Une latina et une blonde qui s'amusent

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Une latina et une blonde qui s'amusent
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cricriaubeurre 50 ans Dison Belgique

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Création : 28/03/2006 à 10:09
Mise à jour : 25/01/2010 à 02:01
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Tous les comm méchants que vous laisez seront effacés automatiquement, la moindre des choses c'est de laisser son nom mais son adresse aussi , si vous avez un compte à regler pas de problèmes , moi je suis franche , j'ASSUME !!!



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Bienvenu dans ma tite vie , bienvenu dans ma tite tete , bienvenu dans mon ti coeur de tite Cricri , ce blog est tout ça a la fois , bonne visite à vous !
amusez vous bien !
merci de votre passage bisous !
ce blog est une grande partie de mon ti coeur, mes ti bonheurs , mes tites joies, mes coups de gueule , mes coups de follie, mes coups de blues , j'aime que vous y laissiez une trace , ça fait plaisir , ce blog est à moi,c ma propriété , mon journal alors merci de respecter mes choix , robizou les loulous...

PS : tous comm méchant, insultes , ect seront effacer d'office , après tout on va pas se laisser enmerder par des gens qui n'ont que ça a faire !


# Posté le mercredi 30 août 2006 21:12
Modifié le lundi 12 novembre 2007 13:06

nounours59159 ,
Posté le vendredi 04 mai 2007 21:25

si j'aimes bien ton blog continues comme ça

magellan100 ,
Posté le mardi 19 septembre 2006 13:43


douceflo ,
Posté le mardi 05 septembre 2006 23:37

le commentaire de calinou gâche vraiment tout!! Je ne sais pas d'où il sort mais sincèrement c'est une grosse tâche et je suis gentille quand je dis ça LOl
cricri ne e laisse pas insulter par ce déchet là , tu vaux bien plus que ça

Cricri créatrice de ce blog ,
Posté le mardi 05 septembre 2006 01:00

Mais non hein pourquoi c'est la tete que tu auras bientot pauvre tache !!!

Barbie chou ,
Posté le lundi 04 septembre 2006 22:58

Hello ma ptite cricri... Non laisse le ce com ! au moins tout le monde voit le niveau intellectuelle de ce mec !
Et crois moi, il se rabaisse lui meme !
Bisous cricri.

Barbie Chou ,
Posté le lundi 04 septembre 2006 22:36

Tous les gens qui connaissent Cricri en réelle savent ses vraies valeurs, il n'y a pas plus gentille et plus honnête et franche qu'elle.... Elle est loin d'être une grosse vache et on y gagne bcp a la connaître.... C'est une chance que ce Calinou n'aura certainement jamais!!!! T'occupe pas des coms de cet idiot ma cricri, nous, tes amis on t'aime très fort et ne change surtout pas. Bisous Naht.

