Une maîtresse avec des courbes se fait plaisir

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Une maîtresse avec des courbes se fait plaisir

Gabriel
sur 16 janvier 2010 à 11 h 25 min


poissonrouge
sur 16 janvier 2010 à 11 h 38 min


SCM555
sur 21 janvier 2010 à 4 h 52 min


madisonnrj12
sur 2 juin 2010 à 11 h 48 min


jaimemonmari
sur 6 mai 2013 à 17 h 45 min


Quidam
sur 6 mai 2013 à 20 h 57 min

Posted by Salomé Caroline Meimoun | 15, Jan, 2010
Pourquoi ne pas tomber amoureuse d’un homme marié… On dit souvent que l’amour ne se contrôle pas, mais il faut parfois se forcer à écouter sa raison. "Dans un couple, trois, c’est la foule !". Il est déjà difficile de gérer les problèmes du quotidien dans une vie à deux, si une tierce personne fait son apparition, l’un des protagoniste, voire deux, voire les trois vont inévitablement être blessés. Le plus souvent, c’est la maîtresse qui souffrira le plus, car il est rare qu’un homme quitte sa femme pour elle et même s’il le faisait, elle devra porter la culpabilité d’avoir brisé une famille… et se convaincre qu’elle ne se fera pas plaquer à son tour pour une "nouvelle Autre".

