Une lesbienne costumée s'amuse bien

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Une lesbienne costumée s'amuse bien


Quel film lesbien culte regarder en 2020 ?



I can’t think straight - Romance lesbienne entre Londres et Petra



The World Unseen - Film lesbien en plein apartheid



Imagine Me & You - Le mariage compromis



D.E.B.S - Lesbiennes à l'américaine



Bloomington - Fantasme entre professeure et élève



Loving Annabelle - Face à l'autorité catholique



Portrait de la jeune fille en feu - Révélation lesbienne 2019



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Il existe aujourd’hui de nombreux films lesbiens à voir absolument. Nous sommes maintenant en 2020 et la liste des films lesbiens disponible s’est étoffée face aux années passées. Tu peux d’ailleurs retrouver le top 4 des films de lesbiennes à regarder ou les films trans, gays et lesbiens de 2019 . Nous t’avons regroupé quelques film lesbiens pour que tu puisses trouver le film lgbt+ incontournable qui te plaira !
Commençons cette liste de films lesbiens a voir par le film I can’t think straight. Ce film date de 2017 et se déroule entre Londres et la Jordanie (surtout Londres).
I can’t think straight est un mélange de cultures dans lequel se rencontrent 2 femmes à forts caractères (et nous on aime bien les histoires de caractère !). Tala (jouée par la jolie Lisa Ray) est une jeune femme jordanienne appartenant à une riche famille qui prépare son mariage avec Kareem. Elle rencontre rapidement Leyla (Sheetal Sheth), la petite amie d’un copain. Le premier échange entre ces deux femmes ne se passe pas le mieux possible. Face à leur religion et personnalité différentes, elles argumentent et défendent leur propre vision de la vie.
S’en suivent alors de nouvelles opportunités de se revoir, de discuter et de laisser s’installer un désir jusqu’à créer une histoire d’amour lesbienne entre les deux femmes.
Ce film aborde une diversité de sujets : la pression du mariage pour Tala, la naissance d’un amour lesbien , le coming-out auprès d’une famille chrétienne et auprès d’une famille musulmane. Le choc des religions et la réflexion et ouverture d’esprit que cela amène. C’est un film lesbien à la fois délicat, drôle et sensuel . Entre regards inquisiteurs et répartie cinglante des personnages, I can’t think straight n’a pas si mal vieilli. Tu te retrouvera propulsé · e dans les familles de Leyla et Tala, assez drôles par leur ignorance et leur discours.
On continue avec The World Unseen, réalisé 1 an avant I can’t think straight par la même réalisatrice Shamim Sarif. Et … surprise ! Les 2 mêmes actrices Sheetal Sheth et Lisa Ray jouent encore ensemble dans ce film d’amour .
Nous voilà en 1950 en Afrique du Sud au début de l’apartheid. Amina (Sheetal Sheth) est issue de la communauté indienne d’Afrique du Sud et tient le seul café de la région qui accepte tout le monde : peu importe sa religion, sa culture, sa couleur de peau. Dans un contexte de racisme bien prononcé, elle défend les plus faibles et assume librement aimer les femmes. Miriam (Lisa Ray), mère de famille dévouée suit son mari sans donner son avis et se retrouve dans la même ville qu’Amina. Au fur et à mesure du film, les deux protagonistes se rapprochent. Amina initie Miriam à la liberté et la légèreté. Miriam elle, est une femme au foyer forcée de s’occuper de l’épicerie de son mari et admire l’indépendance d’Amina. Une relation d’amitié puis d’amour s’installe entre les deux femmes.
C’est un plaisir de retrouver les deux actrices dans un autre contexte. Elles changent de caractères, on retrouve Lisa Ray plus introvertie que Sheetal Sheth cette fois, contrairement au film I can’t think straight.
Imagine Me & You est l’un des films que les lesbiennes doivent absolument regarder ! Pourquoi ? Car c’est une comédie romantique mignonne et sympa, idéale à regarder sous la couette au chaud.
Cette histoire se déroule à Londres, le jour du mariage entre Rachel (Piper Perabo) et Hector. Tout est bien organisé jusqu’aux fleurs qui décorent la salle de mariage. Fleurs qui proviennent du magasin de Luce (Lena Headey) et qui assiste également au mariage après avoir amené les bouquets. Les deux femmes se rencontrent et sympathisent.
Quelques jours après, Rachel se rend au magasin de Luce afin de l’inviter à diner. Intéressée ? Non, elle veut juste caser Luce avec l’un de ses amis nommé Coop. Au cours du repas Luce annonce à Hector qu’elle est lesbienne, ce dernier le répète quelques jours après à Rachel. A partir de cet instant, son regarde envers Luce change et l’alchimie déjà naissante entre les deux femmes s’intensifie.
