Une maitresse tatouée martyrise son esclave

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Le débat fait rage au pays des koalas. Une jeune mère à qui la justice australienne avait interdit d'allaiter son bébé au motif qu'elle venait d'être tatouée et que la santé de l'enfant était en jeu a obtenu gain de cause ce vendredi en appel.
Un tribunal aux affaires familiales de Sydney a cassé à l'unanimité la décision du juge de première instance, estimant que la preuve du «risque» encouru par l'enfant, un garçon de 11 mois, n'était pas faite. La mère, âgée de 20 ans, s'était fait tatouer un symbole sur un doigt et un pied au mois de mai sans dire au tatoueur qu'elle était en train d'allaiter.
Le père, dont elle est séparée, a saisi ce motif pour garder l'enfant avec lui, expliquant que son ex souffrait de problèmes psychiatriques et de drogue.
La jeune femme a alors sollicité l'arbitrage de la justice qui a décidé le 5 juin de lui attribuer la garde principale de l'enfant à condition qu'elle s'abstienne de l'allaiter. Le juge a estimé qu'elle avait peut-être contracté un virus transmis par voie sanguine au moment de se faire tatouer.
Les tests VIH et d'hépatite s'étaient pourtant révélés négatifs.Le tribunal faisait par ailleurs valoir que la jeune femme avait suivi un traitement pour dépression post-natale et qu'elle avait consommé du cannabis à une reprise au cours des deux dernières années.
Interdiction d'allaiter sa fille de ... 6 ans
Dans sa décision, le tribunal aux affaires familiales a estimé que les juges ne devaient pas prendre leurs «sentiments personnels» pour des «faits» incontestables ou «des preuves d'expert». Il a en outre reproché au juge Mathew Meyers d'avoir omis de prendre en considération le préjudice émotionnel et physiologique de l'enfant brutalement privé du sein de sa mère. Cette polémique fait suite à une autre, aux antipodes, où une cour de justice a interdit une mère de continuer à allaiter a fille de... 6 ans ! La mère de 52 ans nourrit encore sa fille au sein et juge la chose «normale»...
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Un entraîneur avoue avoir martyrisé son assistant




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L'ancien maître japonais du sumo stable Kazuyuki Yamamura à un poste de police à Tokyo après qu'il a été arrêté pour l'abus présumé contre son assistant. Ph : AFP
Selon les informations de presse, Kazuyuki Yamamura a enfoncé une serviette dans la bouche de son aide et lui a frappé les doigts, les coudes, les genoux et les chevilles avec une barre ou un marteau.
L'ancien entraîneur d'une écurie de sumo a avoué avoir brutalisé un de ses assistants en le frappant avec une barre de fer, en lui enfonçant une serviette dans la bouche et en le forçant à avaler un tube de wasabi, a rapporté la presse japonaise.
Kazuyuki Yamamura, qui a dirigé l'écurie du champion mongole Hakuho, a déclaré cette semaine à un tribunal de Tokyo qu'il avait frappé à plusieurs reprises son ancien assistant avec une barre métallique, ont rapporté le journal «Nikkan Sports» et d'autres médias.
Ces abus contre cet homme de 31 ans, embauché comme chauffeur et assistant personnel, ont commencé au début de l'année et se sont aggravés au point que son tortionnaire l'a forcé à avaler tout un récipient de wasabi, un condiment japonais piquant très proche du raifort, et lui a enfoncé des aiguilles sous les ongles, selon les médias japonais.
Kazuyuki Yamamura a justifié ces violences par le fait que son employé se trompait lorsqu'il faisait les courses pour lui et ne parlait pas clairement, a rapporté le «Nikkan Sports». Il avait également menacé de lui écraser les testicules, de lui crever un œil et lui briser les dents, selon la même source.
Le tribunal du district de Tokyo, contacté par l'AFP, a refusé toute déclaration.
L'employé a dit à la chaîne Nippon News Network TV craindre d'être "tué à tout moment". Il a également admis ne pas avoir voulu immédiatement dénoncer ces abus par respect pour Hakuho mais s'être ensuite décidé à le faire car les violences devenaient insupportables.
Kazuyuki Yamamura a été banni de ce sport de combat japonais ancestral le mois dernier par l'Association japonaise de sumo en raison des accusations de violences.
Hakuho, 30 ans, grand champion de sumo a remporté une 35e coupe impériale cet été, un record dépassant celui du légendaire Japonais Taiho qui détenait le record de 32 titres.
Ces révélations ne sont que les dernières d'une série de cas de harcèlement dans le sumo.
Ce sport, caractérisé par le gabarit impressionnant de ses lutteurs, entouré de tout un rituel et associé à un entraînement extrêmement rigoureux et une hiérarchie stricte, est fréquemment l'objet de rumeurs de combats truqués, de paris illégaux et de récits d'abus physiques extrêmes.
En 2007, un apprenti sumo de 17 ans avait péri après avoir été victime de maltraitance physique de la part de son entraîneur et de lutteurs plus âgés. L'entraîneur, qui avait frappé l'adolescent avec une bouteille de bière, avait été condamné à cinq ans de prison pour négligence ayant entraîné la mort. 
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