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Une nuit dans le bois de Boulogne avec « le boss »


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par
Geoffrey Le Guilcher

Publié le 14 janvier 2014 à 15h08 Mis à jour
le 14 janvier 2014 Ă  15h08

Des prostituées au bois de Boulogne (Reuters/Christian Hartmann)
Entre la « rue des prix cassés », le « spot des Brésiliennes », le « village des tentes », Johann Zarca a passé quelques nuits blanches poudrées et enfumées à parcourir le bois de Boulogne au milieu des transexuel(le)s et travesti(e)s. Il en a tiré un roman, « le Boss de Boulogne », qui paraßt le 16 janvier. Reportage nocturne sur les traces de sa prose argotique.
« Putain, je viens de me faire contrĂŽler par la bac dĂšs la sortie du mĂ©tro « , lĂąche Johann Zarca en surgissant avec son pantalon de survet’ gris clair, un gros sac plastique noir en main. « Ils Ă©taient trois, me dit-il en jetant un coup d’oeil derriĂšre lui, vers le rond point de la porte Dauphine . Ils m’ont demandĂ© ce que je faisais avec autant d’alcool sur moi. » Et t’as dit quoi ? « Que j’allais au bois de Boulogne avec un journaleux. »
Minuit, vendredi 10 janvier. Un bonnet, une capuche, des godasses pourries, du rhum anti froid et de la verdure. SapĂ©s comme des clandestins franchissant le rideau de fer dans le mauvais sens, cette nuit, avec mon passeur, on compte pĂ©nĂ©trer en pays Ă©tranger. « Le deuxiĂšme BrĂ©sil « , Ă©crit Zarca dans son roman Le Boss de Boulogne*, qui paraĂźt dans deux jours. Son conte, rĂ©digĂ© en argot extra pĂ©riphĂ©rique, dĂ©crit l’ascension d’un lascar de citĂ© – le boss – qui monte une PME fournissant toutes sortes de drogues aux transsexuel(le)s et travesti(e)s se prostituant au « bois de Boubou ». Une business story vite perturbĂ©e par un flic, des gitans et un serial-killer de trans’.
« Sans sa nuit, le Bois n’est rien »
Il y a trois ans, seul ou avec des potes, Johann Zarca passait ici des nuits Ă  zoner. A boire du whisky-coca. A fumer de la rĂ©sine. A taper de la coke sur son poignet. Bref, Ă  pratiquer et Ă  enregistrer les rites des noctambules. Ceux que la rubrique « sociologie » de la page WikipĂ©dia du Bois Ă©vacue d’une unique phrase : « Le bois de Boulogne est l’un des lieux de la prostitution parisienne (hĂ©tĂ©rosexuelle, homosexuelle et transgenre) « .
La définition littéraire du boss diffÚre :
« Le bois de Boubou. La cour des vices. Le deuxiĂšme BrĂ©sil. Le terre-terre des chlagues. Le coupe-gorge aussi. Glauque. Hardocre. Trash. Tout le monde connait le bois de Boulogne ou en a dĂ©jĂ  entendu parler. Sans sa nuit, le Bois n’est rien. Sans sa nuit, on n’en parlerait pas. Vite fait du jardin d’Acclimatation, et encore. »
Le bois est un monde sectorisĂ©. La nuit, l’allĂ©e de Longchamp ou la route de la Porte Dauphine Ă  la Porte des Sablons dĂ©laissent leurs noms officiels. Pour enfourcher les caractĂ©ristiques des habitants relevĂ©es par Johann Zarca : « rue des prix cassĂ©s », le « spot des BrĂ©siliennes », le « corner des Antillaises », le « village des tentes » 
Du coin des branleurs à la rue des prix cassés
« Tiens viens, avant de se lancer, on va commencer par jeter un oeil au coin des branleurs « . Entre l’universitĂ© Paris Dauphine et l’ambassade de Russie, trois rues et un square forment le coin des branleurs. Des silhouettes y font des allers-retours sur les trottoirs. Elles s’éloignent un peu Ă  notre passage. « DĂšs qu’ils repĂšrent une caisse, ils s’avancent. Et s’ils aperçoivent une meuf Ă  l’intĂ©rieur, hop, ils se branlent devant. Ça peut surprendre « , se poile Johann Zarca. On revient vers la porte Dauphine en longeant le pĂ©riph intĂ©rieur. Deux ou trois gigolos attendent le client. Le Bois s’ouvre devant nous.
