Une magnifique indienne se fait du bien

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Une magnifique indienne se fait du bien
Toutes les coquines originaires des 4 coins du monde remuent leur cul face Ă  la cam pour le bonheur des personnes en quĂȘte de sensations fortes. Chacune vient et fait ce qu’elle maitrise le mieux. C’est ainsi qu’une jolie indienne au corps de rĂȘve s’est illustrĂ©e rĂ©cemment en se mettant Ă  poil. Mais avant de retirer ses vĂȘtements, elle a offert un spectacle inoubliable !
Cette coquine a des reins de roseaux qu’elle tournoie merveilleusement comme une dĂ©esse. Les danses orientales n’ont pas de secret pour cette indienne qui les met en pratique dans une version trĂšs coquine. Pendant sa partie de free webcam girl , alors qu’elle Ă©tait encore habillĂ©e, l’indienne commença Ă  danser sur une petite musique envoutante. De temps en temps, elle soulevait sa jupe mais le faisait de maniĂšre Ă  mettre du piment. Elle se caressait frĂ©quemment sa poitrine bombĂ©e tout en n’arrĂȘtant pas de proposer un dĂ©hanchĂ© ondulatoire trĂšs Ă©lĂ©gant et bandant.
C’est aprĂšs avoir exĂ©cutĂ© des danses Ă©rotiques que la jeune indienne dĂ©cida de se foutre Ă  poil. Et elle le fit sensuellement et lentement. Aussi, le retrait de ses vĂȘtements se fit pendant qu’elle Ă©tait toujours en train d’exĂ©cuter des pas de danse. Une fois sa robe moulante enlevĂ©e, elle ĂŽta son soutien-gorge et ses magnifiques boules apparurent. Il ne restait plus que sa petite culotte et visiblement, la belle indienne Ă©tait loin d’ĂȘtre pressĂ©e de la retirer. Parfois mĂȘme, quand elle la descendait, elle la remontait aussitĂŽt. Finalement la coquine s’en dĂ©barrassa, ce qui la laissa nue comme un ver, avec des rondeurs superbement bien exposĂ©es.
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Depuis son enfance dans une famille de fermiers, «Mary la magnifique» a fait son chemin sur le ring, avec cinq titres mondiaux. L'apparition de la boxe au programme olympique féminin aux Jeux de Londres fait d'elle un grand espoir de médaille d'or pour l'Inde, son pays.
MĂšre de deux enfants, des jumeaux de quatre ans, Mary Kom, ou Mangte Chungneijang Merykom de son vrai nom, a toujours dĂ» se battre pour s'imposer. Et notamment pour monter sur le ring, du haut de ses 157 cm.
«Au départ, les gens ont cherché à me décourager, disant qu'en Inde il n'y avait pas de femmes boxeurs», explique Mary , en plein entraßnement à Pune, dans l'ouest de l'Inde : «Ce fut mon premier défi, et je l'ai relevé».
Inspirée par Jackie Chan et Muhammad Ali
Née il y a 29 ans dans l'état du nord-est du Manipur, Mary Kom, aßnée de quatre enfants, a d'abord lutté pour aider ses parents dans les champs. Et ce sont les images des films de Jackie Chan ou des combats de son héros, Muhammad Ali, qui l'ont fait réaliser que sa passion pour le sport pourrait la faire sortir de la pauvreté.
«J'ai arrĂȘtĂ© l'Ă©cole et je me suis concentrĂ©e sur l'entraĂźnement», raconte-t-elle, aprĂšs une sĂ©ance de punching-ball Ă©puisante, dans une salle Ă  l'Ă©clairage dĂ©faillant. «J'ai tout fait dans l'athlĂ©tisme: course, disque, javelot, tout, je peux tout faire».
C'est alors qu'elle apprend que les femmes peuvent enfin monter sur le ring, dans le Championnat du Manipur, en 2000, et elle remporte le titre quatre mois plus tard, sans en avoir jamais parlé à ses parents qui apprendront la nouvelle par les journaux.
«Mon pÚre avait peur que je me blesse et que je ne puisse plus subsister à mes besoins. Mais je l'ai convaincu, et il a cédé», se souvient-elle. La détermination paie et les titres s'enchaßnent, jusqu'au niveau mondial.
Avec l'argent gagnĂ© entre les cordes, elle nourrit sa famille et crĂ©e une acadĂ©mie de boxe. MalgrĂ© les succĂšs, les sponsors ne se prĂ©cipitent pourtant pas. «Peut-ĂȘtre parce que je n'ai pas l'air indien», se demande-t-elle, en rĂ©fĂ©rence Ă  ses compatriotes du Manipur, un minuscule Etat proche de la frontiĂšre avec le Myanmar, souvent confondus Ă  des Chinois pour leurs traits du visage.
Avec ses 2,7 millions d'habitants, le Manipur est l'une de ces «sept soeurs», ces petits Etats indiens isolés, entourés de cinq pays et rattachés au reste de l'Inde par une minuscule bande de territoire au nord du Bengladesh. Une zone confrontée à une violence endémique de la part de mouvements rebelles luttant pour l'autonomie ou l'indépendance, ce qui lui a notamment valu de perdre son beau-pÚre, tué par balles dans une fusillade.
Aujourd'hui, «Mary la magnifique» est l'une des rares raisons d'ĂȘtre fiers pour les habitants du Manipur, et notamment tous ces jeunes qu'elle accueille dans son acadĂ©mie. A Londres, elle entend les rendre encore plus fiers.
Pour se qualifier pour les Jeux, Mary Kom a dû mener un nouveau combat, pour gagner du poids. Partie de ses 48 kg, sa catégorie habituelle, elle a dû prendre trois kilos pour atteindre la plus petite des catégories admises à Londres. Un pari réussi, avec le titre de championne d'Asie en 51 kg.
«C'est une combattante, avec un coeur plus gros que ceux de plusieurs gars que j'ai dirigés», avoue son entraßneur.
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4 janvier 2017