Décidément, il n’est pas bon de se marier à un homme, on risque souvent de tomber sous le charme d’une lesbienne qui passe par là … C’est un film lesbiens à ne pas rater !
D.E.B.S est une comédie américaine, à prendre au 5 e degré. C’est l’histoire d’un groupe de femmes qui étudient pour protéger le pays en tant qu’agents secrets.
Elles participent régulièrement à des missions un peu loufoques (on te l’a dit, 5 e degré) jusqu’au jour où la bande de copines Amy, Max, Janet et Dominique doivent s’occuper de Lucy Diamond, grande voleuse qui semble préparer un mauvais coup. Amy, qui tombe nez à nez avec elle et après avoir essayé de l’arrêter, commence à discuter avec elle pour lui dire combien elle est admirative de ses casses spectaculaires. Les deux filles sympathisent et Lucy s’évapore quand Max, Dominique et Janet débarquent au même endroit. Lucy revient voir Amy en cachette la nuit d’après pour lui faire découvrir son monde. Commence alors une histoire d’amour cachée, entre une bisexuelle gentille et une lesbienne à la réputation dangereuse.
D.E.B.S est un film lesbien à regarder mais avec humour. Il y a beaucoup d’autodérision, de moments ridicules mais c’est justement fait exprès, c’est la thématique du film. Il ne plaira peut être pas à celles et ceux qui recherchent un film lesbien bien construit et réaliste.
Sorti en 2010, Bloomington raconte l’histoire d’amour d’une professeure Catherine et d’une élève connue pour son rôle d’actrice dans une série télévisée plus jeune Jackie.
Catherine, lesbienne affirmée et enseignante en psychologie est connue de ses élèves pour remplir un tableau de chasse imposant. Elle rencontre Jackie, élève timide au début, qui tombe rapidement sous le charme de la femme plus âgée. Chacune fait découvrir son monde à l’autre, parfois cachées dans la bibliothèque de l’université.
Entre relation cachée, différence d’âge et d’ambition, Bloomington est une histoire que l’on regarde de près, en espérant que le film ne se termine pas.
Histoire de continuer dans les films lesbiens gratuit à regarder en streaming entre étudiante et professeure, on s’attarde sur Loving Annabelle, une histoire d’amour entre une étudiante lesbienne et une enseignante bisexuelle dans un établissement catholique au xxe siècle.
Annabelle a 17 ans et arrive dans un pensionnat assez stricte afin de recadrer ses écarts de discipline. Elle est dans le dortoir surveillé par Simone Bradley, une enseignante en lettres et poésie. Simone a une vie plutôt tranquille avec son compagnon, une vie conventionnelle et religieuse. A travers Annabelle, elle retrouve les traits de personnalité qu’elle a mis de côté plus jeune : être frivole, indépendante, libre. Lors des vacances de printemps, elles se retrouvent seules au pensionnant et commencent réellement à se connaître. Annabelle découvre que Simone a un lourd passé et prend à cœur de la soutenir jusqu’à se rapprocher d’elle au point de non retour…
Loving Annabelle est encore disponible en streaming mais a peut être mal vieilli. L’histoire reste quand même prenante car il y a beaucoup d’alchimie entre Simone et Annabelle, beaucoup de désir aussi. La question religieuse est abordée comme la différence d’âge, qui reste un sujet d’actualité.
Qui n’a pas entendu parler de Carol à l’approche de Noël ? Cette petite pépite regroupe sur le même écran Cate Blanchett, Rooney Mara et Kyle Chandler.
Le film se déroule dans la beauté des années 50. Therese est une jeune employée dans un magasin de luxe à New-York. A l’approche des fêtes de Noël elle fait la connaissance de Carol, une cliente habituée, riche et admirée. Leur rencontre simple, se transforme en vrai coup de cœur et évolue vers une relation plus ambiguë. Néanmoins, en 1950 les conventions ne tolèrent pas les sentiments qu’elles éprouvent l’une pour l’autre.
Carol est LE film lesbien qui a cartonné lorsqu’il est sorti en 2016. Pourquoi ? Car il est délicat, l’histoire a du sens, on s’émeut avec les personnages et le casting est captivant. C’est aussi l’un des premiers films lesbiens à être considéré comme un film « normal », avec un gros budget, une belle scénarisation et une promotion internationale. C’est une histoire de deux femmes en quête d’émancipation.
Nous étions obligées de finir cette liste de films lesbiens par Portrait de la jeune fille en feu . Quelle lesbienne ne connaît toujours par Adèle Haenel, Noémie Merlant et Céline Sciamma ? Ces 3 femmes sont devenues des icônes au sein de la lesbosphère. (et au sein de la cause féministe aussi depuis la cérémonie des Césars 2020 ).