Au dĂ©but du livre, le boss de Boulogne pĂ©nĂštre les lieux par le mĂȘme chemin que nous cette nuit :
« La route de la porte Dauphine qui mĂšne Ă  la porte des Sablons, on l’appelle ‘la rue des prix cassĂ©s’ ou ‘la rue des michetons qui ont les crocs’. Des putains de travs chaussĂ©s de cuissardes ou de talons aiguilles, emballĂ©s de latex, de vinyle ou de cuir, en mode grosses timpes qui se respectent peu. Des types mĂȘme pas rasĂ©s flanquĂ©s de perruques brunes ou blondes, de Rimmel et de fard bien noir tout autour des yeux. »
Ce soir, sur le bas cÎté de la rue des prix cassés, peu de cuissardes, une dizaine à peine. Ici, le froid chasse le vendeur comme le client. On passe devant trois travestis qui écoutent du son sur un portable. Ils sirotent entre eux un mélange sans nous calculer. Deux camion-chambres stationnent, dont un tapageur Renault trafic rouge de premiÚre génération. Ici, les passes sont moins chÚres que les tarifs en vigueur plus loin. La grille de base du Bois étant vingt euros la pipe et trente euros la passe.
On tourne Ă  gauche au corner des Antillaises, dĂ©sert ce soir. « L’étĂ©, ça n’a rien Ă  voir, prĂ©cise Johann Zarca. C’est carrĂ©ment la foire Ă  la saucisse normalement. LĂ , y a personne en comparaison. » On s’enfonce de cinquante mĂštres dans la pĂ©nombre du Bois. Petite pause. Il commence Ă  flotter. Pour ne pas rester toute la nuit au rhum Negrita pur, on sort du sac noir deux mĂ©langes rhum-multivitaminĂ©.
Johann Zarca dĂ©barque la premiĂšre fois dans le Bois dans ses annĂ©es lycĂ©e. « Je me suis tout de suite dit :’putain, faudrait Ă©crire un livre sur ce lieu’. » Il accompagne alors un pote qui vendait quelques barrettes de shit aux plantureuses crĂ©atures locales. D’abord en voiture, comme la majoritĂ© des clients-voyeurs-curieux qui passent. Puis Ă  pied, comme les petits groupes de jeunes lascars que l’on croise tout au long de la nuit. « Ces types se disent au dĂ©part qu’ils vont venir foutre un peu la merde, mais en fait, ils sont vite fascinĂ©s. Ils forment une bonne partie de la clientĂšle. »
Lui aussi, il a Ă©tĂ© captivĂ© par les trans’, jusqu’à s’offrir quelques fellations. « J’étais pas mal culture porno Ă  l’époque. Et ici, les trans brĂ©siliens ressemblent Ă  des actrices de films de boule, elles sont vraiment excitantes. Tu ne vois pas des meufs comme ça ailleurs. » Dans le roman, le boss, lui, se bat en permanence contre son attirance grimpante pour ces personnes nĂ©es hommes et devenues femmes. L’inverse Ă©tant plus rare au Bois. Au fil des pages, le boss finit obsĂ©dĂ© par ces corps bombĂ©s qui l’entourent, comme pour Noy, un trans’ thaĂŻlandais :
« Une poitrine de dĂ©esse, un cul rond comme un ballon et une moue de quĂ©mandeuse. Ses traits sont fins, tout comme son profil et sa silhouette ; Ă  s’y mĂ©prendre, Noy ressemble Ă  une femme. Jusque-lĂ , je croyais pouvoir reconnaitre un trans grĂące Ă  sa pomme d’Adam – Ă  l’ancienne. Mais Alexia, un joli tapin du Bois, m’a expliquĂ© une nuit que les toubibs savaient maintenant la dĂ©gager. Noy est un des rares trans opĂ©rĂ©s ‘à donf’ : elle a fait remplacer sa bitte par une teuche. Une vraie racli Ă  prĂ©sent, et pour cramer qu’en rĂ©alitĂ© il s’agit d’un ancien keum, il faut avoir trainĂ© de prĂšs avec des androgynes. »  
L’univers du Bois, Johann Zarca le dĂ©peint aussi au travers des autres dĂ©pendants du secteur. Comme ces trois Chinois vendeurs ambulants, les Ă©piciers du Bois. Ce sont eux qui donnent rapidement au boss l’idĂ©e de monter une entreprise dans les parages : « Sans dĂ©c’, le bois de Boubou est un grand spot de dĂ©foncĂ©s, avec tout un tas de lovĂ©s Ă  brasser. Si des Chinetoks arrivent Ă  palper avec des casse-dalles et de la pillave, je n’imagine mĂȘme pas les couilles en or que je vais pouvoir m’offrir avec de la came. » Et le boss lance son biz, rapidement une trentaine de lieutenants et de guetteurs bossent pour lui.
