Une jeune blonde de lesbienne donne ded cours

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Une jeune blonde de lesbienne donne ded cours
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Deux jeunes filles lesbiennes sont assis sur le canapĂ©, une jeune fille aux cheveux courts donne un cadeau Ă  son partenaire, l’amour, une nouvelle annĂ©e, une surprise. 60 images/s - VidĂ©o stock ...
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Deux jeunes filles lesbiennes sont assis sur le canapĂ©, une jeune fille aux cheveux courts donne un cadeau Ă  son partenaire, l’amour, une nouvelle annĂ©e, une surprise. 60 images/s
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Accueil » L’éducation de mademoiselle K.
RĂ©sumĂ© : Mademoiselle K, jeune fille de 19 ans dont l’arrogance est entretenue par la fortune et la beautĂ© fait la connaissance du professeur S, son nouveau tuteur privĂ© qui lui apprendra l’obĂ©issance et la discipline malgrĂ© sa rĂ©putation d’indomptable.
“NĂ© dans le sein du luxe et de l’abondance, je crus dĂšs que je sus raisonner, que la nature et la fortune se rĂ©unissaient pour me combler de leurs dons. Je le crus parce qu’on avait la sottise de me le dire, et ce prĂ©jugĂ© ridicule me rendit hautain, despote et colĂšre”
– marquis de Sade –
L’arrogance des jeunes filles de bonne famille est selon elles-mĂȘmes, leur plus grande qualitĂ©. NĂ©e de leur beautĂ© rehaussĂ©e par des artifices fallacieux, de leur fortune et de leurs privilĂšges sociaux, c’est en fait une dĂ©fectuositĂ© agaçante et bien difficile Ă  dompter chez certaines. Mademoiselle K Ă©tait l’une de ces jeunes filles de 19 ans dont ni la jalousie, ni la haine, ni l’envie de ses rivales infĂ©rieures en beautĂ© comme en or auraient pu lui faire baisser la tĂȘte. Sa premiĂšre jeunesse fleurissant tout juste, son entourage l’avait vite dĂ©clarĂ© la reine de son Ă©cole, des salons et des soirĂ©es. Son habiletĂ© Ă  attirer l’attention par sa peau de porcelaine sans imperfections, par son visage de poupĂ©e et son corps filiforme Ă©tait son plus prĂ©cieux outil et ses yeux d’émeraude ravivĂ©s par ses cheveux roux, presque rouges, tombant sur sa taille fine, lui donnait une touche atypique qui suscitait l’admiration des femmes et provoquait l’excitation des hommes. Usant de la sobriĂ©tĂ© dĂ©taillĂ©e propre aux vĂȘtements de marque, La demoiselle K Ă©vitait toute vulgaritĂ© et son Ă©lĂ©gance ainsi que sa culture impressionnante lui Ă©tait bien utiles pour conserver son statut.
Toutefois, ses parents pointilleux, trouvant que l’éducation d’école privĂ©e n’était pas Ă  la hauteur de leur trĂ©sor de fille, prirent la dĂ©cision d’engager, sous le conseil d’un intime du club qu’ils frĂ©quentaient le dimanche matin, Un trĂšs rĂ©putĂ© tuteur privĂ© connu auprĂšs des familles bien nanties pour la sĂ©vĂ©ritĂ© de ses mĂ©thodes domptant la vanitĂ© des jeunes filles prĂ©cieuses. Monsieur et Madame K, trĂšs absents pour leur fille, convinrent qu’un modĂšle de discipline se pourrait ĂȘtre que bon pour leur fille, ils se l’avouaient, prĂ©tentieuse et extrĂȘmement gĂątĂ©e.