Calinou ,
Posté le lundi 04 septembre 2006 17:46

hello la grosse vache, efface celui là

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Cartes Pokémon : sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ...
« E ncore une journée ensoleillée qui s'annonçait sur le Camp, et l'humeur de Sara était toujours aussi orageuse. Si tout avait été personnifié, on aurait pu voir un petit nuage gris chargé d'éclairs et déversant une quantité énorme de pluie sur la tête blonde striée de rose. Pourquoi tant de violence dans ce petit nuage qui était fait pour illustrer ce que Sara Misysov ressentait ? Tout simplement parce que la jolie américaine en avait assez de cette matinée qui peinait à passer. Il devait être aux alentours de huit heures du matin, et il y avait pas mal d'activité au Camp. Sara n'avait jamais été vraiment matinale, et encore moins de bonne humeur lorsqu'il n'était pas plus de dix heures du matin. Elle avait toujours pris l'habitude de se lever aux alentours dix heures, pour terminer sa toilette une -ou parfois deux- heures plus tard. Jamais elle ne s'était réveillée aussi tôt, et son humeur était vraiment massacrante. Elle était donc sortie des bâtiments qui grouillaient de monde, endormis ou pas. Elle avait cependant fait un tour à la cafétéria et avait attrapé une pomme, avant de s'éclipser rapidement en direction du parc. Elle n'avait aucune envie de s'attarder au milieu des autres pensionnaires -'détenus' aurait été un meilleur terme- car leur présence l'agaçait plus qu'autre chose. Entre eux, ils faisaient les fiers mais lorsqu'ils se retrouvaient devant l'un des membres des Forces de l'Ordre, c'était une autre histoire... C'était surtout pour cette raison qu'elle ne s'intéressait qu'aux personnages qui lui tapaient dans l’œil, pas ceux qui étaient trop normaux. Sara n'était pas du genre à haïr tout le monde, au contraire, c'était juste qu'elle avait du mal à se fondre dans le paysage, et donc d'accoster les gens qui se fondaient dans ce même paysage. Tout en se posant dans l'herbe fraichement mouillée par la rosée matinale, elle croqua dans sa pomme aussi rouge que le gilet qu'elle portait. Ce dernier recouvrait partiellement un petit haut vert feuille, dont le seul motif était une petite pomme verte faisant un clin d'oeil. Parfois, la simplicité était la solution afin de mettre une touche de personnalité dans un fond uni, et c'était pour cette raison que son short rouge vif était décoré de petits porte clés représentant des pommes rouges, jaunes ou vertes. Ses chaussures étaient de simples Converses dépareillées, l'une jaune et l'autre aussi verte que l'herbe qui jonchait le sol. Le tout formait un ensemble très louche, qui se démarquait bien au milieu de l'immense parc du Camp. La jolie blonde en avait plus qu'assez de s'ennuyer, toute seule et avec comme seule occupation cette pomme qui était beaucoup trop molle à son goût. O bservant d'un œil las son entourage, elle ne pût s'empêcher de se demander comment diable faisaient-ils pour avoir la foi de se lever aussi tôt pour une simple balade dans le parc. D'ailleurs, elle se demandait même comment elle, elle avait fait pour se retrouver habillée et coiffée à huit heures pétantes. Ah oui, elle avait fait un cauchemar. Encore. Un cauchemar atroce, dans lequel tout était noir et blanc... terrible. Elle avançait dans un monde sans couleurs, prisonnière de son propre esprit et incapable d'en sortir. Chassant ces funestes idées de son crâne, elle reporta son attention sur les personnes qui l'entouraient. Enfin pas tout à fait puisque la plupart étaient des couples venus faire une promenade en toute tranquillité, loin du brouhaha quotidien des pensionnaires du Camp. En songeant à ces couples amoureux, Sara ne pût s'empêcher de penser à Lucy, une des ses premières rencontres au Camp ainsi que sa meilleure amie depuis. Cette dernière aurait peut être pu être au milieu de tous ces duos d'hommes et de femmes, en compagnie de Damon, son prince charmant. Prince peut être, mais charmant, Sara n'en avait aucune idée. Elle ne lui avait jamais vraiment parlé et ne le connaissait que de vue, il était donc impossible pour elle d'établir un jugement précis sur cet individu. De toute façon, elle ne s'intéressait jamais vraiment aux garçons, ni aux filles, en vérité. Si elle était devenue amie avec Lucy, c'était parce qu'elle n'était pas comme les autres. Dès qu'elle avait adressé la parole à celle qui allait par la suite l'une des personnes à qui Sara tenait le plus, elle avait su qu'elles étaient faites pour s'entendre, de part leur goût du risque et leurs points communs, notamment leur amour pour la couleur. Plein de petites choses qui avaient fait de ces deux filles de très proches amies, qui passaient leur temps à se mettre à l'épreuve, dans le but de se divertir ainsi que de casser l'ambiance monotone instaurée au Camp. Il arrêta de pleuvoir sur le nuage au dessus de la tête de l'aînée des Misysov, car les souvenirs avec Lucy avaient sûrement été les meilleurs depuis son arrivée au