Une latino prend cher

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El poder no se gana, se toma . « Le pouvoir ne se gagne pas, il se prend. »
Peut-ĂȘtre Evo Morales, le prĂ©sident bolivien, qui vient de dĂ©missionner sous la pression de la rue, se souvenait-il de cet adage latino-amĂ©ricain, cher Ă  l’inconscient autoritaire de cette rĂ©gion du monde.
Avec l’idĂ©e que non seulement le pouvoir « se prend », mais qu’il ne se partage pas
 et qu’ensuite, on le conserve par tous les moyens ! Avec une succession de caudillos de gauche et de droite qui, d’un bout Ă  l’autre du sous-continent, ont rĂ©guliĂšrement foulĂ© au pied la libertĂ© et la souverainetĂ© populaire
 parfois aprĂšs les avoir incarnĂ©es.
C’est ainsi que Morales, premier prĂ©sident autochtone de la Bolivie, a commencĂ© il y a trois ans Ă  finasser avec la volontĂ© populaire. AprĂšs trois mandats (lĂ©gitimes) au cours desquels il a pu, tout en s’alliant Ă  l’internationale de la gauche autoritaire (La Havane, Caracas), amener de rĂ©els progrĂšs Ă©conomiques pour son pays.
Mais lorsqu’il a demandĂ© par rĂ©fĂ©rendum, en 2016, la permission de postuler un quatriĂšme mandat, le peuple a dit « non ».
Ivre de ses prĂ©rogatives, roi Ă©lu des populations autochtones des montagnes, mais autocrate dangereux selon la classe moyenne de la plaine, Morales a passĂ© outre. Ce qui a menĂ© logiquement Ă  l’étape suivante : une Ă©lection oĂč ses appuis ont baissĂ©, au point de menacer son maintien au pouvoir

RĂ©sultat : la tricherie Ă©lectorale du 20 octobre, confirmĂ©e par une enquĂȘte de l’Organisation des États amĂ©ricains, et qui a mal tournĂ©. Une bonne partie de la population — et pas seulement les bourgeois — est descendue dans la rue, avec un effet domino qui a ensuite vu l’armĂ©e, la police, et jusqu’aux proches de Morales lui-mĂȘme, le convaincre de lĂącher prise.
« Les groupes oligarchiques ont conspirĂ© contre la dĂ©mocratie, a-t-il dit en annonçant sa dĂ©mission. C’est un coup d’État civique et policier. » Mais sa tentative de coup d’État Ă  lui, comment la qualifier ?
À la dĂ©charge du prĂ©sident dĂ©chu, il n’a pas fait massacrer la foule protestataire, et les rĂ©sultats des urnes ont finalement eu l’effet dĂ©sirĂ©. On connaĂźt des pays — Venezuela, Nicaragua, et ne parlons pas de Cuba — oĂč la rĂ©pression brutale aurait Ă©tĂ© l’unique rĂ©ponse.
DeuxiĂšme arrĂȘt : le Chili de SebastiĂĄn Piñera, prĂ©sident de droite d’un pays passĂ© Ă  la dĂ©mocratie il y a trente ans, aprĂšs quinze annĂ©es de dictature militaire. Mais un pays oĂč, devant la rĂ©volte Ă©conomique populaire d’une ampleur inouĂŻe, les forces de l’ordre ont — dans un premier temps — rĂ©agi d’une maniĂšre brutale, rappelant de forts mauvais souvenirs Ă  beaucoup de Chiliens.
Au dĂ©but des annĂ©es 1990, le Chili a rĂ©ussi sa « premiĂšre transition », avec le rĂ©tablissement sans heurts d’un pouvoir civil et l’alternance au pouvoir. Et des prouesses macroĂ©conomiques qui l’ont Ă©levĂ© au niveau du « premier monde ».
Mais cela s’est fait au prix d’inĂ©galitĂ©s parmi les plus accusĂ©es de toute l’AmĂ©rique latine, d’un « État minimal » en matiĂšre de santĂ© ou d’éducation publiques, et d’une « dĂ©mocratie de notables » contre laquelle se sont justement rĂ©voltĂ©s les oubliĂ©s de la prospĂ©rité 
Dans une Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e Ă  l’échelle nationale, le prĂ©sident Piñera, vrai conservateur chilien et enfant pas si lointain de la dictature, y est allĂ© d’un mea culpa remarquable : « Oui, je suis conscient que nous avons dĂ©montrĂ© un manque total de vision. Je prĂ©sente donc mes excuses Ă  mes concitoyens. »
OĂč l’on entend le vieux conservatisme chilien, compagnon de route de l’autoritarisme, esquisser enfin cette « seconde transition », sociale, que les manifestants de Santiago appellent dĂ©sespĂ©rĂ©ment de leurs voeux.
Enfin, un mot pour saluer la libĂ©ration, vendredi au BrĂ©sil, de l’ancien prĂ©sident Luiz InĂĄcio da Silva, jetĂ© l’an dernier en prison aprĂšs des procĂšs manifestement iniques et politiques, dans un pays lui aussi coupĂ© en deux.
Mais un pays oĂč, contrairement Ă  la Bolivie, Ă  l’Argentine et Ă  quelques autres, la tendance autoritaire s’est rĂ©solument fixĂ©e du cĂŽtĂ© droit de l’échiquier politique. Un Ă©chiquier que le retour en piste du dĂ©mocrate Lula pourrait bouleverser.

