Une latine divine s'occupe de son homme

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Une latine divine s'occupe de son homme

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Kiffs



Création : 29/09/2014 à 21:49
Mise à jour : 12/08/2022 à 14:06

# Posté le lundi 15 décembre 2014 20:59

Tigresse64 ,
Posté le mercredi 16 décembre 2015 00:36

Les gars on envie de coucher avec elle.

Visiteur ,
Posté le samedi 23 mai 2015 12:13


LuiElle54500 ,
Posté le samedi 28 mars 2015 16:57


BONNEVISITEATOUTES ,
Posté le mercredi 25 mars 2015 15:31


BONNEVISITEATOUTES ,
Posté le mercredi 25 mars 2015 15:28


BouletteTime ,
Posté le samedi 14 mars 2015 16:40


kiki50360 ,
Posté le mercredi 14 janvier 2015 02:32


nicoco791 ,
Posté le jeudi 08 janvier 2015 21:43


alexinitalia ,
Posté le mercredi 07 janvier 2015 21:26


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↑ [Fichier: http://peresdeleglise.free.fr/chronologie.htm [ archive ] ]

↑ Revenir plus haut en : a b et c Pierre Monat, « Lactance, l'homme et l'œuvre » dans Vita Latina , N°130-131, 1993. pp. 47-52.
Lecture sur persee.fr [ archive ]

↑ Vincent Serralda et André Huard , Le Berbère-- lumière de l'Occident , Nouvelles Editions Latines , 1984 , 171 p. ( ISBN 978-2-7233-0239-5 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 56

↑ Annales de la Société d'histoire et d'archéologie de l'arrondissement de Saint-Malo , 1957 ( lire en ligne [ archive ] ) , p. 83

↑ Gilles Manceron et Farid Aïssani , Algérie : comprendre la crise , Editions Complexe , 1996 , 232 p. ( ISBN 978-2-87027-661-7 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 161

↑ Dérives , 1985 ( lire en ligne [ archive ] ) , p. 15

↑ Jean-Jacques Rouch, « Lactance », Dictionnaire des théologiens et de la théologie chrétienne , Bayard - Centurion, 1998, p. 266

↑ Oliver Nicholson, "Introduction", The Classical or Christian Lactantius , Markus VINZENT (dir.), Studia Patristica vol. LXXX , volume 6, Paris - Peeters, 2017, p. 7

↑ L.III, chap.XXIV.






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Pour les articles homonymes, voir Lactance (homonymie) .

Lucius Caecilius Firmianus , dit Lactance (du latin Lactantius ), est un rhéteur né vers 250 à Civitas Popthensis [ réf. souhaitée] (Actuelle Henchir Kssiba , en Algérie ), en Afrique romaine , et mort vers 325. Il a été surnommé le « Cicéron chrétien » en raison de l'élégance de sa prose latine [ 1 ] .

Élève d' Arnobe , à Sicca Veneria en Numidie (la ville actuelle d' El Kef en Tunisie ) il entame une carrière de rhéteur sous le règne de Dioclétien , devient chrétien puis tombe en disgrâce en 304 lors de la persécution de Galère . Lorsque Constantin devient empereur, il est appelé à sa cour où il vivra jusqu'à la fin de ses jours. Il y fut précepteur de Crispus , le fils ainé de Constantin. Lactance partage avec Constantin une vision théologico-politique du monde et de l'histoire centrée sur les thèmes de la Providence et de la colère divine. Il développe une conception de l'histoire marquée par une forme de fatalisme. Le monde est pour lui entièrement dirigé par la Providence de Dieu tandis que tout ce qui advient, en bien comme en mal, concourt à la réalisation de la justice divine.

Lactance estimait que les textes bibliques n'étaient pas d'une grande qualité littéraire. Si cette considération, fréquente parmi les auteurs chrétiens de son temps, ne les empêchait généralement pas de s'appuyer sur les écrits bibliques et évangéliques pour présenter le christianisme, elle a conduit Lactance à rédiger une œuvre ancrée dans la culture littéraire et philosophique de son temps, qui puisse servir de propédeutique au christianisme, mais qui laisse presque complètement de côté les écritures chrétiennes [ 2 ] .