C’est ainsi que le professeur S se rendit pour la premiĂšre fois un lundi soir, chez la famille K. MalgrĂ© ses origines plutĂŽt moyennes, Monsieur S ne prĂȘta presque aucune attention Ă  l’appartement victorien somptueux dans lequel il entrait quand il fut accueilli dans le vaste vestibule par le jeune domestique G, nouvellement engagĂ© et peu habituĂ© Ă  ses fonctions. Ce dernier qui s’était attendu Ă  recevoir un tuteur vieux et aigri, fut surpris quand il ouvrit la porte Ă  ce bel homme de 30 ans, Ă©lancĂ© et Ă©lĂ©gant. Ayant trĂšs vite dĂ©veloppĂ© une aversion particuliĂšre pour mademoiselle K qu’il considĂ©rait comme impertinente et vaniteuse, G avait espĂ©rĂ© voir arriver un homme plus ĂągĂ© qui aurait eu l’expĂ©rience suffisante pour dĂ©jouer le charisme de la princesse et la remettre ainsi Ă  sa place. Il fut donc un peu déçu quand il vit pour la premiĂšre fois ce dandy avec qui il imaginait trĂšs bien sa jeune maitresse dans une partie de jambes en l’air.
Le pĂ©dagogue fut bien Ă©tonnĂ© de constater que le Domestique G ainsi que deux autres membres du personnel Ă©taient seuls Ă  l’appartement en ce lundi soir puisque de nature polie et ponctuelle, il Ă©tait arrivĂ© Ă  20 heures, heure prescrite par Monsieur et Madame K. Il fit donc remarquĂ© le retard de la demoiselle Ă  G.
– Oh ses parents lui avaient bien dit d’ĂȘtre ici Ă  20 heures et prĂȘte Ă  Ă©tudier, lui rĂ©pondit l’attachĂ©, cependant, je crois qu’elle a profitĂ© de leur absence pour aller faire les magasins avec ses amies comme elle le fait parfois aprĂšs l’école. Elle sera sans doute en retard d’au moins une demie heure comme Ă  son habitude. Puis-je vous offrir quelque chose en attendant ?
– De quelle manque de maniĂšres fait preuve cette jeune fille ! Dit sĂ©vĂšrement le pĂ©dagogue. Étonnant, l’on m’avait fait part de sa bonne Ă©ducation et de son esprit.
– Ce sont deux choses qui la rendent plutît arrogante, malheureusement.
Monsieur S eut un charmant sourire en coin qui révéla une jolie faussette.
– Je remĂ©dierai Ă  cela, rĂ©pliqua t-il avec assurance. En attendant, je vous demande un whisky.
Le domestique s’exĂ©cuta, content de l’assurance de ce nouveau tuteur qui dompterait peut-ĂȘtre enfin la terrible mademoiselle K. Il lui apporta donc son verre et lui proposa d’attendre sa maĂźtresse dans le salon ou dans sa chambre, oĂč ils Ă©tudieraient sans doute. TrĂšs content de cette proposition, le professeur Ă©lut la chambre.
C’était une piĂšce ordonnĂ©e et dĂ©corĂ©e avec goĂ»t, comme le reste de l’appartement, qui reflĂ©tait trĂšs bien la vanitĂ© de la jeune fille. Le lit, devant lequel Ă©tait placĂ© une petite table Ă  dĂ©jeuner Ă©tait couvert de draps pourpres et texturĂ©s qui devaient ĂȘtre en cachemire. Faisant les cent pas dans la grande piĂšce, S s’arrĂȘta devant un grand bureau de bois Ă  moulures, oĂč Ă©taient placĂ©s quelques romans romantiques du XIXĂšme siĂšcle. Il remarqua Ă©galement un petit cadre oĂč Ă©tait placĂ©e une photographie de trois jolies jeunes filles souriantes, l’une d’elle Ă©tait blonde, l’autre brune, et celle du centre rousse Ă  la peau de lait. Il espĂ©ra de tout cƓur que cette derniĂšre soit K, puisqu’il avait une inclinaison pour les peaux pĂąles qui rougissent facilement. Il se rendit par la suites aux fenĂȘtres en angles, qui offraient une splendide vue Ă  laquelle il ne jeta pas un coup d’Ɠil, puisque quelque chose attira soudainement son attention. Les portes de la penderie de la jeune fille, probablement aussi grande qu’une chambre de taille normale, Ă©taient entre ouvertes. Sur l’une d’elles, S put lire une petite enseigne faite par la jeune fille. Ne pas entrer. Il entra, sans hĂ©siter, dans cette immense garde-robe qui aurait suscitĂ© la jalousie de n’importe quelle femme. Contrairement au reste de la chambre, cette penderie Ă©tait marquĂ©e par un certain dĂ©sordre. S remarqua des piĂšces de lingerie fine Ă©parpillĂ©es sur le plancher de bois franc, ainsi que des chaussures de toutes sortes, des vĂȘtements et des lunettes fumĂ©es. Il ramassa un soutien-gorge en soie de petite taille et esquissa une autre fois ce sourire viril et confiant.
