Une mère en manque avec son fils

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Une mère en manque avec son fils
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Rodéo urbain à Pontoise: la mère de la petite fille fauchée porte plainte contre l'État pour inaction
La petite fille âgée de 7 ans avait été grièvement blessée lors d'un rodéo urbain dans un quartier résidentiel de Pontoise. Elle est sortie du coma lundi mais pourrait garder de graves séquelles.
Rodéo urbain à Pontoise: la mère de la petite fille fauchée porte plainte contre l'État pour inaction
Alors que sa fille Kenya, 7 ans, est sortie du coma lundi , dix jours après avoir été grièvement blessée lors d'un rodéo urbain à Pontoise, Bennérose a décidé de porter plainte contre l'État pour inaction, annonce-t-elle avec son avocat sur BFMTV ce mardi.
La fillette était en train de jouer "à chat" avec un autre enfant lorsqu'ils ont tous deux été fauchés par un motard se livrant à un rodéo urbain dans un quartier résidentiel de Pontoise, le 5 août dernier.
"On marchait dans le quartier. Je n'ai même pas entendu le son d'une moto qui arrive, je l'ai juste vue foncer vers Kenya et le fils de ma copine. [...] Quelqu'un a appelé les pompiers. J'étais en train de pleurer, je n'ai même pas pu rester à côté d'elle", poursuit-elle sur BFMTV.
Il aura fallu attendre dix jours pour que la petite fille, à l'hôpital Necker, sorte du coma. Elle pourrait cependant garder d'importantes séquelles.
L'auteur présumé des faits, un jeune homme âgé de 18 ans originaire du même quartier que les deux enfants, avait d'abord pris la fuite puis s'était rendu deux jours plus tard au commissariat de Cergy. Il était défavorablement connu des services de police, notamment pour "conduite sans permis".
Si Bennérose et son avocat ont choisi de porter plainte contre l'État pour inaction, c'est que les rodéos urbains ont repris sur les lieux du drame, à peine une semaine après le drame. "Une semaine après, ça a repris comme si de rien n'était. Je ne peux pas me l'expliquer", déplore Me Raphaël Cabral.
Selon lui, ce retour sans surveillance des rodéos urbains est la conséquence d'un manque d'effectifs dans les rangs de la police ainsi que de mesures leur donnant la possibilté d'intervenir. "On attend qu'il y ait un mort ou un blessé pour que la police puisse intervenir", estime l'avocat, qui ajoute que sa cliente et lui déposeront leur requête à la fin du mois d'août ou début septembre.
"L'heure actuellement, c'est celle de la plus grande exigeance", déclare, en réaction au témoignage de la mère de Kenya, le préfet du Val-d'Oise Philippe Court sur BFMTV ce mardi soir.
Sur notre antenne, le préfet précise également que les citoyens ont un "rôle" à jouer en contactant les services de police dès lors que des rodéos urbains sont observés. "C'est en étant tous unis que nous arriverons à mettre fin à ce fléau."
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Beaucoup plus qu’un simple téléphone. Le 7 août dernier, Stéphanie Ezziani, mère d’une fillette de quatre ans décédée d’un neuroblastome , une forme de cancer pédiatrique, s’est fait voler son téléphone, un Xiaomi Mi 10T gris. Dans l’appareil, la femme avait stocké les derniers souvenirs de sa fille vivante, décédée trois jours plus tard, le 10 août.
Comme l’explique France 3 Grand Est , la mère de la petite Marwa a perdu son téléphone alors qu’elle buvait un café devant l’entrée des urgences pédiatriques de l’hôpital américain de Reims, dans la Marne. En retournant au chevet de sa fille, qui avait subi des examens et s’apprêtait à recevoir une sonde, Stéphanie s’aperçoit alors de la perte de son téléphone, vingt minutes après être remontée.
En retournant sur les lieux, aucune trace de l’appareil, alors que personne n’a vu le téléphone se volatiliser, aussi bien du côté des visiteurs que du personnel présent. Très vite, après avoir tenté d’appeler son téléphone, qui tombe directement sur le répondeur, et avoir constaté que la fonction de localisation n’était plus activée, la mère se résout à penser que son téléphone a bel et bien été volé.
Pour elle et son compagnon Mahmoud, cet appareil a une grande dimension symbolique, constituant un lien avec sa petite fille disparue. « Dans ce téléphone se trouve la dernière année de vie de notre fille. C’est encore plus important pour nous depuis son départ. Je garde espoir que la personne ait un cœur et du remord, qu’elle me le rende », témoigne Stéphanie Ezziani, contactée par France 3 Champagne-Ardenne.
Les deux parents laissent également la possibilité au voleur de restituer le téléphone de manière anonyme , au comptoir d’accueil de l’hôpital, dans une enveloppe mentionnée du nom « Super Marwa HOP ». Marwa a été diagnostiquée malade d’un neuroblastome dès l’âge de deux ans, et s’est battue contre la maladie durant trois longues années.
