Une jeune femme se fait plaisir toute seule

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Une jeune femme se fait plaisir toute seule


Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir


Après la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pénis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et éventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est déjà masturbé ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de fréquence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsédé, ni stérile, ni impuissant, ni sourd…et oui, même s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernées… et actives !
Quand on débute sa puberté, le corps se transforme. Les organes sexuels (pénis ou vulve) se développent et la production d’hormones sexuelles (testostérone chez les garçons et estrogènes chez les filles) s’accélère. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulé plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de désir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturité sexuelle (physique et psychologique) et afin de réguler cette montée du désir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes génitaux, appelée masturbation, plus pudiquement nommée « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poésie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle détend … Elle aide aussi à dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-être !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la découverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la puberté sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas été préparés à cela. Partir à l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rôle très important à la préparation de la sexualité.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un régulateur mécanique de leur éjaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une à deux heures avant), ils réduisent leur « potentiel d’excitation ». Ils retardent ainsi le moment de leur éjaculation , pour être capable de faire durer le plaisir de leur partenaire. Et les filles aussi font ça. Un orgasme solo avant un rapport sexuel retarde le prochain… (orgasme, pas rapport).
Il n’y a aucune règle pour commencer à se masturber. D’ailleurs, dans le ventre de sa mère, le fœtus semble véritablement s’adonner à des attouchements des organes sexuels , cette pratique paraissant se poursuivre durant toute l’enfance avec le tripotage du zizi par les petits garçons ou de la zézette par la fillette. Des études démontrent que l’âge des premières masturbations coïnciderait avec le démarrage de la puberté, vers 12 ans ; mais que le pic de masturbation interviendrait entre 13 et 16 ans… La masturbation subit des rythmes différents selon l’âge et la vie sexuelle des individus ; d’une fois par an à plusieurs fois par jour, le rythme semblant décliner avec la vie en couple et l’âge.
La masturbation n’est pas systématiquement une pratique solitaire destinée aux « célibataires ». Certes, l’absence de partenaire est souvent propice à la pratique de la masturbation . Mais il arrive souvent que des partenaires réguliers aient recours à cette pratique, pour évacuer un trop plein d’excitation sexuelle entre deux relations (éloignement géographique, rythme et besoins différents des deux partenaires,…) ou simplement pour le plaisir de se faire plaisir . Si vous surprenez votre partenaire en train de se masturber, pas de panique ; cela ne signifie pas que vous ne le satisfaites pas sexuellement ou qu’il ou elle ne vous désire plus.
La masturbation peut également faire partie de la sexualité de couple. Masturber son partenaire ou se masturber devant lui fait aussi partie des jeux érotiques et des préliminaires. Se donner du plaisir sous son regard accroît bien souvent la complicité et excite l’autre qui en plus de ça découvre les gestes que vous aimez.
Il n’y a aucune règle en la matière. Chacun se masturbe à sa guise. En général, on choisit un lieu calme où personne ne viendra nous déranger : lit, douche… Et on part à la recherche des zones les plus sensibles de notre corps : cuisses, seins, vulve, pour les filles et pénis pour les garçons qui ont souvent moins besoin de préliminaires.
La masturbation s’accompagne généralement de pensées érotiques, d’images virtuelles ou réelles associées à des personnes connues ou… pas. Les filles se concentrent plus souvent sur le clitoris , en posant leurs doigts dessus et en faisant des petits mouvements circulaires. Elles jouent aussi avec l’entrée de leur vagin et l’intérieur ; elles peuvent s’introduire un doigt ou un sextoy fait pour ! Les garçons placent leurs mains autour de leur sexe en érection et le caresse dans un mouvement de va-et-vient plus ou moins rapide. Ils stimulent également leurs testicules, zones érogènes.
Pour toujours plus de plaisir, vous pouvez vous amuser à changer de position (pourquoi toujours se masturber allongé ?). Vous pouvez avoir recours à des sextoys (et ça existe pour les hommes ; des sextoys qui simulent un vagin…), utiliser un lubrifiant (à base d’eau de préférence) pour davantage vous exciter.
La masturbation ne traduit aucun comportement pathologique, quelle que soit la fréquence de cette pratique. Ce qui peut poser problème est davantage l’impact d’une masturbation excessive sur la relation avec son partenaire. En effet, la masturbation est légitime et épanouissante quand elle contribue à l’équilibre sexuel d’un homme ou d’une femme. Elle ne doit être « surveillée » qu’à partir du moment où elle joue un rôle soit addictif (quand on ne peut plus s’en passer) ou qu’elle éloigne de son partenaire (lorsqu’on préfère la masturbation aux rapports sexuels « classiques »).
