Une jeune se fait mettre par un black

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Une jeune se fait mettre par un black
Avec l’aimable autorisation de Joy Wright
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La PMA arrive à l'Assemblée et voici 6 points sur lesquels il faudra trancher
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Ce soir-lĂ , la plupart des personnes qui s’apprĂȘtaient Ă  dĂ©guster un Whopper au Burger King de Kankakee, dans l’Illinois, auraient Ă©tĂ© choquĂ©es de savoir qu’une lesbienne rencontrait son donneur de sperme dans l’établissement...
... Pourtant, c’était vrai: je faisais le pied de grue devant les toilettes des hommes, attendant un gobelet en papier rempli de semence masculine. J’étais prĂȘte Ă  tout pour avoir un enfant, mĂȘme Ă  passer prendre du sperme gratos dans un fast-food.
Je voulais un bĂ©bĂ© depuis ma plus tendre enfance , quand je trimballais ma poupĂ©e partout, persuadĂ©e que tout le monde pensait que c’était une vraie petite fille et sachant qu’un jour, mon rĂȘve deviendrait rĂ©alitĂ©. Jusqu’à que je me retrouve, Ă  34 ans, cĂ©libataire , lesbienne et dĂ©sespĂ©rĂ©e.
AprĂšs toute une sĂ©rie d’idĂ©es plus folles les unes que les autres pour tomber enceinte – parmi lesquelles une robe sexy, un pack de six biĂšres et un collĂšgue plus ĂągĂ© qui a quittĂ© la ville avant que je mette mon plan Ă  exĂ©cution; un ami homosexuel qui s’est rĂ©vĂ©lĂ© sĂ©ropositif; et un week-end en compagnie de femmes dĂ©chaĂźnĂ©es, incluant des tambours et des appels Ă  la divinitĂ©, qui s’est soldĂ© par deux mois sans rĂšgles mais pas de grossesse –, tenir un gobelet plein de sperme dans mes mains tenait du miracle.
Pour les personnes LGBTQ , l’accĂšs Ă  la parentalitĂ© est difficile. Il ne s’agit pas seulement de dĂ©cider d’avoir un enfant, comme c’est le cas pour la plupart des hĂ©tĂ©rosexuels. DĂšs le dĂ©part, il faut faire des choix Ă©thiques, financiers et juridiques, parmi lesquels (et pas des moindres): vais-je tenter de donner moi-mĂȘme naissance Ă  mon enfant? Si oui, de quelle maniĂšre? Car tomber enceinte par le biais d’un ami donneur peut entraĂźner des batailles en termes de droits parentaux. Le sperme congelĂ© coĂ»te cher et s’accompagne d’un grand nombre de dĂ©cisions Ă  prendre, Ă  commencer par le choix du donneur: faut-il privilĂ©gier quelqu’un de connu (afin que l’enfant puisse le contacter Ă  sa majoritĂ©) ou un anonyme? Il faut aussi examiner l’ethnicitĂ© du donneur, ses antĂ©cĂ©dents mĂ©dicaux, son QI, et mĂȘme s’il a eu de l’acnĂ© quand il Ă©tait ado. Les autres solutions proposĂ©es aux personnes LGBTQ incluent la GPA, la fĂ©condation in vitro et l’adoption: toutes coĂ»tent cher et comportent leur lot de considĂ©rations Ă©thiques.
J’ai optĂ© pour le sperme congelĂ©. J’avais quittĂ© la Virginie, oĂč les solutions pour en obtenir proposĂ©es Ă  une homosexuelle cĂ©libataire et sans Ă©normes ressources financiĂšres Ă©taient limitĂ©es, et m’étais m’installĂ©e Ă  Chicago, oĂč j’avais accĂšs au programme d’insĂ©mination pour les femmes cĂ©libataires et lesbiennes/bisexuelles du Chicago Women’s Health Center.
J’ai su dĂšs le dĂ©part que je voulais faire appel Ă  un donneur connu, pour permettre Ă  mon enfant de le contacter plus tard s’il le dĂ©sirait. Chaque mois, j’appelais la clinique pour leur demander de commander mon sperme congelĂ© la veille de ma date d’ovulation prĂ©sumĂ©e. Le lendemain, je traversais la ville pour aller chercher le prĂ©cieux fluide dans son contenant d’expĂ©dition en mĂ©tal, qui m’arrivait Ă  la taille, Ă©tait rempli de neige carbonique et semblait tout droit sorti de la sĂ©rie Les Jetson.