On repart le long de l’allĂ©e de Longchamp, une longue nationale qui coupe en diagonale les 846 hectares du Bois. Johann Zarca se met en tĂȘte de me prĂ©senter au moins un Chinois-Ă©picier. On passe au « spot des Roumaines ». Les seules qui ont peut-ĂȘtre un mac ici, me prĂ©cise mon guide. Les trans’ sont rĂ©putĂ©s indĂ©pendants. Ce soir, sous les prĂ©aux, point de Roumaines, juste un trans’ qui fait le pied de grue. On s’arrĂȘte. Mais la grande demoiselle toute vĂȘtue de latex noir n’a pas trop envie de parler Ă  deux types encapuchonnĂ©s, bouteilles en main, qui cherchent un Chinois. On retraverse la nationale en direction de l’allĂ©e de la Reine Marguerite, cƓur du Bois. Sans prĂ©venir, un type sort des arbres et entre dans une MĂ©gane ScĂ©nic stationnĂ©e en warning. Johann Zarca me dit de m’arrĂȘter, de boire une gorgĂ©e de multivitaminĂ© et d’attendre. « Tu vas voir, le mec n’est pas venu pisser. » Vingt secondes passent et une bimbo sort du Bois en tirant sur sa mini jupe blanche. Elle se rĂ©installe au bord du bitume, sous son parapluie.
A l’angle d’un petit carrefour croisant l’allĂ©e de Longchamp, un groupe d’une dizaine de trans’ brĂ©siliens nous lance des « mi amol » . Johann leur rĂ©pond : « Combien pour vous toutes et nous deux ? » Elles se marrent. Mais n’ont pas vu passer de Chinois. Un quart d’heure de marche plus loin, on arrive au village des tentes ou « spots des meufs ». « Le spot des meufs forme le croisement de Reine-Marguerite et de l’avenue de l’Hippodrome , Ă©crit le boss. Les filles se font baiser Ă  l’abri de tentes montĂ©es Ă  l’arrache. »
Ce soir, une seule « tente » est montĂ©e. Rien Ă  voir avec un modĂšle Quechua dĂ©pliable, une simple bĂąche a Ă©tĂ© tendue en carrĂ© entre quatre arbres. L’étĂ©, les clients dĂ©filent un Ă  un Ă  l’abri de ces cache-sexe plastifiĂ©s. DerriĂšre les tentes, Ă  une petite centaine de mĂštres au milieu des arbres, nouvelle pause. Une bonne heure Ă  fumer et Ă  siroter debout. Notre poste d’observation fait office de QG au boss. Lui et ses lieutenants y passent des heures Ă  se dĂ©foncer Ă  la blanche, la tise et accessoirement Ă  organiser le business. Le choix du lieu s’est imposĂ© car ce coin enfoncĂ© dans le Bois permet d’observer une large partie de la route tout en Ă©tant totalement invisible de l’extĂ©rieur. Loin devant nous, les lampadaires longeant la chaussĂ©e diffusent une lumiĂšre jaune-orangĂ© de parking de supermarchĂ©. L’obscuritĂ© n’est jamais totale Ă  l’intĂ©rieur du Bois, on voit en gris mais on voit.