Du lundi au samedi, dĂ©couvrez l’essentiel de l’actualitĂ©.


Le prĂ©sident Piñera se dit maintenant ouvert au dialogue, mais n’entend pas dĂ©missionner.

Un mandat d’arrĂȘt a Ă©tĂ© lancĂ© contre lui, a annoncĂ© l’ex-prĂ©sident dimanche.

Evo Morales quitte le pouvoir avec un bilan positif dont la droite religieuse ne veut plus.

Chronique
Tout le monde serait mieux servi si on pouvait Ă©mettre des bulles de texte bleues Ă  partir d’Android.

Chronique
Les banquiers centraux sont conviés à leur pÚlerinage annuel à Jackson Hole, Wyoming, vers la fin de la semaine.

Chronique
LĂ©vesque Ă©tait juste devant moi. Je me suis absentĂ©. Puis j’ai passĂ© ma vie Ă  tenter de le retrouver.
Morales serait-il victime d'un vent d'aviditĂ© et de 'chacun pour soi'de la part d'une classe moyenne grandissante et plus Ă  l'aise qu' il a lui-mĂȘme crĂ©Ä—e. C'est dĂ©courageant !
Non Ă  votre question. Evo Morales reprĂ©sente l’extrĂȘme gauche qui promettait mer et monde Ă  la population sans jamais livrer la marchandise. Tout comme pour le Venezuela, rien n’est gratuit en ce bas monde. Vous dĂ©pensez l’argent que vous n’avez pas et viendra bientĂŽt des rĂ©alitĂ©s Ă©conomiques qu’on ne pourra plus occulter. L’hyperinflation en Bolivie est imputable aux importantes dĂ©penses publiques consacrĂ©es aux programmes d’investissement public. Le gouvernement a dĂ©pensĂ© tout cet excĂ©dent d’argent en raison de l’écart important entre les riches et les pauvres. Comme cette dette s’est accumulĂ©e pendant longtemps, le gouvernement bolivien a dĂ» choisir d’imprimer un excĂ©dent d’argent et bonjour inflation.

En passant, Morales, un syndicaliste, a fait brĂ»ler le quart des forĂȘts en Bolivie afin de satisfaire la demande de pĂąturages des fermiers et celles des exploiteurs de gisements pĂ©troliers et gaziers. Comme quoi, la gauche est encore plus hypocrite que la droite en se drapant de toges vertueuses alors qu’ils font aussi pire que tous les Donald Trump de ce monde. Ici au QuĂ©bec, nous avons QuĂ©bec solidaire pour nous rappeler les frasques et les idioties des extrĂ©mistes de gauche.
Monsieur Dionne semble mélanger tous les pays d'Amérique du Sud dans un seul. La nationalisation de certains secteurs a permis à l'état d'améliorer d'une maniÚre notoire la situation des plus pauvres et des autochtones sans provoquer une hyperinflation. L'hyperinflation est plutÎt le sort de l'Argentine, pays voisin qui a versé vers la droite il y a quelques années. Il y a inflation en Bolivie mais elle est relativement contenue à 2,3% en 2018.

Celui qui fait brĂ»ler les forĂȘts pour ouvrir des pĂąturages et donner accĂšs aux mines et aux compagnies pĂ©troliĂšres et gaziĂšres c'est le prĂ©sident Bolsonaro du BrĂ©sil (extrĂȘme-droite trumpienne). S'il est vrai que le gouvernement Morales a tentĂ© d'ouvrir des routes sur les terres autochtones en Amazonie bolivienne, il a dĂ» faire face Ă  une trĂšs forte rĂ©sistance des peuples qui y vivent. Il y a quand mĂȘme une certaine pĂ©nĂ©tration industrielle de l'Amazonie, ce qui a provoquĂ© des feux de forĂȘts rĂ©cemment mais c'est trĂšs loin d'ĂȘtre Ă  l'Ă©chelle de la dĂ©vastation du BrĂ©sil. Il faut aussi mentionner des tendances du mĂȘme genre au PĂ©rou et en Équateur mais lĂ  aussi la dĂ©vastation a Ă©tĂ© moins grande qu'au BrĂ©sil surtout en raison surtout de l'opposition des peuples autochtones.

La « gauche » bolivienne est demeurĂ©e relativement rĂ©servĂ©e en comparaison de celles du Venezuela et, surtout, de Cuba mais il est clair que ce sont les peuples autochtones et les moins favorisĂ©s qui ont bĂ©nĂ©ficiĂ© des rĂ©formes du MAS alors que l'oligarchie colonaliste a subi un net recul, ce qui a profondĂ©ment irritĂ© non seulement les « Ă©lites » locales mais aussi les États-Unis. En politique, il n'y a pas de perfection ni de vertueux et que ce soit Ă  gauche ou Ă  droite, les extrĂȘmes provoquent de l'instabilitĂ© sauf qu'en Bolivie on a tentĂ© de mĂ©nager la chĂšvre et le chou, ce qui n'a
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