en salle

/
1h 36min
/
Comédie dramatique


Par
Ashwiny Iyer Tiwari ,
Ashwiny Iyer Tiwari


Avec
Swara Bhaskar ,
Ratna Pathak Shah ,
Riya Shukla

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DerriĂšre le magnifique Taj Mahal se trouvent des habitations vĂ©tustes oĂč vivent Chanda et sa fille Appu. Chanda est une femme de mĂ©nage. Elle rĂȘve que sa fille fasse des Ă©tudes pour avoir une vie meilleure. Mais lorsque Appu lui annonce qu'elle veut quitter l'Ă©cole pour devenir aussi femme de mĂ©nage, Chanda prend la dĂ©cision surprenante de retourner Ă  l'Ă©cole dans la classe de sa fille, pour la convaincre de poursuivre ses Ă©tudes.


Chanda, une mĂšre indienne Bande-annonce VO

Anecdotes de tournage, notes d'intention, informations cinéphiles : chaque semaine, découvrez les coulisses des sorties


Notre regard d'occidental sur le cinéma indien a changé depuis Gangs of Wasseypur et surtout The Lunchbox. Au pays de Bollywood, une bonne dose de réalisme social change singuliÚrement la donne avec une place enfin primordiale donnée aux femmes et à leurs combats (Déesses indiennes en colÚre, Titli, La saison des femmes). Chanda, une mÚre indienne, met particuliÚrement l'accent sur l'éducation et l'inégalité des chances dans une ...

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MĂšre de deux jumeaux et travaillant dans la publicitĂ©, Ashwiny Iyer Tiwari est Ă©galement une personnalitĂ© engagĂ©e qui soutient l’autonomie des femmes en Inde, un pays dans lequel 38% des filles abandonnent les Ă©tudes avant le secondaire. Avec "Chanda, une mĂšre indienne", un film qui s’apparente Ă  un conte, la rĂ©alisatrice espĂšre contribuer Ă  Ă©veiller les consciences sur ce problĂšme et inciter les jeunes filles Ă  pousser leurs ...

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Nil Battey Sannata reprĂ©sente le nĂ©ant... Je parle bien Ă©videmment du titre qui signifie rien ou zĂ©ro, car pour ce qui est du film, c'est tout sauf zĂ©ro, c'est mĂȘme trĂšs bien. InquiĂšte pour l'avenir de sa fille qui pense que la fille d'une femme de mĂ©nage ne peut devenir Ă  son tour qu'une femme de mĂ©nage, une mĂšre de famille dĂ©cide de reprendre le chemin de l'Ă©cole pour la faire rĂ©agir. Ça ne va pas faire plaisir Ă  la jeune fille ...

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C’est l’histoire d’une femme de mĂ©nage dĂ©scolarisĂ©e. Ne voulant pas que sa fille, dĂ©motivĂ©e par l’école, prenne ce mĂȘme chemin, elle dĂ©cide de reprendre les cours pour inciter sa fille, par un jeu de concurrence, Ă  mieux travailler. Voici une histoire oĂč miĂšvrerie cĂŽtoie la tendresse, oĂč joie de vivre essuie la mĂ©lancolie. Chanda, une mĂšre indienne saura attendrir les cƓurs fragiles grĂące Ă  un Ă©quilibre ...

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Chanda, une mÚre indienne est le premier film d'Ashwiny Iyer Tiwari. Elle est à l'orgine une publicitaire renommée mondialement, distinguée à de nombreuses reprises, mais fait également de la photographie et du journalisme. Mariée à un réalisateur indien, elle est également engagée dans des causes en faveur des femmes et de l'art.


En Inde, 38% des filles abandonnent l'école avant d'atteindre l'enseignement secondaire. Ashwiny Iyer Tiwari voudrait à son niveau éveiller les consciences sur ce problÚme et encourager les jeunes filles à rester scolarisées aussi longtemps que possible. Pour la réalisatrice, il s'agit d'un film d'espoir.


AprÚs que les auditions nationales se sont révélées infructueuses pour trouver les acteurs idéaux pour le film, Ashwiny Iyer Tiwari a choisi de jeunes acteurs non professionnels. Swara Bhaskar, qui joue Chanda, s'est beaucoup investi dans le film ; elle a notamment pris du poids et joue une femme beaucoup plus ùgée qu'elle ne l'est en réalité.

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