– Ce doit ĂȘtre une taille mannequin, pensa t-il, avant de lancer nonchalamment le sous vĂȘtement Ă  l’endroit oĂč il l’avait trouvĂ©.
Il se dirigeait vers la salle de bain de marbre de VĂ©rone quand il entendit les bruits d’une voiture devant l’entrĂ©e. Ils retourna donc aux fenĂȘtres oĂč il pu apercevoir une jolie automobile dĂ©capotable, conduite par la jeune fille blonde de la photographie. Mademoiselle K assise Ă  cĂŽtĂ© d’elle, descendit sans presse de la voiture. Les deux jeunes filles riaient aux Ă©clats et la nouvelle Ă©lĂšve de K envoya un baiser Ă  son amie avant de lui crier quelque chose que le professeur ne put deviner, avant de disparaĂźtre sur le perron.
S entendit alors le domestique lui ouvrir la porte en la saluant poliment malgrĂ© l’aversion envers la jeune fille qu’il lui avait tĂ©moignĂ©e plus tĂŽt.
– Votre nouveau professeur vous attends dans votre chambre, mademoiselle, lui annonça G d’une voix docile.
– QUOI ? C’est vous qui lui avez proposĂ© d’attendre dans ma chambre ? Demanda t-elle furieuse. Quel imbĂ©cile vous faites ! Vous auriez pu lui proposer le salon, ou encore la salle de sĂ©jour ! Il n’y a que MOI qui autorise l’entrĂ©e de quelqu’un Ă  ma chambre. Est-ce bien c

Mademoiselle K fut interrompue par Monsieur S, qui ayant entendu la jeune fille crier de rage s’était dirigĂ© vers le vestibule.
– Je me suis permis seul l’entrĂ©e Ă  votre chambre, mademoiselle. Maintenant, veuillez aller vous asseoir Ă  votre bureau et prĂ©parez-vous Ă  l’étude, vous avez assez de retard comme cela et le manque de ponctualitĂ© est une chose que j’accepte bien mal. Lui dit-il sur un ton fort et autoritaire.
Surprise par les beautĂ©s de cet homme ainsi que par ces maniĂšres brusques que l’on lui avait rarement adressĂ©es, K ne put retenir un regard de dĂ©fi qu’elle lui lança audacieusement et que S soutint sans peine.
– Je vous assure, jeune fille, que de me faire rĂ©pĂ©ter n’est pas une chose Ă  faire. Lui lança t-il calmement.
– G, apportez moi un thĂ©, ordonna t-elle rudement Ă  l’adresse du domestique Ă©bahĂźt en dĂ©tournant son regard.
Puis elle partit, obéissant enfin.
– Je vous demande, en ce qui me concerne, un cafĂ© noir. Demanda t-il poliment Ă  G avant de suivre la jeune fille dans sa chambre.
G s’exĂ©cuta aux anges et quand il fut dans les cuisines il ne put s’empĂȘcher de raconter Ă  ses deux collĂšgues le spectacle auquel il venait d’assister. Tous deux se dĂ©lectĂšrent de son rĂ©cit.
