Une jeune fille baisée par son père

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Un drame s'est joué dans la nuit du samedi au dimanche 14 août dans la Métropole de Lyon. À Saint-Priest, un jeune homme de 25 ans a tué son père âgé de 60 ans à l'aide d'un couteau de cuisine.
Selon les informations de nos confrères du Progrès , que RTL est en mesure de confirmer, la victime a été décapitée par son fils qui le poursuivait dans la rue. Alerté par des riverains, un équipage de la police municipale s'est rendu sur les lieux et a découvert le cadavre qui gisait à côté de l'arme présumée du crime.
Des policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) ont par la suite repéré l'auteur présumé de ce meurtre. Ce dernier, qui tenait des propos incompréhensibles , a d'abord refusé de se rendre et essayé à plusieurs reprises de frapper les agents. Il a finalement été interpellé. Une enquête a été ouverte et confiée à la Sûreté départementale du Rhône afin de "déterminer les circonstances exactes de ce drame", nous indique le parquet de Lyon , qui souhaite également faire la lumière sur le "mobile et approfondir la personnalité de son auteur".

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À lire aussi : France : Un Franco-Algérien attaqué en justice pour avoir qualifié les Harkis de « traîtres »
Un ressortissant marocain en situation irrégulière a égorgé son père en lui tranchant la tête dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 août à Saint-Priest (Rhône), proche de Lyon. Le père âgé de 60 ans a été retrouvé décapité et le présumé tueur de 25 ans a été arrêté par la police alors qu'il déambulait avec la tête de son père dans une main et un couteau dans l'autre. Selon plusieurs sources, le meurtrier présumé aurait crié « Allah Akbar » au moment de son interpellation.
Horreur à Saint-Priest, dans l'agglomération lyonnaise. Un sexagénaire a été décapité à l'arme blanche dans la nuit du samedi au dimanche et son fils de 25 ans, interpellé sur les lieux, a été arrêté, rapportent ce dimanche 14 août 2022, plusieurs médias français. La victime a été égorgée par son propre fils qui est un ressortissant marocain en situation irrégulière. Ce dernier vivait avec son père dans le même appartement à Saint-Priest.
L'affaire macabre a eu lieu dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 août. Vers 2 h du matin, la police municipale alerte la police nationale de la découverte du corps d’un homme décapité sur un parking à Saint-Priest, dans l'agglomération lyonnaise. Les policiers municipaux signalent qu' « un homme déambule avec une tête dans une main et un couteau dans l'autre », selon une source proche du dossier citée par l'AFP.
Les premiers éléments de l'enquête sur cette affaire montrent que l'homme de 25 ans, de nationalité marocaine et se trouvant en situation irrégulière a « tué son père âgé de 60 ans au moyen d'un couteau de cuisine », a indiqué le parquet de Lyon à l'AFP. Le présumé tueur a été interpellé par des policiers de la BAC (Brigade anti-criminalité) , dans le parc Louis-Braille, à proximité du lieu du crime. Le jeune Marocain a tenté de donner des coups de couteau aux policiers, indique la même source.
Le suspect est connu « pour des faits de droit commun, des différends familiaux sur fond d'alcool et stupéfiants », selon cette même source. L'homme qui a été placé en garde à vue n'est pas connu pour des faits de radicalité, ajoute-t-on. Mais selon une information du média Le Progrès , le meurtrier présumé aurait également crié « Allah Akbar » au moment de son interpellation. L'enquête confiée à la Sûreté départementale du Rhône « devra déterminer les circonstances exactes de ce drame ainsi que son mobile et approfondir la personnalité de son auteur », selon le parquet de Lyon.
ObservAlgérie est un site d'information indépendant sur l'Algérie et la diaspora algérienne.
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Isabelle Hachey
La Presse