Si vous avez la sensation que c’est votre cas, il devient important pour votre équilibre et votre avenir affectif d’en parler avec un sexologue, afin qu’il vous aide à mieux comprendre les enjeux de ce comportement et qu’il vous accompagne dans le rééquilibrage de vos pratiques.
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La moitié des Français a déjà pratiqué la sodomie*. L’autre moitié se questionne-t-elle ? Plaisir, jouissance, masturbation anale, précautions à prendre… Vous saurez tout sur la sodomie.
Sophie, 23 ans, était curieuse de découvrir le plaisir anal. Puisque l’occasion ne se présentait pas, elle a décidé de se lancer toute seule. Un sextoy plus loin commandé sur Internet, la jeune femme a tenté et… apprécié : « Je pouvais tout contrôler et ça me rassurait pour une première fois. J’ai trouvé les sensations très agréables », confie-t-elle. Pouvoir « contrôler », c’est ce que permet la masturbation, grâce à une connexion directe entre ses désirs et son ressenti. Exit les éléments perturbateurs : on va droit au but, on opte pour le rythme et les gestes qui nous conviennent. L’idéal pour se tester et apprendre à connaître son corps. Eléonore, 30 ans, a connu sa première sodomie dans les bras de son partenaire. Pour autant, elle invite régulièrement cette pratique lorsqu’elle se masturbe, avec un plug anal. Tout simplement parce qu’elle aime multiplier les sensations : clitoridiennes d’un côté, anales de l’autre. « Ce n’est pas parce qu’on parle sodomie que l’on doit imaginer que c’est sauvage et que ça joue forcément en duel, avec quelqu’un qui donne et quelqu’un qui reçoit », défend-elle. Que l’on soit intriguée ou tout simplement séduite par cette pratique, rien ne nous empêche de la vivre en solitaire ! Cela permet de prendre son temps et d’apprivoiser cette partie de son corps.
Les précautions à prendre en solitaire : on utilise un lubrifiant car l’anus ne lubrifie pas naturellement. Pour éviter la douleur et rencontrer le plaisir, il est donc préférable d’humidifier la zone. Autre conseil important si on se dirige vers un sextoy : le choisir avec un « manche courbé ». Comprenez que l’anus agit comme un aimant (pas de panique non plus) et qu’une petite carotte pourrait se retrouver absorbée ! (Bonjour docteur, j’ai un problème)
« J’en avais très envie mais j’avais peur que mon corps bloque », poursuit Eléonore. L’appréhension est chose commune face une nouvelle pratique. L’essentiel étant de se sentir en confiance et en accord avec son partenaire. Ensuite, la douceur est primordiale et ouvrira la porte du plaisir. L’anus demeure une zone fragile qui demande d’être traitée avec délicatesse. Autre point important : être excitée après des préliminaires dignes de ce nom. Passer le portail de derrière d’un coup sec sans que le corps ne soit détendu et la tête disposée à accueillir un nouveau plaisir, c’est prendre le risque de ne pas savourer. Laure, 34 ans, rapporte que la sodomie intervient toujours lorsqu’elle ressent une véritable déconnexion : « C’est quand je perds mes moyens et que je ressens le besoin de monter toujours plus haut que j’en ai très envie… Jamais je ne pense à la sodomie avant le rapport, ou à froid », précise-t-elle. On s’installe également pour une position adéquate dans laquelle on se sent confortable (pas simple de mêler poirier et sodomie). Les deux positions généralement recommandées sont la levrette et la cuillère. Une fois à l’aise, libre place à l’imagination.
Les précautions à prendre en duo : idem que lors de la masturbation, on a recours à un lubrifiant afin d’éviter la douleur. Et surtout, on se protège si on ne connait pas l’état de santé de son partenaire. La muqueuse anale est plus propice à la transmission des IST. Préservatif indispensable ! Une fois la sodomie terminée, on se lave la verge (ou on change de capote) si un petit tour par le vagin est au programme.
La muqueuse ano-rectale possède de nombreuses terminaisons sensitives donc oui au plaisir ! Cependant, elle ne présente aucun corpuscule de Krause, les récepteurs nerveux que l’on trouve sur le gland du pénis ou le gland du clitoris. Ainsi, logiquement, l’orgasme n’est pas « techniquement » possible. Mais notons qu’une zone, lorsqu’elle est longuement explorée (et fait du bien) a toutes les chances de devenir érogène. Et c’est en s’octroyant ou recevant des caresses parallèles (clitoris, lèves, vagin, seins…) que l’on peut croiser l’orgasme pendant la sodomie pour un max de sensations.
*Les pratiques sexuelles des Français, Ifop pour Marianne, Juillet 2014
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par


Kelly


août 23, 2017, 11:25 9.7k Vues

En regardant la vidéo, rien ne frappe à l’œil, la jeune femme au maillot jaune parait être simplement en train de bronzer topless , mais les spectateurs de la scène n’ont rien raté. Et lorsqu’ils zooment, on peut voir que ça bouge dans son maillot de bain et comprend rapidement ce qu’elle est en train de faire.
Dommage pour elle, des petits malins n’ont pas hésité à publier la vidéo sur la toile.Il y a tout de même d’autres endroits pour pratiquer ce genre de plaisir solitaire . Pas sûr que cette jeune femme recommence à aller à la plage , car après la publication de cette vidéo elle est probablement devenue la risée du web. Certains et certaines n’ont vraiment honte de rien !
Sans gêne, une femme s’adonne à un petit plaisir solitaire sur la plage.
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