Mademoiselle K avait jetĂ© son manteau sur son lit et s’était dĂ©chaussĂ©e. Elle Ă©tait vĂȘtue d’une jupe plissĂ©e lui arrivant Ă  la mi-cuisse ainsi que d’un chemisier blanc sous un dĂ©bardeur sur lequel Ă©tait brodĂ©, Ă  la place du cƓur, l’enseigne de son Ă©cole. Les bras croisĂ©s et l’air contrariĂ©, elle attendait docilement malgrĂ© elle devant son bureau quand le professeur S entra.
L’instructeur ne put s’empĂȘcher de contempler la jeune fille d’une beautĂ© extravagante dont le visage de lune rendant l’air juvĂ©nile encore plus naĂŻf. GĂȘnĂ©e par ce regard gris et glacial qui la fixait, elle dĂ©croisa ses longues jambes fines de peur que l’on puisse remarquer l’élastique de dentelle de ses bas de soie blanche. C’est alors que l’instructeur remarqua que la jeune fille avait retirĂ© ses chaussures.
– Vous n’ĂȘtes pas ici avec un ami, mademoiselle. Ne soyez pas aussi Ă  l’aise, allez vous rechausser immĂ©diatement.
– Mais j’ai mal aux pieds

– IMMÉDIATEMENT ! Lui cria-t’il avant de la saisir avec force par le poignet afin de la relever.
ApeurĂ©e par cette autoritĂ© Ă  laquelle elle n’avait jamais fait face, mademoiselle K se dirigeĂąt vers sa penderie oĂč elle avait laissĂ© ses escarpins hauts dans lesquels elle plaça avec peine ses pieds endoloris. La position penchĂ©e qu’elle adopta dĂ©voila le haut de ses bas ainsi que le galbe de ses fesses blanches Ă  moitiĂ© couvertes par une petite culotte de dentelle de chantilly noire. S pris un immense plaisir Ă  regarder son Ă©lĂšve dans cette pose provocante, Ă  travers la porte entre ouverte de la penderie.
– Quelle indĂ©cence
 Se dit le professeur Ă  lui mĂȘme, en passant une de ses mains fines dans ses cheveux noirs de jais, assez haut pour que sa nouvelle Ă©lĂšve puisse l’entendre.
Son visage s’était joliment empourprĂ© quand elle retrouva sa place dans son fauteuil, et le professeur, malgrĂ© son dĂ©sir de paraĂźtre sĂ©rieux, ne put retenir un sourire moqueur quand il put enfin lire la confusion sur le visage de la jeune fille. Il s’approcha de la petite table Ă  dĂ©jeuner Ă  cĂŽtĂ© de laquelle il y avait une chaise de mĂ©tal assortie. Il la souleva, la plaça devant le bureau et resta ensuite debout, Ă  regarder K qui dĂ©tournait le regard mal Ă  l’aise, comme s’il essayait de lui transmettre un ordre par la pensĂ©e.
– Et bien quoi ?! Lança-t’elle soudainement d’une voix tremblante, qui trahissait l’air arrogant qu’elle essayait de feindre.
– En voilĂ  une façon bien impolie de s’adresser Ă  son tuteur
 Je prĂ©fĂ©rerais de loin un « Pardon monsieur ? »
DĂ©cidĂ©e Ă  ne pas parler de cette façon Ă  qui que ce soit, K baissa les yeux sans rien dire rĂ©alisant que ce geste Ă©tait tout de mĂȘme un signe de soumission. Elle sentit son prĂ©cieux orgueil bouillonner en elle. Elle aurait piquĂ© n’importe quelle autre personne d’une rĂ©plique sanglante, mais elle se sentait dĂ©sarmĂ©e de tous ses avantages devant cet homme si grand et Ă©lĂ©gant qui faisait preuve de tant d’autoritĂ©.
Amusé et sentant le trouble de cette jeune fille virginale, il lui releva le menton de deux doigts.
– Vous baisserez les yeux quand je vous l’ordonnerai. Et maintenant, qu’est-ce qu’on dit ?
Un frisson parcourut mademoiselle K, elle se mordit la lÚvre inférieure.
– Pardon monsieur ? Dit-elle tout bas.