Après une amélioration de son état de santé suite à différents traitements comme la chimiothérapie ou encore la radiothérapie, la maladie se propage finalement dans tout le corps de la fillette, notamment dans son cerveau. La sachant condamnée, les parents de Marwa ont décidé de lui offrir la meilleure vie possible : « Nous avons vécu plein de choses avec elle cette dernière année. Nous avons voulu la faire rêver jusqu’à la fin. »
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Mis en ligne le mardi 16 août 2022 à 22h31
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Le 14 août 2022, Élie Semoun a eu une tendre pensée pour sa mère décédée. Pour l’occasion, l’humoriste s’est fendu d’un déchirant message.
Le 15 août est une date particulière pour Élie Semoun. C’est en effet ce jour-là qu’ il a perdu sa mère , Denise Malka. Cette dernière est morte à l’âge de 37 ans alors que son fils n’en avait que 11. Une tragédie pour l’enfant. Si bien que, même 48 ans après ce sombre jour, l’acteur en est encore fortement marqué . Les détails dans cet article.
Pour rappel, Denise Malka, la maman d’Élie Semoun, a rendu l’âme le 15 août 1974. Une date que son fils n’est pas près d’oublier .
Par ailleurs, tous les ans, l’humoriste qui a aujourd’hui 58 ans n’a jamais manqué de rendre hommage à celle qui l’a mis au monde. C’était le cas ce dimanche 14 août. L’homme a publié une magnifique photo de Denise sur son compte Instagram.
« Une pensée pour Denise, ma mère. Le 15 août est une date à rayer de mon agenda depuis que j’ai 11 ans. On dit que les morts meurent quand on les oublie, les histoires d’amour aussi. Donc tout va bien… », a-t-il accompagné la photo.
Des mots émouvants qui n’ont pas laissé les internautes indifférents. Voilà pourquoi, plusieurs centaines de ses abonnés ont commenté la publication . Si certains s’étaient émus, d’autres ont apporté leur soutien à Élie Semoun.
« Beaucoup de courage à vous. Une maman est éternelle, ou qu’elle soit. Une maman, c’est l’être le plus magnifique, le plus fantastique et le plus amoureux que l’on rencontre dans une vie » ; « De tout cœur avec vous. Votre maman était très belle » ; « Une merveilleuse maman qui doit être très fière de son fils », pouvait-on notamment lire dans les commentaires.
Peu importe l’âge, perdre quelqu’un de cher fait toujours mal . Pour Élie Semoun, cette douleur est d’autant plus pénible du fait qu’il n’a pas pu assister à l’enterrement de sa mère. C’est du moins ce qu’il a révélé dans les colonnes de Télé 7 jours le 9 décembre 2020.
« Quand ma mère est morte, en 1974, je n’avais pas pu assister à son enterrement. Ça ne se fait pas dans notre culture. J’étais très en colère, au point d’aller voir un psy et de lui dire : “Je ne veux pas ressembler à mon père.” », a-t-il révélé.
Une colère qui a été décrite par Jean-Paul Rouve, quelques années auparavant . En effet, le 9 juin 2012, l’acteur était de passage dans « On n’est pas couché » .
« Il a perdu sa maman, on lui a pas dit. Sa maman a été enterrée, on lui a pas dit. Et son père lui a dit quelque temps après. Imaginez ce que ça peut faire pour un enfant de dix ans », s’est-il souvenu.
Jean-Paul Rouve poursuit en expliquant qu’à l’époque il s’intéressait à Élie Semoun , car il écrivait. C’est par ailleurs dans ce cadre-là que l’homme qui est actuellement âgé de 55 ans a demandé à l’humoriste s’il en voulait à son père.
Ce à quoi le principal concerné répond par :
« Non, j’en veux à ma mère d’être morte. »
Des mots lourds de sens qui retranscrivent la colère de l’homme.
Une chose est sûre, Élie Semoun aimait beaucoup sa mère . Au point qu’il croit être « amoureux » de celle-ci. À en croire ses révélations dans le magazine Gala le 30 janvier 2020.
« J’ai compris un truc : ma mère est morte à l’âge de 37 ans, et j’ai du mal à sortir avec des femmes qui ont plus que cet âge-là, car j’ai l’impression de la tromper. Je crois que je suis resté amoureux de ma mère », a-t-il avoué.
S’il pouvait trouver du réconfort chez son père, depuis plus de deux ans, Élie Semoun est vraiment seul au monde . En effet, il a aussi perdu son père et a annoncé la mauvaise nouvelle le 12 septembre 2020.
Rappelons que son papa, Paul, était atteint de la maladie d’Alzheimer . Ce fut par ailleurs dans un EHPAD que le monsieur a trouvé la mort. Attristé par le décès de son père, Élie Semoun a fait part de sa tristesse sur son compte Instagram où il compte actuellement près de 280 000 abonnés.
Passionné de lecture depuis mon enfance, j’ai fini par m’intéresser à l’écriture en grandissant. Aujourd’hui, je vis de ma passion en travaillant comme rédacteur pour le web. Avec une plume légère, je vous tiens informé sur l’actualité française et les faits et gestes des célébrités. J’écris aussi d’autres contenus sur des thématiques variées.