Les appréciations portées sur l'œuvre de Lactance sont diverses, il a influencé Augustin d'Hippone et Jérôme de Stridon . Ce dernier estimait qu'elle était « comme un fleuve d'éloquence cicéronnienne », mais il regrettait que son auteur ait consacré plus d'énergie à détruire les doctrines des autres qu'à présenter celle des chrétiens. Par suite, à la fin du V e siècle, un texte attribué au pape Gélase a fait état d'un dualisme chez Lactance entre un Dieu bon et un Dieu de colère, et a situé son œuvre parmi celles à ne pas lire. Ce jugement a fait que Lactance ne fut jamais unanimement considéré comme un Père de l'Église , bien que l'étude de ses œuvres occupe une place importante dans le champ de la patristique latine [ 2 ] .

L'ancrage de l'œuvre de Lactance dans la littérature de l'Antiquité plutôt que dans les écritures chrétiennes amènera les humanistes de la Renaissance à le reconnaître comme l'un des leurs. Considéré comme le « Cicéron chrétien » , Lactance est très lu et apprécié jusqu'au XVIII e siècle, époque à laquelle son style véhément et polémiste commence à susciter du rejet. Raillé par Voltaire qui en fait le parangon du Père de l'Église ignorant, véhément et qui prétend tout savoir avec orgueil, Lactance est ensuite méprisé par la critique universitaire. L'intérêt pour son œuvre s'est renouvelée au XX e siècle. En français, ses écrits ont été de nouveau étudiés, traduits et publiés, notamment dans la collection Sources chrétiennes avec le concours de chercheurs tels que Pierre Monat, Michel Perrin et Jacques Fontaine [ 2 ] .

Né en Afrique proconsulaire , d'origine berbère [ 3 ] , [ 4 ] , [ 5 ] , [ 6 ] , Lactance est à l'origine païen et élève d' Arnobe , un rhéteur chrétien, et part s'installer à Nicomédie en Bithynie . C'est là qu'il se convertit au christianisme. Cette installation professionnelle à Nicomédie est apparemment malheureuse car la ville est de langue grecque et Lactance trouve peu d'élèves. Mais c'est aussi là qu'il se lie avec le futur Constantin I er . Il perd son travail lors de la persécution anti-chrétienne à l'initiative de Galère vers 304. Ainsi il occupe ses loisirs à écrire. La fin de sa vie est moins mouvementée car Constantin I er le charge de l'enseignement de la littérature latine à son fils aîné Crispus .

« Témoin du syncrétisme philosophico-religieux de son temps, il développe une théologie approximative ou archaïque, parfois franchement erronée. Sa célébrité repose surtout sur le classicisme de son style, son éloquence et son souci apologétique dans la présentation du message chrétien aux élites cultivées de son temps [ 7 ] . »

Ses lettres, ses vers d'avant sa conversion sont perdus. Après sa conversion, ses ouvrages sont dominés par un thème majeur celui de la Providence .

Son livre principal, les Divinae institutiones , est composé de 7 ouvrages dans lesquels il cherche à expliquer aux païens , du moins à ceux qui possèdent de l'instruction, que le polythéisme est indéfendable et que la raison oblige à admettre les dogmes et la morale du christianisme .

Lactance est également l'auteur de De Mortibus Persecutorum ( Sur les morts de persécuteurs ), une œuvre polémique écrite ca. 313 et 315 [ 8 ] . réapparue au XVII e siècle, dans laquelle il affirme que les empereurs persécuteurs sont de mauvais empereurs et ont connu une mort affreuse, ce qui est un châtiment divin. Il y attaque particulièrement l'empereur Galère , qu'il présente comme inspirateur de la persécution de Dioclétien.

On lui attribue un Carmen de ave phoenice ( Chant sur l'oiseau phénix ), l'un des textes les plus riches sur le phénix .

« Illustre écrivain mais piètre astronome qui parle de manière infantile de la forme de la Terre quand il se moque de ceux qui déclarent qu’elle a la forme d’un globe » : ainsi le qualifie Nicolas Copernic dans sa dédicace au pape Paul III Des révolutions des sphères célestes de 1543. Cette image d'un Lactance défenseur de la théorie de la terre plate apparaît dans la littérature polémique dès la Renaissance, on la retrouve encore propagée aujourd'hui chez des historiens peu vigilants comme W.G.L. Randles. Elle s'appuie sur un passage obscur des Divinæ Institutiones qui dit ceci :