– Et bien, il se trouve que vous allez occuper cette chaise et que je prendrai le fauteuil. Je croyais que vous accompliriez cette politesse par vous mĂȘme, mais apparemment vous avez plus besoin d’ĂȘtre dressĂ©e que d’ĂȘtre Ă©duquĂ©e, rĂ©pondit-il sĂšchement, la regardant de haut.
K se leva docilement malgrĂ© elle. Un nouveau frisson la parcourut quand elle se rendit compte qu’elle n’arrivait qu’à l’épaule de cet homme. Elle se sentit soudainement trĂšs fragile face Ă  la supĂ©rioritĂ© dans l’attitude de son tuteur et s’assit sur la chaise et le mĂ©tal froid qui fit frĂ©mir ses cuisses. Monsieur S s’assit enfin dans le fauteuil et poussant un grand soupir, retira la veste de son costume.
– Et bien ! L’on m’a dit que le lundi, vous aviez des devoirs de mathĂ©matiques. Sortez votre manuel et dites-moi ce que vous avez Ă  faire.
Cette fois-ci, la jeune Ă©lĂšve s’exĂ©cuta sans rien dire.
– J’attends toujours une rĂ©ponse, composĂ©e de deux mots, Ă  un ordre Mademoiselle K. Je vous conseille de ne pas me le faire rĂ©pĂ©ter. Lui dit-il en lui attrapant une seconde fois le poignet avec force, une fois quelle fut revenue avec son livre.
– Oui Monsieur, pardon Monsieur. RĂ©pondit-elle de sa voix douce les yeux fixĂ©s sur son livre de mathĂ©matique.
– TrĂšs bien. Dire que l’on vous disait arrogante, vous ĂȘtes plus docile que je ne le pensais.
Rouge de honte, K ouvrit son livre Ă  la page de son devoir qu’elle expliqua du mieux qu’elle put malgrĂ© son trouble, de sa voix dans laquelle l’on sentait des larmes.
Ils travaillĂšrent ainsi pendant plus d’une demie heure. S, s’amusant Ă  lui faire recommencer des numĂ©ros Ă  la moindre petite erreur, tapotait de sa rĂšgle avec un peu de force les doigts et les mains de la jeune fille, lorsqu’il observait une attitude peu polie ou encore une erreur dans ses devoirs. Il se leva Ă  un moment pour faire les cent pas derriĂšre mademoiselle K, afin de pouvoir observer la jeune fille. Il remarqua alors sa posture recourbĂ©e. Habituellement, la jeune fille se tenait droite et fiĂšre, mais aujourd’hui, devant ce professeur elle avait recourbĂ© son dos ses Ă©paules sans vraiment y penser, simplement par intuition. S, ne trouvant pas cette posture correcte pour une jeune fille se rapprocha d’elle et lui mit une main sur l’épaule. Le corps tendu de K sursauta. Le tuteur se pencha et porta ses lĂšvres Ă  l’oreille de son Ă©lĂšve, enivrĂ© par son parfum exquis.
– Votre posture ne me convient pas, lui chuchota-t’il.
Il descendit alors son autre main dans le bas de son dos et exerçant une pression brusque, l’obligea Ă  se cambrer. Une fois placĂ©e de cette façon provocatrice, il lui ordonna de s’asseoir ainsi dorĂ©navant en sa prĂ©sence et avec Ă  l’aide de sa rĂšgle remonta sa jupette afin de claquer sa cuisse fermement avec ce mĂȘme instrument. K laissa Ă©chapper un cri aigu qui fit frissonner de plaisir son nouveau tuteur.