Johann Zarca me raconte qu’il Ă©crit depuis qu’il a six ans. AprĂšs avoir hĂ©sitĂ© Ă  quitter le lycĂ©e pour l’écriture, il se ravise. Et essaye plusieurs trucs. Les sports de combats : boxe thaĂŻ, judo-jujitsu (jusqu’au brevet d’Etat d’éducateur sportif) puis free fight. Deux ans d’entrainement « en mode pro » pour finalement se rediriger vers le journalisme. Quelques mois au Cambodge le persuadent que ce n’est pas son truc non plus. Il aime trop raconter les histoires Ă  sa maniĂšre. Il dĂ©cide alors de consacrer ses journĂ©es Ă  son clavier. Johann Zarca alimente chaque jour un blog littĂ©raire ( Le mec de l’underground ) en petites nouvelles trashs et/ou salaces.
Une voiture de police dĂ©barque en mettant un coup de gyrophare et s’arrĂȘte pile au centre de notre champ de vision. Les policiers contrĂŽlent le propriĂ©taire d’une voiture arrĂȘtĂ©e, le stationnement est prohibĂ© dans le Bois. On se remet en route.
Johann Zarca paye une clope Ă  un trans’ ne parlant qu’espagnol. Cette derniĂšre, sapĂ©e en fushia, nous dĂ©passe avec ses hauts talons. Moins pressĂ©e que ses collĂšgues, elle finit par nous dire : « Si si, los Chinos « . Les Chinois-Ă©piciers travaillent toujours dans le Bois, mĂȘme en cette fraiche saison. Mais elle n’en a vu aucun circuler cette nuit. La pluie peut-ĂȘtre.
On revient sur nos pas. On cherche la baraque planquĂ©e dans le Bois que Johann Zarca assimile dans son bouquin Ă  un dortoir de flics. Introuvable sous cette flotte. AprĂšs deux autres pauses, une dans la forĂȘt, une dans un square, on regagne la porte Dauphine. Il est 5h30 du matin. On prend le premier mĂ©tro pour Pigalle, sas de sortie idĂ©al pour trouver un kebab et un cafĂ© ouverts. Le Bois, lui, s’endort.
*Le Boss de Boulogne (208 pages) paraĂźt aux Ă©ditions Don Quichotte le 16 janvier
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Modifié le 27/01/2017
Ă  10h55


Encore une info signĂ©e Touche pas Ă  mon poste : ce jeudi soir, Isabelle Morini-Bosc a fait une rĂ©vĂ©lation sur
 le pĂ©nis de Patrick SĂ©bastien. La chroniqueuse l’a assurĂ©, de ce qu’elle a vu, il est plutĂŽt « impressionnant ».
À quasiment chaque Ă©mission, il arrive un moment oĂč la bande de Touche pas Ă  mon poste se met Ă  parler de sexe. Et ce jeudi, c’est aux alentours de 20h30 qu’ils sont tous entrĂ©s dans le vif du sujet en parlant de taille de pĂ©nis. Estelle Denis a donnĂ© son avis ( « Trop petit, c’est trop petit » ), Enora MalagrĂ© aussi ( « Si c’est trop gros, c’est infaisable » ) et Isabelle Morini-Bosc a racontĂ© une anecdote savoureuse Ă  Cyril Hanouna . « Est-ce que vous avez dĂ©jĂ  vu le zizi d’une star, Ă  part moi ? » , lui a demandĂ© l’animateur. Une prĂ©cision utile, puisque toute l’équipe de l’émission l’a vu : il le met mĂȘme sur l’épaule de sa secrĂ©taire Ă  certains entretiens d’embauche. La chroniqueuse s’est un peu creusĂ© la tĂȘte et a sorti deux noms : GĂ©rard Depardieu (mais on n’en saura malheureusement pas plus) et Patrick SĂ©bastien.
Comme l’a prĂ©cisĂ© Thierry Moreau , elle n’est pas la seule : « Il le montre Ă  tout le monde. » Mais d’aprĂšs Isabelle Morini-Bosc, il n’a de toute façon pas besoin de le sortir : « Visuellement, mĂȘme Ă  travers un tissu, ça se voit , a-t-elle assurĂ© Ă  ses collĂšgues. C’est impressionnant. » Et puis une fois, elle l’a vraiment vu. Un vrai choc : « Il se changeait , s’est-elle souvenue. J’ai regardĂ© et j’ai constatĂ© : si sa voiture tombe en panne, il n’a pas besoin de cric. » Attention quand mĂȘme, ça peut ĂȘtre douloureux.

Confessions, séquences choc. . . le meilleur de la Télé.


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