS juste pour lui mais dans ces CLIS il y en a une pour 12!
En plus des troubles envahissants du développement, de sa difficulté à accepter les contraintes et de sa tolérance réduite aux frustrations, Ugo a un fort caractère, pas toujours adapté en milieu scolaire, rarement même…et il ne comprend pas pourquoi, cette notion d »adaptation » est abstraite pour lui, il est lui même tout simplement. Ugo est intelligent, il parle bien, son attention est fugitive mais il est capable de plein de choses quand on l’aide à rester concentré…mais lorsqu’il n’est pas content, qu’on change quelque chose, que çà ne lui plait pas, qu’il n’a pas envie ou qu’il ne comprend pas, il crie fort et longtemps, il pleure, fort, se jette au sol et le calmer prend du temps et de l’énergie…et en attendant il perturbe, il dérange.
S’il ne va pas en CLIS, il reste l’IME (les instituts médicoéducatifs, des établissements de soins qui accueillent les enfants et adolescents atteints de handicap mental ) un hôpital en somme, où les enfants ont souvent des capacités plus limitées que celles d’Ugo…je n’ai pas envie de çà pour lui, ce n’est pas pour lui, je le sais.
Et ce matin, alors que je n’aurai pas du être encore là, dans les couloirs…les autres enfants rentrent en classe accompagnés de leur maitresse et j’entend Ugo crier très fort, il s’arrête…puis il recommence…il manifeste son mécontentement, jusqu’à ce que son EVS décide de le faire sortir, de l’emmener ailleurs, pour lui permettre de s’isoler et de se calmer, comme elle le fait souvent…je me suis cachée pour qu’il ne me voit pas…et puis je suis rentrée…le coeur lourd. Pourtant je sais que çà arrive, parfois, souvent.
Je suis allé le chercher à 10h30 pour l’emmener à sa classe passerelle (classe à 3 enfants maxi et 2 enseignantes spécialisées). Il m’a sourit, avec son visage d’ange. Ce matin il n’a rien voulu faire. Ce matin il n’était pas là, plus envahie que d’autres jours.
Ces jours là sont les plus durs. Ces jours là je remet tout en question, j’ai envie de tout plaquer, de partir loin, de prendre les choses en main, son destin, le nôtre. Ces jours là j’ai du mal à rester optimiste, forte et motivée. Pourtant il le faut. Pour lui, pour Lou, pour nous.
Ces jours là, j’ai envie de l’aider plus, de lui consacrer plus de temps. Je sens qu’il a besoin de moi. Je sais que je peux l’aider, encore plus. Alors il faut que je trouve ce temps, cette énergie, pour lui, pour moi, parce que je suis sa maman, qu’il est mon ange, que c’est mon rôle et que c’est maintenant qu’il faut que j’agisse, pour son avenir.
Le temps justement, parlons-en…il file, il ne m’attend pas.
En ce moment, les journées passent encore plus vite. Je nettoie, je rénove, je fais des mises en scène et je shoote pour la boutique, je fais des fiches produits, je crée des petites choses, je teste le graphisme pour des cartes, je fais des recherches pour l’expédition, les emballages…et au milieu de tout çà, j’emmène les enfants à l’école, au centre, au poney, à la classe passerelle (parfois 3 endroits différents par jour, comme aujourd’hui)…je les récupère à midi et on recommence l’après midi …jusqu’à 14h, 16h, parfois 16h15 grand maximum. Et je n’ai rien fait. Ou presque. Ensuite le gouter, les devoirs, le bain…et j’essai de travailler encore un peu parce que je n’ai vraiment pas fait grand chose aujourd’hui. Ni rangement, ni ménage, ni courses… çà me stress, çà me rend irritable, je perd ma patience. Je ne joue plus, je ne chatouille plus, je ne rie plus.
Ces jours là, je me dis que c’est trop. Je veux en faire trop, en faire plus…mais ce n’est pas possible. La réalité me frappe de plein fouet. J’en fais trop et pas assez. Pas assez d’essentiel, de vital.