Une fois chez moi, j’ouvrais le tube – de la vapeur en sortait et m’enveloppait les mains – et j’en sortais dĂ©licatement l’une des deux minuscules fioles de sperme. Je m’insĂ©minais Ă  l’aide d’une seringue sans aiguille, comme la clinique me l’avait montrĂ©, deux jours de suite, puis je leur rapportais la capsule gĂ©ante. J’ai rĂ©pĂ©tĂ© ce processus, en vain, pendant plusieurs mois.
Savez-vous que le sperme congelĂ© coĂ»te une petite fortune? Du coup, mes amis m’ont organisĂ© une grosse “fĂȘte du sperme”. Pas une fĂȘte oĂč les gens apportaient du sperme (ce qui aurait pu ĂȘtre une super idĂ©e) mais une collecte de fonds pour me permettre d’en acheter. MalgrĂ© tout, mes Ă©conomies se sont vite envolĂ©es.
Dans mon cas, mon dilemme Ă©tait dĂ» Ă  deux choses: j’avais des revenus limitĂ©s et j’étais homosexuelle. J’étais donc incapable de me procurer du sperme par la mĂ©thode traditionnelle, sans Ă©change d’argent. Pourtant, ironie de la chose, le sperme n’est pas une denrĂ©e rare. Il y en a partout. C’est juste que je ne parvenais pas Ă  mettre la main (ou toute autre partie de mon corps) dessus. J’avais besoin de sperme gratuit, sans drame ni engagement, et surtout sans relations sexuelles.
Un samedi, j’ai participĂ© Ă  un atelier de guĂ©rison intuitive avec RoiAnn, ma meilleure amie et confidente. Nous avons couchĂ© nos objectifs sur le papier, puis mĂ©ditĂ© en nous concentrant sur le fait de nous crĂ©er une vie Ă  laquelle nous croyions. J’avais entrepris ce cheminement, mais j’étais dans l’impasse. L’animatrice a insistĂ©: “Il n’y a pas d’impasse. On peut tout surmonter.”
Je me suis dit: “MĂȘme trouver de l’argent pour du sperme?” Elle n’avait probablement pas envisagĂ© ce cas de figure.
Plus tard dans la matinĂ©e, nous nous sommes mis par deux: nous devions nous regarder dans les yeux et imiter les mouvements de l’autre. Mon partenaire Ă©tait un parfait inconnu mais j’ai ressenti un lien profond avec lui. Il s’est assis Ă  cĂŽtĂ© de moi au dĂ©jeuner. Le courant passait entre nous. Au cours de la discussion, j’ai racontĂ© mon histoire, en concluant sur ma situation actuelle: pas enceinte et plus un sou pour me procurer du sperme. Ce type adorable, Drake, m’a demandĂ© pourquoi je ne me contentais pas de trouver un donneur. Je me suis tournĂ©e vers lui, je me suis mise Ă  trembler et j’ai renversĂ© mon verre de limonade sur ses genoux. J’ai attrapĂ© des serviettes et me suis penchĂ©e sur lui pour le nettoyer. Je me suis arrĂȘtĂ©e juste avant de lui frotter l’entrejambe. Ça nous a tous fait marrer, mais j’étais obsĂ©dĂ©e par les parties intimes de cet homme trempĂ© par ma limonade!
Le lendemain, comme encouragĂ© par le karma mais peut-ĂȘtre aussi par simple gentillesse, Drake m’a appelĂ©e pour me proposer d’ĂȘtre mon donneur. Nous avons discutĂ© des complications potentielles, et il a signĂ© un contrat prĂ©cisant qu’il renoncerait Ă  ses droits parentaux si je tombais enceinte. Drake et sa femme ne voulaient pas d’enfant, mais il ressentait un manque: il avait envie de transmettre ses gĂȘnes. Il Ă©tait grand, brillant, et il a abordĂ© notre arrangement avec douceur et franchise. Il Ă©tait parfait.
Il y avait quand mĂȘme un hic: il vivait Ă  Normal, Ă  deux heures et demi de route, quand ça roule (et ça ne roule jamais).
Un week-end, je me suis insĂ©minĂ©e avec son sperme. Sa femme et lui m’avaient invitĂ©e chez eux, pour dĂźner, boire du vin et parler de tout cela. J’ai emmenĂ© un rencart (pas vraiment ce qui se fait d’habitude lors d’un premier rendez-vous avec une lesbienne, mais elle Ă©tait partante). AprĂšs le repas, nous sommes passĂ©s aux choses sĂ©rieuses. AprĂšs s’ĂȘtre isolĂ© dans une piĂšce du rez-de-chaussĂ©e, Drake est rĂ©apparu avec une tasse Ă  cafĂ© pleine de semence fraĂźche. En me servant de ma petite seringue, je me suis injectĂ© le prĂ©cieux fluide dans le col de l’utĂ©rus. J’étais dans une piĂšce pleine de fenĂȘtres avec vue sur les bois et, pendant la nuit, un cerf est venu manger du maĂŻs laissĂ© dehors, au clair de lune. C’était magique.