Statistiques déculpabilisantes… pour commencer !
En France, 39% des hommes et 25% des femmes AVOUENT avoir trompé leur partenaire au moins une fois. Sont donc exclus tous les vilains petit(e)s menteur(-se)s et ceux qui considèrent qu’absence de pénétration égal absence d’adultère… Aux Etats Unis, les chiffres sont hallucinants : après 5 ans de mariage, 72% des hommes et 70% des femmes déclarent avoir été, toujours au moins une fois, infidèles. On ne sait pas, en revanche, s’il s’agit de "coups d’un soir" ou de liaison durables.
Pourquoi on va voir l’herbe du jardin de la voisine
Gerard Leleu, médecin psychothérapeuthe, explique que s’il y a adultère ou envie d’adultère, c’est qu’il y a un manque dans le couple, que seul un(e) Autre peut combler. Il est évident que le partenaire habituel ne peut pas compléter son conjoint à 100%, quitte à être l’avocat du Diable, il est presque surhumain d’être monogame toute sa vie. Le Dr Leleu explique qu’il y a risque d’adultère : quand l’un mène une vie impossible à l’autre (pourquoi ? Manque de communication), quand l’un ou l’autre a besoin d’une tendresse devenue impossible voire ridicule face à la monotonie du couple et enfin quand l’épanouissement sexuel n’est plus au rendez-vous. On sait que l’homme cherche à semer ses graines quand la femme cherche la bonne personne avec qui procréer, il est donc biologiquement naturel qu’il y ait plus de maîtresses que d’amants. En outre, la femme aura souvent besoin d’aimer son amant, alors que l’homme peut se contenter de désirer sa maîtresse (mais tout ceci est à mettre au conditionnel : il est des femmes qui cumulent les aventures purement sexuelles et sans sentiment alors que des hommes, souvent très longtemps fidèles à leur femme, vont s’attacher amoureusement à celle qui fera pétiller leur train train…). Avec un nouveau partenaire, on redécouvre le monde, faire l’amour n’a plus le même goût, on fait des choses que souvent on ne fait plus avec son conjoint comme se tenir la main au cinéma ou passer une heure à se regarder dans les yeux, comme pour apprendre par coeur le visage de l’Autre…
Quand la maîtresse a encore le beau rôle…
Au début d’une liaison, elle a le meilleur de son nouvel amant. Pas encore de routine sexuelle, pas de blablas interminables sur sa journée au bureau, pas de belle-famille à supporter, ils se voient avec le plaisir de la nouveauté, l’excitation de l’interdit, ils font l’amour partout, se cachent dans des cafés sombres comme des adolescents, refont le monde, bref, c’est le bonheur.Nulle question de routine ou d’obligation, surtout quand les deux amants sont mariés chacun de leur côté. Si l’on met de côté cette morale judéo-chrétienne qui nous retient bien plus qu’on ne se l’avoue, c’est juste beau. "Deux étrangers qui se rencontrent lalala…", c’est niais mais c’est presque ça. On découvre la douceur d’une nouvelle peau, le goût de baisers tout neufs que l’on aimerait ne jamais arrêter, on caresse des boucles quand on a des cheveux raides à la maison (et réciproquement), on admire de nouvelles courbes, une nouvelle stature de statue grecque, on boit la couleur des yeux bleus de l’autre quand on va rentrer le soir et les planter dans des yeux noirs (et toujours réciproquement !!), on refait tout ce qu’on a oublié avec l’Elue, celle qui porte l’alliance, entrecroiser ses doigts, se frôler sa joue contre Sa joue, s’embrasser dans le cou, s’enivrer de l’odeur (pas du parfum, de l’odeur : phéromones, quand vous nous tenez !) de l’autre. L’idéal serait de s’arrêter là, de ne surtout pas céder à la tentation du sexe, hélas (vraiment hélas ?), le désir est trop fort et la question "Est-ce que si on l’avait fait on se ferait l’effet que l’on se fait ?" ne se posera plus jamais. On l’a fait. Souvent refait sur la lancée. C’était bon, c’était beau, c’était magique. On ose à peine se regarder. On a envie de recommencer. Une fois, dix fois, mille fois. Mais est-ce une si bonne idée ?
La maîtresse ne sera jamais malheureuse si et seulement si…
En fait il existe trois grands types de femmes qui deviennent des maîtresses : – la première n’a aucune envie de s’engager et trouve parfaitement son compte dans l’idée d’être l’Autre. Elle est persuadée de la véracité de tout ce qui est écrit ci-dessus, autrement dit qu’elle a le meilleur de l’homme interdit, il n’y a que le plaisir, la tendresse, la douceur des prémices… L’acte sexuel devient presque accessoire, voire anecdotique. C’est une sorte "d’amitié-amoureuse" chère aux ados, deux manques se complètent en toute honnêteté, chacun reste à sa place et personne n’est blessée, pas même l’épouse (sauf si elle découvre l’existence de celle qui n’est pourtant pas une rivale)…
– La deuxième est nettement plus inquiétante. Dotée d’un ego démesuré, elle cherche l’homme marié précisément parce qu’il appartient à une autre et ressent une sorte de toute puissance dans ce "vol". C’est ce type de profil qui est décrit dans "Liaison Fatale". Elle devient envahissante, à la limite de l’érotomanie, persuadée que sa proie est fou d’elle et quittera inévitablement sa femme pour lui revenir. Elle est de celles qui appelera au domicile de son amant, raccroche ou insulte si l’épouse décroche, enverra mille textos enflammés et ne laissant aucun doute sur une passion soi-disant partagée et, parfois douée, arrivera à ses fins. L’homme piégé sera rarement heureux…