Le plus important c’est Ugo, c’est Lou, c’est eux…
Oui mais où et comment trouver du temps pour eux? …revoir le contenu de la boutique, finalement…pourtant la maison est pleine de jolies choses vintage pour vous, il y en a dans l’entrée, la chambre est quasi inaccessible et les couloirs je n’en parle même pas…j’ai fait des centaines de jolies photos, préparé un bien beau site marchand (avec l’aide de deux hommes précieux)…mais tout çà me prend tant de temps, hier, aujourd’hui et puis demain aussi…j’ai peur d’entrer dans un engrenage sans fin aspirant toute mon énergie et de perdre l’essentiel, du temps précieux pour eux…
Cette boutique je vous en ai tellement parlé, elle est presque prête. J’ai envie de l’ouvrir ce mois-ci. Mais peut-être seulement avec mes créations, finalement. Je dois repenser la partie vintage, pour Ugo, pour Lou, parce toute cette logistique me hante le jour et m’empêche de dormir la nuit.
Mais alors qu’est ce que je fais de tout çà? peut-être des ventes vintage de temps en temps? Sur le site ou ailleurs… Des ventes éphémères… Ne mettre en vente mes trouvailles qu’aux périodes plus propices, suivre le rythme de notre vie et non l’inverse, me consacrer à la création, parce que c’est de çà dont j’ai envie en ce moment mais surtout je voudrais jouer, chatouiller et rire à nouveau. Les aider à grandir et les aimer tout simplement.
Aujourd’hui j’avais besoin de parler, parce qu’en ce moment c’est la chaos dans ma tête et j’ai besoin de faire du tri. Merci à ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’au bout! Quand je vous disais que j’étais bavarde! Merci pour votre écoute et votre compréhension. Je vous embrasse.
Courage, ma sœur, courage, il y a et il y aura des jours meilleurs, et tu sais tout l’amour qui t’entoure et qui ne faiblira jamais… Je t’aime et pense à toi très fort
Merci Lolo, je sais que vous êtes là, toujours, que vous nous acceptez comme on est, avec beaucoup d’amour et de générosité. Si seulement nous n’étions pas si loin. Je vous embrasse très fort. <"
chère jesus-sauvage, je te suis depuis … on s’en fout ! et aujourd’hui je voulais te connaitre davantage, alors je suis allé voir « what we are » … et je lis ce billet, et je comprends tellement….. nous sommes expatriés, nous sommes différents, des enfants différents, déscolarisés par l »école française elle même, les petits dans leurs mondes (sans être déclarés handi), un monde si puissant les grands tiraillés par les envies, les besoins, les créations, le boulot, l’argent :/ …
ne prend pas de temps à répondre, tu as tant et tant à faire, juste un ti message de compréhension et de soutien, et félicitations pour ta troisième merveille en cours loveisallweneedforsure
Plein de courage ton billet m’a pris aux tripes

je sais que tu as toute la force et l’énergie nécessaire en toi et que tu ne baisseras jamais les bras. Seulement il y a des jours !!! enfin tu sais cela mieux que nous tous mais tu sais aussi que tu peux compter sur nous même si on ne sait pas toujours ce que l’on peut faire ou ce que l’on doit faire. Et puis UGO va nous surprendre c’est sur, il a déjà fait tellement de progrès Courage et toute mon affection
Merci Véro. La force c’est de famille je crois, merci de me l’avoir transmis. Oui je crois tellement en lui, je suis si fière de lui, il progresse tellement. MAis c’est vrai que trouver le bon équilibre ce n’est pas si simple, entre en faire trop et pas assez, on a du mal à lacher prise et faire les bons choix. Aujourd’hui j’ai le coeur plus léger, comme un poids en moins et plus forte que jamais. Merci pour votre soutien précieux, et votre amour.
Ces moments de vie doivent être difficiles, mais tu es forte ça se sent. Et c’est normal d’avoir des faiblesses, qui n’en aurait pas à ta place. Je t’admire car je ne sais si j’en serais capable! Si j’avais un conseil à te donner, ce serait celui de faire à ton rythme mais de ne pas tout lâcher, petit à petit…
Courage.
j’espère un jour voir cette boutique… Que j’imagine merveilleuse!
Merci pour tes mots. Tu sais moi non plus je ne m’en serai pas cru capable, il m’apporte une force incroyable, insoupçonnable. La boutique j’en ai aussi très très envie, elle arrive bientôt.
Merci à toi de nous faire confiance et de nous parler sans réserves. Merci à toi d’être toi !
Pour la boutique laisse toi le temps, nous t’attendons.
Bises
Oh ma belle..c’est bien d’écrire, de s’exprimer, parler..ça fait du bien.
Tu sais, tu peux ouvrir ta boutique même avec 2 produits, et tu rempliras au fur à mesure c’est pas grave, on reviendra.
