Une japonaise se fait limer sans censure

Une japonaise se fait limer sans censure




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une japonaise se fait limer sans censure
Vos données personnelles sur Orange
Tout accepter Personnaliser vos choix
Orange, Sosh et leurs partenaires avec votre consentement peuvent utiliser des cookies ou équivalent pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal afin notamment de collecter ou traiter des données personnelles telles que : données de navigation (comme les pages et applications consultées), identifiants (comme l’adresse IP, identifiants de contrats, identifiants mobiles publicitaires ou l’IMEI)... Les traitements de certains partenaires reposent sur leurs intérêts légitimes, vous pouvez vous y opposer en cliquant sur le lien « Personnaliser vos choix ».
Ces données sont traitées par Orange et/ou ses partenaires aux fins suivantes : - Contenus et publicités personnalisés sur supports digitaux (services, offres et publicités adaptées à vos centres d’intérêt sur internet, application mobile ou interface TV) ou par communication directe (e-mail, SMS, téléphone, point de vente…), mesure de performance du contenu et des publicités, données d’audience et développement de produit. - Mesure d’audience des publicités et des contenus, y compris pour les emails et SMS qui vous sont adressés.
Si vous êtes connecté avec un compte Orange ou Sosh et sous réserve des choix exprimés par ailleurs, les informations traitées pourront être associées avec celles collectées sur vos autres appareils et enrichies des données client de vos contrats et de ceux de votre foyer. Vos données pourront également enrichir ou être enrichies avec des données collectées par nos partenaires.
Vos choix seront appliqués sur le portail Orange et sur certaines de nos applications ( consulter la liste ) ainsi que pour les emails et SMS qui vous sont adressés. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique « cookie ». Vous pouvez modifier votre consentement à tout moment en cliquant sur le lien « Gestion cookies » en bas de page.

Une vlogueuse spécialisée dans le jardinage a fait le buzz sur le web grâce à l'une de ses vidéos en tenue très sexy. Non Stop Zapping vous fait découvrir la séquence.


Vos réactions doivent respecter nos CGU .


Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires

























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Coincée entre son mari et un voisin entreprenant plutôt sympa, Sophie a vécu, à dix mille mètres d’altitude, une nuit agitée.