Le merveilleux film Portrait de la jeune fille en feu dessine la rencontre en 1770 de deux femmes : Heloïse et Marianne. Heloïse doit être mariée (de force) à un homme milanais et doit se faire peindre pour que ce dernier sache à quoi elle ressemble (c’était un peu le premier tinder quoi). Marianne, peintresse est alors embauchée par la mère d’Héloïse. Héloïse qui ne souhaite pas se marier, refuse d’être peinte et ne sait donc pas que Marianne n’est pas seulement là pour l’accompagner en balade. Marianne passe alors énormément de temps à regarder Héloïse, la contempler pour le soir peindre son portrait en cachette et remplir sa mission. Mais Héloïse remarque ses regards qui ne la laisse pas de marbre et une relation inattendue débute entre les deux femmes.
Portrait de la jeune fille en feu (Portrait of a lady on fire en anglais) a remporté le Prix de scénario au Festival de Cannes tellement l’histoire nous transporte. Les dialogues entre les deux actrices sont profonds, bouleversants. Toute la toile lesbienne s’est embrasée quand le film de Céline Sciamma est sorti. Nous l’avons déjà vu 4 fois de notre côté, essayer c’est l’adopter !! 
Pour télécharger légalement (9,99€) le film en streaming : https://www.universcine.com/films/portrait-de-la-jeune-fille-en-feu (Lien non sponsorisé, on te donne juste un coup de pouce pour le visionner facilement et récompenser légalement l’équipe de merveilleux film)
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La vision qui s’offrait à elle à travers la fenêtre lui donna aussitôt une impression de déjà-vu. Des berlines sombres déversant au compte-gouttes des passagers en tenue d'apparat au pied d’un immense escalier de marbre. Combien de fois avait-elle assistée à cette scène ? Cent fois, mille peut-être. Elle ne savait plus. Il arrivait des fois où c’était une fois par semaine ; elle enfilait le même déguisement, jouait la même comédie et recommençait le weekend suivant.
Comment ai-je pu supporter ça aussi longtemps ?
Un léger raclement de gorge lui fit dévier son regard pour le poser sur la femme qui lui avait donné la vie vingt-quatre années plus tôt. Elle a vieillie . C’est la première chose que Kate pensa lorsqu’elle posa ses yeux sur elle. La vie ne l’a pas pardonnée . Sa mère avait toujours pris extrêmement soin de son apparence – qui ne le faisait pas dans ce milieu ? – et à première vue, elle paraissait toujours époustouflante pour une femme d’une cinquantaine d’années. Mais si on y regardait de plus près, on ne pouvait passer à côté des rides sévères qui marquaient son visage, des cernes qui creusaient ses yeux, mais surtout de sa taille désormais d’une finesse telle que l’on ne pouvait s’empêcher de s’en inquiéter. Je mettrais ma main à couper que les compléments alimentaires sont la seule chose qu’elle avale, désormais . 
- Alors ? demanda-t-elle finalement en faisant dos à la fenêtre contre laquelle elle était appuyée. Tu voulais me voir ; je suis là.
Léonora de Lonay se frotta maladroitement la nuque avant de se lever du fauteuil Louis XVI dans lequel elle s’était assise. Elle hésita un instant avant de prendre la parole.
- Tu es devenue une jeune femme magnifique, dit-elle finalement en s’approchant légèrement.
Kate haussa un sourcil avant de baisser les yeux vers sa robe, ses mains tirant légèrement sur le tissu bordeaux – presque noir dans la faible obscurité de la salle.
- Tu es sûre ? demanda-t-elle, légèrement caustique. Je ne suis pas trop grosse ? Et ma coiffure, elle te convient ? Mon maquillage ? Parce que tu étais assez pointilleuse, là-dessus.
- Je sais, admit la vieille femme d’un ton coupable qui surprit Kate. Mais je suis sérieuse, tu es sublime, Katherine. Tu fais toujours du sport ?
- De l’athlétisme, je n’ai jamais arrêté.
- Eh bien, ça te réussit plutôt bien.
Kate l’observa un long moment avant de porter une main à son visage et relâcher un soupir las.
- Bon, tu as voulu me voir pour me parler de mon physique ? Parce que si c’est ça, une simple investigation auprès de mon médecin traitant t’aurait évité le déplacement.
- Katherine ! s’insurgea aussitôt Léonora, outrée. Je ne ferais jamais une chose pareille !
- Non ? répondit Kate en haussant un sourcil. Tu n’as pourtant éprouvé aucun remord à venir chercher les informations au sein même de mon foyer en téléphonant à ma femme tous les trente-six du mois !
Surprise par les paroles et le ton coléreux, Léonora se recula instinctivement tout en clignant des yeux à plusieurs reprises.