Et si tu veux de l’aide je suis là, n’hésites pas
Et puis on boit un verre bientôt, pour que tu penses à toi, rien qu’à toi
Bon courage, je t’embrasse fort
Merci Eve, pour tes encouragements, j’ai hâte de te voir, encore plus maintenant. C’est vrai que çà fais un bien fou de s’ouvrir aux autres, de lacher prise et de se recentrer. Et maintenant je vais faire des guilis, j’ai des asticots qui m’attendent! Des bisous, à très vite, j’ai les billets scotchés sur mon frigo!
Avant je ne connaissais pas l’autisme, je n’y avais jamais été confronté, mais depuis que je connais une amie qui est éducatrice pour enfant autiste (elle pratique la méthode ABA) et que je connais son enfant lui aussi autiste je ne peux pas dire que je comprend ton quotidien mais je sais de loin comme ce n’est pas facile à gérer tous les jours…
Je te fais un gros gros bisous et t’envoie plein de courage ♥
Merci poulette, çà me touche. Avant Ugo je n’y avais jamais été confronté non plus, nous naviguons en terre inconnue mais nous apprenons un peu plus chaque jour. C’est sure que c’est loin d’être simple au quotidien mais finalement c’est moins dure pour nous parce que c’est justement notre quotidien, comme une habitude que l’on prend, et qui nous guide. je t’embrasse.
tu me touches tellement ! tu es une maman formidable je t’admire tant. on ne sait vu qu une fois, mais j ai l impression de te connaitre ++++++++
tes mots me touchent, tes maux me touchent ! je vous souhaite plein de courage !!! je partage tout ca !
je sais la maman formidable (et le papa …) que tu es (vous etes)…
il faut profiter de chaque chose ! …et chaque chose en son temps…
<3
Merci Véronique, d »être là, à chaque fois, de nous accompagner ainsi. Merci pour tes encouragements et tes mots, toujours si généreux. <3
Quel témoignage bouleversant qui te rend si humaine. C’est beau de parler et de soi et de ses moments de doute avec cette simplicité; Je crois que parfois l’on est plus fort de reconnaître ces moments de faiblesse. Et souviens-toi, ce ne sont que des moments même s’ils sont douloureux et nous donne l’impression de perdre pied. Peut-être que ce moment de doute te permet de te recentrer autour de ce qui est essentiel pour toi, de ce qui t’apporte équilibre, plaisir et énergie. Tout plein de courage et des bises de douceur et de réconfort.
Merci Béatrice. Tu as raison, ils sont nécessaires, ils permettent de se poser les bonnes questions et d’aller de l’avant. Et puis ils rendent plus appréciable les jours meilleurs. Merci pour tes mots, tes bisous et ton réconfort.
Ohlala ce que j’ai eu comme frissons en te lisant !!! Moi qui suis en congé mat pour mon 3e, qui doit soutenir tous mes petits malades d’automne (mon ainée, mon bébé et leur papa), tout gérer jour et nuit et qui suis crevée… je te lis et je me dis que tu supportes bien plus lourde pression, plus lourds soucis que moi
Je te souhaite tout le courage nécessaire pour eux mais aussi pour toi
J’adore ton univers, tiens bon !
Merci beaucoup, on a tous notre lot de « sans », heureusement il y a bien plus de jours meilleurs. Courage à toi. Et merci, encore pour tes mots et le temps précieux que tu m’a consacré. Bises, Sandra
Je crois que j’ai rarement été aussi émue que ce soir avec ton post. A tes doutes, je n’ai envie de ne répondre qu’une chose : suis ton instinct. Écoute ton ventre lorsqu’il se serre, ton cœur lorsqu’il tape fort dans ta poitrine, et jamais les choix que tu feras ne seront mauvais.
Des bisous à tes loulous, un calin pour Ugo et une grande pensée pour que tu saches que tu n’es pas seule avec tes doutes et que même si mon quotidien est plus léger, je me retrouve dans cette impression d’en faire à la fois trop et pas assez.
Merci d’avoir pris ce temps pour moi. çà me touche, beaucoup. J’imagine ton quotidien bien remplie et ces frustrations de ne pas pouvoir tout faire parce que l’on veut faire bien, surtout. Mais finalement ce n’est pas grave, si l’essentiel est là. Je t’embrasse.
C’est bien que tu en parles si simplement. Parceque c’est ta vie et celle d’autres parents aussi. Et qu’en france je crois que vraiment il y a de grosses choses à fai
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