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Tout savoir sur l'orgasme, l'expert répond...
Rendez-vous amoureux : qui doit payer l'addition ?
Ce que j’aurais aimé savoir avant ma première fellation
Larguées pendant la grossesse : "Ça a été comme une gifle, j'étais enceinte de 5 mois"
Ils se détestaient, maintenant ils s'aiment profondément
Elles ont pris un amant (beaucoup) plus jeune
Ils ont tout fait pour séduire la femme de leur vie
"On s'est séparés pour mieux se retrouver"
"J'ai rencontré l'amour sur mon palier"
Je suis gay et je suis tombé amoureux d'une femme
Nos partenaires et nous utilisons des données non sensibles comme des cookies ou des identifiants électroniques pour afficher des publicités personnalisées, mesurer le nombre de visiteurs ou encore adapter notre contenu.
Cliquez sur le bouton pour donner votre consentement à ces opérations et profiter d'une expérience personnalisée. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site.
Séduction et turbulences de l’avion ne font qu’un dans cette promiscuité amoureuse… Au retour d'un voyage à Hanoï avec son mari, Sophie tombe sous le charme de son voisin de rangée. 
"Un voyage magnifique... Hanoï et la baie d'Along. Ho Chi Minh-Ville et son quartier chinois. Et puis les gens pleins de vie. Beaucoup de bruit, une ville grouillante. Nous nous sommes bien amusés. C'est avec beaucoup de tristesse et à reculons qu'avec mon mari nous montons dans l'avion du retour. En plus, il fait une chaleur dans cet avion... Alors, un voyage de dix heures, coincée entre mon mari, à droite, assis comme d'habitude au bord du couloir pour allonger ses jambes, et, à ma gauche, un autre costaud côté hublot.
J'échange quelques paroles avec mon voisin
Deux heures après, les plateaux-repas. J'échange quelques paroles avec mon voisin. Il me demande d'où je viens, ce que nous avons fait. Lui, il voyage pour son travail. Il a juste fait l'aller-retour. Puis les lumières s'éteignent, il ne reste que les petites veilleuses, et tout l'avion s'assoupit. Le silence se fait. Je ne peux pas vivre sans musique, donc je mets les écouteurs.
Mon mari s'endort partout, ah partout ! Moi, j'ai la chance d'être menue, j'essaie de trouver ma place, dans cet espace restreint où ils débordent tous les deux : je suis privée d'accoudoirs, les mains sur les genoux, réduite à la portion congrue. Là, je m'endors. Pour récupérer un peu. Pendant dix jours, nous n'avons pas arrêté. Je m'écroule. Et fatalement, je penche vers la gauche, c'est mon habitude. Au lit, je dors à droite. Je suis un peu frileuse et je me retourne toujours sur la gauche pour attraper mon mari et me réchauffer. C'est une grosse bouillotte.
Donc je m'affale sur l'épaule de l'inconnu . J'ignore combien de temps. En tout cas, il ne bouge pas. Cela ne doit pas être très agréable pour lui. C'est lourd, une tête. Quand je dors, j'aime bien me cramponner. Je lui attrape le bras. Là, mon mari m'envoie un coup de coude dans les côtes. Je me réveille en sursaut. Il me dit : « Tiens-toi. » Je m'aperçois de mon erreur d'épaule, je me confonds en excuses. Mon voisin a un grand sourire et me dit : « Si mon épaule est confortable, je n'y vois pas d'inconvénient. » Vous pensez bien que je me suis repositionnée au milieu. Mon mari s'est déjà rendormi, mais moi, je n'y arrive plus. Je ne suis pas bien. Furieuse de la remarque de mon mari. En plus, j'ai mal au cou. J'allonge mes jambes loin de moi pour changer de position. Ça fait quand même trois heures que nous sommes assis, je suis ankylosée.
Là, ma jambe rencontre celle de mon voisin. Je me décale un peu. Sa jambe suit. Bon, il a été gentil, souriant, je ne veux pas... Je ne me dégage pas. Nous restons collés l'un à l'autre, avec, comment dire, des petites pressions, avec son genou, avec son pied, délicatement. Il a peur de mes réactions, peut-être. Et puis il y a mon mari de l'autre côté, il a vu qu'il n'était pas commode. C'est drôle : il semble impassible, il ne bouge pas la tête. Comme je n'ai pas d'accoudoir, forcément, j'ai ma main en bas, le bras le long du corps. Il quitte l'accoudoir, il vient sous le siège et il rencontre ma main. Ses doigts restent le long des miens, mais il n'ose pas trop s'aventurer à prendre ma main. Nous sommes comme deux collégiens. Je l'entends bien respirer, quand même, et soupirer.
Ce n'est pas désagréable, ces petits frottements. Je crois que j'y prends plaisir autant que lui, peut-être. On passe par plein de sentiments : c'est émouvant, et il y a des moments où j'ai envie de rire. Il ne doit pas se sentir bien, il doit souffrir. Il y a des choses qui ne vous échappent pas, quand même : il se soulève de son siège, je le sens dans un inconfort... Comment dire sans être triviale ? Trop serré dans son pantalon. 
Je me suis levée, on boit beaucoup dans un avion, on va aux toilettes. Je ne sais pas comment il a fait, il n'a pas bougé, c'est du jamais vu. Je suis revenue, je ne trouvais plus mon siège, dans la nuit on ne voit rien. Le petit jeu a continué. Un petit jeu érotique. Tour à tour on s'approche, on se décale, on change de position. Il respirait vite, et moi aussi. Je pense qu'il s'en est aperçu. Il s'est enhardi. Il a mis sa main le long de mes cuisses. J'étais en jean, ça ne pouvait pas devenir très torride. Et pourtant, ça fonctionne quand même, même en jean. Le trouble est là, le désir. On va lâcher le mot : je ressentais un violent désir. Peut-être l'attrait de l'interdit, de cette situation, ce n'est pas banal. 