Mais je ne suis pas tombée enceinte.
Malheureusement, nous ne pouvions pas procĂ©der ainsi tous les mois. Quand on ovule, on ovule: il faut avoir du sperme le jour mĂȘme ou le lendemain. Quand on est amoureux et que la “livraison” de sperme est agrĂ©able (et pratique) pour tout le monde, c’est une chose. Mais quand il faut conduire deux heures et demi, aller retour, pour se le procurer, et que vous vous ĂȘtes rendue compte le matin-mĂȘme que vous ovuliez en prenant votre tempĂ©rature et en faisant pipi sur un bĂątonnet, c’en est une autre...
Mon ovulation suivante est tombĂ©e un mardi. Le mercredi matin, je devais ĂȘtre au boulot avant sept heures, pour prĂ©parer une formation de cinquante personnes. Ma petite Honda Civic Ă©tait pleine Ă  craquer de manuels, de badges nominatifs et d’un chevalet avec des feuilles de papier. L’arriĂšre Ă©tait plein, mais les deux places avant Ă©taient libres et RoiAnn m’a proposĂ© de m’accompagner.
J’ai appelĂ© Drake dĂšs que j’ai su que j’ovulais. Il m’a dit: “Laisse tomber le voyage jusque chez moi. Retrouvons-nous au Burger King. Tu sais, quand tu sors Ă  Kankakee? Ou, sinon, Ă  Dwight, prĂšs de la prison pour hommes, Ă  la seule station-service Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde.” Avec ce plan, mon trajet Ă©tait deux fois moins long!
Quand nous sommes arrivĂ©es, Drake Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ , en train de faire le plein d’essence. Il s’est montrĂ© cordial, mais direct.
“Salut, ça va?” m’a-t-il lancĂ©. “Je n’ai pas beaucoup de temps. Je vais direct aux toilettes avec ce gobelet en papier. Rejoins-moi.”
Avant d’entrer, il m’a donnĂ© un pot de miel provenant d’une ruche dont il s’occupait avec sa femme. À l’intĂ©rieur du fast-food, tandis que j’attendais devant les toilettes pour hommes, j’ai essayĂ© de ne rien laisser paraĂźtre. Tranquillement, pas gĂȘnĂ© pour un sou, Drake est sorti, m’a tendu en souriant un gobelet Burger King plein de sperme, et il est parti. J’ai jetĂ© un Ɠil autour de moi, et je suis entrĂ©e dans les toilettes pour femmes. J’ai pris ma petite seringue et je me suis insĂ©minĂ©e.
Je ne pouvais Ă©videmment pas me permettre de laisser cette prĂ©cieuse semence s’écouler, d’autant qu’un homme merveilleux avait parcouru tout ce chemin pour me l’offrir dans les toilettes d’un Burger King (et dire que je ne lui ai mĂȘme pas payĂ© un sandwich!). AprĂšs une insĂ©mination, les livres sur la fertilitĂ© recommandent aux femmes de s’allonger, un oreiller placĂ© sous les hanches, pour permettre Ă  la gravitĂ© de leur donner un coup de main. Malheureusement, je n’avais pas d’oreiller confortable Ă  disposition, et le siĂšge arriĂšre de la voiture Ă©tait envahi de matĂ©riel de formation. RoiAnn a donc pris le volant, et j’ai inclinĂ© le siĂšge passager, le plus possible, contre les fournitures. Je me suis assise la tĂȘte Ă  l’envers, les pieds en l’air, et j’ai attendu que la nature fasse son Ɠuvre.
De retour Ă  Chicago, nous nous sommes arrĂȘtĂ©es prĂšs de la riviĂšre. J’avais lu dans un vieil almanach de sorcellerie que, si on mettait du miel donnĂ© par l’homme dont on voulait tomber enceinte sur une citrouille et qu’on la jetait Ă  l’eau, l’affaire Ă©tait dans le sac. Tandis que la lune se reflĂ©tait sur l’eau, j’ai jetĂ© la citrouille toute collante en expliquant ce que je dĂ©sirais.
Vous dire que je suis tombĂ©e enceinte cette nuit-lĂ  serait digne d’un happy end hollywoodien, mais ça n’a pas Ă©tĂ© le cas. Pas plus que lors de mon escapade suivante au Burger King, ni celles d’aprĂšs.
Au lieu de cela, j’ai pĂ©nĂ©trĂ© dans l’univers compliquĂ© des tests d’infertilitĂ© et des petits caractĂšres des polices d’assurance. Ma couverture stipulait clairement que, pour que ces tests onĂ©reux soient pris en charge, je devais avoir des rapports sexuels au sein d’un couple hĂ©tĂ©rosexuel depuis au moins un an. Pas facile.