- Je... je ne savais pas que tu étais au courant, balbutia-t-elle enfin.
- Tu avoues donc avoir délibérément demandé à Emma de me mentir, répondit aussitôt Kate, le visage dur. Je ne pensais pas pouvoir te haïr encore plus, mais visiblement, si, c’est possible.
- Kate... je voulais simplement de tes nouvelles.
- Pourquoi ? demanda aussitôt la jeune femme en la clouant du regard. Pour garder un œil sur moi ? Pour réduire de nouveau ma vie en miette à la première occasion ?
- Non ! Bien sûr que non ! s’exclama aussitôt Léonora avec ferveur. Tu es ma fille Kate, je me faisais simplement du souci pour toi et –
Le rire de Kate l’interrompit et elle l’observa, perplexe.
- Tu te faisais du souci pour moi ? demanda Kate une fois plus ou moins calmée. Tu m’envoies dans une pension, puis me coupe les vivres parce que je suis lesbienne, et tu prends soudainement des nouvelles parce que tu... t’inquiètes pour moi ? (Kate s’approcha jusqu’à n’être plus qu’à un mètre de distance.) Non mais qu’est-ce qui cloche chez toi ? La folie t’a finalement atteinte, c’est ça ?
Une main s’abattit sur sa joue avant qu’une voix emplie de colère ne lui parvienne :
- Ne me parle pas sur ce ton, Katherine Alexandra de Lonay ! murmura Léonora avec véhémence. Je reste ta mère que tu le veuilles ou non.
Kate se massa la joue tout en s’approchant jusqu’à être nez à nez avec elle :
- Le jour même où tu m’as envoyée dans cette pension, à l’instant même où tu m’as dit ne pas vouloir d’une lesbienne pour fille... à partir de ce moment-là, tu as cessé d’être ma mère, dit-elle d’une voix grondante. Jessie et la mère d’Emma ont plus une image maternelle pour moi que tu n’as jamais eue, tu trouves ça normal ?
Elle se recula légèrement afin de l’observer de toute sa hauteur :
- Et ne t’avise plus de lever la main sur moi, car la prochaine fois, j’y répondrai... crois-moi.
Léonora haussa aussitôt les sourcils, interdite, et Kate s’assura que son message était bien passé avant de tourner les talons et se diriger vers la porte.
- Katherine attend ! s’exclama finalement Léonora une fois sortie de sa torpeur. S’il te plaît, je... ton père est mourant.
Les paroles de sa mère – hésitantes – lui parvinrent et Kate se figea, une main sur la poignée.
- Il a fait un infarctus il y a deux jours, poursuivit Léonora lorsqu’elle vit Kate s’arrêter. Le dernier d’une longue lignée. Les médecins... il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre.
Sa prise sur la poignée se détendit et Kate vint appuyer son front contre la porte.
- Et tu me dis ça... parce que... ?
- Katherine, soupira Léonora. Je t’en prie, il s’agit de ton père !
- Qui tout comme toi n’en porte désormais plus que le titre, répondit Kate d’un air las tout en se retournant. La seule chose qu’il peut encore attendre de moi, c’est de venir en blanc à son enterrement, ajouta-t-elle dans un petit sourire en coin.
Léonora porta aussitôt sa main à ses lèvres et Kate crut un instant qu’elle allait s’évanouir. Son regard s’attarda cependant sur le fond de teint qui peinait à dissimuler les cernes de la femme qui avait un jour été sa mère, sur ses beaux vêtements masquant avec difficulté sa maigreur, et elle se demanda si elle n’avait pas pensé trop vite ; Léonora lui apparaissait soudainement comme une personne durement éprouvée dans sa chair. Hmm, je suppose que le paternel va vraiment mal, alors.
- Ne dis pas ce genre de chose, Katherine, gronda Léonora d’une voix tremblante alors que ses yeux s’humidifiaient. Ton père a peut-être de nombreux défauts, mais il a toujours fait ce qu’il croyait être bien. Il voulait le mieux, pour toi.
Kate serra la mâchoire avant de soupirer.
- Bien, répondit-elle en s’approchant à nouveau. J’en ai marre de tout ça. J’en ai marre, de toi, de lui, de votre implication dans ma vie. Je ne sais pas qu’elles étaient vos intentions. Bonnes, mauvaises ? Peu importe. Elles m’ont blessée. Elles m’ont détruite. Et il m’a fallu un temps considérable pour m’en remettre.
Le faible murmure lui parvint et Kate s’interrompit aussitôt, clignant des yeux.
- Je suis désolée, répéta Léonora d’un ton un peu plus fort. Tu n’étais qu’une adolescente, Katherine. Je pensais que tu étais peut-être perdue, que tu avais besoin d’être encadrée et...
- J’étais amoureuse, maman, répondit Kate les dents serrées alors qu’elle refoulait ses larmes.
- Tu as cessé de m’appeler ainsi depuis que tu es entrée dans l’adolescence.
- Je suppose que ça aurait dû te mettre l
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