vendredi 19 août 2022, Saint Jean-Eudes











Fabien Jouvé lors du meeting de Tournefeuille pendant la campagne des législatives en juin.











Carnet noir , Toulouse , Colomiers




Publié le 18/08/2022 à 18:13
, mis à jour

le 19/08/2022 à 07:22





Jean-Noël Gros
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l'essentiel
Les hommages à Fabien Jouvé, enseignant et élu à Colomiers, ancien candidat PS-Nupes aux législatives de juin, se multiplient depuis sa mort soudaine mercredi 17 août.

Le choc causé par le décès brutal de Fabien Jouvé, 44 ans, conseiller municipal à Colomiers et candidat PS-Nupes aux législatives de juin, emporté ce mercredi 17 août à l’hôpital Rangueil par une maladie dont peu de monde savait qu’elle s’était déclarée, a suscité d’innombrables réactions. Que ce soit de la part de Columérins, d’anciens élèves où parents d’élèves en particulier, ou du monde politique. C’était « un de mes meilleurs professeurs de collège », peut-on lire par exemple sur la page Facebook de la mairie de Colomiers en hommage à celui qui a enseigné pendant toute sa carrière l’histoire et la géographie au collège Voltaire de la ville.
Aussitôt après l’annonce de son décès par un communiqué de Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers, les hommages des élus et militants se sont succédé : du PS -Carole Delga, présidente de la Région, Georges Méric, président du Département, Olivier Faure, premier secrétaire…-, de toute la gauche comme des adversaires politiques, LREM ou LR, tel Jean-Luc Moudenc qui côtoyait Fabien Jouvé à la Métropole.
Issu d’une famille de Colomiers où ses parents habitent encore, et où il vivait avec sa compagne et sa fille, né dans le quartier du Cabirol, comme il le disait, Fabien Jouvé avait la passion de son métier d’enseignant. Pédagogue, apprécié de ses élèves, il s’était investi auprès d’eux pour en faire des citoyens à part entière. Impliqué dans le Concours national de la Résistance, il les avait accompagnés sur les lieux des anciens camps de concentration nazis ou dans les murs du Musée départemental de la Résistance à Toulouse.
Militant au PS depuis 2010, il avait été élu secrétaire de la section de Colomiers en 2014 et réélu en 2018. Au conseil municipal, où il était entré en 2020, Fabien Jouvé avait la délégation du Conseil citoyen de la transition écologique. Son engagement dans la vie locale était bien antérieur. En témoigne sa vice-présidence à la Société d’archéologie et d’histoire locale et sa rédaction et co-rédaction, en 2008, des chapitres d’un livre sur l’histoire de la ville consacrés aux anciens maires, Alex Raymond et Eugène Montel.
Lors des législatives de juin dans la 6e circonscription, Fabien Jouvé avait perdu de quatre voix face à Monique Iborra, la députée sortante de la majorité présidentielle, et déposé un recours en annulation devant le Conseil constitutionnel. Son décès met un terme à la procédure.
Les obsèques de Fabien Jouvé devraient être célébrées la semaine prochaine.
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Qu’il Repose en Paix,parti trop jeune.
Et Monique avec ses 78 berges est repartie pour des voyages in Paris.
SVP (Mort de Fabien Jouvé). Pourquoi ne pas mettre décès a la place de MORT, ce serais moins morbide. Merci
On ne dit pas dans l' article de quelle maladie a entrainé sa mort , qui semble t-il faut rapide ? Condoléances à sa famille ...............
Et en quoi ça vous regarde, qu’est ce que ca vous apporterez; la vie privée
Une bonne polonaise
Une baise russe intense
Maigre fille indienne

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