Camp, et rien que le fait de se remémorer leurs loufoques défis avaient rendu l'humeur de Sara un peu moins massacrante. Car oui, les éclairs et étaient encore présents. Cette mauvaise humeur, tout le monde l'a forcément au réveil -non, non, ne niez pas- mais elle finit par passer lorsqu'on voit quelque chose qui nous plait, comme un bon petit déjeuner, par exemple. Pour Sara, ce n'était pas un repas, et pourtant, elle en avait vraiment besoin ! Manger un peu ne lui ferait aucun mal, mais elle ne parvenait pas à manger beaucoup lorsqu'elle était seule, et un peu de compagnie lui permettait de retrouver un peu l'appétit. Elle ne mangeait que très peu depuis es quelques années passées au Camp, car l'appetit n'y était pas. Pour elle, le repas était une chose à partager avec des personnes que l'on apprécie, et il n'y avait que peu de gens de ce type là pour le moment, qui avaient trop peur de la différence pour approcher de trop près Sara Misysov. L es pensées de cette dernière furent interrompues par des rires, qui provenaient d'assez loin. Même au Camp, certains parvenaient à rire, et Sara fut heureuse de constater qu'elle faisait partie de cette catégorie. Car oui, malgré la dureté des règles imposées au Camp, certains parvenaient à être heureux. Sara l'était, parfois, même si elle aurait rêvé pouvoir sortir et renverser cet imbécile de Rahl qui était en train de rendre leur monde complètement invivable. Constatant avec dépit qu'elle n'avait même pas réussi à manger la moitié de sa pomme, la blonde soupira et leva les yeux au ciel. Contrairement à quelques jours auparavant, ce dernier était taché de nuages aussi blancs que la neige et propulsés de façon aléatoires de tous les cotés. Sara sourit et se surprit à penser que Peter Gordon serait peu être contre l'avis de repeindre les nuages de couleurs diverses et variées. De toute façon, le tyrannique chef des Forces de l'Ordre était toujours contre l'avis de Sara, aussi censé -car oui, ça arrive- soit-il. Depuis son arrivée, il lui faisait vivre un Enfer, et elle ne pouvait rien répliquer, sous peine de se faire sérieusement punir. Et ça, elle en avait assez, mais alors vraiment assez... Cette fois, Sara fut tirée de ses songes par une touffe blonde qu'elle ne connaissait que trop bien: celle de Lucy Viacry. Cette dernière était à une dizaine de mètres, occupée à rêvasser le regard perdu un peu partout, sans doute, et la blonde aux mèches roses retrouva un sourire digne de ce nom. Le nuage imaginaire au dessus de sa tête disparut complètement, mais la moitié de pomme resta dans sa main. Sara se leva et se dirigea d'un pas assuré vers Lucy, qui ne l'avait peut être pas encore remarquée. Elle lui balança son morceau de pomme, qui ne fit que l'effleurer, allant se loger dans l'herbe parfaitement tondue du parc. Il resta là et Sara adressa de grands signes à son amie. — H ey Lucy ! Tu te lèves tôt, dis-moi ! fit Sara en souriant de plus belle. Prête à démarrer une loooongue journée ? P arce-que les journées ensoleillées dans le Camp étaient toujours longues et éprouvantes, Sara avait jugé bon de connaitre l'avis de Lucy sur ce qu'elle voulait faire. Car oui, la question qu'elle venait de poser sous entendait un "Je m'ennuie et j'ai envie de m'amuser". S'amuser dans le Camp était proscrit, mais beaucoup de pensionnaire arrivait à le faire malgré tout. Lucy et Sara, par exemple. »
( HS : sorry du retard, je t'ai envoyé un mp. Euh...pour les couleurs je vais voir avec Aza, mais je pense pas que ça soit super nécéssaire ^^ ) Une nouvelle journée commençait. Mal. Certes, il faisait beau, le soleil brillait, les oiseaux chantaient. Blablabla. On aurait presque pu croire qu'une journée extraordinaire allait pointer son nez. Mais pas du tout ! Les apparences étaient bien trompeuses... Tout d'abord, je m'étais réveillée hors de mon lit vers 5heures du matin. Assise dans les escaliers, la tête reposée contre la rampe, j'avais dormi à poings fermés au beau milieu du bâtiment. Génial. J'avais souvent ce genre d'accès de somnambulisme, mais je ne m'étais jamais encore endormie hors de mon lit. Comment avais-je évité le ou la Force de l'Ordre qui montait la garde devant les dortoirs ? Bon timing au moment de sa pause café ? Coup de chance, surtout... Je n'osais pas imaginer ce qui se serait passé si j'étais passée devant elle comme un zombi ! Ne pouvant pas y retourner sans passer devant la Force de l'Ordre de service de nuit, je m'étais discrètement dirigée vers les dortoirs des garçons, en robe de chambre et pantoufles. J'étais arrivée devant la porte de leurs dortoirs, et avais frappé à la porte de la chambre de Damon. Il ne la partageait avec personne, étant donné la fin.;.tragique de son dernier colocataire. Encore un qui n'avait pas plu à Azalia. Ici, aucun Force de l'Ordre ne montait la garde. Par chance, cette nuit, Gary était de service. Un type méchant, mauvais, le fidèle acolyte de Peter, fort comme un troupeau de taureaux...mais un sacré flemmard. Il ne finissait jamais sa garde jusqu'au out de la