Tremblante, elle lui répondit docilement. « Oui monsieur »
Honteuse d’elle mĂȘme et de la fiertĂ© que cela brisait, la jeune K ne pouvait s’empĂȘcher Ă©prouver, malgrĂ© sa peur de cet homme, un grand dĂ©sir envers lui. Il avait cette attitude virile et intellectuelle qu’elle avait maintenant l’impression d’avoir recherchĂ© inconsciemment chez les garçons de son Ăąge. Malheureusement, ses expĂ©riences avec eux se limitaient Ă  bien peu de choses car elle avait l’impression de ne jamais en avoir rencontrĂ© un qui suscitait un tel dĂ©sir en elle. Peut-ĂȘtre que toute cette arrogance, cet air qu’elle se donnait, n’était en fait que pour camoufler sa nature de jeune femme docile et soumise ? Elle fut parcourue d’un tremblement Ă  cette idĂ©e et par automatisme replaça sa jupe sur son genou, cachant sa cuisse rougie.
– Vous ai-je permis de replacer votre jupe K ?
ExtrĂȘmement troublĂ©e et Ă  la fois choquĂ©e de ne pas pouvoir replacer sa jupe sans autorisation, K ne put prononcer un mot, elle resta assise face Ă  son livre sans voix.
– Levez-vous ! Lui cria t-il.
Elle s’exĂ©cuta brusquement sans ne rien rĂ©pondre, une nouvelle fois. Cette fois-ci, le professeur, la prit brusquement par une main Ă  la gorge, sans exercer aucune pression, uniquement pour jouer avec sa peur.
– Ne vous ai-je pas prĂ©venue, petite indisciplinĂ©e, de ne PAS me faire rĂ©pĂ©ter ? ! S’écria-t’il
– O
 Oui Mon
 Monsieur.
– Et bien, vous ai-je permis de replacer votre jupe ? Demanda-t’il une deuxiùme fois, maintenant plus doucement en faisant glisser sa main sur son bras.
– Non monsieur, chuchota l’élĂšve, Ă  la fois apeurĂ©e et excitĂ©e de ce que son professeur allait bien pouvoir lui faire subir pour la punir.
Il lĂącha doucement son bras et se dirigea vers le lit de la demoiselle oĂč il s’assied.
– Maintenant, approchez-vous.
Elle s’avança jusqu’à se trouver en face de lui, tremblante.
– Votre ventre sur mes genoux, lui ordonna-t’il presque doucement.
K eut un dernier rĂ©flexe de rĂ©bellion en elle, quand elle rĂ©alisa le chĂątiment corporel qu’elle s’apprĂȘtait Ă  subir.
– Non Monsieur, je ne
.
Il l’attrapa d’une force virile par le bras et la plaça lui-mĂȘme de force sur ses genoux. Une fois placĂ©e ainsi, il releva sa jupe jusqu’à sa taille et la dĂ©culotta d’un trait. L’arrogante petite K scandalisĂ©e par cette position honteuse essaya de se relever, mais son petit corps filiforme ne tint pas face au bras de cet homme adroit qui lui attrapĂąt les deux poignets avec une seule main. Il la tint ainsi immobilisĂ©e et prĂȘte Ă  ĂȘtre corrigĂ©e.
– PitiĂ© Monsieur, je vous demande pardon, je serai obĂ©issante
 Le supplia-t’elle en gĂ©missant abandonnant sa derniĂšre once de fiertĂ©.
– Il faudra vous apprendre l’obĂ©issance, lui rĂ©pliqua en ricanant le cruel professeur.
De sa main qui avait semblĂ© Ă  K si douce et fine au premier regard, S administra Ă  la jeune fille sa toute premiĂšre claque. Ferme et dure. Le tuteur, lorsqu’il corrigeait ainsi ses Ă©lĂšves, n’adoucissait jamais ses claques, toujours dĂ©sireux d’administrer une vĂ©ritable punition. Un cri aigu s’échappa des lĂšvres de K.
– Je ne t’autorise pas à aucun mot ni à aucun son, est-ce clair ? Dit-il en marquant bien son premier tutoiement.
– Oui monsieur
 RĂ©pondit-elle en sanglotant.
Plusieurs autres claques s’abattirent sur les petites fesses Ă©troites de la jeune fille ne pouvant retenir aucun sanglot. S lĂącha donc ses mains qu’il sentait sans force de toute façon et plaqua la sienne con
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