Le plaisir m'a tellement envahie que j'ai oublié la présence de mon mari. J'avais les yeux fermés tout le temps, je n'avais pas envie de les ouvrir, j'oubliais le cadre, j'étais dans une bulle. Pour ne pas perdre ce bonheur, vous n'osez pas bouger. A un moment, j'ai posé la tête sur l'épaule de mon mari pour tenter de m'endormir et pour arrêter un peu, pour retrouver une respiration, c'était incandescent. Du coup, j'étais tournée, je lui présentais mes fesses, il a plaqué une main sur ma fesse, sur mon jean, je suis revenue tout de suite à ma position.
Mon mari s'est levé. Nous nous retrouvons seuls tous les deux, nous avons cinq minutes. Il a un regard interrogateur, avec un petit sourire grivois : qu'est-ce qu'on fait ? J'ai pris un air un peu sérieux, c'est très hypocrite de ma part, il sait bien que je participe complètement. Je ne sais pas, sursaut de pudeur. Cela ne m'est jamais arrivé. Je n'ai jamais trompé mon mari, en vingt ans de mariage, jamais. Je n'ai jamais cherché l'aventure. J'ai trop vu mes parents souffrir. Je l'adore, mon mari. Il m'a demandé où j'habitais, si j'avais des enfants. J'ai deux filles, lui trois garçons. Aucune allusion, ni l'un ni l'autre, à cette expérience, à cette complicité sensuelle.
Nous étions comme deux gamins pris en défaut
Mon mari est revenu. Mon voisin a remis ses écouteurs et fait semblant de dormir, moi aussi. Nous étions comme deux gamins pris en défaut. Ce sont des émois d'adolescents, quand même.
Il y a des turbulences. On nous prie de nous rattacher. Il était resté sage cinq minutes. Je me disais : « Tiens, le charme n'opère plus. » Avec les turbulences, il est revenu, encore plus assidu, plus fort et plus près. Il m'a attrapé le petit doigt, il m'a presque tenu la main. Et toujours sa cuisse bien collée à la mienne. C'est difficile de mettre des mots sur des choses qui sont seulement ressenties. On est dans une espèce de bien-être. On ne voit plus les autres. On est concentrée, obnubilée par une pression sur quelques centimètres de cuisse, on entend le cœur de l'autre battre.
Un avion c'est petit, c'est étroit, on ne peut pas bouger. Tout se passe en silence, dans l'imaginaire. Chacun des deux ressent la même chose, sans pouvoir manifester. Tout ça est très subtil. Ce sont des impressions... Des gestes furtifs, avec le plus de discrétion possible, ce qui n'est pas forcément compatible avec le plaisir. Un contact qui appelle d'autres caresses, mais elles restent dans l'imaginaire. C'est quand même du plaisir à l'état pur. Un tsunami. Pour une femme. Pour un homme, je ne sais pas, quand c'est avorté... Nous étions comme deux cocottes vapeur - tendus de plaisir, d'inassouvissement, de manque. Comme quelqu'un qui attend sa came. 
Et puis d'un seul coup, la lumière est revenue. Il est redescendu de son nuage. Comment cela avait-il pu durer une nuit ? C'est très efficace pour abréger un voyage. Les petits-déjeuners sont arrivés. Mon mari s'est réveillé. C'était immonde, le pain n'était pas décongelé. Mais comme d'habitude, il a englouti tout ce qui restait.
Là, je me suis tournée vers la gauche. Nous avons commencé à parler un peu de choses et d'autres. Il m'a dit qu'il aimait les photos aériennes. Il m'a dit : « Là, nous sommes au-dessus de telle ville. » Il m'a engagée à regarder par le hublot par-dessus son épaule. Nous étions tout proches, j'avais mes cheveux très près de lui.
Nous descendons sur Roissy dans la grisaille. La tristesse. C'est surtout lui qui est triste. La fin du petit jeu, de plaisir et de torture mêlés. Quand tout est contenu. Il est malheureux parce que tout cela se termine et qu'il n'y aura jamais d'assouvissement. Pas d'explosion, pas de bouquet final. Ça s'appelle rester sur sa faim. Il me jette un regard désespéré : « On ne peut pas se quitter comme ça. » Il a l'air d'un enfant que sa mère vient de laisser tout seul. Je me sens responsable de sa détresse. Ça a l'air tellement costaud, un homme. Mais malgré ses épaules carrées, c'est une petite chose fragile. Ça faisait partie du jeu, il ne fallait rien attendre de plus. C'était un rêve.
Quand on a vécu des sentiments aussi forts, la chute est brutale. La séparation est un déchirement , un cataclysme, qu'autour de nous, tout le monde ignore. Les gens se lèvent, prennent leurs bagages. Je lui serre la main. Il détourne les yeux et regarde par le hublot, où il n'y a rien à voir, puisque nous avons atterri depuis longtemps.
Malgré les crampes, une nuit sans dormir, à peine arrivée chez nous, j'ai lancé à mon mari : « Enlève ta veste, viens... » J'ai pris l'initiative des caresses. Il s'est laissé faire. Il était ravi. Il y avait urgence dans l'aboutissement des caresses trop longtemps contenues. Mon mari aurait pu dire merci à mon voisin. J'y repense le soir, la nuit. Mais je ne peux en parler à personne. C'est mon petit coin de fantasme à moi. Je nous imagine laissant libre cours à tout ce qui a été retenu et allant vers de vrais ébats, avec tout le corps. Bizarrement, là, je sors de l'avion et exit le mari. Tout va bien, tout se passe sans entraves. Vous savez, parfois on revoit les gens, j'ai lu ça dans des romans, et la magie n'opère plus. L'excitation vient de l'interdit, de l'impossibilité." 
Toute l'actu Marie Claire, directement dans votre boîte mail