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Océane* n’a pas entendu son colocataire entrer dans la salle de bain. Elle se lavait les cheveux au lavabo. Quand elle s’est retournée, il était là, devant elle. Le regard fou. Entièrement nu.
« Il a essayé de me tuer. Il m’a mis la tête sous l’eau pendant plusieurs secondes. » Il l’a traînée dans la chambre et l’a violée. Océane a hurlé, hurlé. Un passant a entendu ses cris et a alerté la police.
Éric* a pris la fuite, nu, dans son camion. La police a fini par lui mettre le grappin dessus dans une autre ville, à deux heures de route.
Remis en liberté sous conditions strictes — notamment celle de ne pas communiquer avec Océane –, Éric a agressé une autre femme. Puis une autre. Puis une autre encore : une inconnue, dans un parc, qui est parvenue à s’enfuir.
Ce n’est qu’après cette quatrième agression qu’Éric a été mis hors d’état de nuire. Enfin, presque. Parce que même à l’ombre, il nuit encore. Et la justice ne fait rien pour l’en empêcher. Plutôt le contraire, en fait.
Éric en a pris pour plus de cinq ans. Son nom est inscrit au registre des délinquants sexuels à perpétuité. Mais, du fond de sa cellule, il se bat pour que son nom soit aussi inscrit ailleurs : sur le certificat de naissance de l’enfant qu’Océane a mis au monde, neuf mois après son viol.
Océane n’avait que 18 ans quand Éric l’a violée. Pendant des semaines, elle est restée cloîtrée chez elle, sous le choc. « Je ne bougeais plus, je ne voulais plus rien faire. »
Apprendre qu’elle était enceinte lui a redonné le goût de vivre. « C’est grâce à mon fils si je suis encore ici. Je n’aurais pas été capable de surmonter ça. Vraiment pas. »
Quand son garçon est né, Océane était déterminée à oublier la façon dont il avait été conçu.
Déterminée à enfouir cette histoire d’horreur au fond de sa mémoire, pour toujours. Elle se raccrochait à l’idée qu’Éric n’était peut-être pas le père, après tout. « Dans ma tête, je me suis dit : je vais passer à autre chose. »
Mais voilà : elle ne peut pas passer à autre chose.
Il y a quelques mois, elle a reçu une lettre d’avocat : Éric exigeait que le bébé soit soumis à un test d’ADN afin de prouver qu’il en était bien le père. Pour Océane, cette demande n’était pas seulement révoltante, elle était terrifiante. Pourtant, rien, dans la loi, ne pouvait empêcher son violeur de la formuler.
Anéantie, Océane a réalisé qu’elle n’avait pas le choix : la justice la forçait à affronter à nouveau son bourreau dans une salle de cour. Au civil, cette fois.
La justice est aveugle, dit-on. Malheureusement, Océane, elle, ne l’est pas. Quand elle a vu apparaître Éric sur le grand écran de la salle d’audience, elle a éclaté en sanglots. « Ça me faisait beaucoup de mal de le voir. »
En décrivant le viol, les avocats parlaient de « relation sexuelle non protégée ». Techniquement, ils avaient raison. Mais seulement techniquement. Ce qu’Océane avait vécu n’avait rien d’une « relation ».
Le ventre noué, Océane s’est avancée à la barre des témoins. « La première question qui m’a été posée, c’est mon nom et mon adresse. Je n’ai pas donné mon adresse, parce que je ne voulais pas qu’il sache où j’habite. S’il l’apprend, en sortant de prison, il va venir me voir. Il ne demandera pas la permission. »
Océane a terriblement peur d’Éric. Elle craint par-dessus tout qu’il ne kidnappe son petit bonhomme, un jour, à la sortie de l’école. Elle se prépare à fuir, le plus loin possible. « Il y a un sac prêt dans ma garde-robe, si jamais je dois partir du jour au lendemain. »
Océane a raconté tout cela au Tribunal. Elle a dit qu’elle refusait que son violeur soit impliqué dans sa vie et dans celle de son enfant. D’aucune façon. Jamais.
Mais il s’avère que la justice n’est pas seulement aveugle ; elle est sourde, aussi.
« En l’espèce, la preuve confirme qu’une relation sexuelle, bien que non consensuelle, a eu lieu entre Madame et Monsieur, à l’époq
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