« Ceux qui pensent qu'il y a des antipodiens opposés à nos pas, cela a-t-il quelque sens ? ou bien y a-t-il quelqu'un d'assez inepte pour croire qu'il y a des hommes dont les plantes des pieds sont au-dessus de leurs têtes ? ou bien que ce qui y est posé par terre, pour nous, pend en étant renversé ? que les herbes et les arbres croissent vers le bas ? que les pluies, la neige et la grêle tombent sur terre vers le haut ? »

— Lactance, Divinæ Institutiones [ 9 ]
Les Antipodiens désignent théoriquement les habitants de l'hémisphère sud. Cependant, aux premiers siècles après Jésus-Christ, le terme a un sens plus large et peut également désigner des peuples souterrains ou les habitants d'une terre symétrique opposée au Soleil. Dès lors il est difficile d'affirmer si, dans ce passage, Lactance soutient l'hypothèse de la platitude de la terre, qui est d'ailleurs rejetée par les savants hellénistes, ou s'il condamne d'autres théories.




Croix latine, divine de soi


koya-al-gaad




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Quand la croix, de sa ligne horizontale, monte à l'Esprit en gravissant la verticale, et de sa ligne verticale pénètre la matière, descendant jusqu'à la terre et touchant les monts de telurie, elle fait équilibre au point où se croisent ces deux énergies : le coeur de l'homme qui la libère de son sens et encense le proscrit.
Si l'Église avait su, mais a plutôt caché, l'essence divine qui dormait en chaque être de Terre et hors d'elle, elle aurait transmis une antique science qui tout lie, où n'ère la vérité en quête d'un coeur qui s'illumine.
Le Saint est celui qui, ayant compris la gnose qui vit en lui, la transmet et sait chacun comme lui, cherchant le chemin qui mène à d'autres nuits. Le Saint est celui qui croît en l'Origine et l'assimile, pour faire dignes ceux qui la suivent : Il la dessine dans les cieux pour les peuples qui y aspirent. Il est Isa qui ressuscite, al-Massih qui prédit, il est Muhammad qui nous dicte, Ahmad et son livre... il est Josué et Élie, Samuel et Isaï... bouddhiste en hindi, près des soufis ou du sanskrit qui a écrit les bases de nos racines : un panthéon qui matérialise ou l'Unité de l'Esprit, mais la mission en est seule envie, et l'expérience l'outil.
Je ne suis pas chrétien, et je ne suis pas pro esprit catholique vous savez. Mais là, je comprends cette croix et je la trouve moins violente surtout. Ca à l'air tellement plus vrai qu'un objet de crucifixion! Ou de guerre de religion,vu que vous rattachez ce symbole aux autres religions. Merci
Exactement, ce n'est pas catholique mais chrétien. Chrétien, vrai chrétien, c'est être pieux. Tous les autres religieux le sont, les scientifiques, les artistes et les penseurs aussi... le secret, c'est la contemplation Amicalement
Vos mots sonnent comme une prophétie...
Ce ne sont pas les miens, ils appartiennent à tous, et viennent d'un principe qui n'est pas de moi... merci Bien à vous
Vous maîtrisez l'art de la poésie en prose à merveille. Ça glisse tout seul si j'ose dire. Délicatement reposant.
Merci Enzogrimaldi. Vous pensez que ça peut être un meilleur vecteur que la poésie en vers? Bien à vous
Je pense que la prose, poétique ou pas d'ailleurs, est un meilleur vecteur pour exprimer une réflexion car on peut davantage développer. La poésie, la vraie,est tout d'abord hors de portée de la plupart d'entre nous car il s'agit d'un art d'une finesse inouïe, et si elle peut aussi exprimer des idées je crois que c'est surtout le vecteur des emotions, des sensations,des profondeurs innées, bref de l'indicible par la prose.
J'aime votre manière de voir la poésie, comme dans tous les arts l'artiste devient vecteur. L'indicible rend toute chose belle, tant que l'on ne tente pas l'analyse. En ne restant qu'ici, voyez mes analyses, je pense qu'il y a mieux ne serait-ce que dans ma poésie! Et si l'on s'aventure plus loin on se rend compte qu'il y a toujours quelque chose qui oppose analyse et poésie... peut-être est-ce le cloisonné et la liberté même qui s'opposent? Faudrait essayer de les réunir pour savoir... Merci pour cette idée! Après il est vrai que la prose poétique a l'air de déjà allier les deux x)

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