Play Mute Fullscreen Fluid Player 3.6.0
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire

2


24

cimerrrrrrrrr ! rien a foutre ici..

0


0


0


12

Pierre-13 a écrit:
Avant de venir pleurer ici, tu devrais peut être essayer de sensibiliser ta soeur ou ton frère au fait qu'un gamin de 10 ans ne doit pas se retrouver seul et sans surveillance sur internet.

Je ne suis pas là pour faire l'éducation de ton neveu et encore moins le boulot de ses parents. Je t'invite donc à les sensibiliser sur ce point là, mais honnêtement j'ai du mal à imaginer des adultes saints d'esprit laissant sans surveillance leurs progénitures ... ça honnêtement je ne comprends pas !!

Cela étant dit, j'ai tout de même pris compte du fond de vos remarques et vais réfléchir à un moyen de corriger cela.


Pour corriger c'est simple, il existe une section interdite aux mineurs.
En une semaine ça fait quand même 3 vidéos du genre.


1


9

elisachanterelle a écrit: Mon neveu de 10 ans passe ses soirées ici

Avant de venir pleurer ici, tu devrais peut être essayer de sensibiliser ta soeur ou ton frère au fait qu'un gamin de 10 ans ne doit pas se retrouver seul et sans surveillance sur internet.

Je ne suis pas là pour faire l'éducation de ton neveu et encore moins le boulot de ses parents. Je t'invite donc à les sensibiliser sur ce point là, mais honnêtement j'ai du mal à imaginer des adultes saints d'esprit laissant sans surveillance leurs progénitures ... ça honnêtement je ne comprends pas !!

Cela étant dit, j'ai tout de même pris compte du fond de vos remarques et vais réfléchir à un moyen de corriger cela.

0


8

ivre , pas sur...bourrée, maintenant c est une certitude

0


17

elisachanterelle a écrit: Mon neveu de 10 ans passe ses soirées ici


dans le meme bar qu eux ? il est pas un peu jeune ?

1


1

Mon neveu de 10 ans passe ses soirées ici


0


3

Faut vraiment être crade pour faire ça dans des chiottes déjà dans les miennes ça me viendrais pas a l'idée, mais la en plus dans les chiottes a tous le monde bref beurk

0


6

Surtout qu'il y a rien de débile ni d'insolite... C'est vraiment nul a chier..

0


8

En ce moment on a plus l'impression d'être sur youporn, va falloir arrêter les conneries là, y'a des enfants qui regardent les vidéos.

0


18

Boro a écrit: cimerrrrrrrrr ! rien a foutre ici..

Effectivement apres l'avoir regarder 3 fois je confirme ça n'a rien à faire ici !!!!
Les meilleurs contributeurs du mois



ingush :
C'est qui eux?


tomdsign :
C'est encourageant pour le reste de la soirée, elle est prête a essayer des trucs même si ca la…


mansail :
ho lala ;la roue de devant est à plat...


mansail :
chez eux ,c'est le sport national; même les chiens s'y mettent


mansail :
wouahhh pas mal


pascon :
la laisse casse, mais beau geste


graindesable :
belle perf' !!


niko26 :
un p'tit trou au début qu'elle tient avec le doigt et le tour est joué.


niko26 :
10/10


niko26 :
la terreur





subtitles settings , opens subtitles settings dialog subtitles off , selected
Error Code : MEDIA_ERR_SRC_NOT_SUPPORTED
No compatible source was found for this media.
Session ID: 2022-09-02:fd74ce485700d0e1a6152232 Player Element ID: mainPlayerH5
Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Transparent Window Color Bla
Une pénétration chaude en vidéo
Shemale fait une fellation du futur a sa petite copine
VIDEO PORNO MASON MOORE ANAL

Report Page