– Enfin, il reste celle qui tombe par hasard sur un homme déjà pris mais n’en aura cure. Elle ne se contera pas d’instants volés comme la première mais ne ruinera pas la vie de son amant comme la deuxième. Son leitmotiv : "Je me fiche qu’il soit marié, il finira par m’aimer et refaire sa vie avec moi". Elle ne s’encombrera pas de principes à ses yeux dépassés et ne verra aucun inconvénient ni aucune immoralité à cet adultère, partant du principe qu’il n’est plus heureux dans ce ménage déjà mort (puisqu’elle est là !) alors qu’il le sera avec elle. Beaucoup plus fine que la "psychopathe", elle deviendra souvent la deuxième épouse…
Elles sont amoureuses et ne vivent que par et pour leur amant. Se coupant souvent du monde (les copines mariées qui la jugent, les hommes qui la prennent pour une proie facile…), elle l’attend. Elle passe ses nuits seule, ses Noël, Jour de l’An, Saint Valentin, week ends sont autant de déceptions, elle ne comprend pas, malgré souvent des années à ce régime, qu’elle sera toujours la maîtresse, un divertissement pour lequel aucun homme ne mettrait son couple ou sa famille en péril. Parfois, elle lui fera un enfant dans le dos, persuadée que ce sera pour lui un déclic, toujours en vain. Ces femmes sont victimes d’elles-mêmes car le plus souvent, l’amant annonce tout de suite la couleur : il aime sa femme et ne la quittera pas. Elles passent à côté du bonheur, à côté d’hommes qui pourraient n’être qu’à elles, souvent à côté de la maternité car elles ne veulent pas d’enfant sans père. Elles sont plus à plaindre qu’à blâmer, elles ont souvent un coeur de midinettes et croient dur comme fer qu’il n’y a qu’un seul prince charmant et qu’il s’est trompé de femme.
En définitive, il faut bien comprendre que "la pièce en plus" dans un couple ne doit pas devenir "la pièce en trop". Sans porter de jugement sur l’adultère, on ne peut se permettre de faire des généralités et de condamner tout le monde en bloc. Il est des moments où l’on a juste besoin d’un peu d’air frais pour mieux revenir vers l’Elu(e), "voir ailleurs" est parfois salutaire.
Tout ce qu’on pourrait demander, c’est simplement de l’honnêteté de part et d’autre, décider de la teneur d’une relation et de s’y tenir. Mais se priver de belles choses quand la vie est si courte et parfois si triste, est-ce vraiment insulter la morale ?  
L’adultère, c’est ‘défendu’.
Voila déjà une bonne raison de craquer…
De plus, tromper la personne à qui il faudrait être fidèle, c’est se tromper soi même: s’avouer que, finalement, on n’était pas si prêt que ça pour s’engager, pour durer ou affronter les difficultés.
Mais comme tu l’écris, la vie est courte et il faut en profiter. Seulement, rares sont ceux qui osent en profiter assez…
Quoiqu’il en soit, je suis persuadé que ce sera banalisé d’ici une ou deux générations. Comme tout le reste.
L’idéal d’un couple serait de regarder au delà de l’adultère. Cesser de se poser des tonnes de questions sur ce que fait l’autre, pour n’apercevoir que les sentiments profonds. Encore une fois, rares sont ceux qui y parviennent.
C’est aussi le problème du « pas avant le mariage ».
L’homme (male et femelle) a besoin d’expérimenter. Si il ne le fait pas avant le mariage, il le fait pendant. Et si il ne le fait pas pendant, il vit mal. Je trouve inimaginable de n’avoir qu’une seule partenaire dans toute sa vie (de toute façon, s’est déjà mort pour moi).
Avant d’être marié ou en couple, je suis d’avis qu’il faut tester un maximum de choses, pour pouvoir se ranger après.
Tant qu’on est pas en couple, on peut avoir une vie sexuelle riche, avec qui on veut sans tromper personne, sans blesser personne. C’est pour ça qu’il faut en profiter. En plus, on est jeune, donc encore capable d’enchaîner. Bref, c’est le moment idéal pour découvrir.
Mais après, quand on a passé 5 ou 10 ans de sexe libertin, on est normalement rassasié, et on peut se trouver une petite femme gentille que l’on ne trompera plus.
Ou alors, on peut convenir de vivre dans un couple libertin.
Je pensais naïvement qu’il existait des hommes « intouchables », qui ont rencontré leur moitié très jeunes et n’ont jamais cessé de l’aimer, ils l’ont épousée, ont fait des enfants, parlent d’eux avec des paillettes dans les yeux… Et puis un jour, le grain de sable. Elle est plus jeune, peut-être plus jolie, plus désirable et avec l’attrait de la nouveauté, ils finissent par craquer… Triste ? Certainement pas. Si les règles sont bien définies au départ (« on ne vit que le meilleur ensemble », « je jure de ne jamais m’immiscer entre lui et sa femme »), il n’y a que du plaisir partagé et la maîtresse « rend » son amant à sa légitime heureux et décontracté.
Les femmes mariées, de leur côté, doivent s’attendre, autour de 40 ans, au fameux « démon de midi ». Leur mari ne se trouve plus aussi séduisants, la tablette de chocolat a laissé place à la mousse au même parfum, ils ont BESOIN de se prouver qu’ils plaisent encore et pas seulement à leur femme. Mesdames, ne vous rendez pas malade, ça passe et il vous reviendra. A vous de le surprendre, d’entretenir le désir, de lui dire qu’il est beau, de le câliner, de lui organiser des soirées tous les deux (les enfants, ça se fait garder) pour explorer le Kama Sutra etc. Montrez-lui la maîtresse qui se cache en vous, pas l’épouse, pas la mère, LA FEMME. A vous d’être plus maligne qu’Elle…
Quant aux adultères déjà consommés : inutile de culpabiliser, vous vous êtes fait du bien et la morale n’a qu’à fermer sa grande bouche !
Journaliste pour l’émission « tellement vrai » sur nrj12, je prépare actuellement un prochain documentaire sur les amours clandestines.
A ce titre, je suis à la recherche de différents témoignages nottament de femmes maîtresses acceptant de vivre dans l’ombre ou au contraire fatiguées de cette situation mais aussi des témoignages de femmes trompées qui n’arrivent pas à quitter leur conjoint.