AprĂšs avoir payĂ© quelques tests de ma poche, j’ai fini par entrer dans le cabinet d’un nouveau gynĂ©cologue qui ne savait pas avec qui j’avais – ou non – des relations sexuelles. Les rĂ©sultats? Trompes de Fallope bouchĂ©es. Le seul moyen de tomber enceinte Ă©tait la fĂ©condation in vitro (FIV), un processus onĂ©reux et difficile sur le plan Ă©motionnel comme physique. J’étais Ă©puisĂ©e.
Le parcours pour devenir parent quand on fait partie des minoritĂ©s sexuelles peut devenir un vĂ©ritable marathon. Il faut de l’endurance et de la dĂ©termination. Le simple fait de dire qu’on veut des enfants semble dĂ©contenancer les amis, la famille et les professionnels de santĂ©, habituĂ©s Ă  ce que les parents soient hĂ©tĂ©ro. Les choses se sont nettement amĂ©liorĂ©es depuis que j’ai entrepris ce processus, mais les personnes LGBTQ doivent toujours faire des efforts pour ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme des parents potentiels. Chaque chemin -l’insĂ©mination, la FIV, la GPA ou l’adoption – est une lutte de tous les instants.
Ajoutez Ă  cela l’infertilitĂ©, et le combat devient acharnĂ©. Les politiques de santĂ© et d’assurance, ainsi que les programmes d’adoption et les procĂ©dures juridiques, sont conçus pour les hĂ©tĂ©rosexuels. Certaines politiques ne tiennent pas compte des personnes LGBTQ parce que notre dĂ©sir de devenir parents n’a pas traversĂ© l’esprit de leurs rĂ©dacteurs. D’autres sont intentionnellement discriminatoires.
Pour moi, ne pas ĂȘtre mĂšre n’était pas envisageable.
J’en suis arrivĂ©e Ă  la conclusion suivante: avec une FIV, je finirais peut-ĂȘtre un jour par donner naissance Ă  un bĂ©bĂ© alors qu’en adoptant, j’étais sĂ»re de devenir maman. Les difficultĂ©s d’adoption pour les cĂ©libataires et les personnes LGBTQ sont aussi trĂšs nombreuses, mais elles ne sont pas insurmontables. Je me suis lancĂ©e dans des recherches approfondies pour trouver un programme qui me donnerait un enfant, et je me suis mis Ă  Ă©conomiser le moindre centime.
Avec le temps, la relation que j’entretenais Ă  l’époque est devenue sĂ©rieuse, et ma partenaire s’est engagĂ©e non seulement auprĂšs de moi mais aussi dans le processus d’adoption. Trois ans plus tard, un magnifique petit garçon est devenu notre bĂ©bĂ©. Sa petite sƓur, au tempĂ©rament bien trempĂ©, est arrivĂ©e deux ans et demi plus tard. Je suis devenue maman dans une famille avec deux mamans. Et mon amie RoiAnn, qui m’a accompagnĂ©e tout au long de mon combat, est devenue tata Roi.
Ce blog, publié sur le HuffPost américain , a été traduit par Laure Motet pour Fast ForWord . 
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Alors que le monde entier est cĂąblĂ© sur l’actualitĂ© Ă  DubaĂŻ, certains tĂ©moignages montrent qu’en rĂ©alitĂ© le phĂ©nomĂšne existent dans plusieurs pays et ceci depuis des dĂ©cennies. 
Une femme raconte comment elle a Ă©tĂ© baisĂ©e par un animal et comment ce chien lui donnait autant de plaisir. Un tĂ©moignage trĂšs inattendu. « Je n’en reviens pas de ce que je vais vous raconter aujourd’hui.

Comme je n’en reviens toujours pas de ce qui s’est passĂ©. Cela fait un moment que j’ai une relation sexuelle avec notre chien. C’est un berger allemand pur race qui est le chien de travail de mon mari. 
C’est un agent cynophile. Ça a commencĂ© un jour, mon mari partait en formation comme il le fait rĂ©guliĂšrement. Le chien qui est ultra dressĂ© Ă©coute tout ce qu’on lui dit et surtout exĂ©cute les ordres. 
Quand mon mari lui apprend des trucs pour son travail de maßtre-chien, moi je lui apprends des trucs cochons. Comme lÚche-moi, baise-moi, ce genre de choses. 
C’est vraiment un bon coup et je peux dire que le chien de mon mari m’a baisĂ©e par tous les trous.
L’article “Le chien de mon mari m’a baisĂ©e par tous les trous
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