nuit... Que fichait-il au Camp ?! Enfin, bien sûr, ça m'arrangeait... Mort de rire, mon petit ami m'avait ouvert, et je m'étais glissé dans la chambre. J'avais emprunté la salle de bain pour pendre une douche, me laver les dents et m'habiller avec quelques vêtements à moi qui restaient toujours dans sa chambre parce que ma commode était bien plus petite que la sienne... J'étais mal tombée, surtout avec tous les vêtements que j'avais et qu'il me fallait caser dans deux tiroirs ! Chaque mois, on nous autorisait a choisir quelques vêtements neufs. Nous avions libre choix, c'était la seule liberté que nous avions parce que, selon les FDO, "Rahl n'était pas un monstre"... Encore heureux qu'il nous laisse nous habiller, est-ce que ça faisait de lui un Bisounours ? avais-je envie de crier. Mais même si j'étais une tête brûlée, j'avais mes limites. Apres quelques baiser, éclats de rire et étreintes passionnées, j'étais sortie me promener dans le parc tandis qu'il partait a son entrainement matinal. C'était un des seuls avantage à ête une fille , ici : les garçons avaient deux heures de plus que nous, le matin..; A part ça, aucune distinction n'était faite entre les deux sexes. Et encore, parfois, ls FDO de mauvaise humeur nous ordonnaient de les rejoindre dans leur entrainement à 6heures du matin... Mais il ne fallait pas croire. Que nous avions la belle vie. L'entrainement était ardu, difficile, parfois certains mourraient dans des accidents, ou de fatigue plus rarement... Il fallait être fort pour être au Camp. Sinon, vous ne duriez pas longtemps... Soudain, perdue dans mes pensées, alors que le soleil avait déjà pointé depuis une bonne heure, quelque chose me frôla puis alla se nicher dans l'herbe à mes pieds. Je me baissais et éclatais de rire. Un pomme à moitié entamée qui n'avait pas dû être du gout de la propriétaire... Je ne connaissais qu'une personne qui pouvait badiner avec la nourriture au Camp, alors que les portions étaient si rationnées... Une seule qui n'avais presque jamais faim. En souriant, je me tournais vers Sara. « - Hey Lucy ! Tu te lèves tôt, dis-moi ! fit Sara en souriant de plus belle. Prête à démarrer une loooongue journée ? » Je réfléchis quelques instants, puis eu un sourire. Je cherchais un moment dans l'herbe, puis trouvais une pomme de pin toute racornie que je lui lançais. " Tu commences ! " Elle compris immédiatement. Il s'agissait d'un jeu auquel nous jouions depuis que nous nous connaissions. Un rituel... Les règles étaient simples. Un objet était choisi, au hasard. La personne qui l'avait en sa possession pouvait défier l'autre de la manière qu'elle souhaitait... En général, entre Sara et moi, le jeu avait des conséquences plutôt...explosives ! Mais c'était ça, qui étais génial. N'avoir peur de rien, dépasser les limites. Vivre la vie à fond.
« D 'un point de vue extérieur, la réponse de Lucy à la question de Sara aurait pu être étrange. Seulement, cette réponse parut satisfaire la blonde aux mèches roses, qui vit son sourire s'élargir. Elle rattrapa la pomme de pin que lui avait lancé Lucy et releva les yeux vers le ciel afin de réfléchir ce qu'elle allait faire subir à sa meilleure amie. Leur jeu, qu'elles avaient débuté peu après leur rencontre, était devenu de plus en plus dangereux au fur et à mesure que les années avaient passé. Si leurs défis étaient, au départ, plutôt gentils, ils avaient pris une plus grosse ampleur et désormais, elles y risquaient presque leur vie. Enfin, leur motivation était peut être que si elles devaient se faire tuer au Camp, autant ne rien regretter et avoir vécu leurs vies à fond. Elle tapa du pied d'un air impatient, les idées ne venant pas aussi rapidement que d'ordinaire. Même s'il y avait de l'activité au Camp, quasiment personne n'était réveillé dans le Camp, si ce n'était les garçons qui avaient dû s'entraîner, deux heures plus tôt, et les Forces de l'Ordre. Beaucoup de filles devaient être dans les douches, occupées à se faire belles pour on ne savait quelle raison. Hum... cela faisait d'elles de potentielles cibles pour les manigances loufoques de ces deux blondes beaucoup trop matinales. Le chant des oiseaux fit sursauter Sara. Ah, les oiseaux trouvaient quand même la foi de chanter, même dans l'univers déprimant qu'était le Camp. Elle se tourna vers les couples qui venaient de se retrouver, les filles occupées à enlacer tendrement leurs moitiés, exténuées après leur entrevue avec Peter Gordon. Ce dernier était le stéréotype même de l'entrainer tyrannique, qui donnait l'impression d'être la réincarnation du Diable en personne. Jamais il ne vous laissait une seule minute de répit, et si vous vous permettiez de ne pas être en accord avec lui, il s'énervait. D'ailleurs, Azalia Galathil commençait à le rattraper, coté sang-froid. La Force de l'Ordre n'avait jamais hésité à se débarrasser des pensionnaires trop téméraires. Ces deux-là étaient sûrement les plus craints de tous le personnel, et étaient par conséquent ceux que Lu
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