Si vous vous sentez concernées, n’hésitez pas à me contacter au 01.53.84.30.22, un premier contact n’engage à rien.
Ca fait plus qu’un an que mon mari a avoué qu’il avait une maîtresse, ceci depuis plus que 6 mois. Il n’a jamais eu l’intention de me quitter, n’a jamais cessé de m’aimer et avait de sentiments très superificiels pour ca maîtresse. C’était comme une drogue pour lui, il ne pouvait pas s’arrêter. Elle vivait pour lui, elle était disponible a chaque instant que mon mari pouvait s’eclipser de la famille.
Elle était plus jeune, naïve et elle s’est laissée emporté par ces émiotions et a réussi d’aussi affaiblir le jugement de mon mari. Aujourd’hui, il regrette tellement – il est malheureux. Les explications sont exactement comme décrit dans le text initial – il avait une envie de se prouver, de revivre quelquechose et s’échapper un peu.
En lisant les commentaires, je me dis que je devrais peut-être accepter tout ça, mais la vérité c’est qu’après un événement pareil, quelque chose se casse. J’aime toujours mon mari, mais ça ne deviendra jamais pareil. On avait vecu 20 ans de bonheur ensembles, maintenant nous devons continuer avec cette histoire derrière nous – elle sort sans prévénir.
Des centaines d’heures passés en thérapie – en couple et individuellement. Médicaments pour réduire l’anxiété – aiser les moments difficiles.
Bien évidemment, je ne peut pas ignorer que la maîtresse a souffert aussi, mais après tout – elle refait sa vie.
Si on est profondement amoureux de son partenaire, une trahison peut blesser pour de bon – avant de tromper, réfléchissez bien, est-ce que vous êtes vraiment prêt/e a blesser la personne que vous aimez réellement? Si mon mari avait réfléchit deux fois, on aurait eu la même complicité qu’avant et on aurait pu vivre harmonieusement.
Si vous êtes une femme qui a une histoire avec un homme marié (vous pensez que vous le rend heureux) et que vous pensez appartenir a la troisième catégorie dans l’article – est-ce que vous êtes prête a assumer que vos actes risque de blesser votre amant pour longtemps? Puisqu’il va probablement jamais quitter sa femme pour vous, il va très certainement vivre « l’après » avec beaucoup de culpabilité et souffrir.
Le pire dans la vie, c’est de voir celui qu’on aime souffrir!
Que celui, ou celle, qui n’a jamais fauté, me jette la pierre… Aïe ! Ouille ! Pas tous à la fois ! Non, arrêtez ! ça va, c’était pour rire. Aïe !
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Accueil » Quand un prof trouve sa maîtresse
David, professeur d’économie à l’université, cherche une aventure extra-conjugale. Il va découvrir que parfois, le hasard fait bien les choses…
David se regarda dans le miroir. Allait-il vraiment faire cela, ou allait-il se dégonfler et annuler. Il se repassa de l’eau sur le visage puis s’essuya en sortant de la salle de bain de sa chambre d’hôtel.
Un coup d’oeil à sa montre lui confirma que son rendez-vous arriverait bientôt. L’idée lui avait paru très excitante, derrière son écran d’ordinateur, mais alors qu’il allait devoir passer à l’acte, il sentait une boule se former dans son ventre.
C’était la première fois qu’il trompait sa femme. Oh bien-sur, il aimait Magalie, mais après quelques années de mariage, la routine s’était installée, et sa libido n’avait plus trouvé satisfaction dans le lit conjugal.
C’est pour cette raison que longtemps, il avait refusé de prendre une maîtresse. Par peur sans doute de s’attacher et de développer des sentiments qui aurait risqué de nuire a son mariage.
Sur Internet, il était tombé sur un article parlant de la prostitution étudiante. Professeur à l’université, il connaissait bien les problèmes de précarité auxquels devaient faire face les étudiants. La prostitution était une alternative souvent fructueuse.
Il lui fallut peu de temps pour trouver un site de petites annonces où des étudiantes proposaient des services implicites. Son choix se porta sur une annonce avec une seule photo, cadrée sur le buste d’une jeune femme nue, dont les cheveux châtain descendaient jusqu’à la poitrine.
Jeune étudiante vous tient compagnie pour une heure ou pour la nuit. Pas sérieux, s’abstenir.
Après un email maladroit où David avait demandé si la jeune femme proposait effectivement des plaisirs charnels contre rémunération, un rendez-vous avait été fixé, ils passeraient la nuit ensemble, dans une chambre d’hôtel que David avait réservé. Ce jour là, sa femme était en déplacement au siège de son entreprise pour une réunion dont il avait oublié le sujet.
Et depuis près d’une heure, David tournait en rond dans sa chambre, se demandant s’il aurait le courage d’aller jusqu’au bout. Il avait pris une douche, s’était rasé, inspecté sous tous les angles.
Soudain, trois coups frappés à la porte le sortir de ses doutes et l’excitation remonta en lui. Il alla jusqu’à la porte et ouvrit.
Il resta quelques secondes bouche bée. Il connaissait déjà son rendez-vous, en fait, ils avaient discuté quelques heures à peine plus tôt, dans un des amphis de l’université. Léa était une de ses élèves de deuxième année.
La jeune fille baissa les yeux, incapable de regarder son professeur, alors que ses joues rougissaient.
David recula, invitant son étudiante à entrer.
La jeune fille hésita, puis entra dans la chambre. David prit le temps de l’observer. Elle n’avait plus le jean et le pull qu’elle portait dans l’après midi, mais portait une robe noire descendant au dessus des genoux, le décolleté mettant en valeur sa poitrine. Ses cheveux châtains étaient attachés en queue de cheval, laissant son cou nu offert au regard. Ses
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